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lundi 16 avril 2012

____Nous n'hésiterons pas à mener une guerre totale et « lutte implacable » pour recouvrer notre intégrité territoriale, mais aussi pour bouter hors de nos frontières tous ces envahisseurs porteurs de désolation et misère que sont Aqmi.. Dioncouda Traoré

Mali : Dioncounda Traoré tient un discours musclé lors de son investiture 12/04/2012



Le président par intérim du Mali a prêté serment ce jeudi



Par Redaction Grioo.com






Dioncounda Traoré lors de sa prestation de serment ce jeudi




Le Mali a officiellement un nouveau président. Dioncounda Traoré, président de l’assemblée nationale, a en effet été investi ce jeudi, à la suite de la démission du président Amadou Toumani Touré, renversé par un putsch le mois dernier. Conformément à la constitution, c'est le président de l'assemblée nationale qui assure l'intérim.

Lors de sa prestation de serment, Dioncounda Traoré a tenu un discours musclé, affirmant qu’une « lutte implacable » serait menée contre les envahisseurs du Nord, contre Aqmi et contre les trafiquants en tout genre afin de rétablir l’unité du Mali. Ce discours musclé lui a valu des acclamations de la part de ceux qui étaient présents à la cérémonie.

Nous n'hésiterons pas à mener une guerre totale et implacable pour recouvrer notre intégrité territoriale, mais aussi pour bouter hors de nos frontières tous ces envahisseurs porteurs de désolation et misère que sont Aqmi et tous les trafiquants de drogue



Dioncouda Traoré

Outre la gestion situation sécuritaire, Dioncounda Traoré doit constituer un nouveau gouvernement et organiser la transition. Théoriquement, il a 40 jours pour organiser les élections présidentielles. Dans la pratique, les choses pourraient se révéler beaucoup plus compliquées.

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jeudi 12 avril 2012

___Le psychisme inconscient, le psychisme animal, le psychisme morbide:"Le système de la Nature est en même temps le système de notre Esprit"

Psychisme

Cet article est une ébauche concernant la psychologie. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Le psychisme est l’ensemble, conscient ou inconscient, considéré dans sa totalité ou partiellement, des phénomènes, des processus relevant de l’esprit, de l’intelligence et de l’affectivité et constituant la vie psychique. Le terme psyché est parfois employé dans le même sens, particulièrement par Jung et le mouvement de la psychologie analytique.

Dans une autre acception, le mot psychisme désigne un ensemble particulier de phénomènes psychiques formant un tout. Par exemple : le psychisme inconscient, le psychisme animal, le psychisme morbide.

En outre, le terme psychisme est aussi utilisé en ésotérisme pour désigner la capacité à influencer son environnement par la seule force de son esprit. Dans ce sens, il peut être considéré comme synonyme du mot psionisme et psychurgie. Par exemple la télékinésie et la télépathie seraient du psychisme.

Notes et références



?xn; Paul Foulquié, Dictionnaire de la langue philosophique, PUF 1986

Voir aussi

Articles connexes


  • Théorie historico-culturelle du psychisme

  • Appareil psychique, Réalité psychique, corps psychique



Théorie historico-culturelle du psychisme

Cet article est une ébauche concernant la psychologie. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

La théorie historico-culturelle du psychisme soutient que le psychisme humain n'est pas seulement influencé par les racines biologiques et héréditaires de l'homme, mais aussi et surtout par son insertion au sein d'une société et d'une culture.

  • L' appareil psychique désigne l'esprit.

Les conceptions psychanalytiques de l'esprit sont travaillées dans l'article métapsychologie, tandis que cet article décrit la conception de l'appareil psychique par Sigmund Freud et à son évolution

  • Matérialisme : l'esprit cerveau

Freud est d'abord neurologue. Il étudie la structure du cerveau, ou système nerveux central, et l'utilise afin d'expliquer les conduites. Dans plusieurs textes, Freud se révèle matérialiste ; bien loin d'opposer âme et corps, il étudie le cerveau comme lui révélant le fonctionnement psychique.

Le projet de psychologie scientifique, œuvre inachevée, s'attachait à décrire le fonctionnement du neurone, tendant à se décharger (selon le principe d'inertie neuronique), comme un modèle du fonctionnement psychique : l'activité neuronale peut entraîner une décharge motrice (par le biais d'un neurone moteur) ou entraîner l'activité d'un neurone voisin.

Freud distingue des neurones liés à cette activité de représentation consciente, de neurones qui seraient responsables de la mémoire.

Il faut remarquer que Freud n'avait cependant pas publié le projet de psychologie scientifique. Qu'est-ce qu'un appareil psychique ?

