Posté le: Ven 21 Nov 2008 03:19 Sujet du message: afrique
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Décolonisation: comment Paris a forcé la main aux Africains Par un fou nommé Alexandre Gerbi néo colon a gerber...
L’élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis jette une lumière glaciale sur l’Histoire de France.
Il y a un demi-siècle, tandis que l’affaire Rosa Parks confrontait l’Amérique ségrégationniste à la révolte noire, la France pouvait passer pour un modèle à suivre: le deuxième personnage de l’Etat, le président du Sénat, était un Noir guyanais, Gaston Monnerville, tandis que d’autres "hommes de couleurs" avaient, depuis longtemps, assumé parmi les plus hautes fonctions de la République.
Dans les années 30, Blaise Diagne avait été secrétaire d’Etat, Gratien Candace vice-président de la Chambre des députés, Félix Eboué gouverneur du Tchad, puis de l’Afrique équatoriale française (AEF).
Après la Seconde Guerre mondiale, la France continua d’être à l’avant-garde: en 1946, Léopold Sédar Senghor participa à l’élaboration de la Constitution, tandis qu’au cours de la décennie suivante, Félix Houphouët-Boigny fut ministre puis ministre d’Etat, Hamani Diori et Mamadou Konaté vice-présidents de l’Assemblée nationale.
Cette liste n’est pas exhaustive, et permet de comprendre qu’à l’époque, comme l’a noté Patrick Lozès, président du CRAN, les Noirs d’Amérique regardaient la France comme une terre d’espoir.
Le problème, c'est la Constitution
Cinquante ans plus tard, comme chacun l’observe, les rôles semblent s’être diamétralement inversés. Face à une Amérique qui prend pour Président un homme "noir" (selon les critères états-uniens…), l’Assemblée nationale française n’accueille qu’au compte-gouttes les Noirs dans ses travées.
Mais ce constat ne suffit pas. Encore faudrait-il se demander pourquoi, depuis un demi-siècle, une telle régression s’est accomplie dans notre pays.
Or, cette question, bien peu de monde semble décidé à se la poser, et surtout à y répondre. Et pour cause! C’est tout le "Système" de la Ve République -totalité des partis politiques, totalité des intellectuels, grands médias, universités, programmes scolaires- qui est compromis dans cette affaire. Parfois, il est vrai, en toute bonne foi, c’est-à-dire par ignorance…
Explications. Le régime sous lequel nous vivons, la Ve République, est fondé sur une gigantesque imposture à caractère antirépublicain et antidémocratique, dont les Français noirs comptent parmi les premières victimes.
L’indépendance de l’Afrique subsaharienne, systématiquement présentée par l’école, les médias, les intellectuels et la classe politique, comme le triomphe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, autrement dit comme le fruit de la volonté des Africains, fut, en réalité, essentiellement décidée par Paris, contre la volonté profonde des Africains.
Dernière édition par apek le Lun 14 Mar 2011 18:02; édité 2 fois
Posté le: Ven 21 Nov 2008 11:51 Sujet du message: Re: Lettre ouverte à Gerbi un homme a gerber sur rue89.com
apek a écrit:
Cet Alexandre Gerbi semble avoir mangé la moquette, parce que vous croyez « sieur la Gerbe » que les indigènes comme ils étaient surnommés à l’époque, étaient tous pour devenir des citoyens de 2nde zone comme le sont aujourd’hui les antillais de France, cantonnés à des postes subalternes juste au dessus des immigrés africains?
Sachez cher ami que malgré l’embobinage à l’égard des leaders politiques africains de l’époque, et celui de ces mêmes leaders à l’égard de leurs peuples, malgré le bourrage des urnes lors des referendums…Il y avait biens des africains déterminés et qui prônaient l’indépendance de leur pays et croyez bien que je parle ici en connaissance de cause puisque fils d’un des pères fondateurs du Gabon et seul opposant réclamant l’indépendance du pays avec son parti. Evidement dans toutes les sociétés les gens préfèrent l’immobilisme pour conserver leurs petits acquis on le voit encore aujourd’hui avec des gens au PS qui n’appellent à voter ni Aubry, ni Royal espérant intégrer l’équipe gagnante sans s’être mouillé.
En Afrique beaucoup toute la classe intellectuelle et politique locale, voulaient de l’indépendance, mais peu oser l’affirmer tout haut de peur d’être mis au placard si, si les colonies devenaient territoire d’Outre Mers.
Très peu d’hommes on osé affirmer haut et fort dans chaque colonie leur volonté de voir leur pays accéder à l’indépendance et mon père fut de ceux là il fut même le seul.
