Grioo.com   Grioo Pour Elle     Village   TV   Musique Forums   Agenda   Blogs  
   RECHERCHER : Sur Grioo.com  Sur Google 
 Accueil  Rubriques  Archives  News pays     Contact   Qui sommes-nous ?     

Créer votre blog | Administrer votre blog |Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

dimanche 18 novembre 6666

____La nature et l’homme..amis ou ennemis ? I.Rappel historique : l'homme vivait dans la nature puis la maîtrise progressivement. II.Les bienfaits médicaux de la nature. III. III.La nature a toujours inspiré les écrivains

Dissertation

Résumé de l'exposé La nature, par définition, est ce qui n’a pas été soumis aux mains des Hommes. Ainsi, l’influence du temps, du milieu et des conditions climatiques intervient dans ce que la nature produit et offre. Il faut savoir que l’Homme appartenait à la nature, il vivait de la nature, c'est-à-dire de ce qu’elle lui procurait directement.

Il vivait en harmonie avec la nature, il vivait de la nature et pour ainsi dire dans la nature : il y trouvait tout ce dont il avait besoin pour vivre convenablement. Au fil du temps il a essayé de comprendre et de soumettre les phénomènes naturels dont il bénéficiait, mais dont il était aussi victime pour en arriver à transformer ce que la nature lui donnait…

Et ce, depuis les temps anciens comme nous le montre l’exemple du feu : l’homme a su maîtriser cet élément dont toutes les autres créatures ont peur. C’est là tout le Mythe de Prométhée : avec le feu, l’homme se protège et s’élève au-dessus de ce que la nature contient (« bestioles de la terre et de la mer » dit la Bible dans la Genèse) et ainsi la culture prend son essor. D’autres parts, des auteurs comme Jean-Jacques Rousseau pensent que la nature a tout offert à l’homme, qu’elle est la source de son bonheur et de son épanouissement.

La conception des Lumières a voulu livrer la nature à l’homme pour qu’il puisse l’exploiter sans limites. Elle a été ensuite la vision du XIXe siècle et de la révolution industrielle -jusqu'à aujourd'hui - qui a transformé la nature en chantier. André Cazetien, dans son œuvre publiée en 2006 « L’homme qui vivait avec les ours », souligne notre incapacité de préserver notre patrimoine, de préserver ce qui nous a fait vivre, ce qui nous fait vivre et doit continuer à nous faire vivre : la nature.

La nature y est représentée comme un lieu de rencontre, un lieu harmonieux et riche. Ce roman nous renvoie directement à notre attitude vis-à-vis de la nature, et de ce qu’elle nous donne. Le roman « Le chasseur de rêve » de Nicolas Vanier retrace la vie des hommes lorsqu’ils vivaient encore en harmonie avec la nature. Alors se pose la question « La nature nous accueille t- elle ? Ou bien l’homme accueille-t-il la nature ? » Plus d’extraits de La nature et l’homme... Cependant, au-delà de ces faits, il y a ce que ces plantes et ces fleurs provoquent chez certaines personnes : le plaisir de sentir leur parfum envoûtant par exemple. Certes, c’est à la conscience de chacun, mais non sans importances puisque la nature permet à l’homme de communiquer : qui n’a jamais offert de fleurs à un être aimé ? Qui n’a jamais fleuri une tombe ? Ces fleurs ne sont pas simplement une décoration, aussi belle peut elle être, c’est l’expression de l’homme qui se retranscrit à travers la nature. ...

... Al Gore eut une enfance et une éducation peu commune. En effet, il passait huit mois de l’année à Washington DC, dans un petit appartement à l’hôtel, et les quatre autres mois dans une « magnifique ferme ». Cette vie rurale lui convenait bien puisqu’il dit dans son film « Enfant, j’ai longtemps confondu s’amuser et travailler ». Il a donc passé son enfance entre la vie rurale et la vie urbaine, et c’est peut-être ce contact avec la nature qui lui a permis d’accomplir son parcours. ...

... pic Al Gore a entrepris le projet, grâce à ce film, d’apporter non seulement des connaissances géographiques, scientifiques, démographiques et historiques, mais il nous emmène plus loin, grâce à différents systèmes, dans la réflexion que nous portons sur l’environnement. Bibliographie . « Le tiers espace : essai sur la nature » par Jean Viard. Éditions Méridiens-Klincksieck (Paris, 1990) . « Agriculture et environnement » par la Fédération française des sociétés de protection de la nature. Editeur : Syros (Paris, 1986) . « Lettres ouvertes aux assassins de la nature » par Pierre Pellerin. ...

