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jeudi 18 novembre 2010

_____S’attaquer à la racine du mal.. II.De la prise de conscience individuelle à l'objet de tentation banalisé : Quelle évolution pour le mal ? L’existence du mal est-elle un scandale ?

Le Bien et Le Mal es sculptures religieuses représentant le bien et le mal ont été construites au temps où la sculpture romane et gothique était beaucoup utilisée. Les gens du moyen-âge étaient religieux, ils avaient très peur d'aller en enfer. Ce dernier représentait flammes et souffrances. Les gens ne péchaient pas, donnaient des dons à l'Eglise et allaient à la messe, car ils savaient que s'ils commettaient des péchés, ils seraient voués à l'enfer. Ainsi les gens prenaient modèle sur les sculptures

pillier des anges. Interieuredu bras sud du transept. Vers 1225-1223. Strasbourg,cathédrale.




Le Bien

u moyen-âge, le bien est souvent représenté par des anges ou des personnes faisant de bonnes actions. Ces sculptures apprennent à ceux qui les regardent les bonnes actions à faire. Elles sont les représentations de nos devoirs.…

Le Mal




. Le mal est souvent représenté par des démons ou des personnes entrains de pécher. Ces sculptures apprennent aux fidèles ce qu'il ne faut pas faire, comme les sept péchés capitaux...



Satan.Vers 1080-1120.




"telles sont les leçons de l'art ; ils obligent les chrétiens à penser un instant aux Vices et aux Vertus…"



http://college.bayard.free.fr/bienmal.htm

Le mal I.De la difficulté de délimiter le mal, naît pourtant sa définition : l'évolution des représentations historiques et religieuses du mal fait de lui une transgression des interdits A.Les représentations historiques et religieuses du mal ont participé à la difficile délimitation de la notion B.Le mal est la transgression d'un interdit II.De la prise de conscience individuelle à l'objet de tentation banalisé : quelle évolution pour le mal ? A.Le véritable mal devrait-il avoir besoin qu'on l'interdise s'il était seulement mauvais ? B.Vers une lecture plus contemporaine du mal comme objet de tentation banalisé Résumé de l'exposéInsister sur la présence du mal, n’est-ce pas s’exposer au reproche que Rousseau adressait à Voltaire lorsqu’il lui écrivait : « Vous amplifiez tellement le tableau de nos misères que vous en aggravez le sentiment ». Aucune religion, aucun système de pensée ne prévoit la victoire définitive du mal. Toutes les apocalypses sont suivies d’une parousie et les décadences à leur fin font tourner le cycle du temps. L’abolition du mal fut un grand thème romantique. La dichotomie bien - mal est enracinée dans la représentation des relations à autrui. Mais c’est avant tout une représentation d’origine religieuse : le mal est associé à des figures mythologiques : Enfer, Satan… qui ont notamment été représentées par Bruegel, Bosch… Difficulté de définir la notion. On peut la définir par un système d’interdits. Ce sont par exemple les dix commandements : des normes imposées. Cela définit un système d’obligations morales qui imposent le bien comme critère ultime.

Alors qu’est-ce que le mal ? Le mal est la transgression de l’interdit.. Exemple : L’interdit fondamental est l’inceste. Il s’agit de trouver son conjoint hors du groupe pour créer du lien social. La définition du mal a évolué. Existe-t-il un mal aujourd’hui ? Plus d’extraits de Le mal... -Le mal, source de plaisir ? Le monde de Sade est divisé entre dominés et dominants et les victimes du moment sont insignifiantes aux yeux des vainqueurs. L’indifférence et le mépris sadiques trouvent leurs fondements dans la dissymétrie de la sensibilité : le mal que ressent la victime n’est pas ressenti comme un mal par celui qui la martyrise ; il se peut même qu’il en éprouve un vif plaisir. « Il n’y aurait aucun sens ni aucune nécessité d’interdire le meurtre si l’homme n’y aspirait pas fortement. La passion pour le meurtre est première. ...

... Conclusion Face au mal, trois attitudes sont possibles : la résignation, la fuite et la lutte. La croyance au progrès met fin à l’antique fatalisme qui faisait du malheur des hommes une nécessité. Le mal était une fatalité. Aujourd’hui, le mal existe encore aujourd’hui mais il est largement banalisé, quoiqu’ encore largement craint. Bibliographie Le mal, Paul Ricoeur. Le mal, Essai sur le mal imaginaire et le mal réel, Claude Rommeru. Lettres sur le mal, Baruch Spinoza. La culture générale, Eric Cobast. ...

