Remarque important :

La particularité de l'esclavage islamique était d'avoir recours à la castration des jeunes garçons, utilisés par la suite pour les harems et dans le cadre familial.Cette opération qui entraînait une mortalité de 70% des sujets explique pourquoi il n'existe pratiquement pas de descendants des millions d'esclaves africains dans les pays musulmans.La traite des esclaves qui existait déjà avant Mahomet a explosé à partir des conquêtes, dès le 7° siècle.

Sources : "Le génocide voilé"

Juifs et chrétiens sous l’islam : lois islamique autorisant "l esclavage"

  • En décembre 1997, le cheikh Yousef al-Qaradawi, chef spirituel des Frères Musulmans, déclarait dans une interview que la loi islamique classait le Peuple du Livre – Juifs et Chrétiens – dans trois catégories : les non-Musulmans protégés, vivant dans les pays islamiques (dar al-islam), c’est-à-dire les dhimmis ; les non-Musulmans des pays de la trêve provisoire ; et les non-Musulmans des pays de la guerre (harbis).

Pour chacune de ces catégories, a précisé le cheikh, la loi islamique a institué des règlements différents (1). Le cheikh a ainsi résumé en quelques mots la théorie du jihad qui réglemente les relations des Musulmans avec les non-Musulmans.

  • Le jihad

Selon cette théorie, les habitants des pays de guerre (dar al-harb) sont tous les infidèles qu’on combat parce qu’ils s’opposent à l’instauration de la loi islamique dans leur pays. Ennemis d’Allah, ils n’ont aucun droit, leur personne et leurs biens deviennent licites (mubah) pour n’importe quel Musulman. Au gré des occasions, ils peuvent être pris en esclavage, rançonnés, pillés ou assassinés. On leur fait la guerre pour islamiser leur territoire qui doit, selon la volonté d’Allah, appartenir à la communauté islamique. S’ils résistent, la loi islamique prévoit la déportation des hommes ou leur massacre et l’esclavage des femmes et des enfants.

Les infidèles des pays de la trêve sont dans une situation de répit entre deux guerres. Cette trêve ne peut, en principe, dépasser dix ans. Ce temps écoulé, le jihad reprend. Deux raisons motivent la trêve concédée aux infidèles par l’autorité islamique :

1) les Musulmans sont trop faibles pour remporter la victoire et la trêve leur permet de se renforcer ;

2) les États infidèles payent un tribut aux Musulmans ou contribuent par toutes sortes de services à la progression de l’islam. Autrement dit, la trêve n’est autorisée que si elle contribue à l’amélioration de la situation des Musulmans et à l’affaiblissement des infidèles. La trêve s’achète par le tribut, elle n’est pas un état naturel ; si les infidèles ne peuvent procurer les avantages économiques de la trêve, les hostilités reprennent. En outre, seuls sont valables les traités conformes aux prescriptions islamiques ; si ces conditions ne sont pas remplies, le traité n’a aucune valeur.

Quant aux infidèles protégés (dhimmis) des pays musulmans, ce sont d’anciens harbis, qui ont cédé leur territoire sans résister, et obtenu en échange la paix sous la protection islamique (dhimma). Cette protection doit s’interpréter dans le sens d’une protection contre les lois permanentes du jihad, qui les menaceraient à nouveau s’ils venaient à se rebeller. C’est cette condition de soumission-protection des infidèles, obtenue par la cession de leur territoire à l’autorité islamique, que j’ai appelée « la dhimmitude ». Soumission parce que ces infidèles se soumettent dans leur propre pays à la loi islamique qui les exproprie, et protection parce que cette même loi les protège du jihad et garantit leurs droits. La dhimmitude est la conséquence directe du jihad.

Le jihad, guerre islamique de conquêtes, est un domaine quasiment inconnu des Occidentaux...etc

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