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Pourquoi il faut libérer les africains des enclos |
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Wonty (
23/02/2012 20:36 )
À Paris / France
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Vous n'avez rien compris. En afrique c'est la non maitrise de la technologie qui est à l'origine du mal de l'afrique; Il y'a certains pays africain ou l'on importe meme le papier hygienique. C'est vraiment honteux. Dire que l'afrique est peuplée des pseudo-intellectuels dont les seuls talents ne sont que la sauvagerie et la mechanceté, est une verité |
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Décidément ce gars na rien compris, après avoir donné un coup de mains à SARKOZY pour installer Watt - RAT |
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23/02/2012 22:21 )
À Strasbourg / France
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M .K . Commence à prendre les Africains et les Ivoiriens pour des idiots de village.
Après avoir trahi tes compagnons de lutte, (FPI) pour ne pas le nommer, pour épouser la cause d'un traître et collabos apatride BURKINABE, a la cause des noirs, criminelle et assassin avec son Beau frère SARKOZY des IVOIRIENS.
La honte ne tue pas en Afrique, et si les Français aimaient les Africains, qu'ils disent a leur armée d'occupation NAZI de foutre le camp de l'AFRIQUE, après ce que leur nain de jardin à fait en Côte d'Ivoire de Laurent GBAGBO KAFISSA et KADHAFI de la Libye, s'ils ne dégagent pas leurs troupes d'occupation NAZI, ce sont les Africains qui vont leur foutre un grand coup de pied dans le cul.
Qu’es ce que ce soit disant professeur d’économie, pense de l’embargo, sur les médicaments qui ont fait un peu plus d’un ½ millions de morts, en EBURNIE avec la complicité des petits blancs, du nain de jardin Gaulois, et de quelques traîtres et collabos nègres, OBAMA, WADE, GOOD LUCK JONATHAN, COMPAORE, ainsi que la fermeture abusive des banques SIONISTES, avec l’aide de ce Juif Georges SÖROS, grand bailleur de fond de la rébellion en Côte d’Ivoire.
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120 Soldats FranSSais fait prisonnier, en SYRIE. |
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24/02/2012 00:25 )
À Strasbourg / France
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Moi je serais le président SYRIEN, tous les jours j'enverrais, une paire de couilles d'un soldat gaulois à SARKOZY, pour freiner son ardeur beliqueuse, envers ce peuple agresser par les SIONISTES.
Hein BHL, la SYRIE c'est pas la LIBYE ou tu as reussi à manipuler les RATS du comité national des traître appelé pompeusement " CNT" qui ont detruit leur nation, pour faire plaisir à un farfelue comme toi.
À TRIPOLI un navire français à été coulé il a reçu 190 tir mortier RPG, 55 morts de marins inconnus, 19 américains exécutés et brulés leur avion survolé Mitiga base, abattue par la résistance près du port de Tripoli.
45 israéliens tués à Mistrata, je comprends pourquoi les rats de Mistrata sont des barbares.
Les verts ont saisi une importance somme d'argent en dollars euros, or, dinars khratar, livres, dinars libyens.les verts se sont équipés de 25.000 armes silencieuses et 10.000 lunettes à vision nocturne pour s'occuper des rats de Benghazi. (libyan free press) Vive la résistance verte.
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Lucien Pambou (
24/02/2012 01:35 )
À Boulogne-billancourt / France
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Mamadou Koulibaly est un homme politique ivoirien de premier ordre qui a été Président de l'Assemblée nationale ivoirienne sous l'ère Gbagbo.
C'est un économiste doublé d'un homme politique et vice-versa. On est enfin heureux de voir que l'homme politique aux affaires avait laissé de côté l'économiste marqué par l'analyse et le raisonnement.
Mieux vaut tard que jamais.
