Les Panafricanistes doivent s'unir, ou périr...
comme Um Nyobè,
comme Patrice Lumumba,
comme Walter Rodney,
comme Amilcar Cabral,
comme Thomas Sankara,
Et tant de leurs valeureux Ancêtres, souvent trop seuls au front...
Les Panafricanistes doivent s'unir, ou périr...
comme Um Nyobè,
comme Patrice Lumumba,
comme Walter Rodney,
comme Amilcar Cabral,
comme Thomas Sankara,
Et tant de leurs valeureux Ancêtres, souvent trop seuls au front...
PRESENTATION DE LA SESSION 2010 DES ETUDES PANAFRICANISTES
L’Espace Culturel Panafricain ANIBWE a mis en place une session annuelle d’études panafricanistes, qui débute en janvier 2010. Trois éditions consécutives de ces sessions constituent ensemble un cycle d’études ayant sa propre cohérence, et doté d’objectifs pédagogiques précis.
Chaque cycle portera le nom d’un illustre personnage panafricain ; en hommage à son œuvre (politique, scientifique, économique, littéraire, etc.), dont une connaissance soutenue sera l’une des ambitions du cursus.
La présentation officielle de ce projet a eu lieu à la Librairie ANIBWE ce dimanche 06 décembre 2009, de 15h à 17h.
PROGRAMME & INTERVENANTS
Le planning ci-après porte uniquement sur le premier trimestre de la session 2010 ; laquelle session se tiendra de janvier 2010 à juin 2010, et reprendra de septembre 2010 à décembre 2010. Les mois de juillet et août seront principalement consacrés à un cycle de conférences qui viendra compléter le programme des études panafricainistes.
Chaque cours comportera six (6) séances studieuses, en raison d’une séance par quinzaine (sous réserve de reprogrammations ponctuelles). Toutes les séances studieuses auront lieu le dimanche de 14h à 16h30, et elles seront scindées en deux cours d’une heure et dix minutes chacun (soit 70 mns).
Chaque cours comportera une partie magistrale de 30 mns et une partie d’échanges et débats avec les auditeurs de 40 mns. Le premier cours débutera à 14h précises pour se terminer à 15h10 précises ; tandis que le deuxième commencera après 10 mns de pause, soit de 15h20 à 16h30 précises.
Trois principaux intervenants se relaieront lors de ce premier trimestre, à savoir :
- Bwemba Bong qui animera le cours C1,
- Pierre Nillon délivrera le cours C2,
- et Popo Klah aura la charge du cours C3.
- la quatrième plage horaire accueillera des intervenants occasionnels
C1 : Les déportations négrières transatlantiques
Ce cours animé par Bwemba Bong, analyse les déportations négrières comme un système basé sur un crime contre l’humanité des Nègres. Bwemba Bong y souligne l’ampleur des mouvements de résistances africaines tous azimuts ; de même qu’il met l’accent sur les diverses conséquences particulièrement désastreuses pour les nations panafricaines.
C2 : La vision du monde des Anciens Egyptiens
Dans ce cours, Pierre Nillon s’attache à montrer qu’une connaissance intime de la langue et de l’écriture égyptiennes est indispensable pour accéder à la plus ancienne tradition spirituelle négro-africaine connue ; langue et écriture étant les précieux réceptacles de la « vision du monde des Anciens Egyptiens ». Or, cette quête de connaissance ne peut pas se déployer de manière efficace dans un contexte linguistique hétérodoxe ; elle doit être enracinée dans l’expérience linguistique millénaire des Africains.
C3 : A la rencontre d’une personnalité panafricaine
Des auteurs, chercheurs ou universitaires panafricains de grande autorité dans leur domaine viendront échanger avec les auditeurs sur leur propre parcours, mais également en approfondissant quelques points analytiques précis. Ces échanges visent, entre autres, à susciter ou renforcer des vocations au sein des plus jeunes générations panafricaines (continentaux, antillais, ayitiens, africains-européens, etc.).
C4 : Lecture critique d’ouvrages sur le Yovodah
Ce cours proposé par Klah Popo consiste en une lecture critique d’ouvrages relatifs à des questions précises discutées dans le cadre de l’historiographie des déportations négrières. L’objet de ces exercices de lecture critique consiste à aiguiser l’attention des lecteurs sur un certain nombre de difficultés épistémologiques rencontrées dans la littérature relative aux Déportations négrières, ainsi que sur les enjeux idéologiques sous-jacents.
P.S.
Pour les modalités d'inscription, prière de s'adresser à ANIBWE.