La notion d'appareil psychique sera fondatrice de la métapsychologie freudienne. Pourquoi un appareil ? Avec quoi traite l'appareil psychique

Le concept d'appareil psychique selon Freud se situe entre l'esprit et le cerveau. Le concept d'appareil renvoie chez Freud au mécanisme de l'inertie. Freud transforme ce principe général de la physique en créant un principe spécifique d'inertie et de constance.

Dans cette théorie Freud explique que la quantité d'énergie psychique doit nécessairement rester constante en trouvant des modes de décharges.

L'appareil traite donc ces excitations, sources d'informations, et s'en sert afin de maintenir l'homéostasie. L'appareil doit gérer ces excitations, qui peuvent être trop fortes, déclenchant le traumatisme et la névrose. Pour cela, l'appareil psychique est muni d'un pare-excitation.

  • Modalités de fonctionnement de l'appareil psychique

La métapsychologie traitant du fonctionnement et de l'évolution de l'esprit, de la pulsion, de ses représentants psychiques et de ses possibles destins, il s'agit ici de considérer pleinement la métaphore de l'appareil quant aux modalités de son fonctionnement.

Puisqu'il s'agit des premiers efforts théoriques de Freud, mais qui annoncent bien des développements ultérieurs, il est sans doute éclairant de noter dans quelles conditions Freud se met à théoriser cet appareil. Freud part de ses expériences avec l'hystérie, et de cet état pathologique il en viendra à théoriser le fonctionnement normal.

Il y a dans l'hystérie le symptôme de conversion : une difficulté du psychique ressurgit et s'exprime dans le corps - mais cette difficulté est bien liée à une histoire psychique. La conversion hystérique semblerait d'abord un raté dans la mise en place de l'appareillage. Il est vrai que cette représentation s'appliquera par la suite bien mieux aux troubles psychosomatiques non hystériques, puisque dans l'hystérie il y a un travail psychique riche, préservant de la psychose. Mais Freud, encore en 1915, exprime nettement l'hystérie comme un raté du refoulement, explosant dans le soma. Il y a peut-être une petite réussite, puisque l'affect est effacé et qu'on peut décrire une belle indifférence hystérique - le fait de ne pas se préoccuper de ses symptômes. Pourtant le refoulement est un échec puisque la représentation ressurgit. Le refoulement ne parvient pas à l'éliminer.

Freud parle de traumatisme. Le traumatisme indique un moment dans lequel l'appareil psychique fait défaut, est pris en défaut. L'appareil psychique, responsables de fonctions parfois descriptibles en termes de survie et de reproduction (du moins chez Freud), déraille et faillit à ses fonctions.

Partout dans la métapsychologie se retravaille cette notion d'un appareil faisant face à des stimulations, à des quantités, des afflux énergétiques. La représentation n'en sera qu'une délégation dans le psychique, un porte-parole. Certaines représentations sont insupportables et déclenchent des défenses visant à les éliminer, mais elles resteront inscrites dans l'inconscient (dans le cas de la névrose). Mais les défenses visent originellement à éliminer les représentations inconciliables.

Si l'idée d'une réalité psychique dégage un champ d'étude clairement différencié de la réalité factuelle, le terme d'appareil psychique et la conceptualisation qui l'entoure révèle mieux que tout autre ce modèle d'un outil pour faire face à l'excitation. Le psychique est tentative de traiter la perception, qui traversera différents systèmes : depuis les organes sensoriels, au système inconscient, puis au système mnésique qu'est le préconscient, et atteignant enfin la conscience. Il y a là une réelle opposition entre les deux topiques de Freud, et cette première topique décrivant des systèmes collant plus complètement au modèle d'un appareil dans lequel le conflit provient de ce à quoi l'appareil a à faire. La deuxième topique, présentant des instances du psychiques, entités en partie différentes, assume bien plus l'idée d'un conflit interne, théâtre psychique, et non simplement d'un conflit face à des stimulations surgissant d'ailleurs. Si, dans la première topique, tout l'appareil psychique fait face à l'excitation dont la source est organique, dans la seconde topique l'essentiel est de montrer la difficulté face à la partie de la psyché qu'est le ça.

Rappelons cependant que ces deux topiques se complètent, et que la deuxième ne vient pas contredire l'aspect organique de la pulsion, sans cesse réaffirmé à travers l'ensemble des œuvres de Freud.