En tant que Président de l'Assemblée nationale, donc homme politique de premier rang, Mamadou Koulibaly ne s'était pas distingué par ses propositions actuelles. On peut le comprendre, voire l'excuser car il occupait un poste politique. Mais tout de même il aurait pu démissionné à l'époque en donnant à la population ivoirienne et à la communauté internationale les raisons de sa démission dans la mesure où il estimait que les dirigeants africains, dont lui-même avait remplacé le colon blanc. Or il s'est contenté de suivre le mouvement et d'attendre d'avoir été écarté du pouvoir pour tirer à boulets rouges contre la Françafrique et ses institutions monétaires.
Mamadou Koulibaly en tant qu'économiste et pour le fonctionnement libre des marchés et le développement de l'économie et de la vie à partir de l'Homme. On aurait aimé que le Président de l'Assemblée nationale sous l'ère Gbagbo montrât sa capacité d'indépendance.
Libéral je suis, social et humanitaire je suis, je ne cache pas mes appartenances politiques et ceux qui me suivent à travers Grioo et mes blogs constatent que je suis très critique vis à vis de mon propre parti l'UMP car je ne suis ni poupée gigogne, ni mendiant pour la reconnaissance.
Je reste africain et je me donne le droit de dire et de dénoncer même si j'ai aussi le droit de me tromper. Je suis libéral social et j'entends que l'Afrique s'ancre dans la modernité non par des oukazes mais par de l'analyse clairement identifiée. J'ai demandé à Monsieur Koulibaly de participer à son institut pour débattre et apporter la contradiction. C'est son droit de ne pas me répondre et de ne pas accepter la contradiction mais l'élégance intellectuelle aurait voulu qu'il le fît en me donnant sa position.
Je remercie Grioo de publier sa position ce qui permet non de répondre mais de faire des observations. Comment Monsieur Koulibaly compte-t-il dans le monde actuel établir les critères réels de la libération de l'homme noir de ses enclos, sachant que les rapports de force actuels sont en sa défaveur ? Il ne s'agit pas pour moi de démissionner mais d'entendre les éléments de débat. Monsieur Koulibaly a le droit de s'exprimer mais on doit éviter la confusion qui permet aux élites noires d'utiliser une situation défavorable à un moment donné d'un point de vue personnel pour parler au nom du peuple noir. C'est une imposture mentale et intellectuelle qui doit être mis au jugement des autres intellectuels africains. Quand on est courageux politiquement, il faut être capable d'aller porter le fer au coeur de l'adversaire. Cet adversaire, c'est le colon blanc. Je dénonce l'esclavage, la colonisation et la domination actuelle des Africains par les puissances occidentales et les asiatiques. Mais dans le même temps, je m'interroge. Pourquoi aller chercher la technologie occidentale et asiatique ? Pourquoi sommes-nous toujours dans cette dénonciation alors que nous pouvons nous organiser ? On peut me répondre que je détruis la position qui doit être la notre : le rassemblement.
Le véritable problème est que les intellectuels que nous sommes pratiquons un double langage quand on est aux affaires, c'est à dire à la direction des affaires et lorsque nous n'en sommes pas.
Monsieur Koulibaly a raison d'écrire ce qu'il écrit, encore faut-il que les peuples africains ou l'homme noir ne se fasse pas prendre au piège de l'illusion et du drame verbal au nom de la liberté et du libéralisme, idéologie théoriquement satisfaisante au niveau intellectuel est discutable dans la conduite des affaires.
Voilà le débat ouvert et j'en assume les éléments de contradiction et de réponse, aussi bien de la part de Monsieur Koulibaly que de la part des autres africains.
Cordialement à tous. |
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24/02/2012 04:22 )
À / Canada
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À Mr Coulibaly,
Je suis heureux de voir enfin des anciens dirigeants politiques africains accepter de débattre de leurs actions mais surtout se risquer sur le terrain de l'analyse.
Plusieurs fois j'ai signalé sur ce site que le point faible de l'élite actuelle au pouvoir dans la plupart des pays Africains francophones venait de leur manque de critique et de leur manque de vision claire, à partir d'outils d'analyses fiables sur la réalité empirique.
