Ne pas confondre MOQUERIE et HUMOUR.
Ne pas confondre l'IDEOLOGIQUE (au service d'un cause, d'une communauté, d'un groupe) avec le POLITIQUE (au service du bien commun).
Ne pas confondre VIOLENCE et DEFENSE.
]]>Sa mine superbe, son port altier, comme il a fier allure le Dieu vivant. Il a des bracelets en or, des bagues certies de diamants.
Archer superbe, il bande son arc et décoche la flèche du destin. Malheur à l'homme qu'il vise de son regard. Car il ne rate jamais sa cible. Et ses flêches atteigent toujours les points visés.
Dieu est un beau jeune homme qui règne sur le monde. Et toutes les création de son royaume doivent lui rendre grâce.
Il faut danser pour lui, pour lui plaire, pour l'honorer et pour lui rendre grâce.
]]>Le débat entre bases relationnelles et systèmes de fichiers existe depuis de nombreuses années. Quelques éléments à considérer avant de choisir la méthode de stockage d'une application. (17/05/2006)
La nécessité de stocker durablement des données, et de les récupérer efficacement, a mis en avant les divers systèmes de bases de données actuels : Oracle, MySQL, SQL Server sont quelques-uns des nombreux systèmes de gestion de données relationnelles, utilisés tant pour des applications de bureau que pour des sites Web. Ceux-ci ont tendance à faire de l'ombre au stockage par base fichier ("flat file database").
Les bases par fichier diffèrent des bases relationnelles par plusieurs points importants. Tout d'abord, elles sont universelles : à partir du moment où l'on peut créer un fichier, on peut créer une base fichier, sans faire appel à un logiciel serveur. Ensuite, elles sont simples à mettre en place : pas de logiciel à installer ou de base à configurer. Enfin, elles prennent moins d'espace disque. Une base fichier est conçue autour d'une table unique par fichier, avec un enregistrement par ligne de texte. Les champs de l'enregistrement sont différenciés le plus souvent à l'aide du format CSV, c'est-à-dire séparés par une virgule (ou un point-virgule).
D'un autre côté, les bases de données relationnelles ont prouvé leur valeur : elles sont extrêmement sécurisées, disposent d'un langage de traitement très fonctionnel (SQL) qui leur autorise le croisement de données complexes, négocient efficacement les accès multi-utilisateurs, et peuvent lancer des tâches automatisées.
Il s'agit donc de décider, lors du lancement d'un projet, laquelle de ces deux possibilités est la mieux adaptée. Pour un projet Web, on pourra utiliser un stockage fichier chez n'importe quel hébergeur - mais tous les hébergeurs proposent aujourd'hui au moins un système de base de données.
Le consensus à l'heure actuelle est que le stockage par fichier perd de son intérêt quand le projet atteint une taille conséquente, ou que les données à traiter deviennent particulièrement complexes. Cependant, certains langages, comme Perl, sont passés maîtres dans l'utilisation de bases fichier, au point de pouvoir efficacement se substituer au langage SQL des bases relationnelles. De leurs côtés, en hébergement dédié, les bases relationnelles demandent toute l'attention de leur administrateur pour maintenir une charge optimale.
La décision finale revient donc à considérer les usages réels et à long terme de l'application créée. Ainsi, la scalabilité et les évolutions de la puissance des serveurs sont des points forts des bases relationnelles, tandis que la portabilité et la rapidité de lecture sont des avantages des fichiers.
L'idéal reste alors d'utiliser chaque technologie a son avantage, par exemple stocker les informations purement relationnelles (comptes utilisateurs, adresses...) dans une base de données, et le contenu bidimensionnel dans des fichiers.
Il est à noter que certains systèmes de base de données offrent les avantages de SQL et du stockage fichier : SQLite, intégré à PHP 5, en est un exemple.
Xavier Borderie, JDN Développeurs]]>
Historique, définition et syntaxe principale, plate-forme : l'essentiel de ce qu'il faut savoir en un coup d'oeil.
Apparu au milieu des années 90, le langage Java a rapidement su devenir l'un des grands langages sur lesquels se repose les entreprises et les projets complexes. Combinant robustesse, portabilité et sécurité, c'est également devenu le chantre de la programmation orientée Objet, pourtant inventée bien avant.