L'énergie pulsionnelle : abandon du modèle

Nouvel objet de la psychanalyse

Les concepts physiques, cérébraux, seront remaniés et intégrés dans une métapsychologie qui ne considère plus le cerveau directement, mais l'esprit. Ceci ne signifie pas nécessairement abandon du matérialisme, mais modification d'un paradigme. Ce que la psychanalyse découpe, observe, selon le modèle de l'analyse chimique, ce n'est plus l'activité neuronale mais la pensée. Pour autant, la pensée peut bien tenir de l'activité cérébrale : voir neuropsychanalyse.

Ce passage se caractérise par le remplacement de la notion de principe d'inertie neuronique (le neurone tend à se décharger) par le principe de plaisir : la pulsion tend à se décharger. La pulsion se fait la métaphore de l'activité électrique et chimique des neurones. L'énergie pulsionnelle, la poussée s'élabore comme image de l'énergie mécanique. Méthodologie psychanalytique

Avec l'abandon du modèle neuronal, Freud délaisse tout projet de science expérimentale. La psychanalyse ne conçoit pas des expériences qui pourraient être répétées ; elle ne peut s'attacher au tangible, mais elle traite bel et bien du discours, de l'imaginaire : il s'agit de donner une place au désir.

Cette modification de méthode, c'est le passage d'une physiologie appliquée à l'hystérie, à l'écoute, l'attention flottante.



Voir aussi

  • Métapsychologie
  • Première topique
  • Seconde topique
  • Refoulement
  • Mémoire (psychanalyse)



Réalité psychique

Cet article est une ébauche concernant la psychanalyse et la psychologie. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

L'expression réalité psychique a été introduite par Sigmund Freud (allemand : psychische Realität, différente de la materielle Realität, réalité matérielle) et fréquemment reprise par Jacques Lacan.

Elle est, bien à tort, souvent confondue avec le terme « Réel » dans la triade « Réel Symbolique Imaginaire ».

Articles connexes


  • Appareil psychique (section : Modalités de fonctionnement de l'appareil psychique)

  • Réel symbolique imaginaire

  • Approche lacanienne de la psychose

  • Corps psychique

Corps psychique est un terme attribué aux rosicruciens dans les annales de Trévoux (1721). Les ésotéristes emploient ce terme pour désigner l'être intermédiaire entre le corps physique et la partie spirituelle de l'être humain, que certains appellent Âme et que d'autres appellent Esprit.

Étymologiquement, "psychique" vient du verbe grec psuchein qui signifie souffler. En ésotérisme, l'expression corps psychique est souvent synonyme de corps astral, mais parfois aussi de corps vital. Bibliographie



Larousse étymologique édition 2006, page 613

Références



Larousse etymologique édition 2006 page 613



1/Portail des religions et croyances, Portail de la spiritualité



2/Portail de la spiritualité





Infrapsychisme

L'infrapsychisme est en philosophie des sciences une notion délicate, qui laisse entendre qu'il existe un psychisme (de la conscience, de la mémoire) de façon au moins implicite, en dehors de l'homme, dans les atomes ou les êtres naturels (animaux, végétaux et même minéraux).

Le panpsychisme est la "doctrine d'après laquelle toute matière est non seulement vivante (hylozoïsme), mais possède une nature psychique analogue à celle de l'esprit humain" (L.-M. Morfaux, Vocabulaire de la philosophie et des sciences humaines, Armand Colin, 1980). Histoire

Thalès de Milet "confère une âme aux êtres inanimés, en se fondant sur les propriétés de la pierre magnétique et de l'ambre" (Diogène Laërce, I, 24).

Selon les stoïciens, il est deux principes du monde, l'un actif, l'autre passif, tous deux corporels. Le principe actif est Zeus, la cause divine, le souffle (pneûma), le destin, il se mêle au principe passif (la matière), dans un "mélange total" (krâsis di'holôn).

Il pénètre tout d'une même "qualité déterminante", qui sont des gaz (aera), un "feu artiste", un souffle, une raison séminale

?xn: des principes créateurs qui révèlent, dans la matière, la présence d'une intelligence organisatrice). Cette qualité prend successivement les formes de pneûma hektikon (souffle cohésif, dans les êtres inanimés), phusis ("nature", dans les végétaux), de psuchè ("psychisme", dans les animaux), de noûs ("esprit", chez les humains).



"La substance tout entière est unifiée par un 'pneûma'

?xn : souffle, psychisme qui la parcourt entièrement ; sous l'effet de celui-ci, l'univers est contenu et rendu consistant et sympathique à soi-même."

Giordano Bruno conçoit un univers doté d'une Âme. Tout est animé, c'est-à-dire doté d'une âme, selon son Cause, Principe et Unité (1584).



