A Nkayi, un rat s’introduit dans le sexe d’une femme ! Par Starducongo.com | Mercredi 16 Mai 2012 | 12:54 | Lu 2363 fois | 2 Commentaires

a ville de Nkayi, située dans le centre sud de la République du Congo, est la principale ville du département de la Bouenza, à environ 250 km de la capitale Brazzaville.

Quatrième ville du Congo, Nkayi qui est en pleine expansion, représente un des principaux centres agro-industriels du pays, grâce à sa compagnie sucrière, la SARIS, et compte plus de 50.000 habitants.

A Nkayi, on sent l’argent circuler à fleur de peau. Les campagnes sucrières, qui mobilisent une main d’œuvre abondante venue de toute la région et au delà, sont l’occasion rêvée notamment par les jeunes de la ville du sucre, de trouver un job saisonnier qui leur permet de disposer d’un confortable pécule, à la fin de celles-ci.

C’est donc dans la ville sucrière, qu’elle a décidé d’aller à la recherche du bonheur. Sans qualification, Odette ne comptera que sur sa beauté et son charme, pour se faire une place au soleil.

Arrivée à Nkayi, Odette est reçue par Lydie, sa copine de longue date. Serveuse dans un resto-bar du centre-ville, Lydie louait un studio de 30m2 dans un des quartiers de cette localité appelée anciennement Jacob.

Odette passait ses journées avec sa copine. Elle l’aidait à disposer les couverts, et à servir les mets aux clients. Sa journée ainsi que celle de Lydie, commençait autour de 10H, pour prendre fin après minuit.

La beauté d’Odette lui permettait d’encaisser les pourboires importants. Les habitués de ce resto-bar, ne manquaient pas une occasion pour l’aborder. Pour proposer une bière ou un rendez-vous.

Le resto-bar où Odette passait ses journées, était fréquenté par les cadres de la cité : autorités sous-préfectorales, municipales, militaires, sans oublier les directeurs départementaux des sociétés privées de téléphonie mobile, les cadres et agents de la SARIS ainsi que ceux de l’Agence Nationale de l’Aviation Civile (ANAC).

Odette qui n’entendait pas rester longtemps à Nkayi, caressait le rêve de s’installer plus tard à Pointe-Noire, 175 km plus au sud, au bord de l’océan atlantique.

Elle ne souhaitait pas commencer une relation avec un homme à Nkayi, et profitait de la place du bar-resto, pour s’en faire plein les poches en encaissant les pourboires et en sollicitant les bières auprès des clients, qu’elle se faisait rembourser par la suite par le gestionnaire.

Elle a fini par prendre goût à cette pratique, tant elle lui rapportait pas moins de 15.000 FCFA par jour soit 22 euros, et dans ses projections, elle espérait mobiliser au bout de trois mois, pas moins de 1.350.000 FCFA, environ 2060 euros.

Ce qui est une sacrée somme, qui devait lui permettre une fois arrivée à Pointe-Noire, de prendre à bail un studio ainsi qu’une table au grand marché, afin disait-elle, de lancer le commerce de poisson salé qui est très lucratif.

Au bout de trois mois, cette somme espérée sera mobilisée. Odette est donc sur le point de continuer sa route. Sauf que l’appétit vient en mangeant. Elle s’est donc posée la question de savoir, s’il était judicieux d’arrêter en si bon chemin un aussi juteux business ?

A cette question, Odette a répondu qu’elle pouvait se permettre une rallonge de quelques mois. Après tout, pourquoi pas ? Elle ne supportait aucune charge. De la journée, elle pouvait manger et boire sans débourser un seul sou, et rentrer la nuit à la maison, les poches remplies d’argent.

Dans le milieu des habitués du resto-bar, les rumeurs commençaient à courir à son sujet. Fille difficile pour les uns, extorqueuse pour les autres. Tous les qualificatifs lui allaient bien.

Il fallait à tout prix, que l’un des clients réussisse à obtenir ses faveurs sexuelles. Il faut dire que les pourboires et autres dépenses supportées par les clients du resto-bar, visaient un seul but : avoir Odette toute nue, dans un lit à Nkayi.

Sur ce point, personne n’avait encore réussi à faire le grand saut. Il était même arrivé qu’un client, glisse à Odette les billets de banque, pour rendre possible la rencontre du soir. Chaque fois, Odette avait réussi à trouver des excuses, et donc à sortir des mailles du filet à elle tendues par ses prétendants.

Et tout le monde avait fini par l’appeler « la mouchineuse », qui au Congo renvoie à « mouchina ». Cette expression est utilisée, pour désigner généralement une fille, qui utilise son charme dans le but d’extorquer les hommes, sans jamais accepter de coucher avec eux.

Cette réputation, avait refroidi bon nombre de clients qui ne se faisaient plus d’illusion au sujet d’Odette. Et dire que la stratégie « mouchina » était clairement pensée par Odette, qui la revendiquait sans gêne en milieu restreint.

« Ses recettes » vont finir par en prendre un coup, et la décision de gagner au plus vite Pointe-Noire, va commencer à se préciser chaque jour un peu plus dans son esprit.

Quand un soir, elle tombe sur un nouveau client du nom de DIBAKANA. Et fidèle à ses pratiques, une fois que ce dernier a mordu à l’hameçon de sa beauté, elle ne s’est pas empêchée de lui demander à boire.