Reprenant le meilleur de certains langages et apportant ses propres innovations, Java a rapidement vu sa suprématie s'exercer sur de nombreux types de projets et systèmes, au point d'être en grande partie copié par C#, le principal langage de la plate-forme .Net de Microsoft. Les deux plates-formes sont aujourd'hui en coude à coude en matière de fonctionnalités, mais Java conserve son avance historique.
Secoué par les attaques de .Net et le succès grandissant des langages de scripts (PHP, Perl, Ruby), Java continue d'évoluer et de s'adapter aux demandes des développeurs et du marché. Java 6 promet de s'ouvrir aux autres langages, et de parfaire le "Write Once, Run Anywhere" qu'il promeut depuis 10 ans déjà.
Le livre blanc décrivant Java, publié par James Gosling et Henry McGilton en mai 1996, indique que le langage s'inspire des avancées de Smalltalk, Eiffel, Objective C et Cedar/Mesa, et se concentre sur 5 objectifs :
Etre simple, orienté Objet et syntaxiquement familier Etre robuste et sécurisé Avoir une architecture neutre, et être portable Avoir de hautes performances Etre interprété et disposer de processus légers (multithreading) Java répond au premier en proposant des principes fondamentaux rapidement compréhensibles. Le langage est conçu dès le départ comme étant orienté Objet, par le biais d'une large bibliothèque d'objets directement exploitables. Enfin, la syntaxe est aussi proche que nécessaire de celle de C++, pour faciliter la migration des développeurs.
La robustesse voulue par le second objectif est atteinte par les nombreux tests réalisés lors de la compilation, et une gestion de la mémoire très stricte, sans pointeurs explicites ni arithmétiques, et avec un ramasse-miettes. La sécurité est assurée par la plate-forme, qui interdit à toute application d'être atteinte par un programme tiers.
Java a été conçu dès le départ pour fonctionner au sein d'environnements hétérogènes. Le compilateur résout cela en produisant des bytes-codes, un format intermédiaire de programme, et qui seront interprétés par une machine virtuelle spécifique à chaque système. C'est cette JVM (Java Virtual Machine) qui assure donc la portabilité du code Java.
Les performances de Java ne seront jamais comparables à celles des compilateurs natifs, mais les concepts de compilateurs JIT (Just In Time) autorisent des vitesses plus qu'honorables.
Java est avant tout un langage interprété, mais également compilé : les fichiers sources sont compilés en bytes-codes, qui eux-mêmes sont interprétés par la JVM de chaque machine. La plate-forme gère le multithreading directement depuis le langage, grâce à la classe Thread. Cette simplicité de gestion des threads qui est l'une des raisons du succès de Java côté serveurs.
Le langage Java se reconnaît avant tout par sa syntaxe, volontairement très proche de celle de C : il en reprend les opérateurs (, +=, !=, ...), le principe des accolades pour délimiter un bloc de code, les structures de contrôle...
Java introduit notamment ses propres mots-clefs, à commencer par l'opérateur new pour instancier un objet à partir d'une classe.
La syntaxe Java est reconnaissable même dans sa forme la plus simple, car le langage requiert nombre de mots-clefs pour valider la pureté du fonctionnement Objet. Un simple "Hello World", simple et rapide avec Perl ou Python, prend ainsi une tout autre dimension en Java : fichier HelloMonde.java
public class HelloMonde {
public static void main(String args) { System.out.println("Hello, toute la terre !"); } }
Ainsi, même un grand débutant en Java devra connaître les implications de chaque mot-clef pour comprendre le fonctionnement du langage. La première ligne suppose de connaître ce qu'est une classe Java, la correspondance obligatoire nom de la classe/nom du fichier .java, et la signification des modificateurs d'accès (public, private, protected)... La seconde ligne ajoute aux modificateurs d'accès les champs (final et static, mais aussi transcient et volatile), les valeurs de renvoi d'une méthode (void, mais également toutes les classes disponibles), l'importance de la méthode main() d'une classe, la gestion des arguments d'une méthode et le fonctionnement d'un tableau, le type String() (chaîne)... La troisième ligne de code, enfin, implique de connaître la méthode println() du flux out de la classe System(), ce flux étant lui-même une occurrence de la classe PrintStream()...
On notera donc que la simplicité voulue par les créateurs du langage, laisse la place aux besoins du fonctionnement Objet et du typage strict de la plate-forme.