"Toutes les choses sont donc animées ? Oui (...). Une chose, si petite et si minuscule qu'on voudra, renferme en soi une partie de substance spirituelle ; laquelle, si elle trouve le sujet support adapté, devient plante, animal (...) ; parce que l'esprit se trouve dans toutes les choses et qu'il n'est pas de minime corpuscule qui n'en contienne une certaine portion et qui n'en soit animé."

En 1591, à Francfort, Giordano Bruno a écrit en latin deux poèmes sur la monade : Du triple minimum (De triplici minimo) et De la monade, du nombre et de la figure (De monade, numero et figura). Il appelle minimum ou monade une entité indivisible qui constitue l'élément minimal des choses matérielles et spirituelles. La monade, qui correspond au point des mathématiques et à l'atome de la physique, est cet être primitif, impérissable, de nature aussi bien corporelle que spirituelle, qui engendre par des rapports réciproques, la vie du monde. C'est une individualisation extrinsèque de la divinité ; existence finie, elle est un aspect de l'essence infinie. Dieu, minimum et maximum, est la Monade suprême d'où s'échappent éternellement une infinité de monades inférieures.

Bayle, dans son Dictionnaire historique et critique (1695-1697), à l'article "Lucrèce", soutient l'idée que "les plantes, les pierres sont substances pensantes".

Diderot, dans Le rêve de d'Alembert (1769) admet une sensibilité de la matière. Le monde n'est que matière en mouvement ; la matière est universellement douée de sensibilité, latente ou vive ; elle s'organise elle-même, par les générations spontanées et les mutations.

Schelling, idéaliste, soutient ceci dans des Essais qui ont été regroupés : "Le système de la Nature est en même temps le système de notre Esprit", il y a "identité absolue de l'Esprit en nous et de la Nature en dehors de nous" (Schelling, Essais, trad., Aubier, p. 71, 87).

Schopenhauer dans Le monde comme volonté et comme représentation (1819) soutient que l'homme ou le monde sont habités par une Volonté (Wille), qui n'est pas une valeur rationnelle (Wille), mais une tendance aveugle, impulsive, inconsciente, issue du besoin et du désir. Cette tendance se traduit chez l'homme par la "volonté" et, dans la nature, elle est force causale.

Les théories psychophysiques de Gustav Fechner et Wilhelm Wundt sont panpsychistes.

Fechner, que l'on connaît plus scientifique dans sa psychologie expérimentale, dit dans Nanna ou De la vie sensitive des plantes (1848), dans Zendavesta (1851), dans La question de l'âme (1861), que l'univers est un ensemble d'unités physiques, que différencient leurs degrés de complexité et auquel correspond un ensemble toujours plus englobant d'unités psychiques. Même les unités psychiques humaines, tant individuelles que collectives, sont les éléments constitutifs d'une unité psychique supérieure, celle de la grande Âme de la Terre. Sur l'échelle des organismes, la Terre est une unité supérieure, à laquelle correspond une unité psychique parallèle. Pareillement à la Terre, chaque étoile possède à son tour sa propre conscience, que Fechner identifie à ce qu'étaient les anges dans la tradition théologique.

Le savant indien Jagadish Chandra Bose, à partir de 1900, attribue du psychisme aux plantes et même aux métaux.

Pierre Teilhard de Chardin croit en une progression spiritualisante de la matière. Chez lui, le mot "conscience" désigne toute forme de psychisme, depuis la plus diluée et la plus élémentaire, jusqu'à la plus concentrée, où le mot conscience, au seuil du psychisme humain, est relayé par le terme Conscience réfléchie, ou Réflexion. Teilhard inscrit sa pensée dans l'évolutionnisme. "Je crois que l'Univers est une Évolution. Je crois que l'Évolution va vers l'Esprit. Je crois que l'Esprit s'accomplit en quelque chose d'Universel. Je crois que l'Individuel suprême est le Christ-Universel" (Comment je crois, 1934, publié en 1969).

En 1963, Olivier Costa de Beauregard (Le second principe de la science et du temps), prenant comme point de départ les théories de l’information a postulé l’existence d’un “infrapsychisme” coextensif avec le monde quadridimensionnel d’Einstein-Minkowski, infrapsychisme qui contiendrait un savoir ou une information de “survol du Tout”.

