Posté le: Mer 12 Oct 2005 17:18 Sujet du message: Telecommunication Sector Performance : Ghana Records Fastest
Grace a la "digitalization" le Ghana passe de 218.000 lignes telephoniques en l'an 2000 a 2,3 millions de lignes en 2005, soit de 1% de couverture du pays a 12%.
Citation:
Telecommunication Sector Performance : Ghana Records Fastest Growth in Africa
The telecommunications industry in Ghana has been described as one of the fastest growing on the African continent, as significant milestones have been achieved recently.
Source : The Ghanaian Chronicle
According to the minister of communication, Mr. Albert Kan Dapaah, capital inflows into the telecommunication industry by the end of the year, would be well over ¢3 trillion, compared to ¢2.9 trillion in 2004 and 2.4 trillion in 2003.
Apart from the inflows, the number of telephone lines has increased significantly from 218,000 in 2000 to 1 million in 2003 and 1.6 million in 2004. Currently, the number of telephone lines in the country is estimated to be 2.3 million in the country.
Hon. Dapaah disclosed that today, the telephone density of Ghana has increased significantly from 1% in 2000 to about 12%. "It is the biggest growth in sub-Saharan Africa," he stated.
The penetration of telephones also increased to 10% and 25% in the rural and urban areas respectively.
The minister revealed these at the launch of the digitalization of Kasapa in Accra on Wednesday.
He said the digitalization of Kasapa demonstrates the progress made by the Kasapa team and the government as a whole in providing the enabling environment for the telecom industry to operate.
Minister Dapaah noted that government would still provide the environment for more investment to come.
"Ghana would become the fastest growing telecommunication industry in Africa if Kasapa is able to cover the whole of Ghana by next June," the minister said.
On his part, the Managing Director of Kasapa, Mr. Robert Palitz said they do not want to want to be everything to everyone and offer every feature known to mankind but would focus on keeping prices down and extending coverage, because 91% of Ghanaians do not have phones of their own. "We want to put telephone service within reach of more of them."
He announced that Kasapa would extend coverage to seven regions by the end of the year and ten by June next year and paid tribute to the Ministry of Communications, the National Communications Authority and the staff of Kasapa for their role in the success of the digitalization of Kasapa.
The marketing manager, Clement Asante then lectured the public on the new features of the Kasapa service and displayed very low cost Kasapa CDMA phones to the audience.
On what is new, Mr. Asante said Kasapa chips were free and one could send a text at the cost of ¢450. "Previous services they were providing would still be provided," he said.
The minister later launched the leap of Kasapa into a CDMA service.
Kasapa had announced earlier this year that it would go digital with CDMA technology.
Inscrit le: 11 Déc 2004 Messages: 744 Localisation: Sith land
Posté le: Jeu 13 Oct 2005 20:09 Sujet du message:
On madit que ce pays avancé a une sacrée vitesse dans beaucoup de domaine, ça fait plaisir. _________________ Domine ta peur et tu seras plus fort que la mort
Oui. Tous les villages ghaneens sont electrifies...et toutes les rues d'Accra sont pavees. Bref! Au Ghana, on n'a pas vraiment l'impression d'etre dans un pays du "tiers-monde". Mais il y a quand meme beaucoup de pauvres. Trop de pauvres.
On madit que ce pays avancé a une sacrée vitesse dans beaucoup de domaine, ça fait plaisir.
Tout à fait, ils vont même aller en coupe du monde de foot _________________ I long to accomplish great and noble tasks, but it is my chief duty to accomplish humble tasks as though they were great and noble.
The world is moved along, not only by the mighty shoves of its heroes, but also by the aggregate of the tiny pushes of each honest worker.
Ceque nous en disons peut preter a l'ironie si on n'a pas visite le Ghana recemment. Avons-nous une idee deassee de l'Afrique et jugeons-nous l'Afrique a l'aune des pays dits francophones? Si c'est le cas, effectivement il y a de quoi rire. Mais il faudrait aussi aller voir de temps en temps ce qui se passe ailleurs, dans "l'autre Afrique". Lire ci-dessous.
Citation:
Economie : à l'instar de l'Asie, l'Afrique prépare ses "dragons"
Altervision (Abidjan)
20 Octobre 2005
Publié sur le web le 20 Octobre 2005
L'ancien Sous-Secrétaire américain d'Etat chargé des Affaires Africaines (de 1989 à 1993), Hermann Cohen, a prédit que l'Afrique comptera, d'ici 10 ans, au moins 5 "dragons" qu'il préfère appeler les "lions africains".
Le Nigeria, la Tanzanie, le Kenya, l'Afrique du Sud et le Ghana pourraient, selon l'ancien Secrétaire d'Etat Américain, rivaliser avec les "tigres asiatiques", en se maintenant à un taux de croissance annuel du produit intérieur brut, d'au moins 7% ; 3 pays, la Tanzanie, le Kenya et l'Ouganda, pourraient créer un marché commun unique et promouvoir davantage l'intégration de leur économie.
Dans les années 60, en accédant à l'indépendance, les pays africains étaient à un niveau de richesse comparable à celui de Hongkong, de Singapour, de la Corée du Sud et de Taiwan fait remarquer Hermann Cohen.
Depuis, les "tigres asiatiques" ont connu des taux remarquables de croissance, pendant que la plupart des pays africains ont stagné, voire régressé.
L'ancien Secrétaire d'Etat est convaincu que cette tendance peut être inversée, à condition que les pays africains retrouvent leurs atouts agricoles et maximisent l'utilité de leur main-d'Å"uvre bon marché par le biais d'un secteur manufacturier.
Pour Hermann Cohen, "l'argent n'est donc pas le problème de l'Afrique ; la question est de savoir comment il est utilisé, et quelles sont les politiques mises en oeuvre".
"Dépenser plus d'argent n'est pas forcément la solution ; si vous additionnez tous les fonds qui ont été consacré à l'Afrique depuis la Second Guerre mondiale, alors, il y a eu au moins 25 plans Marshall".
Les comparaisons établies par Hermann Cohen entre les "tigres asiatiques" et les "lions africains" l'ont conduit à s'interroger sur l'influence croissante de la Chine sur le continent africain. Les investissements chinois en Afrique ont en effet plus que triplé depuis 2000. Ils ont dépassé la barre des 30 milliards de dollars en 2004.
Rien qu'entre la Chine et le Kenya, les échanges ont doublé au cours des trois dernières années
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