... Il dérègle l’écosystème. pic Photographie de la mer après un déballastage. L’homme, quelquefois, pollue les milieux de façon accidentelle, mais il est intolérable que pour des questions d’argent, il la pollue volontairement. Donc, l’impact de l’homme sur la nature par le biais des transports n’est pas négligeable mais il n’est pas le plus important. En effet, l’agriculture est par excellence, sur tous les continents l’activité fondatrice des civilisations malgré quelle soit très polluante. Pour de nombreux peuples, sédentaires ou nomades, elle reste la condition de toute une vie et de toute économie. ...

... Cela signifie de manière implicite que cet être résulte d’une fabrication par l’homme. On trouve dans la directive européenne 90/220 rectifiée par la directive ultérieure 2001/18 la définition suivante : un OGM est « un organisme, à l'exception des êtres humains, dont le matériel génétique a été modifié d'une manière qui ne s'effectue pas naturellement par multiplication et/ou par recombinaison naturelle. » Donc, cette action utilisée fréquemment aujourd’hui n’est en aucun cas naturelle. Certes, cela peut paraître évident, mais beaucoup de grands scientifiques, y compris du secteur public le refusent. ...

http://www.oboulo.com/nature-homme-118794.html

lire la suite

____Question ouverte; Sommes nous les acteurs de notre spectacle ou les spectateurs de nos actes.? Ou serions nous dans ce théâtre de notre vie.. les deux à la fois.? "L’acte libre est celui dans lequel je suis tout entier engagé" Henri B.

Sommes nous les acteurs de notre spectacle ou les spectateurs de nos actes..? Ou serions nous dans ce théâtre de notre vie.. les deux à la fois.?...Nooon.. vous croyez ça possible...?

Réponses (6) Afficher : by Chiasmos Petit papa des peuples

  • Les causes de nos actes ne se trouvent pas que dans notre volonté. l'inconscient, l'environnement ont un rôle prépondérant.

il en découle que nous ne sommes pas que spectateurs de nos actes.

"L’acte libre est celui dans lequel je suis tout entier engagé" Henri Bergson Par liberté, nous entendons communément le pouvoir de choisir entre plusieurs actions possibles. Nous sommes libres, pensons-nous, quand nous nous déterminons nous-mêmes. Nous nous posons tels des spectateurs face à une scène. Nous faisons un schéma : une route avec plusieurs directions qui correspondent aux choix possibles. Mais là est notre erreur. Nous ne sommes pas spectateurs de nos actions et quand nous faisons un schéma, nous transformons la réalité.

Quand j’agis, et c’est bien là que se pose la question de ma liberté, je ne suis pas spectateur, mais acteur. Quand nous sommes spectateurs d’un acte, nous nous le représentons de la manière suivante :

--conception de l’acte ; --délibération ("Que vais-je faire ou que dois-je faire ?") ; --décision ("Je vais agir comme cela") ; --exécution ("J’agis").

Et ceci, sur la ligne du temps. Tout cela suit un ordre : la conception détermine la délibération qui détermine la décision qui détermine l’exécution.

Mais là encore, cela ne correspond pas à la réalité. Il n’y a pas des instants séparés les uns des autres. De tels instants n’existent pas. La réalité ne se découpe pas. La durée est indivisible. Qu’est-ce alors qu’un acte libre ? C’est l’acte pour lequel je suis tout entier dans mon acte et non dispersé par des fausses représentations. Se dire qu’il y a des moments séparés qui déterminent le moment suivant, c’est encore se raconter une histoire, c’est jouer la comédie, c’est encore se faire du cinéma ! Il faut arrêter de se raconter des histoires : l’acte libre est celui dans lequel je suis tout entier engagé.

http://fr.answers.yahoo.com/question/index;_ylt=ArdQxk70PbYbhb97jpkrLcwGBAx.;_ylv=3?qid=20101118023455AAU9fhs

lire la suite

_____Chimère acte.1L’insignifiant. « Mon berceau a de ma tombe, ma tombe a de mon berceau : mes souffrances deviennent des plaisisirs, mes plaisirs des douleurs, et je ne sais plus,

L’insignifiant

La dernière opposition illustre assez joliment la question « d’en avoir ou pas », la problématique du phallus.

Est-ce l’opposition ivoire-ivoirien qui déclenche une dérive dont l’affleurement ultime, les nuits blanches, ouvre l’accès à la satisfaction substitutive, névrotique, du désir infantile ?

N’est-ce pas le zéro (place vide, manque, trou, béance) qui introduit une pesanteur, un déséquilibre entraînant à son tour l’oscillation d’une mécanique signifiante ?