En 1966 Cleve Backster, spécialiste en détecteurs de mensonges, "a réalisé des centaines d'expériences montrant que non seulement les plantes vivantes, mais aussi les feuilles coupées ou écrasées, les œufs (fertilisés ou non), le yoghourt, les frottis du palais de la bouche, le sperme, etc. réagissent à nos émotions et intentions. Il découvrit que des leucocytes buccaux (globules blancs provenant de la bouche d'une personne) placés dans une éprouvette répondent électrochimiquement aux états émotionnels du donneur, même lorsque celui-ci se trouve dans une autre pièce, un autre bâtiment, voire, un autre pays."

Jean-Émile Charon, théoricien de la Relativité complexe, rappelle que l'onde psi correspond au probabilisme de la mécanique quantique et permet de dire que cette particule possède telle probabilité de se trouver à tel instant en tel point de l'espace. Il admet deux regards, celui de la conscience (onde psi) et celui de la mémoire (onde sigma), pour toute particule. Chaque particule, appelée "éon, essentiellement les électrons et les quarks, posséderait à la fois un dehors porteur de ses caractéristiques physiques, et un dedans contenant ses propriétés spirituelles situé dans un autre espace-temps.

Gregory Bateson, en 1979, est arrivé à la conclusion qu'il n'est pas seulement légitime mais encore logiquement inévitable de supposer qu'il existe des processus mentaux à tous les niveaux des phénomènes naturels présentant une complexité suffisante : cellules, organes, tissus, organismes, groupes animaux et humains, écosystèmes, et même la Terre et l'univers.

David Bohm, physicien en mécanique quantique, suppose que "quelque chose d'analogue à l'esprit existe dans la matière inanimée", donc que "le mental et le matériel sont deux aspects d'une seule et même réalité" (La danse de l'esprit. Unfolding Meaning, 1985, trad., Éditions Séveyrat, 1989). Bibliographie



Voir aussi

Articles connexes


  • Inconscient
  • monade(philosophie)
  • Panpsychisme
  • Panthéisme
  • Vitalisme


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  • Infrapsychisme
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___En outre une «mentalité primitive» des nègres», et une «Afrique imaginaire peuplée de mythes sortis tout droit du bréviaire raciste du XIXe siècle» à la mémoire de «mage Pietro Paolo Savorgnan di Brazzà »

Définition mage

http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/mage/



mage, nom masculin

Sens Personne qui pratique les sciences occultes, la magie.

mage : 1 définition

En savoir plus : un mage >>



Synonymes mage



mage : 1 synonyme.

Synonymes sorcier.

mage : 1 synonyme


  • Citations avec mage



mage : 2 citations contenant le mot mage



"Avec la fin de l'amour, apparaissent les rois mages : la mélancolie, le silence et la joie." Roland Barthes

"Les rois mages étaient trois. Il y avait César, et pis Marius, et pis Fanny." Pierre Desproges

  • mage : 2 citations


Expressions avec mage



mage : 1 expressions contenant le mot mage


  • Les Rois mages

Sens Riches personnages qui, selon l'Evangile, vinrent rendre hommage à Jesus à sa naissance. Religion.

mage : 1 expression



Evènements mage



mage : 8 événements contenant le mot mage


  • 18 décembre 1352 Début du pontificat d'Innocent VI

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L'année 1523 est marquée en Italie par la disparition d'un des plus grands peintres de la Renaissance italienne, Pietro Vannucci. Né vers 1445, Pietro Vannucci, également appelé « le Pérugin &raq... Suite

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Un aviso colonial français des FNFL porta son nom, le Savorgnan-de-Brazza. * Brazzaville, capitale de la République du Congo, a été nommé ainsi en l’honneur de Pierre Savorgnan de Brazza. * À Brazzaville, outre le mausolée de Brazza, s’élève, depuis 1944, un phare Commémoratif dominant largement le fleuve du haut du promontoire de Bacongo face à la Case de Gaulle. On y lit "A Savorgnan de Brazza et ses compagnons". Les bas-reliefs en terre cuite de Barroux vandalisés dans les années 1960. Roger Erell architecte. Le phare a été inauguré par la fille de Brazza, Marthe de Brazza, en 1952. * À Paris, seule une petite rue de 95 m de long, reliant le Champ de Mars à l’avenue de la Bourdonnais, rappelle le souvenir de l’explorateur.

A la «mentalité primitive» des nègres», et une «Afrique imaginaire peuplée de mythes sortis tout droit du bréviaire raciste du XIXe siècle»

Pierre Paul François Camille Savorgnan de Brazza (né à Rome le 26 janvier 1852, décédé à Dakar le 14 septembre 1905...