« Source wikipedia Léon Mba » Gabon
Dès juillet 1958, une troisième force politique tente de s’imposer au Gabon : le Parti de l’Unité nationale gabonaise (PUNGA) mené par René Sousatte et Jean-Jacques Boucavel [34]. Après avoir appelé au « non » lors du référendum de 1958[34], le PUNGA organise plusieurs manifestations, soutenues par l’UDSG, afin d’obtenir l’indépendance et la tenue de nouvelles élections législatives [30]. En mars 1960, sachant que l’indépendance est déjà donnée par la France, Mba fait interdire par le Conseil des ministres le PUNGA puisque son objectif avoué est atteint [35]. Puis, il lance un mandat d’arrêt contre René Sousatte sous prétexte qu’il comploterait, et des perquisitions ont lieu au domicile de membres de l’UDSG, soupçonnés de complicité [35]. Intimidés, trois députés UDSG rejoignent la majorité gouvernementale représentant désormais 32 députés sur 40[35].
Alors M. Gerbi arrêtez vos conneries de colon svp le temps des indigènes est révolu!
À bon entendeur…
Thierry Boucavel D’hicalt.
Président de l'APEK
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Décolonisation: comment Paris a forcé la main aux Africains Par un fou nommé Alexandre Gerbi néo colon a gerber...
L’élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis jette une lumière glaciale sur l’Histoire de France.
Il y a un demi-siècle, tandis que l’affaire Rosa Parks confrontait l’Amérique ségrégationniste à la révolte noire, la France pouvait passer pour un modèle à suivre: le deuxième personnage de l’Etat, le président du Sénat, était un Noir guyanais, Gaston Monnerville, tandis que d’autres "hommes de couleurs" avaient, depuis longtemps, assumé parmi les plus hautes fonctions de la République.
Dans les années 30, Blaise Diagne avait été secrétaire d’Etat, Gratien Candace vice-président de la Chambre des députés, Félix Eboué gouverneur du Tchad, puis de l’Afrique équatoriale française (AEF).
Après la Seconde Guerre mondiale, la France continua d’être à l’avant-garde: en 1946, Léopold Sédar Senghor participa à l’élaboration de la Constitution, tandis qu’au cours de la décennie suivante, Félix Houphouët-Boigny fut ministre puis ministre d’Etat, Hamani Diori et Mamadou Konaté vice-présidents de l’Assemblée nationale.
Cette liste n’est pas exhaustive, et permet de comprendre qu’à l’époque, comme l’a noté Patrick Lozès, président du CRAN, les Noirs d’Amérique regardaient la France comme une terre d’espoir.
Le problème, c'est la Constitution
Cinquante ans plus tard, comme chacun l’observe, les rôles semblent s’être diamétralement inversés. Face à une Amérique qui prend pour Président un homme "noir" (selon les critères états-uniens…), l’Assemblée nationale française n’accueille qu’au compte-gouttes les Noirs dans ses travées.
Mais ce constat ne suffit pas. Encore faudrait-il se demander pourquoi, depuis un demi-siècle, une telle régression s’est accomplie dans notre pays.
Or, cette question, bien peu de monde semble décidé à se la poser, et surtout à y répondre. Et pour cause! C’est tout le "Système" de la Ve République -totalité des partis politiques, totalité des intellectuels, grands médias, universités, programmes scolaires- qui est compromis dans cette affaire. Parfois, il est vrai, en toute bonne foi, c’est-à-dire par ignorance…
Explications. Le régime sous lequel nous vivons, la Ve République, est fondé sur une gigantesque imposture à caractère antirépublicain et antidémocratique, dont les Français noirs comptent parmi les premières victimes.
L’indépendance de l’Afrique subsaharienne, systématiquement présentée par l’école, les médias, les intellectuels et la classe politique, comme le triomphe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, autrement dit comme le fruit de la volonté des Africains, fut, en réalité, essentiellement décidée par Paris, contre la volonté profonde des Africains.
Surligné en rouge : Sans être une spécialiste et si je sors un peu de ma naïveté afro-congénitale, je trouve que la france est dans sa logique d'il ya cinquante ans. Sauf qu'à l'époque, il fallait nommer une élite sensé représentée la diversité de la grande france, de la métropole aux colonies : ça faisait bien dans un pays autoproclamé pays des droits de l'homme et en même temps il fallait récompenser ceux qui seraient tôt ou tard garants des intérêts de la république. Cela me paraît donc logique, sauf que comme d'habitude, nous avons du mal à voir plus loin que le bout de notre nez.
Relisez donc Césaire. _________________ Freedom is not Free.