Le langage Java n'est pas compilé pour une machine comme le serait un programme C++. Au lieu de cela, chaque classe est compilée en byte-code, qui sera interprété de la même manière par chaque version spécifique de la plate-forme, que ce soit une version Windows que Mac ou Linux (dans les limites d'une implémentation correcte).
Java, "le langage", repose donc entièrement sur Java, "la plate-forme". Celle-ci correspond véritablement à un environnement de développement, apportant à tout programme le jeu de bibliothèques que lui est nécessaire. Un programme Java est lancé au sein d'une machine virtuelle, gérée par la plate-forme. Celle-ci se décompose en trois versions : JSE pour les applications standard, JEE pour les applications "entreprise" (les classes de JSE, les classes spécifiques aux serveurs et aux traitements SQL, XML et services Web), et JME, une version optimisée pour systèmes mobiles.
La machine virtuelle exécute donc les byte-codes produits par le compilateur Java. Ce composant central de la plate-forme est le coeur de la portabilité d'une programme Java : chaque version de la plate-forme créée une JVM identique malgré les différences du système, permettant aux byte-codes de se lancer toujours de la même manière - d'où l'adage Java "Write Once, Run Everywhere" ("Ecrire une fois, exécuter partout").
]]>Vers une taxe européenne sur les e-mail et SMS ?
Edition du 30/05/2006 - par Elian Cordoue et Christophe Bardy
Alain Lamassoure, l'ex-ministre délégué au budget d'Alain Juppé, aujourd'hui député européen a émis l'hypothèse d'une taxe sur le courrier électronique et les SMS à l'international. Lamassoure, qui est actuellement le rapporteur de la commission des budgets du parlement européen en charge des moyens propres de l'Union estime que cette taxe pourrait constituer un revenu additionnel pour le budget de l'Union, aujourd'hui essentiellement financé par un prélèvement sur les recettes de TVA des Etats membres.
Le député européen précise que pour les SMS, il serait nécessaire que les opérateurs diminuent le prix afin que la taxe - par exemple de 1,5 centimes - soit indolore pour les particuliers. Quant à l'éventuelle taxation des e-mails - Lamassoure suggère de prélever 0,00001 centime par message - la question technique ne semble pas résolue. Selon des estimations, près de 5 milliards de messages légitimes sont envoyés chaque jour à travers l'Europe et ce chiffre est dix fois supérieur si l'on inclut les pourriels.
Selon Alain Lamassoure, "la moitié des Etats membres sont en déficit grave, et l'autre moitié ne voit pas pourquoi ils paieraient à la place des pays mal gérés". Le député estime que cette situation de crise doit être résolue si l'Europe veut financer sa politique commune. Au vu des quantités de messages échangés, une taxe d'un montant minimum permettrait à l'Europe d'avoir des ressources fiscales conséquentes et indépendantes des Etats membres. Pour le député, il faut profiter de cette nouvelle ère de communication afin de créer des richesses. Mais d'ajouter que ce projet s'étend sur du long terme. De plus, rien n'indique que les parlementaires l'adopteront, l'unanimité des 25 étant requise pour ce type de dossier.
]]>http://www.grioo.com/info6965.html
Expulsion des 32 mercenaires présumés de RDC 29/05/2006
Ils sont "indésirables" en RDC
Par Panapress
Sur un total de 32 mercenaires présumés arrêtés à Kinshasa, trois ressortissants américains ont été expulsés, samedi, et 19 Sud-africains, dimanche, tandis que 10 Nigérians quittent la capitale congolaise ce lundi, a-t-on appris de sources officielles.
Toutes les 32 personnes ont été déclarées "indésirables" en RD Congo et livrées à la justice de leurs pays respectifs. Au cours d'un point de presse tenu ce week-end, le ministre de l'Intérieur, Théophile Mbemba Fundu, a également annoncé l'interdiction aux sociétés Mirabilis, Tacticol Intelligence investigations et Omega d'exercer leurs activités en RD Congo.
Selon l'homme d'Etat congolais, le recrutement des hommes expulsés, tous des militaires de formation et de métier, par la Société Omega qui sert de couverture à Tacticol intelligence investigation, une filiale de Mirabilis, s'est fait en violation de la législation congolaise en la matière.
Joseph Kabila
Sur un total de 32 mercenaires présumés arrêtés à Kinshasa, trois ressortissants américains ont été expulsés, samedi, et 19 Sud-africains, dimanche, tandis que 10 Nigérians quittent la capitale congolaise ce lundi, a-t-on appris de sources officielles.
