Saint Georges: Musique et Fleuret Lui envoyer un mail

"Deux fugues importantes dans leur apport spécifique à la théorie générale du contrepoint" , en fourageant les manuels classiques de contrepoint, même ceux en langue Allemande, on tombe sur ce type de commentaire creux. Je me souviens d'une discussion l'été dernier avec une jeune musicienne allemande, gardienne de la tradition musicale européenne la plus fine qui soit. Je pensai ensuite à ce que l'idéal musical pour les peuples vivant autour du massif du Hartz. Je restai sur ma faim un soir, après que nous eûmes entamé une conversation sur l'Art de la Fugue chez Bach, du point de vue du discours réthorique. Je me mis en tête de travailler deux fugues qui avaient un sujet "similaire" nous dirons. La "réflexion esthétique" sur ces deux sujets du clavier bien tempéré ne fut point vaine. Elle me permît de comprendre, par le moyen artistique, certaines hérésies qu'a effectué la pensée de l'Aüflarung" sur l'esprit Allemand, du moins dans le domaine musical. Ensuite je me mis à penser à la technique de contrepoint qui est intuitive chez certains peuples de Musique en Afrique centrale comme les Fangs, ou même chez les Bamilékés. Finalement il y a pour moi comme une universalité dans "le moyen du discours musical". Je vais prendre trois exemples musicaux pratiques, pour illustrer mon propos. 1 - Une chanson que j'entendais quand j'étais enfant. Des camarades de jeu fabriquaient une petite guitarre parfois avec un arc et une boîte de conserve qui servait de caisse de résonnance. On appellera la chanson : "Maman Keubèn Keubââ". Je pense que certains la reconnaîtront.