____Alias JOseph KABILA, Imposteur National de la RDC jouent au cache-cache.. A savoir que le Congo-Kinshasa est dirigé par un homme énigmatique au passé nébuleux. «Kabila doit démissionner»
Par http://www.777-mafia.com/us/home, mercredi 21 novembre 2012 à 12:09 :: ___Battlefiel IV - BLOODSLATTERS - Survival Of The Fittes - Everyday Gun Play - Street Life :: #4231 :: rss
A QUOI JOUE LE RWANDA A L'EST DU CONGO
BATTRE OU AFFRONTER « KABILA »
djo kimbukusulapaul@yahoo.fr 18/11/2012 00:06:18
Kanambe est complice dans cette guerre depuis longtemps, la seule chose qui m’intrique c’est le calme de soit disant généraux et colonels congolais,ils voient cette situation ou pas?jusqu’à quand vont ils attendre pour attraper cet imposteur? ils doivent savoir que un bon matin, la situation changera au Congo et nous ne le pardonneront jamais, et auront nul part ou se réfugié.
Province du Nord Kivu : Situation confuse à Goma
Une vue aérienne de la ville de Goma.
Selon diverses sources, la Mission de l’Onu au Congo (Monusco) a invité les membres de son personnel présents dans le chef-lieu du Nord Kivu à quitter, sans délai, leurs lieux de résidence à travers la ville de Goma pour rejoindre le Quartier général de la Monusco. Si cette information était confirmée, on assiste donc à une détérioration de la situation militaire.
Depuis jeudi 15 novembre, les combats ont repris entre les forces gouvernementales congolaises (FARDC) et les rebelles du M-23. Manifestement, les "pressions" exercées par la "communauté internationale" sur le M23 et son Etat-protecteur le Rwanda de Paul Kagame tardent à produire un effet dissuasif.
Dans une dépêche datée du vendredi 16 novembre, l’Agence congolaise de presse (ACP) rapporte que les positions des FARDC à Kibumba, localité située à 25 kilomètres de Goma, "ont été attaquées" la veille. Les rebelles auraient tenté de contourner Kibumba. Sans succès.
Citant le colonel Olivier Amuli, porte-parole à la 8ème Région militaire, l’ACP note que "la situation était sous contrôle et que les forces régulières se comportent bien sur le champ de bataille. Il a appelé la population au calme et aux apaisements".
Selon d’autres sources à Goma, depuis vendredi 16 novembre, les FARDC feraient preuve de peu d’ardeur au combat. "Les militaires FARDC sont démotivés. C’est ainsi que la Monusco a décidé de regrouper son personnel dans son QG", explique une source locale. Ajoutant : "Les soldats onusiens refusent de faire le coup de feu en lieu et place de l’armée congolaise. Vendredi, les FARDC ont reçu un ordre mystérieux d’arrêter les combats et de se replier alors qu’elles avaient le vent en poupe face aux mutins du M-23. Cet ordre a sapé le moral des troupes". L’ordre venait d’où? Mystère. D’aucuns suspectent "Joseph Kabila". En personne. Et pour cause? L’homme gère les questions sécuritaires et militaires dans une opacité totale. Le chef d’état-major général de l’armée n’est qu’un paravent.
Des informations difficiles à vérifier laissaient entendre samedi 17 que des femmes des militaires déployés sur le terrain auraient manifesté "leur colère" dans la ville de Goma. Elles demandaient à leurs époux de cesser les combats. Au motif que les gouvernants de Kinshasa les utilisent comme de la "chair à canon" dans une "drôle de guerre". En tous cas, le silence de "Joseph Kabila" autant que son allergie à citer le nom de ceux qui agressent le Congo suscitent le trouble dans les esprits tant à Kinshasa qu’à Goma. Il en est de même du maintien des "relations diplomatiques normales" en dépit de l’évidence.
Aux dernières nouvelles, des officiels, relayés par les médias proches du pouvoir kabiliste, font état de 150 tués dans les rangs du M23. La ville de Goma n’est pas encore tombée aux mains des assaillants. "Elle est gravement menacée", commente une source onusienne qui a requis l’anonymat. Il semble que des individus se faisant passer pour des membres du M23 auraient contacté des "amis" au téléphone en leur disant : "Nous prendons notre petit-déjeuner dimanche 18 novembre à Goma". Forfanterie? En attendant, la situation paraît confuse.