Astrid Regina

Une jeune femme avait entrepris une psychanalyse, après une dépression, en raison d’angoisses fréquentes et de vécus d’étrangeté, d’irréalité.

Son histoire, dramatique, peut se résumer ainsi : sa mère, exdemi- mondaine, alcoolique, l’avait étroitement associée à sa vie mouvementée. Changements d’hommes, changements de pays sur fond d’ivresses et de tentatives de suicide. Dès son plus jeune âge, la patiente avait materné sa mère, la lavant de son vomi lors de ses cuites, de son sang lorsqu’elle se tailladait les poignets. Tout cela sans jamais protester, sans le

-nuit

-noir

-sommeil

-bête

-mauvais

-patronyme africain

-ivoirien ébène

À mon fils Serge

Loi de l’Univers et du Livre. « Ce qui arriva était arrivé depuis longtemps. »

(Edmond Jabès, Postface à L’arrêt de mort de Maurice Blanchot, Gallimard, 1948.) « Mon berceau a de ma tombe, ma tombe a de mon berceau : mes souffrances deviennent des plaisisirs, mes plaisirs des douleurs, et je ne sais plus, en achevant de lire ces Mémoires, s’ils sont d’une tête brune ou chenue. »

(Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, avant-propos, Gallimard, 1951.) DANS UN MONDE HUMAIN, TOUT EST SIGNIFIANT. Lorsque le langage saisit l’homme, il ne le lâche plus.

Lacan a assurément raison : le langage est la condition de l’Ics, et de la folie.

L’Ics est structuré comme un langage. Le sujet est parlé, à son insu, par le langage. On connaît l’anecdote du sauvage qui tourne et retourne une échelle dans tous les sens, sans saisir le moyen d’en user pour s’élever. Pour lui il n’y a pas de Signifiant échelle, dès lors il n’y a pas d’échelle. Et pourtant, elle tourne, l’échelle !

Lacan a assurément raison. Encore faut-il savoir ce qu’est le Signifiant et ce qu’est le langage.

L’Empereur de Chine

Dans La Cendre et la Foudre, Frédérick Tristan (1982) nous conte l’origine légendaire de la Société secrète du Ciel et de la Terre, ou Société de la Grande Triade : la Loge fondatrice des Hong.

À l’avènement de la dynastie mandchoue des Qing, cinq moines bouddhistes, détenteurs du sceau sacré des empereurs Ming, font le serment de renverser l’usurpateur et de restaurer l’ancienne dynastie. De nuit, ils placardent, dans les villages, un appel à la révolte. En voici le contenu :

« Habitants des neuf provinces, les cinq rescapés du massacre de Shiu Lam vous saluent !

Depuis trois années, l’Empire n’est plus au centre.

Le Suprême milieu s’est perdu. Nous, gardiens du sceau sacré de la divine Bodhisattva Guan Yin, proclamons que l’aîné des officiers majeurs, descendant des mandchous, qui actuellement usurpe le pouvoir et la fonction du trône impérial, doit être considéré comme traître à l’Empire. Son pouvoir est indigne. Il répand la souffrance et la mort. Sa fonction est un travesti.

Elle parodie la justice. Le ciel et la terre sont séparés.

Habitants des neuf provinces, soulevez-vous contre le Quig comme vous le feriez contre un adversaire étranger ! Les moines du monastère de Shiu Lam ont repoussé les Éleuthes. Ils repousseront le Qing au nom de l’empereur Ming dont ils ont reçu le Sceau. Que la lune et le soleil resplendissent, et les sept astres !

Que la guerre nettoie la Chine et ramène la paix ! »

Que viennent ici faire le suprême milieu, le ciel et la terre, le soleil et la lune et les sept astres ? Sont-ils un hommage au beau livre de Viderman (1977) Le céleste et le sublunaire ?

Sont-ils une licence poétique ou un exemple de ce style vif et concret qui fait tout le charme des romans chinois ?

Il n’en est rien. Ces images sont prescrites par la lettre du texte chinois.

L’insignifiant

  • CHIMERES 3

La Chine, c’est ZHONG GUO, littéralement l’empire du milieu. L’usurpation du trône impérial par les Mandchous, peuple des confins, « décentre » donc l’empire.

L’idéogramme WANG = empereur, figure « celui (trait horizontal intermédiaire) qui unit (trait vertical) la terre et le ciel (traits horizontaux inférieur et supérieur) ».

L’abolition du souverain légitime « désunit » ciel et terre.

Le caractère MING (= 1. nom dynastique 2. éclatant, vif, brillant 3. clair, distinct) est constitué des radicaux, ou clefs, RI = soleil YUE = lune.