... Alors qu’est-ce que le mal ? Le mal est la transgression de l’interdit. Exemple : L’interdit fondamental est l’inceste. Il s’agit de trouver son conjoint hors du groupe pour créer du lien social. ← La définition du mal a évolué. Existe-t-il un mal aujourd’hui ? I. De la difficulté de délimiter le mal, naît pourtant sa définition : L’évolution des représentations historiques et religieuses du mal fait de lui une transgression des interdits A : Les représentations historiques et religieuses du mal ont participé à la difficile délimitation de la notion -Evolution des sources et des conceptions du mal. ...

http://www.oboulo.com/mal-25956.html

  • L’existence du mal est-elle un scandale ?

I.Il faut pouvoir adopter une distance adéquate pour pouvoir déterminer si l'existence du mal est ou non un scandale II.L'actualisation du mal et le un critère qui détermine quelle action a trait à l'existence du mal III.L'existence du mal doit être un scandale si on veut pouvoir agir contre elle Résumé de l'exposéSi l’existence du mal ne peut être mise en doute, il serait bon de savoir quelle attitude adopter à son égard. Le mal est en général un objet de désapprobation ou de blâme. Nuisible, il peut être physique - c’est-à-dire lié au corps par la douleur, moral - quand il s’agit d’une faute ou d’un péché, métaphysique - quand il concerne l’imperfection et la finitude de l’homme, ou être vu sous l’aspect de l’injustice. On peut considérer l’existence du mal comme le fait qu’il existe en soi, indépendamment de toute expérience, ou qu’il s’actualise dans le réel en tant qu’expérience interne ou externe. Le scandale quant à lui consiste en une émotion indignée, produite dans le public par des faits ou propos considérés comme contraires aux usages, ou à une morale, qu’elle soit religieuse, athée, ou rationnelle. En tant que remise en cause d’un fait, il implique une rupture et a pour but de changer une situation. Il ne s’agit donc pas de savoir si l’existence du mal est en soi un bien ou un mal, mais voir si elle remet en cause, après l’avoir examiné, une manière de penser ou un ordre établi. Se pose donc la question de savoir dans quelles conditions une existence peut-elle être un scandale, et sous quel point de vue celle du mal en est un, c’est-à-dire que remet-elle en cause. Si on considère que l’homme a en lui la possibilité de faire le mal et que l’on envisage l’hypothèse théologique, alors l’existence du mal peut apparaître comme un scandale. Il en va de même pour le point de vue athée, si l’on considère l’homme comme un être avant tout rationnel et détaché du monde sensible, ce qui lui permet d’acquérir son humanité. Mais le mal n’existe pas en général, il n’est tel qu’en tant qu’il s’incarne dans le particulier, où il devient difficile de savoir où est réellement le scandale. Plus d’extraits de L’existence du mal est-elle un scandale ?... L’existence du mal en général apparaît ainsi pour Kant comme un scandale, c’est-à-dire contraire à la morale. Mais c’est aussi un scandale en tant que cette existence remet en cause l’ordre établi et tente d’en proposer un autre par le respect des impératifs catégoriques. Ainsi, l’existence du mal est bien un scandale au sens étymologique de ‘’piège’’ ou ‘’échelon’’. Le scandale ne doit donc pas exister comme tel, sinon il devient improductif, et donc piège, car il donne l’apparence du mouvement. ...

... Mais alors, pourquoi ont-ils commis un mal ? Le mal commis et le mal subi ne sont que deux variétés d’un même mal. L’existence du mal, quelque soit la manière dont elle puisse se manifester doit donc bien avoir un principe premier, et le principe premier de toute chose est Dieu. « Dieu est la première raison des choses » idem, 1ère partie, §7. L’existence du mal est donc un scandale puisqu’elle remet en cause certains attributs de Dieu qui étaient des notions admises et courantes. ...

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______Déclaration universelle des droits de l'homme

ARTICLE 1 Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits... Ils doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité . ARTICLE 3 Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne . ARTICLE 25 Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notament pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux...

http://lulupo.blog.lemonde.fr/2010/09/11/personne-nest-insignifiant-absolument-personne/

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