...Né à Rome, à Castel Gandolfo, sous le nom de « Pietro Paolo Savorgnan di Brazzà », le futur explorateur est le septième fils des douze enfants du comte Ascanio Savorgnan di Brazzà, un noble d’Udine.

http://www.histoiredumonde.net/Pierre-Savorgnan-de-Brazza.html

Pierre Savorgnan de Brazza

Pierre Paul François Camille Savorgnan de Brazza (né à Rome le 26 janvier 1852, décédé à Dakar le 14 septembre 1905) était un explorateur italien naturalisé français. Il explora la rive droite du fleuve Congo ouvrant la voie à la colonisation française en Afrique équatoriale. Sa bonhommie, son charme, son approche pacifique des Africains faisaient de Brazza une figure d’exception parmi ses contemporains qui exploraient l’Afrique au nom des grandes puissances occidentales. Un explorateur pacifique et altruiste

Né à Rome, à Castel Gandolfo, sous le nom de « Pietro Paolo Savorgnan di Brazzà », le futur explorateur est le septième fils des douze enfants du comte Ascanio Savorgnan di Brazzà, un noble d’Udine. Cet homme cultivé et voyageur avait de nombreux amis français, dont le prestigieux Général Louis Eugène Cavaignac. Avec son soutien et celui de son précepteur, Pietro vient à Paris et suit les cours du collège Sainte-Geneviève pour préparer le concours d’entrée à l’école navale de Brest. Il y rentre à 17 ans, en ressort enseigne de vaisseau et embarque sur la Jeanne d’Arc pour l’Algérie. Là-bas, il est horrifié par la violence de la répression de la révolte kabyle par les troupes françaises. La guerre de 1870 est alors déclarée : il veut être affecté dans une unité combattante. Il en profite pour demander la naturalisation française et se retrouve sur le cuirassé La Revanche, dans l’une des escadres de la mer du Nord.

Avec l’avènement de la IIIe République, sa deuxième affectation est la frégate Vénus, qui faisait régulièrement escale au Gabon. En 1874, Brazza remonte deux fois le fleuve Gabon et l’Ogooué. Il propose ensuite au gouvernement d’explorer l’Ogooué jusqu’à sa source, afin de démontrer que ce fleuve et le Congo ne font qu’un. Avec l’aide d’amis bien placés, comme Jules Ferry et Léon Gambetta, obtient des subsides, qu’il n’hésite pas à compléter avec ses propres ressources. À la même époque il est naturalisé français et adopte la francisation de son nom. Il doit cependant revenir quelques mois à Paris pour passer son diplôme de capitaine au long cours, afin de demeurer dans la Navale et de poursuivre son dessein.

Pour cette expédition qui dure de 1875 à 1878, il se munit de toiles de coton et d’outils pour le troc. Il est seulement accompagné d’un docteur, d’un naturaliste et d’une douzaine de fantassins sénégalais. Brazza s’enfonce dans l’intérieur des terres, et réussit à entretenir de bonnes relations avec la population locale, grâce à son charme et son bagout. Son expédition est toutefois un échec sur le plan scientifique, car les deux fleuves sont bien différents. En tout état de cause, le 11 août 1878, Brazza et ses compagnons d’exploration, fatigués et malades, décident de faire demi-tour.

À la même époque, un journaliste du New York Herald, Stanley, à la recherche de Livingstone, disparu dans la région des Grands Lacs, a non seulement retrouvé le missionnaire britannique, mais aussi descendu le fleuve Congo. En 1879, le roi des Belges, Léopold II, voulant tirer parti de la situation pour les intérêts de son pays, missionne le journaliste pour la construction d’une ligne de chemin de fer. Fondation de la future Brazzaville

Sous l’impulsion du ministre de l’Instruction publique Jules Ferry, le gouvernement français autorise alors une deuxième mission, 1879-1882 en collaboration avec Antoine Mizon pour faire pièce aux visées coloniales belges sur le continent africain. Financée par la Société française de géographie ainsi que par les ministères de la Marine, des Affaires étrangères et de l’Instruction publique, la deuxième mission est nettement plus fructueuse. Parti le 27 décembre 1879, Brazza atteint le fleuve Congo en 1880. Il propose à Illoy Ier, Makoko de Mbe, roi des Tékés, de placer son royaume sous la protection de la France. Le Makoko, poussé par des intérêts commerciaux et par la possibilité d’affaiblir ses rivaux, signe le traité, permettant aussi un établissement français à Nkuna sur le Congo, endroit appelé plus tard Brazzaville. En tentant de rallier l’océan depuis Franceville, Brazza tombe par hasard sur le but premier de ses recherches : les sources de Ogooué.