La mort du dernier empereur Ming « obscurcit » ciel et terre.

Quant aux sept astres, il m’a été suggéré que ce sont les étoiles de la Grande Ourse.

Le sens en serait-il que la Chine a perdu le Nord, que l’empire est déboussolé ?

Tristan se réfère à des sources en anglais. Le message, s’il gagne en tension poétique, perd en français une grande part de redondance, de surdétermination dont on imagine aisément la force d’impact dans l’original chinois.

Mais que quelque chose de la lettre survive, quoiqu’affadi, aux traductions successives illustre bien le concept de l’autonomie du signifiant. C’est en effet ici l’idéogramme

– le signifiant, le code – qui impose le contenu du message.

Celui-ci est mis en forme par les défilés obligés du signifiant, comme le message de Nelson, à l’escadre britannique, à l’engagement de la bataille de Trafalgar (Mannoni 1969 p. 100). Dostoïevski

Un jeune Noir africain me consulte. Ses premières paroles sont textuellement : « Je passe des nuits blanches ! » Un moment de stupeur – un blanc – et je l’invite à poursuivre. Je note :

« Depuis qu’il est tout petit, il rêve de devenir blanc. Il méprise les Noirs.

Tout ce qui est noir est affecté d’une valence négative, tout ce qui est blanc d’une valence positive. Le monde en noir et blanc. Originaire de Côte d’Ivoire. Il est ivoirien ! Son argument décisif : « Les Blancs ont l’avion ! »

La dernière opposition illustre assez joliment la question « d’en avoir ou pas », la problématique du phallus.

Est-ce l’opposition ivoire-ivoirien qui déclenche une dérive dont l’affleurement ultime, les nuits blanches, ouvre l’accès à la satisfaction substitutive, névrotique, du désir infantile ?

N’est-ce pas le zéro (place vide, manque, trou, béance) qui introduit une pesanteur, un déséquilibre entraînant à son tour l’oscillation d’une mécanique signifiante ?

..etc http://www.revue-chimeres.fr/drupal_chimeres/files/05chi04.pdf

lire la suite

_____L'homme est insignifiant? Personne n’est insignifiant : absolument personne.. ILS ONT FAIM & NOUS AVONS SOIF DE JUSTICE. combattre l'extrême pauvreté par les moyens de la justice et de la vérité

  • ILS ONT FAIM & NOUS AVONS SOIF DE JUSTICE*

combattre l'extrême pauvreté par les moyens de la justice et de la vérité

11 septembre 2010 Personne n’est insignifiant : absolument personne INSIGNIFIANCE . 1

Par Jean-Marie Delthil

C’est aujourd’hui le jour… c’est aujourd’hui que je dois vous parler de cet homme, de cet homme que je rencontre presque chaque jour dans le tram du matin, cet homme que certaines personnes pourraient peut-être qualifier d’insignifiant… - d’insignifiant ?!… Attention ! Ce matin, donc, il s’est assis, fait assez rare, en face de moi, juste en face de moi. Nous ne nous sommes jamais parlé. C’est un monsieur qui va travailler, il doit avoir mon âge ou à peu près, il est habillé de manière ordinaire, tout ce qu’il y a de plus ordinaire, des vêtements sans éclats, passe-partout, mais son visage l’est moins, passe partout : un visage fin à l’image de ses mains, une attitude aiguisée, presque nerveuse, et des yeux surtout, oui, des yeux qui regardent - qui regardent vraiment - qui regardent les gens autour de lui, les personnes, plus exactement… sans les juger je pense, non, il les regarde parce qu’il ne peut pas faire autrement, il est saisi, il est saisi par elles, par ces personnes qui, à n’en pas douter, constituent un véritable mystère pour lui, et ce mystère, visiblement, ne lui suffit pas… alors il creuse, inlassablement il creuse… tous les jours il creuse, je le vois creuser, là, chaque jour de la semaine, dans une rame de tram ordinaire, qui se rend d’une banlieue ordinaire à un centre-ville ordinaire. Rien de plus - rien de moins : un mineur ordinaire. J’aime regarder son visage, il est vivant, tout à fait vivant… - au fait, vous le considérez toujours comme étant insignifiant, cet homme ?…