Les frais d'inscription sont annuels (et pas au prorata des séances), non remboursables, et sont libérés en un ou deux règlements. Leur montant est de 150€/an . Cela comporte également l'entrée gratuite à toutes les autres manifestations programmées à l'Espace Culturel Panafricain ANIBWE au cours de l'année d'inscription, soit en l'occurrence 2010. _________________ http://www.afrocentricite.com/ Umoja Ni Nguvu !!!
Les Panafricanistes doivent s'unir, ou périr...
comme Um Nyobè,
comme Patrice Lumumba,
comme Walter Rodney,
comme Amilcar Cabral,
comme Thomas Sankara,
Et tant de leurs valeureux Ancêtres, souvent trop seuls au front...
PRESENTATION DE LA SESSION 2010 DES ETUDES PANAFRICANISTES
L’Espace Culturel Panafricain ANIBWE a mis en place une session annuelle d’études panafricanistes, qui débute en janvier 2010. Trois éditions consécutives de ces sessions constituent ensemble un cycle d’études ayant sa propre cohérence, et doté d’objectifs pédagogiques précis.
Chaque cycle portera le nom d’un illustre personnage panafricain ; en hommage à son œuvre (politique, scientifique, économique, littéraire, etc.), dont une connaissance soutenue sera l’une des ambitions du cursus.
La présentation officielle de ce projet a eu lieu à la Librairie ANIBWE ce dimanche 06 décembre 2009, de 15h à 17h.
PROGRAMME & INTERVENANTS
Le planning ci-après porte uniquement sur le premier trimestre de la session 2010 ; laquelle session se tiendra de janvier 2010 à juin 2010, et reprendra de septembre 2010 à décembre 2010. Les mois de juillet et août seront principalement consacrés à un cycle de conférences qui viendra compléter le programme des études panafricainistes.
Chaque cours comportera six (6) séances studieuses, en raison d’une séance par quinzaine (sous réserve de reprogrammations ponctuelles). Toutes les séances studieuses auront lieu le dimanche de 14h à 16h30, et elles seront scindées en deux cours d’une heure et dix minutes chacun (soit 70 mns).
Chaque cours comportera une partie magistrale de 30 mns et une partie d’échanges et débats avec les auditeurs de 40 mns. Le premier cours débutera à 14h précises pour se terminer à 15h10 précises ; tandis que le deuxième commencera après 10 mns de pause, soit de 15h20 à 16h30 précises.
Trois principaux intervenants se relaieront lors de ce premier trimestre, à savoir :
- Bwemba Bong qui animera le cours C1,
- Pierre Nillon délivrera le cours C2,
- et Popo Klah aura la charge du cours C3.
- la quatrième plage horaire accueillera des intervenants occasionnels
C1 : Les déportations négrières transatlantiques
Ce cours animé par Bwemba Bong, analyse les déportations négrières comme un système basé sur un crime contre l’humanité des Nègres. Bwemba Bong y souligne l’ampleur des mouvements de résistances africaines tous azimuts ; de même qu’il met l’accent sur les diverses conséquences particulièrement désastreuses pour les nations panafricaines.
C2 : La vision du monde des Anciens Egyptiens
Dans ce cours, Pierre Nillon s’attache à montrer qu’une connaissance intime de la langue et de l’écriture égyptiennes est indispensable pour accéder à la plus ancienne tradition spirituelle négro-africaine connue ; langue et écriture étant les précieux réceptacles de la « vision du monde des Anciens Egyptiens ». Or, cette quête de connaissance ne peut pas se déployer de manière efficace dans un contexte linguistique hétérodoxe ; elle doit être enracinée dans l’expérience linguistique millénaire des Africains.
C3 : A la rencontre d’une personnalité panafricaine
Des auteurs, chercheurs ou universitaires panafricains de grande autorité dans leur domaine viendront échanger avec les auditeurs sur leur propre parcours, mais également en approfondissant quelques points analytiques précis. Ces échanges visent, entre autres, à susciter ou renforcer des vocations au sein des plus jeunes générations panafricaines (continentaux, antillais, ayitiens, africains-européens, etc.).
C4 : Lecture critique d’ouvrages sur le Yovodah
Ce cours proposé par Klah Popo consiste en une lecture critique d’ouvrages relatifs à des questions précises discutées dans le cadre de l’historiographie des déportations négrières. L’objet de ces exercices de lecture critique consiste à aiguiser l’attention des lecteurs sur un certain nombre de difficultés épistémologiques rencontrées dans la littérature relative aux Déportations négrières, ainsi que sur les enjeux idéologiques sous-jacents.