Surligné en rouge : Sans être une spécialiste et si je sors un peu de ma naïveté afro-congénitale, je trouve que la france est dans sa logique d'il ya cinquante ans. Sauf qu'à l'époque, il fallait nommer une élite sensé représentée la diversité de la grande france, de la métropole aux colonies : ça faisait bien dans un pays autoproclamé pays des droits de l'homme et en même temps il fallait récompenser ceux qui seraient tôt ou tard garants des intérêts de la république. Cela me paraît donc logique, sauf que comme d'habitude, nous avons du mal à voir plus loin que le bout de notre nez.
Relisez donc Césaire.
Mais quelle lucidité fille d'afrique!!! j'avoue que moi aussi j'avais pas perçu la chose comme ça de première vue. Mais en peu de phrase tu as résumé le "jeu de dupe" auquel la phrase soumet les colonisées et leurs fils depuis des siècles!
Inscrit le: 15 Mar 2005 Messages: 291 Localisation: UK
Posté le: Ven 21 Nov 2008 14:48 Sujet du message: ¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬
Si les anciennes colonies
étaient devenu des DOM
De quelle couleur serait Sarkozy ?
Pensez vous que les politiciens français
d'il y a 50 ans
n'y ont pas pensé ?
Pensez vous que les politiciens du
continent l'ignoraient ?
Le probleme
je pense
n'était pas (n'est pas)
forcement l'independence
Mais la représentativité et la légitimité
des administrateurs
Un system démocratique pour tous, aurait
fait voler en éclat tot ou tard la politique
colonialiste de l'empire France
Aurait il été possible d'empécher le
controle de la politique française par des millions
d'Africains dés lors que la démocratie est vantée par
toutes les puissance occidentales depuis la fin de la 2e GM ?
Une fois de plus :
diviser pour mieu regner
PS:
Apek, je suis très heureux de savoir que tu es le fils de ton père
PS2:
Gerbi - gerber, c'est pas terrible comme jeu de mots...
du reste: who the fuck is he ? _________________ (>8 ¬ ° }
If you will suck my soul...
...I will lick your funky emotions
(<8 ¬ p }
Inscrit le: 25 Mar 2006 Messages: 198 Localisation: Ongola
Posté le: Ven 21 Nov 2008 15:30 Sujet du message: Re: Lettre ouverte à Gerbi un homme a gerber sur rue89.com
apek a écrit:
Cet Alexandre Gerbi semble avoir mangé la moquette, parce que vous croyez « sieur la Gerbe » que les indigènes comme ils étaient surnommés à l’époque, étaient tous pour devenir des citoyens de 2nde zone comme le sont aujourd’hui les antillais de France, cantonnés à des postes subalternes juste au dessus des immigrés africains?
Sachez cher ami que malgré l’embobinage à l’égard des leaders politiques africains de l’époque, et celui de ces mêmes leaders à l’égard de leurs peuples, malgré le bourrage des urnes lors des referendums…Il y avait biens des africains déterminés et qui prônaient l’indépendance de leur pays et croyez bien que je parle ici en connaissance de cause puisque fils d’un des pères fondateurs du Gabon et seul opposant réclamant l’indépendance du pays avec son parti. Evidement dans toutes les sociétés les gens préfèrent l’immobilisme pour conserver leurs petits acquis on le voit encore aujourd’hui avec des gens au PS qui n’appellent à voter ni Aubry, ni Royal espérant intégrer l’équipe gagnante sans s’être mouillé.
En Afrique beaucoup toute la classe intellectuelle et politique locale, voulaient de l’indépendance, mais peu oser l’affirmer tout haut de peur d’être mis au placard si, si les colonies devenaient territoire d’Outre Mers.
Très peu d’hommes on osé affirmer haut et fort dans chaque colonie leur volonté de voir leur pays accéder à l’indépendance et mon père fut de ceux là il fut même le seul.
« Source wikipedia Léon Mba » Gabon
Dès juillet 1958, une troisième force politique tente de s’imposer au Gabon : le Parti de l’Unité nationale gabonaise (PUNGA) mené par René Sousatte et Jean-Jacques Boucavel [34]. Après avoir appelé au « non » lors du référendum de 1958[34], le PUNGA organise plusieurs manifestations, soutenues par l’UDSG, afin d’obtenir l’indépendance et la tenue de nouvelles élections législatives [30]. En mars 1960, sachant que l’indépendance est déjà donnée par la France, Mba fait interdire par le Conseil des ministres le PUNGA puisque son objectif avoué est atteint [35]. Puis, il lance un mandat d’arrêt contre René Sousatte sous prétexte qu’il comploterait, et des perquisitions ont lieu au domicile de membres de l’UDSG, soupçonnés de complicité [35]. Intimidés, trois députés UDSG rejoignent la majorité gouvernementale représentant désormais 32 députés sur 40[35].