Les insignifiances m’ont toujours fait peur voyez-vous, enfin, ce sont plutôt les personnes qui utilisent ce qualificatif injustement, improprement, qui me font peur, ou bien j’ai peur pour elles… Sous le régime nazi, des millions de personnes étaient qualifiés d’insignifiantes, et ce furent par la suite les atrocités que l’on connaît… sous Staline ou Pol Pot : ce fut encore la même chose… au Rwanda avec les génocidaires Hutus : toujours pareil - l’aveuglement…, et rapidement l’horreur. Moi, je peux bien paraître insignifiant pour bon nombre de personnes… qui n’ont pas les yeux en face des trous ; et vous aussi, vous pouvez bien paraître insignifiant pour bon nombre de personnes visiblement égarées et aveugles, pourquoi pas… Au travail, de nos jours, dans les services, de préférence dans ceux où il y a trop de monde… il pourrait y avoir là des salariés insignifiants, à dégager, dont il faut se libérer, se débarrasser ; dans la rue, c’est pareil : des gens en trop, de préférence les pauvres et les très pauvres ; dans certains immeubles ou certaines locations… c’est peut-être encore la même chose… ; dans des familles, dans des prisons, dans des groupes de ceci, de cela… la liste n’est pas close…

Il faut être vigilants - très vigilants. La glissade est facile, silencieuse, rapide parfois. Je me souviens de cet événement qui m’a profondément choqué. Il remonte à peu près à six mois : je me trouvais non loin du carrefour entre le Cours Jean Jaurès et l’avenue Alsace Lorraine, à attendre le bus. Un homme faisait la manche, assis, adossé à un mur qui encadrait une boutique ; à un moment donné, le patron ou bien le responsable est venu à rentrer dans son commerce, il est passé rapidement devant le monsieur et lui a ordonné de « dégager », et le monsieur est aussitôt parti, sans un mot, enfin, il s’est déplacé pour se poser un peu plus loin. Moi, je suis alors allé le voir, ce pauvre homme, et je me suis excusé, et puis je lui ai souhaité bon courage - qu’est-ce qu’on pouvait faire d’autre en de pareilles circonstances ?… Il faut être éveillé, comme l’homme de ce matin dans le tram… aguerri. Personne n’est insignifiant : absolument personne. Tout le monde a sa place, ici - il est indispensable, et quel qu’il soit.

  • Source :


-http://www.enmanquedeglise.com:80/article-insignifiance-1-56677267.html -http://lulupo.blog.lemonde.fr/2010/09/11/personne-nest-insignifiant-absolument-personne/

lire la suite

______Qu’est-ce que l’homme ? 1.Hébreux ch. 1 : le Fils de Dieu plus grand que les anges, ch. 2 le Fils de l’homme un peu moindre que les anges. Ce qui est vu par la foi

Au chapitre 1, le Seigneur est présenté comme placé au-dessus des anges en tant que Fils de Dieu et que Messie (Christ). Après la parenthèse-exhortation des versets 1 à 4 du chapitre 2, c’est la même personne, mais présentée dans son humanité : Celui qui a été fait « un peu moindre que les anges », mais qui est « couronné de gloire et d’honneur » d’une manière nouvelle, avec ce qui appartient à l’homme ressuscité. Plusieurs versets sont donc consacrés à ce Fils de l’homme. Cette dignité de Fils de l’homme, l’objet des conseils de Dieu et sous les pieds de qui toutes choses sont assujetties, doit en effet être considérée dans son excellence. Dieu ne prend pas des anges (2:16) pour la bénédiction et la domination futures, mais il prend un Homme, et avec lui des hommes. Il n’est d’ailleurs plus question des anges dans le corps doctrinal de l’épître aux Hébreux, la suprématie de Jésus sur eux ayant été doublement établie. Il y a bien une mention des anges aux chapitres 12 et 13, mais c’est hors du grand sujet de l’épître qui concerne le Seigneur comme souverain sacrificateur. Les anges, ceux qui ont été gardés de la chute, sont des instruments du gouvernement de Dieu sur la terre (Héb. 1:14) ; ils n’ont pas d’autre fonction ou titre que d’être des serviteurs. Ils n’ont pas de domination comparable à celle qui est présentée ici. La domination appartient à un homme, l’Homme selon les conseils de Dieu.




2 Qu’est-ce que l’homme ?

Alors est posée la question : « Qu’est-ce que l’homme ? » De tout temps l’esprit humain se l’est posée, et il ne peut y répondre ; d’où venons-nous ? où allons-nous ? Par nous-même, il n’y a pas de solution à ces questions : il faut faire intervenir la Parole, Dieu, ses conseils, ses voies. L’homme s’examine, mais qu’il s’estime très haut ou très bas, il reste un « monstre incompréhensible », pour reprendre l’expression d’un Pascal.