P.S.
Pour les modalités d'inscription, prière de s'adresser à ANIBWE.
Les frais d'inscription sont annuels (et pas au prorata des séances), non remboursables, et sont libérés en un ou deux règlements. Leur montant est de 150€/an . Cela comporte également l'entrée gratuite à toutes les autres manifestations programmées à l'Espace Culturel Panafricain ANIBWE au cours de l'année d'inscription, soit en l'occurrence 2010.
En tout cas je vous encourage vraiment dans cette entreprise, tenez bien votre bout. _________________ "Always be intolerant to ignorance but understanding of illiteracy (..)in those homely sayings (mother wit) was couched the collective wisdom of generations" I know why the caged bird sings, p99, Maya Angelou
Les Panafricanistes doivent s'unir, ou périr...
comme Um Nyobè,
comme Patrice Lumumba,
comme Walter Rodney,
comme Amilcar Cabral,
comme Thomas Sankara,
Et tant de leurs valeureux Ancêtres, souvent trop seuls au front...
Bonne présentation, vous sous-estimez un peu trop votre entreprise j'espère que c'est par simple humilité.
Suggestion:
Il y aurait-il moyen que vous fassiez un papier (presse-papier) de vos sessions que vous pourriez commercialiser, expédier aux autres qui malheureusement ne vivent pas en France oubien qui ne veulent pas ou ne peuvent pas se rendre à ces sessions ?
Il y aurait-il moyen de faire parvenir vos interventions en Afrique, au Canada et un peu partout dans le monde par le biais de la poste ect contre bien-sûr contrepartie financière, à l'heure de l'internet ...
Les sessions seraient délivrées en format papier et comporteraient pratiquement tout ce que vous feriez pendant vos rencontres dans vos locaux, qu'en pensez-vous ?
Ogotemmeli aurais-tu des informations sur quelquchose qui m'intrigue depuis un moment (un bon mois), j'ai cherché un peu sans vraiment avoir eu du nouveau, voilà dans un bouquin (celui de CLR James, The black Jacobins) l'auteur écrivait qu'il existait un proverbial adage d'esclavagiste qui disait: "The Ivory Coast is a good mother" (La Côte-d'Ivoire est une bonne mère) pour dire que que cette place est toujours pourvue en esclaves, et que les profits lorsqu'on est un esclavagiste sont toujours élévés.
L'auteur expliquait que du fait qu'il existait une telle place (avec ce nom de qui ma foi fait référence à un pays actuel dont les dirigeants jusqu'à aujourd'hui n'ont pas eu la présence d'esprit, pleins d'imaginations qu'ils sont, d'en changer le nom) poussaient les propriétaires de bois d'ébène à imposer n'importe quel sévice, la plupart d'une cruauté indiscible jusqu'à la mort très souvent, à leur propriété, as-tu quelquechose dessus ? _________________ "Always be intolerant to ignorance but understanding of illiteracy (..)in those homely sayings (mother wit) was couched the collective wisdom of generations" I know why the caged bird sings, p99, Maya Angelou
Ogotemmeli aurais-tu des informations sur quelquchose qui m'intrigue depuis un moment (un bon mois), j'ai cherché un peu sans vraiment avoir eu du nouveau, voilà dans un bouquin (celui de CLR James, The black Jacobins) l'auteur écrivait qu'il existait un proverbial adage d'esclavagiste qui disait: "The Ivory Coast is a good mother" (La Côte-d'Ivoire est une bonne mère) pour dire que que cette place est toujours pourvue en esclaves, et que les profits lorsqu'on est un esclavagiste sont toujours élévés.
L'auteur expliquait que du fait qu'il existait une telle place (avec ce nom de qui ma foi fait référence à un pays actuel dont les dirigeants jusqu'à aujourd'hui n'ont pas eu la présence d'esprit, pleins d'imaginations qu'ils sont, d'en changer le nom) poussaient les propriétaires de bois d'ébène à imposer n'importe quel sévice, la plupart d'une cruauté indiscible jusqu'à la mort très souvent, à leur propriété, as-tu quelquechose dessus ?
Le littoral de la Côte d'Ivoire ne correspond pas exactement à celui de la "Côte de l'Ivoire" dont il a pris le toponyme par métonymie...
La partie ouest du littoral de la CIV était comprise dans une région dite "Côte des Males Gens" : où il ne faisait pas bon dealer du bois d'ébène (Cf. Plasse, 1762), et où des bateaux négriers ont subi bcp d'attaques de la part des populations côtières...