De retour en France, il popularise ses découvertes grâces à de multiples réunions publiques et articles de presse. Le 30 novembre 1882, la loi ratifiant le traité d’amitié, signé entre Illoy Ier et Brazza, est promulguée.

Un mois plus tard, de nouveaux crédits sont votés pour une troisième expédition. En novembre 1885, il est nommé commissaire général du Congo français. Des journalistes font état des salaires décents et des conditions humaines qui contrastaient avec le régime personnel de Léopold II sur l’autre rive du Congo.

..Mais son succès lui procure aussi des inimitiés et il est soumis à une intense campagne de dénigrement.

Naissance d’une légende

Le 12 août 1895, Pierre de Brazza épouse Thérèse Pineton de Chambrun, fille de Charles-Antoine de Chambrun et de Marie-Henriette Tricuy de Corcelle, et descendante de La Fayette. Le mariage est célébré dans la chapelle privée de l’hôtel du comte de Chambrun, rue Monsieur à Paris. Le couple aura quatre enfants : Jacques, né en 1899 et décédé quatre ans plus tard d’une crise d’appendicite, Antoine, Charles et Marthe

En 1897, Brazza s’oppose à la décision du ministre des Colonies, André Lebon, de soumettre les territoires qu’il a gagnés à la France au régime de la concession, déjà en vigueur au Congo belge, et qui livrerait les populations à la cupidité des sociétés capitalistes privées chargée de « mettre en valeur » ce territoire de 650 000 km² composé du Gabon, du Congo et de l’Oubangui-Chari.

En janvier 1898, Brazza est écarté et placé « dans la situation de mise en disponibilité ». Il se retire à Alger et les événements donnent rapidement raison à l’explorateur. En effet, les sociétés qui se partagent l’exploitation de ces pays déciment les populations, soumises aux violences et aux brutalités : portage, travaux forcés, réquisitions et répression de toute tentative de résistance.

En 1905, à la suite du scandale de l’affaire Toqué-Gaud (voir ci-dessous), on lui demande d’inspecter les conditions de vie dans les colonies, conditions qui s’étaient détériorées pendant son absence. Mais sa santé se détériore. Au retour de sa mission, atteint de fortes fièvres, il est contraint de débarquer à Dakar. Le 14 septembre 1905, veillé par sa femme et le capitaine Mangin, il décède à six heures du soir. La photo de Jacques, son enfant de cinq ans, disparu deux ans auparavant, a été placé à sa demande sur sa table de nuit.

Le bruit court qu’il a été empoisonné. Quant à l’Assemblée nationale, elle s’empresse de mettre son embarrassant rapport sous l’éteignoir. Son corps est d’abord réclamé par le gouvernement français. La Troisième République cherche en effet ses nouveaux héros. Brazza, officier de marine aristocrate, élégant, héroïque, révolté par l’esclavagisme, apôtre de la paix, et surtout désintéressé, a un profil parfait à tous ces égards. On pense donc pour lui au Panthéon et à la récupération de sa gloire intacte. Mais sa famille obtient qu’il soit finalement inhumé à Alger, en terre africaine. Sur sa tombe, l’épitaphe, rédigée par son ami Charles de Chavannes, indique que « Sa mémoire est pure de sang humain. Il succomba le 14 septembre 1905 au cours d’une dernière mission entreprise pour sauvegarder les droits des indigènes et l’honneur de la nation ». Avec son décès se termine une aventure dans laquelle il a consumé la fortune familiale. Brazza versus Stanley

Partisan des palabres, farouchement opposé à la violence, il garde comme modèle Livingstone et s’oppose en cela à Stanley, surnommé « Boula Matari » (« briseur de roches »), qui s’est vanté d’avoir livré 32 combats. D’abord peu méfiant, voire admiratif à son égard, Stanley s’apercevra trop tard qu’il a été roulé dans la farine par le Français, qui ne l’informe pas du traité qu’il a signé avec le Makoko. La réputation de Stanley en souffrira durablement, en France, où il sera vertement critiqué, et en Angleterre, où l’on narguera sa naïveté. Un an après la signature du traité entre Brazza et le Makoko, le roi téké des tribus de la rive gauche, Ngaliema, signe le « traité de l’amitié » avec Stanley, ne se considérant plus soumis au Makoko de Mbé. Il place ainsi la rive droite du fleuve sous la protection de l’Association internationale africaine. L’affaire Toqué-Gaud