  • 3 Job 7:17-19 et Ps. 144:3

« Qu’est-ce que l’homme ? » Cette question se trouve plusieurs fois dans la Parole. En Job 7:17-19, c’est un homme souffrant qui, dans son extrême affliction, la pose : il se plaint du traitement que Dieu lui fait subir. Dieu n’est pas juste d’éprouver ainsi un homme juste ; « Pourquoi ... ne me laisses-tu pas tranquille ? » dit-il à Dieu - parole pleine de ressentiment, d’acrimonie ; c’est bien l’homme remâchant sa misère, et s’en trouvant d’autant plus accablé. « Je suis un fardeau à moi-même... » Si je suis aussi insignifiant, que t’importe que j’aie ou non péché ? Au Psaume 144, verset 3, cette même question exprime le contraste entre la toute-puissance de l’Éternel et la faiblesse de l’homme ; ce n’est pas ici une pensée d’aigreur, au contraire : le fidèle dit sa confiance en Dieu, qui le délivrera de ses ennemis, ce ne sont que des hommes, Dieu triomphera d’eux. Si l’homme est supporté, c’est un effet de la bonté et de la patience de Dieu.



  • 4 Psaume 8

4.1 Le Psaume 8

Le Psaume 8 est le psaume de l’homme et du Fils de l’homme, comme le Psaume 2 est le psaume du Messie. Dans ce Psaume 8 on retrouve, comme au Psaume 144, la pensée de la faiblesse extrême de l’homme vis-à-vis de la grandeur de l’Éternel, de la magnificence de son nom et de sa majesté, et quand vient la question : « Qu’est-ce que l’homme ? », il est insignifiant, doit-on répondre. Mais cette faiblesse s’accompagne de la vision non plus des pensées de l’homme, mais de la pensée de Dieu, à l’égard de l’homme, et du conseil, des desseins de Dieu quant à l’avenir de l’homme. Alors la question devient de plus en plus étrange, une énigme, car voici ce qui est révélé : « Tu l’as fait de peu inférieur aux anges, et tu l’as couronné de gloire et d’honneur ; tu l’as fait dominer sur les œuvres de tes mains ; tu as mis toutes choses sous ses pieds ». L’âme inspirée médite en face de l’homme tel qu’il est maintenant, subissant les conséquences de la chute, les souffrances et la mort, mais en même temps elle voit l’homme indépendamment de sa triste histoire : elle contemple l’homme selon le dessein de Dieu. Les anges sont magnifiques en force, mais seul l’homme a un « esprit » soufflé en lui par Dieu, il a été fait à l’image et à la ressemblance de Dieu. Il n’en est pas ainsi des anges. Il n’y a pas d’autre créature que l’homme dont il nous soit dit qu’elle est l’objet de conseils particuliers de Dieu. Il fallait que tout le reste de la création fût fait pour que l’homme fût créé, et Dieu dit : « Toutes choses lui sont assujetties ». Livré à sa responsabilité lorsqu’il était dans l’innocence, l’homme est tombé, et maintenant c’est une créature déchue. Adam n’a pas pu jouir pleinement de ce que Dieu avait devant Lui à son égard dans ses conseils et ses desseins. Pourtant le conseil de Dieu demeurait ; pourtant les paroles du psaume demeuraient : « Tu l’as fait dominer sur les œuvres de tes mains ; tu as mis toutes choses sous ses pieds ».




4.2 L’éclairage d’Héb. 2

Alors on comprend — et c’est Hébreux 2 qui nous éclaire sur ce point — que tout ce que Dieu avait devant Lui à l’égard de l’homme appartient désormais au « fils de l’homme », non pas à la descendance d’Adam, mais à un homme malgré tout et quoi qu’il en soit — le second homme dont Adam n’était que la figure (Rom. 5:14). L’Adam innocent est tombé ; il n’était que le premier homme, mais « figure de celui qui devait venir ». Et l’homme selon les pensées de Dieu vient au temps convenable : Jésus, le dernier Adam. Il n’en viendra pas d’autre après lui, parce qu’en lui sont accomplis les desseins de Dieu au sujet de l’homme. Mais il est venu, ce second homme, prendre place parmi des hommes, dans un monde assujetti aux conséquences du péché. Sans péché, il a participé au sang et à la chair. Pourquoi ? Parce que Dieu, dans ses conseils, ne voulait pas qu’un homme seul fût dominateur sur toutes choses ; il ne voulait pas qu’un seul fût l’homme selon ses pensées ; il voulait être glorifié non seulement comme Créateur et comme Conservateur de tous les hommes, mais aussi à cause de ce qu’il est en grâce et en amour, dans le fait que des hommes, descendants d’Adam, auraient part à la gloire de Christ et lui seraient associés. Il fallait pour cela leur rédemption, et leur accès à une vie nouvelle, la vie de résurrection.