D'ailleurs je l'ai aussi signalé pour des Afro-déscendants comme Ramoutalaye Yade et Dati car la politique demande une bonne connaissance de l'histoire, de la psychologie et des outils d'analyses. Ni les médias, ni les sentiments ou l'émotion ne suffisent pour faire de la politique. Confondre politique et communication est une erreur grave que plusieurs élites universitaires commettent dans la communauté africaine.
Cette faiblesse se retrouve en générale chez la plupart des universitatires africains qui pour la plupart se contentent de reprendre des théories mises en place par d'autres pour des réalités bien différentes de celles du continent Africain.
En acceptant d'échanger avec le peuple, l'élite universitaire et politique comprend enfin que le travail de pédagogie est plus qu'indispensable dans le cas de l'Afrique étant donné l'échec patent de la plupart des diplômées et des politiques mises en place par les différents partis politiques depuis les annèes 1960.
Pour en venir à vos réflexions, cher Mr Coulibaly, elle portent, depuis à peu près une décennie, sur l'une des questions clefs: celle du pacte colonial, autrement dit sur la marge de manoeuvre réelle des états francophones africains, en matière de politique économique.
Même si Mr Pambou à raison de vous rappeler, votre propre action politique et votre parcours personnel, pas toujours en accord avec vos positions actuelles, je me permettrais de faire fi de cela afin d'aborder le fond de vos analyses car vous avez le courage de proposer une réflexion pour l'Afrique, et celle-ci mérite largement d'être apprécié à sa juste valeur.
Je partirai de votre thèse libérale, qui dans le fond n'est pas très éloignée de celle du parti au pouvoir au Sénégal. Selon vos prémisses, en adoptant le libéralisme les francophones Africains se donneraient une réelle marge de manoeuvre afin d'.affronter les multiples défis auxquels leurs états sont confrontés.
Dans une certaine mesure, cette position théorique semble très cohérente, mais lorsqu'on la confronte aux faits, de réels désaccords apparaissent: pourquoi des pays comme le Sénégal qui n'ont connu aucune crise politique grave et ont mis en place une telle politique n'ont-t-ils connue une sensible amélioration des indicateurs économiques?
De même pour l'Éthiopie qui applique une politique libérale depuis l'accession au pouvoir de Menes Zenawi?
Dans le cas spécifique des pays francophones, vous êtes conscient, mieux que quiconque, des limites d'une telle `théorie vu qu'aucun de ces états ne contrôlent réellement son économie puisque celles-ci sont largement issue des politiques mises en place avant 1960.
Ainsi, les cultures de rente sont encore à l'ordre du jour, or le prix des matières premières de la plupart de ces cultures ne dépendent pas des pays Africains, ce d'autant plus que ceux-ci n'ont aucune organisation crédible pour faire pression sur le marché mondial.
Si nous prenons le cas du coton, vous savez très bien que les USA et d'autres pays subventionnent leurs agriculteurs ce qui fausse totalement la libre concurrence entre les producteurs et défavorise les producteurs africains.
Même dans le cas du Cacao, dont la RCI reste le premier producteur mondiale, aucun mécanisme ne lui permet de contrôler les prix de cette culture et qu'il vous souvienne la réaction de feu le président Boigny trois avant sa mort, à propos de la chute des prix du Cacao.
En réalité, vous le savez très bien Mr Coulibaly, toute industrie jeune, pour émerger, doit être protéger par l'État, c'est bien ce que la plupart des pays européens et américains ont fait au cours des deux siècles passés afin de consolider leurs positions.
Le Professeur John Maynard Keynes ne disait pas autre chose lorsqu'il affirmait la nécéssité pour l'état de jouer un rôle central dans la strucutration de l'économie, et même lorsque son collégue libéral, Friedrich Hayek lui a soumis son projet de réduire le rôle de l'État il lui a subtilement fait comprendre les limites de cette position.
Enfin, sur le plan historique, pourquoi les USA, ont-ils adopté un plan Marshall pour les économies du bloc de l'ouest après eur déroute politico-économiques à la fin de la seconde guerre mondiale?