Le 14 juillet 1903, à Fort Crampel, en Oubangui-Chari, un administrateur des colonies, George Toqué, et un commis des affaires indigènes, Fernand Gaud, décident de faire exécuter Pakpa, ancien guide, en lui attachant une dynamite autour du cou. Au procès, les accusés rappellent qu’ils ont déclaré avant cette action épouvantable : « Ça a l’air idiot ; mais ça médusera les indigènes. Si après ça ils ne se tiennent pas tranquilles ! ». Gaud dira à son procès qu’il voulait faire constater autour de lui l’étrangeté de cette mort : « Ni trace de coup de fusil, ni trace de coup de sagaie : c’est par une sorte de miracle qu’est mort celui qui n’avait pas voulu faire amitié avec les Blancs. » (propos rapportés par Félicien Challaye, qui accompagna Brazza dans sa mission d’inspection). Ils sont condamnés à des peines légères (à cinq ans de réclusion), mais le scandale est tel qu’il conduit au lancement d’une enquête administrative, enquête dont sera chargé Brazza, et qui sera à l’origine de son dernier voyage au Congo. Transfert des cendres de l’explorateur

Un peu plus de cent ans après son décès, les cendres de l’explorateur français, de son épouse et de leurs quatre enfants, ont été exhumés, le 1er octobre 2006, du cimetière chrétien des Brus, dans le quartier d’El Madania sur les hauteurs d’Alger, où il reposait depuis 1905, pour être transférées vers Brazzaville.

Deux membres de la branche italienne de la famille de l’explorateur, Nicola di Brazza et Roberto Pirzio-Biroli, ainsi qu’un représentant de sa branche française, Pierre-Antoine de Chambrun, assistaient à l’exhumation des corps.

L’ambassadeur du Congo, Jean-Baptiste Dzangue, et le consul de France en Algérie, Francis Heude, les ambassadeurs de France, Hubert Colin de Verdière, du Sénégal Saïdou Nourou Ba, d’Italie, Battista Verderame, et un représentant du ministère algérien des Affaires étrangères, étaient également présents. Le cercueil de Savorgnan de Brazza était recouvert du drapeau français.

Les restes ont ensuite été embarqués à bord d’un avion cargo spécialement affrété par le Congo, à destination de Franceville puis de Brazzaville, où ils ont été réinhumés le 3 octobre 2006, en présence des présidents congolais, Denis Sassou Nguesso, centrafricain, François Bozizé, et gabonais, Omar Bongo Ondimba, et du ministre français des Affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy.

Le caveau familial de Savorgnan de Brazza à Alger, monument le plus élévé du cimetière, était surmonté d’un buste de bronze de l’explorateur. Situé près de la Mairie Centrale, le mausolée qui a reçu ses cendres à Brazzaville n’est pas moins imposant. Constitué d’une coupole en acier et verre, recouvert de 500 tonnes de marbre blanc de Carrare, il est décoré à l’intérieur par une grande fresque représentant les grands moments de la vie de l’explorateur, réalisée par des artistes de l’école de peinture du quartier de Poto-Poto. Le buste de bronze d’Alger, restauré, va accompagner les restes de Brazza dans son nouveau mausolée.

Bientôt, débuteront une nouvelle tranche de travaux et la construction d’un musée, d’un centre de conférences et d’une bibliothèque axés sur les explorations de Savorgnan de Brazza.

Des polémiques se sont développées au Congo, notamment, à l’occasion de ce transfert. Lors d’un colloque à Franceville, organisé par la fondation Savorgnan de Brazza, des universitaires gabonais et congolais se sont notamment insurgés que « des colonisés puissent faire l’apologie du colonisateur ». Selon l’historien gabonais Anges Ratanga Atoz, « De Brazza n’était rien d’autre qu’un agent de l’impérialisme colonial, mais il n’était pas aussi brutal que les autres ». Le coût du monument (plus de 5 millions d’euros), financés par le gouvernement congolais, a également été critiqué. Honneurs

  • Un aviso colonial français des FNFL porta son nom, le Savorgnan-de-Brazza. * Brazzaville, capitale de la République du Congo, a été nommé ainsi en l’honneur de Pierre Savorgnan de Brazza. * À Brazzaville, outre le mausolée de Brazza, s’élève, depuis 1944, un phare Commémoratif dominant largement le fleuve du haut du promontoire de Bacongo face à la Case de Gaulle. On y lit "A Savorgnan de Brazza et ses compagnons". Les bas-reliefs en terre cuite de Barroux vandalisés dans les années 1960. Roger Erell architecte. Le phare a été inauguré par la fille de Brazza, Marthe de Brazza, en 1952. * À Paris, seule une petite rue de 95 m de long, reliant le Champ de Mars à l’avenue de la Bourdonnais, rappelle le souvenir de l’explorateur.

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