  • 5 Héb. 2:11-16

L’Homme selon le dessein de Dieu, c’est le second homme comme chef d’une race nouvelle, le dernier Adam avec ceux qui sont « tous d’un » avec lui, des fils amenés à la gloire, pris du milieu des pécheurs et faits une nouvelle création. Ils ont cette vie de résurrection que la mort ne peut pas toucher ; ils sont la réponse au désir de l’éternel amour divin :




Les vœux de ton amour immense

N’eussent pas été satisfaits

Sans voir au ciel, en ta présence,

Des hommes sauvés et parfaits.




La semence d’Abraham au verset 16 d’Hébreux 2, ce n’est pas seulement Christ (Gal. 3:16), mais elle comprend les hommes qui lui sont associés. Ils sont ceux que Jésus à la fois appelle « ses frères », parce qu’il est venu participer au sang et à la chair — et « les enfants que Dieu lui a donnés » parce qu’ils sont amenés à la gloire comme « fils ». Et pour qu’il en fût ainsi, il fallait sa mort ; il fallait que lui soit consommé par des souffrances pour amener plusieurs fils à la gloire. Il prend le royaume, la domination universelle, non seulement comme fils de l’homme, mais comme fils de l’homme rédempteur, chef de notre salut, générateur d’une race nouvelle, des « nés de nouveau », « élus en lui avant la fondation du monde ».



  • 6 Ce qui est vu par la foi

Nous ne voyons pas encore la réalisation de ces choses. Il faut que des fils, tirés par le Père, soient amenés à lui par Jésus : « Me voici, moi, et les enfants que Dieu m’a donnés ». Mais la foi devance ce moment, que Lui attend au ciel et que nous attendons sur la terre. Les cieux sont ouverts, et nous voyons Jésus dans la gloire. La patience de Dieu attend ; nous sommes appelés à garder la parole de la patience de Christ. Nous trouvons force et consolation dans le fait que nous voyons Jésus. La foi contemple dans la gloire Celui qui est descendu dans les profondeurs de la mort. « Ayant été offert une fois pour porter les péchés de plusieurs, il apparaîtra une seconde fois, sans péché, à salut à ceux qui l’attendent » (Héb. 9:28). Bienheureux ceux qui en font partie par grâce !

lire la suite

__**§** RSS Seul Suffit: Si des gens accusent RSS d’être indifférent rendant les uns heureux et les autres malheureux, c’est lui ôter la sagesse et la bonté.. soumettez-vous à un examen de conscience

Le chemin de la perfection

Chapitre 15 Il ne faut point s’excuser, même quand on est condamné sans être coupable. J’aurais bien voulu avoir assez d’expérience concernant cette vertu, pour vous en parler, j’avoue que mes progrès dans ce domaine sont lents et limités. Très souvent, je trouve qu’il est préférable de m’excuser, cela est permis, car ce serait mal d’y manquer, cependant, je ne suis pas assez humble pour savoir bien discerner ce que je dois faire au juste. En réalité, il faut être vraiment humble pour se voir condamnée sans être fautive, et ne pas se défendre. Cette attitude est une imitation de Jésus-Christ, car Il a tout pris sur Lui, alors, mes filles, donnez-vous de tout votre cœur parce que cette vertu a de précieux avantages. Je ne trouve aucun avantage à nous disculper, à moins de causer de la peine à autrui en ne déclarant pas la vérité.

Il faut s’exercer à cette vertu qui nous apprend l’humilité comme Notre Seigneur. La vraie humilité consiste à désirer d’être méprisée et persécutée sans raison, tout en demandant le secours et l’aide de Dieu.

Je voudrais que cette vertu soit l’objet de notre étude et de notre pénitence. Je ne suis jamais pour les pénitences excessives, car elles affaiblissent la santé, mais par contre pour cette vertu et les vertus intérieures, elles procurent l’énergie à l’âme. Pour ma part, si on m’accusait de quelque mal, c’était toujours au dessous de la vérité, et si j’étais innocente, je me sentais coupable envers Dieu. Donc c’était pour moi une grande grâce qu’on ne dévoile pas toutes mes fautes. Mieux vaut être accusée injustement que de déclarer toutes mes erreurs commises.

Comme on gagnerait à acquérir cette vertu, car nous ne sommes jamais exemptes de fautes, même le juste pèche sept fois par jour.