Selon une source proche du M23 qui a contacté la rédaction de Congo Indépendant dans la matinée de ce dimanche 18, les forces rebelles auraient encerclé Goma. "Nos militaires sont déjà dans la ville, a-t-il déclaré. Pour éviter un bain de sang, ils ont laissé un passage aux soldats des FARDC pour qu’ils sortent de la ville. Nos cadres politiques vont tenir une réunion dans les heures qui suivent avant de faire leur entrée lundi à Goma".
A en croire la même source, "Joseph Kabila" aurait demandé samedi au président ougandais Yoweri Museveni d’initier "toutes affaires cessantes" des "négociations" entre le gouvernement de Kinshasa et le M23. Il aurait entrepris une démarche similaire auprès de la rébellion. "Joseph Kabila, assure-t-elle, a contacté le colonel Sultani Makenga lui disant qu’il était prêt à répondre faborablement aux exigences du M-23. Makenga lui a demandé de lui rappeler plus tard. Kabila a dit à Makenga qu’il était prêt à donner au M23 tout ce qu’il demande". Les mises en garde du Conseil de sécurité? "C’est de la distraction", a fulminé notre interlocuteur. On apprend enfin que toutes les communications du M23, via l’opérateur téléphonique Zain, ont été interrompues dimanche matin.
Selon une source militaire congolaise au Nord Kivu, deux mots reviennent sans cesse dans la bouche des militaires FARDC déployés sur le terrain : "Haute trahison". Des officiers et soldats suspectent "Joseph Kabila" de jouer un "double-jeu". Comme pour étayer sa thèse, la source raconte : "Samedi, des colonnes motorisées en provenance du Rwanda sont entrées sur le territoire congolais. Les hélicoptères des FARDC ont détruit plusieurs véhicules faisant plusieurs morts. Etrangement, un ordre mystérieux est tombé ordonnant aux hélicos ainsi qu’aux troupes au sol de se replier". Selon cette source, tous les hélicoptères se trouveraient actuellement à Bukavu. "Les militaires sont en colère. Ils se disent avoir été trahis par le commandant suprême des FARDC", conclut-elle. On apprenait aux environs de 14 heures que l’aéroport de Goma serait entre les mains des combattants du M23. Et que les autorités civiles et militaires auraient quitté la ville.
Article mis à jour dimanche 18.11.2012
http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=7651 QUOI JOUE LE RWANDA A L'EST DU CONGO - YouTube RFI
www.youtube.com/watch?v=Vz0o5I4Yiec
Djo | 20/11/2012 (17:46) «Kabila doit démissionner»
La nouvelle défaite subie par les FARDC au Nord Kivu vient confirmer ce que tous les observateurs de la politique congolaise ne cessaient de dire. A savoir que le Congo-Kinshasa est dirigé par un homme énigmatique au passé nébuleux. Un homme sans doctrine ni pensée politique qui a été propulsé au sommet de l’Etat par certains lobbies mafieux. «En douze années passées à la tête de l’Etat, «Joseph Kabila» a démontré qu’il n’a ni projet ni grand dessein pour le pays», enchaîne un analyste. Et d’ajouter : «Le soutien apporté au M23 par le Rwanda n’absout pas Kabila d’avoir failli dans la mise sur pieds d’une armée républicaine et dissuasive. Les cinq chantiers et la fameuse révolution de la modernité constituent une haute farce pour endormir les Congolais, réputés naïfs. Lorsqu’une équipe de football aligne des défaites après défaite, il faut penser à changer d’entraîneur. Après une accumulation d’échecs au plan politique, économique, social et militaro-sécuritaire, Joseph Kabila doit en tirer toutes les conséquences politiques : il doit démissionner avant qu’il ne soit trop tard pour sa sécurité personnelle…».
http://www.rdcongoinfos.com/?p=4218
mercredi, 27 juin 2012RDC: Kabila dans le piège rwandais Depuis deux mois, l'Est de la République démocratique du Congo (RDC) est le théâtre de violents affrontements entre rébellions et armée régulière. Un nouveau conflit qui révèle les multiples contradictions entre les différents protagonistes. Le Rwanda, allié de Kinshasa, est accusé de soutenir la rébellion du M23, alors que Joseph Kabila a utilisé les services des actuels rebelles (qu'il combat aujourd'hui) pendant les élections de novembre. Un jeu de dupe entre la RDC et le Rwanda qui dure depuis plus de 15 ans.