Très généreux, DIBAKANA lui demande de prendre quatre bouteilles de Primus. Comme à ses habitudes, elle rassure ce dernier qu’elle ne pourra les consommer qu’après avoir fini d’aider sa copine, à l’heure de la fermeture.

Le temps que DIBAKANA paye sa facture, et qu’en retour Odette soustrait de celle-ci, le montant de la boisson à lui offerte. Elle ne s’arrête jamais en si bon chemin. Sa technique consiste dans ces conditions, a posé le problème de la nourriture. En effet, aimait-elle arguer, l’on ne peut donner à boire à une femme, sans lui offrir à manger.

Coût de l’opération pour DIBAKANA, pas moins de 5.000 FCFA soit 7.50 euros partis en campagne de séduction. Des opérations de ce type, DIBAKANA va les multiplier les jours à venir, convaincu qu’un cœur à prendre était à portée de main.

Erreur. Odette, en vraie professionnelle de l’extorsion, savait que les lendemains n’allaient rien donner avec ce monsieur. D’ailleurs, nombreux avant lui y avaient laissé leurs plumes, et avaient fini depuis, par déchanter.

Sauf que dans le cas de DIBAKANA, la recherche d’une vraie relation était urgente. Il venait en effet de se séparer de sa femme, et de ce point de vue, supportait très mal la vie solitaire.

Travailleur saisonnier à la SARIS, il venait de terminer une campagne sucrière très rude et consacrait l’essentiel de ses moyens financiers, à conquérir le cœur d’Odette.

Après plus de deux semaines de campagne de séduction, faite de pourboires, d’offres de repas et de boissons, Odette ne répondait pas à ses sollicitations. Jusqu’au jour où son argent ne pouvait plus lui permettre, de poursuivre le financement de sa campagne.

Dans le même temps, il a eu vent des pratiques d’Odette et s’est laissé persuader, qu’il ne convolerait jamais en justes noces avec elle. La colère s’est emparée de lui, et il s’est rendu tout menaçant au bar-resto insulter Odette, non sans lui promettre un mauvais sort au passage.

Indifférente face aux propos menaçants de DIBAKANA, Odette lui a juste rappelé qu’elle n’avait pris aucun engagement vis-à-vis de lui. Epuisé par son divorce, ruiné par cette femme espiègle, DIBAKANA en quittant les lieux, a promis à Odette que sur ce coup, il ne se laisserait pas faire.

Exaspérée par le comportement d’Odette, Lydie sa copine lui a conseillé de ne plus agir de la sorte. C’est serait attirer selon elle, les malédictions sur son parcours et allumer un feu, qu’elle ne pourra éteindre.

Elle lui a exhorté de s’adonner à la prière, et de se contenter du pain de chaque jour que le Seigneur donne à ses enfants, que d’extorquer les hommes en mettant en avant son charme, sans jamais les satisfaire. Dieu dit dans la Bible concluait-elle, que les extorqueurs n’hériteront pas du Royaume éternel.

Après quoi, la journée a suivi son cours normal, jusqu’au jour où, trois semaines après cet incident, il s’est produit un fait des plus insolites. Ce jour là, Odette venait de se réveiller.

Au moment de prendre sa douche, dans un carré entouré de vieilles tôles, elle voit s’infiltrer dans cet espace qui sert de douche dans la plupart des petites villes du Congo, un rat pourpre.

Etonnée de voir un rat de cette couleur, elle finit par retirer son slip tout en le regardant fixement. Quand soudain, il saute et se faufile dans son sexe, la précipitant toute nue dehors à la surprise générale.

Le voisinage qui ne comprenait pas ce qui arrivait à Odette, s’est dirigé vers elle pour la tranquilliser, et les femmes présentes, l’ont revêtu de leurs pagnes africains, sans succès, tant elle se jetait par terre et écartait à la merveille ses jambes.

Tout son trésor était dehors, visible par tous et les gens se demandaient, qu’est-ce qu’elle avait a montré ses réserves à tout le voisinage. A mesure que les minutes s’égrenaient, fait inquiétant, elle enfonçait ses doigts dans sa foufoune, à la recherche de quelque chose.

Au cri de : « un rat est rentré dans mon sexe ! », le public a compris qu’il se passait quelque chose d’étrange. Les sages du quartier décident d’ intervenir au bout de 30 minutes, et après lui avoir administré une forte dose de vin local, Odette est tombée dans les pommes.

Le temps de consulter un voyant et de la rhabiller, le devin du coin a conclut à une attaque mystique consécutive à l’argent d’un homme qu’elle a encaissé, sans en retour lui donner satisfaction.

Pour contrer l’attaque, il fallait procéder à un sacrifice coûteux. Pas moins de 2 millions de FCFA soit 3.000 euros, pour acheter des bœufs, les cabris, les coqs et du vin. Lydie qui connaissait la cachette où étaient terrées les économies d’Odette, s’en est saisie pour faire face à l’urgence.

Une fois les rites terminés et le rat neutralisé, Odette a repris ses esprits avec des blessures vaginales importantes qui lui obligeaient de rester sans culotte.

Les économies parties en fumée, Odette a regagné la ville-district de Loudima cultiver les champs, et a dit définitivement adieu à son rêve de gagner Pointe-Noire, vendre le poisson salé.

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