O Seigneur, combien Vous avez souffert, sans avoir commis de fautes, Vous ne l’avez pas mérité. Je ne comprends pas comment à des moments, je ne voulais pas souffrir. Comment donc j’ose penser que je peux m’excuser quand je suis accusée injustement ? Si je possède un don Seigneur, c’est Vous qui me l’avez donné, sans tenir compte de mes mérites ou mes démérites, parce que je suis indigne d’une telle faveur. Comment pourrai-je désirer que l’on dise du bien de moi quand on a dit tant de mal de Vous ? Eclairez-moi Seigneur et faites que je désire que le monde me haïsse, moi qui Vous ai délaissé, alors que Vous m’aimiez avec tant de fidélité. Quel gain obtiendrons-nous à contenter les créatures ? Si elles nous accusent injustement qu’allons-nous perdre à Vos yeux ?

L’accusateur se sentira honteux et confus, mes filles, si vous gardez, le silence. Nous n’avons pas l’autorisation de prêcher par la parole, prêchons au moins par l’exemple. Ne pensez pas, mes filles, que vous resterez sans défenseur. Notre Seigneur a pris Lui-même, la défense de Marie- Madeleine à deux reprises, une fois chez le Pharisien et l’autre en calmant, Marthe sa sœur qui l’accusait. Personne n’a défendu Notre Seigneur, mais Il a permis au bon larron de le défendre juste avant Sa mort, mais pour vous Il agira autrement, et suscitera un défenseur quand il le faudra.

Cependant, je ne voudrais pas que le motif de trouver des défenseurs, vous pousse à pratiquer une si belle vertu, je voudrais que vous sentiez la joie d’être blâmées, injustement, au fond du cœur. Vous sentirez la liberté d’esprit, et une indifférence à l’égard de tout ce que l’on dit de vous. J’avoue que cette pratique est dure à pratiquer à ses débuts, mais avec la grâce de Dieu, on peut obtenir l’abnégation de soi, et le détachement.

http://dieujesus.free.fr/therese_jesus.htm

Comment Dieu le Père engendre-t-il son Fils Jésus-Christ dans l'âme ? Comme la créature en image et figure ? Ma foi, non ! mais précisément de la façon dont il L'engendre dans l'éternité et pas autrement. De la naissance éternelle


L'âme du juste est tout simplement un paradis où Dieu trouve ses délices. "Le château de l'âme" (sainte Thérèse de Jésus)

Si vous voulez savoir si vous avancez dans la vertu, soumettez-vous à un examen de conscience. Le chemin de la perfection


Si des gens accusent Dieu d’être indifférent rendant les uns heureux et les autres malheureux, c’est lui ôter la sagesse et la bonté.


Comment aimerait-on son prochain si on ne l'aimait pas en Dieu ? Or, on ne peut aimer en Dieu, si l'on n'aime pas Dieu. Il faut donc que Dieu soit aimé d'abord. Degrés d'amour de Dieu


Si l'Eternel exige beaucoup de l'homme, cela ne vient pas de sa sévérité mais de sa grande bonté : parce qu'il veut que l'âme s'agrandisse, afin qu'elle puisse beaucoup recevoir, et, lui, beaucoup lui donner. Dieu est si ardent qu'il est toujours auprès de l'homme et lui montre qu'il le conduit à lui - s'il veut seulement suivre.

Ce que nous connaissons, analysons, ou au sujet de quoi nous pouvons faire des distinctions, cela, affirme saint Denys, n'est jamais Dieu. Car en Dieu il n'y a pas ceci et cela que nous pourrions retrancher ou maintenir par voie de distinctions : il n'y a rien en lui qu'une chose : Lui-même !

Que nous arrivions à nous comprendre nous-mêmes et à être transférés en Dieu, ce n'est pas difficile : il faut que l'Eternel l'opère lui-même en nous. Car c'est une oeuvre divine que l'homme n'a qu'à suivre et à ne pas contrarier : il n'a qu'à le souffrir et à laisser faire Dieu. Suivons donc l'Eternel, en sorte qu'il puisse nous transposer en lui, et que nous devenions un avec lui et qu'il lui devienne possible de nous aimer comme une partie de lui-même.

Que Dieu, par le moyen de la grâce, entre dans l'âme, cela apporte plus de lumière en soi que ne peut faire la raison : ce que celle-ci peut donner de lumière est par rapport à cette lumière comme une seule goutte d'eau par rapport à la mer et mille fois plus petit encore. (Maître Eckhart)



Dieu seul suffit Que rien ne te trouble, Que rien ne t'effraie.

Tout passe, Dieu ne change pas.

Celui qui possède Dieu, Ne manque de rien. Sainte Thérèse de Jésus

Saint Bernard de Clairvaux

Aimer Dieu Sur la Charité








Association Spirithum

lire la suite