La guerre qui secoue une nouvelle fois la région du Kivu, à l'Est de la République démocratique du Congo (RDC), constitue un énième soubresaut des relations tumultueuses qui agitent la RDC et le Rwanda depuis le génocide de 1994. La polémique actuelle sur un possible soutien de Kigali aux rebelles du M23 n'étonne personne à Kinshasa. Pour de nombreux observateurs de l'arène politique congolaise, "le problème n'est pas tant de savoir si le Rwanda aide en sous-main les rébellions de l'Est, mais d'en connaître l'importance".
16 ans de relations tumultueuses
De 1996 à 2012, le Rwanda est intervenu plusieurs fois en RDC, à des degrés plus ou moins élevés. Entre 1996 et 1997, le Rwanda franchit une première fois la frontière, pour traquer les génocidaires hutus, renverser le maréchal Mobutu et mettre au pouvoir son allié congolais de l'AFDL, Laurent-Désiré Kabila. En 1997, une fois aux commandes, Kabila nomme un rwandais, James Kabarebe, comme chef d'état-major de l'armée congolaise. En 1998, Kabila se brouille avec son protecteur rwandais, devenu "trop encombrant". Le Rwanda tente de le déloger par les armes, sans succès, le "Mzee" ayant trouvé d'autres protecteurs comme le Zimbabwe et l'Angola. En 2001, Laurent-Désiré Kabila est finalement assassiné. Le Rwanda sera accusé en 2001 et 2002 par l'ONU de "pillage des ressources naturelles" en RDC. L'armée rwandaise quittera enfin le pays en 2003, mais Kigali se fera fort de soutenir les rébellions censées protéger la communauté tutsi congolaise des attaques des hutus rwandais des FDLR. Le Rwanda soutiendra d'abord le général dissident Laurent Nkunda, avant de le laisser tomber et d'aider Bosco Ntaganda, fraîchement allié avec Kinshasa. Lâché par Kabila, Ntaganda prendra le maquis avec un autre groupe, le M23, qui défie aujourd'hui l'armée congolaise dans l'Est du pays, à quelques encablures… du Rwanda. Depuis 16 ans, de près ou de loin, le Rwanda gardera toujours "une main" sur les Kivu.
Rien d'étonnant donc, lorsque Human Rights Watch (HRW), l'ONU ou le gouvernement congolais dénoncent ensemble l'aide de Kigali à la nouvelle rébellion née il y a deux mois dans les Kivu, le fameux M23. Selon Reuters, qui a pu se procurer un rapport de l'ONU (qui ne sera pas publié), James Kabarebe, maintenant ministre de la défense du Rwanda serait personnellement impliqué dans le soutien aux rebelles du M23. Kigali a bien sûr fermement démenti ces allégations.
A quoi joue le Rwanda ?
Officiellement, le Rwanda cherche à venir à bout des rebelles hutus des FDLR, réfugiés en RDC depuis la fin du génocide de 1994. Les FDLR ont toujours constitué une menace aux yeux de Kigali. A Kinshasa, certains relativisent le danger que représente réellement, en 2012, cette rébellion qui n'a pas lancé d'attaques d'envergures contre le territoire rwandais depuis plusieurs années. Car officieusement, les Congolais affirment que les opérations anti-FDLR ne sont qu'un prétexte du Rwanda pour contrôler la région, très riche en minerais divers (cassitérite, or, coltan…). A Kinshasa, ce qui est appelée "l'occupation rwandaise" de l'Est du pays possède également des vertus démographiques pour le petit Rwanda voisin et surpeuplé. Comme le dit dans son éditorial, le magazine Congo Actualités du mois de juin. : "Kigali crée des groupes armées pour fomenter des guerres qui obligent la population autochtone à abandonner ses villages et ses terres, pour les remplacer avec d’autres populations provenant d’autres pays et du Rwanda, en particulier".