Puisque tous ces États sont libéraux, ils auraient logiquement dû éviter une intervention massive de l'État dans la machine économique et laisser les entreprises privés relancer la machine économique.
De même, pourquoi la FED a-t-elle injectée de l'argent dans le système économique américain pour sauver plusieurs banques de la failllite, alors que cela s'oppose aux lois du libéralisme économique?
De même pour la banque centrale européenne?
Malheureusement je ne puis aller de l'avant afin de ne pas occuper tout l'espace, mais je puis tout simplement dire que le libéralisme, a montré ses limites sur plusieurs aspects car il se fonde sur des paradigmes rationalistes érronés, comme d'ailleurs son alter égo le marxiste qui se trompe dans sa lecture anthropologique des faits économiques.
Les sciences économiques sont à la croisée des chemins, la plupart des outils actuels utilisés dans la finance, comme la loi de Gauss, ont atteint leurs limites car ils ne permettent pas de prévoir les dérives tels que ceux qu'on a observées lors de la crise des subprimes aux USA.
À l'heure actuelle une remise en cause des grands canons de la finance est à l'ordre du jour et la plupart des spécialistes admettent d'ores et déjà que l'économie ne sera jamais une science rigoureusement quantitative étant donné les parmètres qualitatifs qui interviennent dans les modèles et qui hélas ne seront jamais quantifiables.
À ce titre, voir les travaux de Gilles Pages, du laboratoire des probabilités et des modèles aléatoires (LPMA), en France, ou ceux de Rama Cont.
En conclusion, je vous invite à explorer d'autres pistes, cher Mr Coulibaly, par exemple celle du professeur Léonard Wantchékon, mais aussi à lire les récentes analyses économiques de l'ancien premier ministre Malaisien, l'un des rares hommes politiques non-européen à avoir évité la crise économique de 1998 à son pays, en refusant l'intervention du FMI et de la BM lors de la crise, et en choisissant de relancer l'économie de son pays à partir de l'épargne intérieure.
Sinon, Mr Coulibaly, il est aussi de votre devoir, et du notre, de réfléchir nous-mêmes sur les questions économiques car Mahatir et les autres en Asie l'ont fait pour leurs pays.
Ce dernier a toujours considéré le rôle capital de l'État dans le fonctionnement de l'Économie car dit-il, seul un État fort peut réglémenter le système économique et éviter les dérives naturelles du libéralisme.
En résumé, si la liberté religieuse, la liberté d'entreprise et la liberté politique sont plus qu'indispensables dans tout système Étatique, en aucun cas il ne faut en arriver au sytème libéral synonyme de la réduction au strict minimum de l'État.
Encore faudrait-il avoir des dirigeants éclairés et capables de saisir les vrais enjeux et de défendre les intérêts de leurs pays. Surtout, il faudrait que ceux-ci soient capables de choisir des élites au fait des enjeux internationaux, tant au plan politique, qu'économique et scientifique.
Car ce ne sont ni des pasteurs ni des francs-macons, ni des marabouts ou des membres de l'ethnie qui sortiront l'Afrique de l'impasse. Seule la raison et le travail, sous-entendues par une dimension Éthique du partage des richesses permettront à notre continent de vaincre la fatalité.
Nous devons cesser de croire aux solutions toutes faites par les autres car rarement ces modèles ne prennent en considération la complexité de notre réalité.
Quel modèle économique peut-il intégrer le pacte colonial?
Le Bostwana et la Namibie réussissent, le Rwanda a pris la bonne direction, alors il y a largement de quoi espérer si l'on accepte de faire le bon diagnostic et de suivre la bonne thérapie. Nul besoin de miracle ou de théorie inadaptée aux faits.
Merci.
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Quimboiseur (
24/02/2012 12:48 )
À / France
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Bon je vois que des Africains libéraux sur le plan économique ça existe !
Je suis entièrement d'accord avec l'auteur de ce texte. Il a vraiment tout compris !