Toutes les 32 personnes ont été déclarées "indésirables" en RD Congo et livrées à la justice de leurs pays respectifs. Au cours d'un point de presse tenu ce week-end, le ministre de l'Intérieur, Théophile Mbemba Fundu, a également annoncé l'interdiction aux sociétés Mirabilis, Tacticol Intelligence investigations et Omega d'exercer leurs activités en RD Congo.
Selon l'homme d'Etat congolais, le recrutement des hommes expulsés, tous des militaires de formation et de métier, par la Société Omega qui sert de couverture à Tacticol intelligence investigation, une filiale de Mirabilis, s'est fait en violation de la législation congolaise en la matière.
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La législation congolaise interdit aux étrangers n'ayant pas résidé dans le pays pendant cinq ans sans interruption à la date de leur recrutement de faire partie d'une société de gardiennage.
Les Nigérians sont arrivés à Kinshasa le 4 mai et les Sud-Africains le 15 mai 2006, pour une mission devant prendre officiellement fin le 30 juin 2006. Le ministre a rappelé que la société Executif Outcome, naguère dissoute en République sud-africaine, avait, il y a environ deux ans, procédé au recrutement de mercenaires pour perpétrer un coup d'Etat en Guinée équatoriale.
Ces derniers avaient été arrêtés à Harare, au Zimbabwe, et avaient prétendu avoir été recrutés en vue d'aller faire le travail de gardiennage dans des sociétés minières en RD Congo.
La même société reconnaît aussi avoir recruté des militaires en activité pour assurer la protection de certains candidats pendant la campagne électorale, alors que sa mission, d'après les documents en leur possession, devait prendre fin le 30 juin 2006, soit un jour après le déclenchement de la campagne électorale.
]]>S'il ne te restes rien alors tu ne peux rien faire d'autres que travailler. S'il te reste un peu, tu peux economiser pour t'acheter une voiture, une maison. Tu peux meme envisager un crédit. S'il te reste beaucoup alors la tu peux te constituer un capital. Avec ce capital tu peux te payer un ticket d'entrée dans les affaires : l'immobilier, la restauration, le diverstissement.
C'est comme au casino : tu mises pour gagner plus. Parfois tu gagnes, parfois tu perds. Le but c'est la croissance. Tu mises 1, ca te rapporte 2, tu gagnes 1.
Il faut penser croissance. Il faut faire croitre ton epargne. Il faut faire croitre ton capital. Il faut devenir propriétaire. Il faut devenir un notable. Il faut posseder. Etre propriétaire c'est gagner sa liberté. Et avec la liberté tu peux decider d'entreprendre des choses.
Il faut avoir de l'ambition et aller de l'avant.
]]>Sur le site néo-fasciste Francais www.france-echos.com qui prepare de futures emeutes en France, nous avons des attaques en règle contre la tribu Ka.
Je dois avouer que je frequente assidument le site france-echos car paradoxalement nous avons le meme objectif : foutre le boxon en France et declencher la Lutte Finale.
Ils sont motivés pour le reglement de compte final et moi aussi je suis motivé pour en finir une bonne fois pour toutes avec tous les emmerdeurs que je supporte tous les jours et à qui j'ai envie d'assener mes 4 vérités.
Toujours dans l'élégance, voila ce cher site qui lance une campagne de propagande contre la tribu Ka. Bon. Comme ci les milices néo-nazis de Gaulois bien Blancs n'existaient pas.
Comme si le Betar, la LDJ (ligue de defense Juive) ou le SPCJ (service de Pugilisme de la communauté Juive) n'existaient pas ! Ils reprochent aux autre ce qu'en définitive eux meme font !
Ces messieurs ont confondu les racailles de banlieue, boutonneux pré pubères fan de Rap et de Play station avec un gang de mové nèg enragé méchan. Et bien qu'ils continuent à se fourrer le doigt dans l'oeil. Car sur ce site, ils ont tellement l'habitude de faire du revisionisme qu'ils ont oublié qu'avant l'invention de l'arme à feu, personne n'avait pu envahir l'Afrique. Les Noirs, les Africains avaient des ancêtres guerriers. Ils ne se sont fait avoir qu'a cause d'une supériorité technique et surtout à la traitrise et à cause de la couardise d'autres Noirs.