Liaisons dangereuses
En conflit ouvert avec le Rwanda depuis 1998, le Congo de Joseph Kabila s'est subitement rapproché de son encombrant voisin en 2009. Il faut dire que la rébellion de Laurent Nkunda (soutenu par Kigali) a fait vacillé Kinshasa pendant plusieurs semaines. Les troupes de Nkunda étaient en effet aux portes de Goma, la capitale de l'Est congolais et menaçaient de faire tomber le régime de Joseph Kabila. Le président congolais décide donc de s'allier à Kigali (contre la majorité de son opinion publique) pour se débarrasser de Laurent Nkunda. Le général rebelle est en effet arrêté par Kigali et placé en résidence surveillée au Rwanda en attendant une hypothétique extradition vers la RDC. Aujourd'hui, le "nouveau Nkunda" s'appelle Bosco Ntaganda. Soutenu également par Kigali, le général ex-bras droit de Nkunda a fait allégeance à Joseph Kabila jusqu'au mois d'avril 2012. A ce moment, Kinshasa, poussée par la communauté internationale après des élections très contestées, prend la décision de capturer Ntaganda, recherché depuis plusieurs années par la Cour pénale internationale (CPI). Kinshasa souhaite donner des gages à la communauté internationale en cessant de protéger Ntaganda. Le général, sentant son arrestation proche, fait défection avec quelques centaines d'hommes et prend le maquis dans les montagnes du Kivu. En parallèle, une nouvelle rébellion voit le jour : le M23, issu de la mouvance Nkunda.
Kabila prisonnier de Kigali ?
Rapidement, tout le monde se rend compte que les mutins bénéficient du soutien du Rwanda voisin. Human Rights Watch estime que le M23 est alimenté en armes et en vivres depuis les montagnes rwandaises. L'ONU affirme que les rebelles ont été formés au Rwanda et Reuters dévoile un document de l'ONU révélant que des personnalités rwandaises de premiers plans, dont le ministre James Kabarebe, aident le M23. Kinshasa se contente de dénoncer la "passivité" de Kigali. Mais face à son "allié" de circonstance, Joseph Kabila n'est pas le mieux placé pour lui donner des leçons. Le président congolais est en effet redevable de nombreux "services" à la communauté rwandophone des Kivu. Aux élections de 2006 tout d'abord, le candidat Kabila a réalisé d'excellents scores dans la région (jusqu'à 90% des voix dans le Masisi). Un vote qui ne sera d'ailleurs pas récompensé puisque les tutsis ne seront pas représentés à l'assemblée provinciale (d'où les frustrations et l'émergence de Laurent Nkunda). Aux élections de 2011 ensuite, pendant lesquelles Joseph Kabila a demandé au CNDP de Ntaganda de "sécuriser" le scrutin dans l'Est. Le candidat y réalisera de très bons scores (dès fois plus de 100% des voix !). Ntaganda n'en sera pas gratifié puisqu'il sera très vite transformé en "ennemi public numéro 1" par l'armée congolaise pour être livré à la CPI. Dernier point à mettre dans la balance des relations entre le Rwanda et la RDC : le lien très fort du président Kabila avec le ministre rwandais de la défense, James Kabarebe. Le militaire rwandais a en effet formé le jeune Joseph Kabila "aux arts de la guerre" pendant la chute du régime Mobutu en 1997. Kabila doit tout à Kabarebe... et Kabarebe connaît tout de Kabila.
Sortie de crise ?
Dans cet imbroglio où tout le monde ment à tout le monde, difficile de savoir comment Joseph Kabila pourra s'affranchir de son "allié" rwandais. Pour l'heure, le président congolais n'a pas les moyens de tenir tête à Kigali. L'armée congolaise est en pleine reconstruction et n'a pas la possibilité de s'imposer sur le terrain. Deux solutions s'offrent pourtant à Joseph Kabila : compter sur la communauté internationale pour faire plier Kigali et retrouver un peu de souveraineté à l'Est ou négocier avec les rebelles et Ntaganda pour trouver ensemble une porte de sortie acceptable pour tous. Un seul atout pour Joseph Kabila : les dissensions très fortes entre le M23 et Bosco Ntaganda… le premier étant prêt à lâcher le second pour voir aboutir ses revendications : l'application des accords de Goma de 2009. Jusqu'à ce jour le gourvernement congolais n'était pas disposé à nouer des négociations avec les rebelles.