Pourquoi ce type n'est pas président de la Cote d'Ivoire ?
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@ Quimboiseur (24/02/2012 12:48) Je ne veux pas de ce lâche à la tête de mon pays, on à déjà assez des 10 mois de cet apatride Mossi DRAME pour les éburnéens. |
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24/02/2012 20:24 )
À Strasbourg / France
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N'est pas Grand homme qui veut, on dit chez nous, après vacances du pouvoir en EBURNIE, c'est le président de l'assemblée nationale qui assure l'intérim, et qui prépare les prochaines échéances électorales.
Qu'es ce qu'il nous fait ce clown de Mamadou KOULIBALY, il va faire allégeance à MOSSI ADOKAFLEH dans sa lâcheté il entraîne un deuxième clown, Yao N'DRE, il est vrais que son épouse est Burkinabaise, ceci n’explique pas une trahison et une forme de lâcheté vis-à-vis des gens qui lui ont fait confiance en 2004 quand CHIRAC et sa folle ALLIOT MARIE, s’est permis de donner l’ordre a l’armée d’occupation NAZI FranSSais en éburnie d’assassiné prés de 100 jeunes patriotes et handicaper près de 600 autres à vie.
Et c’est là que son livre, s’est vendu comme du petit pain, finir avec le Franc CFA (Franc des colonies Française d’Afrique) où la France s’est fait des couilles en or le dos de nègres depuis 1945, 65% + 20% ce qui fait 85 % du revenue de nos matières premières sont bloqués a la banque de FranSSe depuis plus de 65 ans, c’est ce que KODOU LAURENT GBAGBO KAFISSA, à réclamer et c’est ce qui lui value des tonnes et des tonnes du Démon crazy bomb du Nain de jardin GAULOIS SARKOZY, placer votre argent dans une banque et quand vous réclamer vos tunes le banquier vous reçois avec un BAZOOKA.
C'est vrai que tout le monde ne s'appelle pas Général De Gaule, l’appel de LONDRE, je suis sure que d’ACCRA, si ce Mamadou KOULIBALY, avait lancé l'appel d'accra, il serait rentrée dans l'histoire avec un grand " H " au lieu de cela il va se coucher devant un apatride Mossi DRAME pour les éburnéens, comment peut on devenir usurpateur dans un pays qui n’est pas le sien, ce complexé de sa mère, qu’on à vue à l'œuvre de 1990 à 1993, le gars à bradé tous nos patrimoines, au 1er Farfelue GAULOIS venue.
Vraiment KODOU LAURENT GBAGBO KAFISSA, cet homme est béni des dieux quand on quitte derrière lui là, soit par lâcheté, traîtrise, où collabo, les dieux prennent leurs jambes à leur cou.
Ce M.K. l’apprendra a ses dépends.
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Lucien Pambou |
Oceane (
29/02/2012 12:16 )
À / France
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Ce débat est ouvert depuis longtemps et ce n'est la 1ère fois que MK parle de ''franc flottant'', de l'arnaque du compte des opérations, du ''Pacte colonial'', du parlementarisme qu'il considère comme pertinent pour les sociétés africaines.
MK les énonce sous le gouvernement de LG. Il n'attend pas que le vent tourne. MK a ouvert les yeux de nombreux Africains et fait prendre conscience des réalités des servitudes du Pacte colonial'' pour que les Africains prennent individuellement et collectivement leurs responsabilités.
Si MK est devenu si apprécie par beaucoup d'Africain, c'est justement par son discours juge convainquant par ceux qui lui en veulent aujourd'hui d'avoir vendu les siens. La gifle reçue par l'ancien députe de Koumassi est une leçon pour ses prochaines prises de position, aux yeux des Africains conscientises paradoxalement par lui.
Mais en quoi tout ceci concerne le Français que tu es ? |
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Oceane (
29/02/2012 12:28 )
À / France
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Une dernière chose : avant d'enfoncer des portes ouvertes, lis donc avant, celui que tu critiques. |
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