Continuez à vous moquer des Noirs messieurs de france-echos. Mais moi je vous dis que le champion de France de Tae Kwon do est Noir, le champion de France de Ju Jutsi est Noir, le champion de Kick boxing est Noir, le champion de karaté est Noir. Donc les Noirs ont une certaine aptitude au pugilisme. Alors faudrait pas trop les chercher. Parce que le jours ou vous avez 40 majo de 1m90 expert en art martiaux, determinés et furieusement motivés par la rage et la haine....
Messieurs de france-echos, je ne saurai trop vous conseiller de mesurer vos propros... Puisse Dieu un jour vous accorder sa miséricorde, car il semble que vous ne savez pas où vous mettez les pieds...
Ne rit bien que celui qui rit le dernier...
]]>Malheureusement pour nous Francais, il semble que cet equilibre des pouvoirs en présence penche de plus en plus en faveur d'une clique enarquo-mafieuse qui concentre tous les pouvoirs à elle seule. Elle intervient partout meme dans le sport, meme dans la selection de l'equipe de France de football.
C'est simple les medias sont sous controle. La justice est mise sous pression. On baillone la police en lui empechant de faire son travail. On pille l'economie et les capitaux des entrepreneurs qui sous la pression (racket ?) fiscale prefèrent fuir à l'etranger.
Que reste t-il qui ne soit pas sous controle en France ? Ou y a t-il encore un endroit ou on peut respirer sans qu'il n'y ait quelqun pour nous pomper l'air ? Justice, police, economie, médias, éducation, culture, transports, energie, ils controlent tout !
Les citoyens moutons vont se faire arnaquer de plus en plus. De plus en plus de deficit qu'il faut combler, donc de plus en plus d'impots et de prevelements nous attendent...
Jusqu'a ce que... les moutons prennent le large à l'etranger. Ou ne se transforment en loups hors la loi ! Beaucoup de gens travaillent au noir, ne declarent pas toute leur activité...
Le backchiche à la mode Russe ne va pas tarder à arriver en France. Ce sont là les symptomes d'un pays qui part à la dérive.
La situation de la France etait une somme incroyable d'efforts, de sacrifices et de travail. Croire que l'on peut se servir dans la gamelle et laisser le système partir en vrille est une grande naiveté. Les gens sont intelligents, ils ont compris à qui ils avaient à faire. Ceux qui pouvaient sont parti. Les autres vont trouver d'autres techniques comme l'evasion fiscale via Paypal. Certains encore vont créer des sociétés secrètes, des sociétés parallèles et se désolidariser de la société dominante qui n'assure les interets que d'une petite minaurité de privilégies. Les sectes vont se developper. Les economies sous terraines aussi.
Controler une société homogène c'est facile mais controler une multitudes de communautés hétérogènes, eparses, farouches, rebelles, secrétes et hostiles... La c'est autre chose !
]]>Allons donc chers messieurs ! Y'a rien a voir ? J'avais justement un collegue passioné par le Japon qui fait de nombreux voyages au Japon, sa copine est Japonaise et il est au courant de toute l'actualité du Japon avant meme l'actualité Francaise.
He bien si dans ce pays sous dictature qu'est la France, personne n'a devoilé l'existence d'un fils caché de Chirac au Japon. Si vous n'avez jamais vu sa photot, si vous ne connaissez pas son nom car tous les médias sont sous controle en France. Dites vous bien qu'au Japon (pays libre et democratique) c'est de notoriété publique. D'ailleurs au pays du soleil levant, le fils de Chirac est nationalement connu. Et messir Chirac a tout fait pour mettre son fils à l'abri du besoin.
Chirac a t-il un compte au Japon provisionné a hauteur de 300 millions de francs ? Non !
Mais son fils ? Oui !
Donc les médias Francais n'ont pas menti ! Chirac n'a pas de compte bancaire au Japon. Certes ! Mais ils ont menti par omission en oubliant de dire que ces 300 millions d'argent Francais on servi a l'interet particulier de son fils !
Mais c'est vrai que les Francais sont des vache à lait que l'on peut traire à volonté et a qui on peut mentir impunément ! Et plus c'est gros et plus ca passe !
Ha il doit bien se fouter de notre gueule le père Chirac. Il doit bien se marrer. Maintenant je pense qu'il a atteint le stade où il pense qu'il peut tout faire et que plus rien ne peut lui arriver...
La suite des évenements semble lui donner raison.
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