Christophe RIGAUD
Photo © Ch. Rigaud www.afrikarabia.com
Plus d'infos sur
http://afrikarabia2.blogs.courrierinternational.com/archive/2012/06/27/rdc-kabila-dans-le-piege-rwandais.html
kongolibre.over-blog.com Lundi 31 octobre 2011 1 31 /10 /Oct /2011 06:53 Des Rwandais à l’Ouest? A quoi joue Joseph Kabila? Des Rwandais à l’Ouest? A quoi joue Joseph Kabila?
Publié le 23 mai 2011 Mots-clés: Congo, Congo Kinshasa, FDLR, Joseph Kabila, Katanga, Kigali, Kinshasa, LRA, Nord Kivu, ONU,Paul Kagame, RDC, Rwanda
La République démocratique du Congo (RDC) envisagerait de « relocaliser plus à l’ouest » du pays des « milliers de rebelles hutus rwandais » des Forces démocratiques de Libération du Rwanda (FDLR) encore présents au Nord-Kivu, « en les désarmant ».
« Ce projet a été révélé à l’agence Belga par un haut responsable de l’ONU et son existence confirmée par une source diplomatique informée. Il a aussi été évoqué par le site AfroAmerica Network, qui cite des sources de la Mission des Nations unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo », rapporte Belga. Indiquant que les « négociations » seraient « avancées ».
Selon ce site spécialisé, il aurait été « proposé à la direction des FDLR de déménager leur quartier général de la région de Walikale et Masisi vers le Maniema, plus à l’ouest – et donc plus loin de la frontière rwandaise – en échange d’argent et d’autres avantages, mais moyennant leur désarmement ».
« Quelque 1.500 hommes des FDLR, dont certains ont participé au génocide des Tutsis en Rwanda en 1994, seraient ainsi concernés « dans une première phase », qui devrait intervenir avant l’élection présidentielle et les législatives du 28 novembre prochain », précise Belga. Il y a quelques mois, le gouvernement avait délocalisé du Nord-Kivu des rebelles hutus rwandais « désarmés » et leurs dépendants, et les avait installés au Katanga. Où, la population locale avait émis des réserves, craignant pour sa sécurité.
En Province Orientale, également ciblée pour servir de « terre d’accueil », le « non » à cette opération avait été catégorique. Personne ne voulait tenter l’expérience de vivre sous la hantise du « danger FDLR » combiné à celui des rebelles ougandais de la LRA dont on connaît les atrocités sur les populations civiles.
D’autre part, à quoi rimerait une démarche qui porterait préjudice plus à la RDC – en hébergeant indéfiniment sur son territoire les FDLR – que le Rwanda ? Si le Congo-Kinshasa avait été obligé de tenir un « dialogue » pour réconcilier le pouvoir en place et la rébellion armée, pourquoi le régime de Kigali ne serait-il pas contraint à inviter « ses » rebelles autour d’une table de négociations afin d’apporter, in fine, la paix dans l’Est de la RDC ?
A l’issue de son entretien en tête-à-tête le 6 août 2009 à Goma avec le président Joseph Kabila, le chef de l’Etat rwandais avait cyniquement déclaré à la presse que « le problème de l’Est du Congo est le problème du Congo ».
« Nous ne sommes pas ici comme otages du passé ni de l’histoire. Nous sommes ici comme des personnes qui veulent construire sur ce que nous avons fait ensemble pour surmonter les différends sur notre passé et nous atteler à bâtir l’avenir, pour le bénéfice des peuples du Congo et du Rwanda », avait dit Paul Kagame. Mais, n’est-ce pas en maintenant le statu quo, qui force Kinshasa à un dangereux essaimage des FDLR dans diverses provinces éloignées de la frontière commune, que le régime rwandais fait de la RDC « otage du passé » ?