En revanche, la partie Est du littoral ivoirien à partir du "Cap Lahou" (Grand Lahou) faisait bien partie de la Côte de l'Ivoire : un endroit où l'on dealait surtout de l'ivoire ; et bcp moins de bois d'ébène que sur la "Côte des Esclaves" qui se trouvait juste à l'Est de cet endroit...
Il faut savoir que l'ivoire a été une matière première stratégique pour les manufactures et industries européennes jusqu'à la seconde Révolution Industrielle (~1850) : il tenait le rôle qu'a joué le caoutchouc (plastique) à partir de la fin du XIXè siècle...
Donc, si tu vois chez un illustre antiquaire de beaux meubles Louis Machin, ou un superbe coffret à bijoux "Renaissance", ornés d'éléments en ivoire tu sauras d'où vient le matériau...
Bref, je n'ai aucune connaissance de ce que tu rapportes. Je vais chercher encore, et te ferai signe si je trouvais quelque information... _________________ http://www.afrocentricite.com/ Umoja Ni Nguvu !!!
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comme Um Nyobè,
comme Patrice Lumumba,
comme Walter Rodney,
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Et tant de leurs valeureux Ancêtres, souvent trop seuls au front...
Le littoral de la Côte d'Ivoire ne correspond pas exactement à celui de la "Côte de l'Ivoire" dont il a pris le toponyme par métonymie...
La partie ouest du littoral de la CIV était comprise dans une région dite "Côte des Males Gens" : où il ne faisait pas bon dealer du bois d'ébène (Cf. Plasse, 1762), et où des bateaux négriers ont subi bcp d'attaques de la part des populations côtières...
En revanche, la partie Est du littoral ivoirien à partir du "Cap Lahou" (Grand Lahou) faisait bien partie de la Côte de l'Ivoire : un endroit où l'on dealait surtout de l'ivoire ; et bcp moins de bois d'ébène que sur la "Côte des Esclaves" qui se trouvait juste à l'Est de cet endroit...
Il faut savoir que l'ivoire a été une matière première stratégique pour les manufactures et industries européennes jusqu'à la seconde Révolution Industrielle (~1850) : il tenait le rôle qu'a joué le caoutchouc (plastique) à partir de la fin du XIXè siècle...
Donc, si tu vois chez un illustre antiquaire de beaux meubles Louis Machin, ou un superbe coffret à bijoux "Renaissance", ornés d'éléments en ivoire tu sauras d'où vient le matériau...
Bref, je n'ai aucune connaissance de ce que tu rapportes. Je vais chercher encore, et te ferai signe si je trouvais quelque information...
Intéressant, je vois, les limites actuelles ne sont pas vraiment celles d'antan, ca explique un peu la confusion dans ce que je croyais, étant sûr que les colons avaient divisés les pays du golfe de guinée selon leurs anciens recoupements.
C'est justement en pensant un peu à cette subdivision des côtes que je m'étonnais de la phrase, la côte des mals gens pour moi commencait aux environs de la Gambie jusqu'au litoral Libérien à la limite de la Côte d'Ivoire actuelle, la Côte de l'Ivoire par contre qui comme son nom l'indique devait avoir pour besoin essentiel d'acquérir de l'ivoire (mais aussi des esclaves), s'étendait du coté de grand-Lahou jusqu'à Grand-Bassam, ensuite la Côte des Esclaves se situait après Grand-Bassam jusque dans le golf du Nigéria, enfin je ne saisissais pas pourquoi une côte qui était dite de l'Ivoire pouvait avoir pareille renommée, alors que ce palmarès pouvait bien revenir à la côte voisine dite la Côte des esclaves le Ghana actuel, maintenant que tu dis que les limites d'antan ne sont pas celles d'aujourd'hui résoud un peu plus l'histoire, Merci... _________________ "Always be intolerant to ignorance but understanding of illiteracy (..)in those homely sayings (mother wit) was couched the collective wisdom of generations" I know why the caged bird sings, p99, Maya Angelou
La première séance des Etudes Panafricanistes aura lieu ce dimanche 10/01 : il est encore possible de s'inscrire pour toute l'année pendant les séances de janvier. Au-délà, le groupe d'auditeurs sera forclos, afin de maintenir une certaine homogénéité...
Les Panafricanistes doivent s'unir, ou périr...
comme Um Nyobè,
comme Patrice Lumumba,
comme Walter Rodney,
comme Amilcar Cabral,
comme Thomas Sankara,
Et tant de leurs valeureux Ancêtres, souvent trop seuls au front...
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