Source: Le Potentiel
http://kongolibre.over-blog.com/article-des-rwandais-a-l-ouest-a-quoi-joue-joseph-kabila-87638510.html
Qui aurait pu croire que lors de la rencontre du PPRD, le Rwanda pouvait être mis sur la sellette et critiqué tel que ça c'est passé , jusqu'à amener les excuses de Boshab ?
Ce dernier doit envier Aubin qui fait tout pour que cela ne lui arrive pas au niveau de l'Assemblée ... Bien sur que Aubin se trompe ...car aussi longue que soit la nuit , le jour viendra....
La mésaventure de Boshab en dit plus sur la réalité du terrain. Même notre vuvuzelateur national , Mende , s'entoure dans un silence gênant qu'on ne lui connait pas beaucoup ....Il ne sait quoi dire ou mentir…devant l'évidence. Même le patriarche Gizenga ne bronche mot devant le désastre de l'Est...Sincèrement le patriarche ne devait pas s'incliner devant un porteur des bottines de jardinier . Lumumba s'en retournerait dans sa tombe...
Dans les rues à Kin , on ne connait qu'un leitmotiv : « chassons les rwandais comme en 1998... ».
D'une manière générale , le sentiment anti-rwandais se développe auprès des Congolais , comme à Goma il y a une dizaine des jours…
Mais en voulant chasser les rwandais, c'est kabila compris.... On ne peut le dissocier des autres. C'est là où le bat blesse ! Les collabos veulent une chose et son contraire : chassons les rwandais mais pas kabila . C'est normal puisqu'il leur assure les lendemains...
Mais alors Ils ne savent quoi dire et quoi faire ...Ils se taisent comme Mende…
Mais à la faveur de la nuit venue , tous tempêtent qu'il faut que les rwandais partent... Le jour venu , ils retrouvent leur motus et bouche cousue... Quelle république !
Ce jeu de cache-cache atteint son paroxysme au point focal c.-à-d. Kabila. Je vous assure que le kadogo est réellement sous pression et en attrape même de l'insomnie , comme l'a dit Albert Mujanyi. Kabila sait qu'au Congo, on ne veut plus des rwandais , et lui-compris .C'est pourquoi il ne supporte plus qu'il y ait un quelconque rassemblement des Congolais , quel qu'en soit le motif : anniversaire de l'Indépendance , marche des églises , etc.
D'autre part , il a senti les limites de Kagame qui ne lui fait plus confiance du tout. Il cherche à s'assurer les arrières gardes en activant l'axe Luanda-Harare en jouant au cache-cache avec Kagamé . Mais ce dernier est un félin sanguinaire...
Et ce dans ce contexte , que Tamba Papy parlait de la modernité !! Illusion ...Sottise ...
Peuple congolais , le jour où nous nous débarrasserons de kabila , les choses rentreront dans l'ordre et le rwanda tremblera ...
Pour finir , j'ai un conseil à donner aux tutsis : A votre place , je n'habiterai ni au Congo ni au Rwanda . Pour la simple raison que kagamé a tellement hypothéqué votre avenir que l'ampleur du retour de manivelle m'effraie. Arrêtez de soutenir l'attitude belliqueuse de cet homme. N'est-il pas à la base du génocide des tutsis ! Maintenant, il prépare la disparition du peuple tutsi. Tôt ou tard , la démocratie aidant , et comme en Afrique du Sud , les hutus reviendront au pouvoir parce que majoritaires .Et puis le changement est inhérent à la nature de ce que font les hommes.
Dieu merci , qu'en Afrique du Sud , un homme a brillé par sa sagesse pour tranquiliser tout le monde...: Mandela.
Quant au Congo , je vous invite tout simplement à l'oublier...
Ela MONKA
http://fondex.rdcongo.over-blog.org/article-alias-kabila-et-ses-collabos-jouent-au-cache-cache-par-ela-monka-108614895.html
"ALIAS KABILA ET SES COLLABOS JOUENT AU CACHE-CACHE" par ELA MONKA
http://afrikarabia2.blogs.courrierinternational.com/archive/2012/06/27/rdc-kabila-dans-le-piege-rwandais.html
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