Alors M. Gerbi arrêtez vos conneries de colon svp le temps des indigènes est révolu!
À bon entendeur…
Thierry Boucavel D’hicalt.
Président de l'APEK
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Décolonisation: comment Paris a forcé la main aux Africains Par un fou nommé Alexandre Gerbi néo colon a gerber...
L’élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis jette une lumière glaciale sur l’Histoire de France.
Il y a un demi-siècle, tandis que l’affaire Rosa Parks confrontait l’Amérique ségrégationniste à la révolte noire, la France pouvait passer pour un modèle à suivre: le deuxième personnage de l’Etat, le président du Sénat, était un Noir guyanais, Gaston Monnerville, tandis que d’autres "hommes de couleurs" avaient, depuis longtemps, assumé parmi les plus hautes fonctions de la République.
Dans les années 30, Blaise Diagne avait été secrétaire d’Etat, Gratien Candace vice-président de la Chambre des députés, Félix Eboué gouverneur du Tchad, puis de l’Afrique équatoriale française (AEF).
Après la Seconde Guerre mondiale, la France continua d’être à l’avant-garde: en 1946, Léopold Sédar Senghor participa à l’élaboration de la Constitution, tandis qu’au cours de la décennie suivante, Félix Houphouët-Boigny fut ministre puis ministre d’Etat, Hamani Diori et Mamadou Konaté vice-présidents de l’Assemblée nationale.
Cette liste n’est pas exhaustive, et permet de comprendre qu’à l’époque, comme l’a noté Patrick Lozès, président du CRAN, les Noirs d’Amérique regardaient la France comme une terre d’espoir.
Le problème, c'est la Constitution
Cinquante ans plus tard, comme chacun l’observe, les rôles semblent s’être diamétralement inversés. Face à une Amérique qui prend pour Président un homme "noir" (selon les critères états-uniens…), l’Assemblée nationale française n’accueille qu’au compte-gouttes les Noirs dans ses travées.
Mais ce constat ne suffit pas. Encore faudrait-il se demander pourquoi, depuis un demi-siècle, une telle régression s’est accomplie dans notre pays.
Or, cette question, bien peu de monde semble décidé à se la poser, et surtout à y répondre. Et pour cause! C’est tout le "Système" de la Ve République -totalité des partis politiques, totalité des intellectuels, grands médias, universités, programmes scolaires- qui est compromis dans cette affaire. Parfois, il est vrai, en toute bonne foi, c’est-à-dire par ignorance…
Explications. Le régime sous lequel nous vivons, la Ve République, est fondé sur une gigantesque imposture à caractère antirépublicain et antidémocratique, dont les Français noirs comptent parmi les premières victimes.
L’indépendance de l’Afrique subsaharienne, systématiquement présentée par l’école, les médias, les intellectuels et la classe politique, comme le triomphe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, autrement dit comme le fruit de la volonté des Africains, fut, en réalité, essentiellement décidée par Paris, contre la volonté profonde des Africains.
C'est la raison pour laquelle le français ont gentiment massacré les population Camerounaise... Qui voulaient eux leur indépendance...
Afrik 100 Fric _________________ Je suis noir mais j'aime le manioc, bizarre non ?
L’élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis jette une lumière glaciale sur l’Histoire de France.
[color=darkred]Il y a un demi-siècle, tandis que l’affaire Rosa Parks confrontait l’Amérique ségrégationniste à la révolte noire, la France pouvait passer pour un modèle à suivre: le deuxième personnage de l’Etat, le président du Sénat, était un Noir guyanais, Gaston Monnerville, tandis que d’autres "hommes de couleurs" avaient, depuis longtemps, assumé parmi les plus hautes fonctions de la République.
Dans les années 30, Blaise Diagne avait été secrétaire d’Etat, Gratien Candace vice-président de la Chambre des députés, Félix Eboué gouverneur du Tchad, puis de l’Afrique équatoriale française (AEF).
Après la Seconde Guerre mondiale, la France continua d’être à l’avant-garde: en 1946, Léopold Sédar Senghor participa à l’élaboration de la Constitution, tandis qu’au cours de la décennie suivante, Félix Houphouët-Boigny fut ministre puis ministre d’Etat, Hamani Diori et Mamadou Konaté vice-présidents de l’Assemblée nationale.
Cette liste n’est pas exhaustive, et permet de comprendre qu’à l’époque, comme l’a noté Patrick Lozès, président du CRAN, les Noirs d’Amérique regardaient la France comme une terre d’espoir.[/color]
Le problème, c'est la Constitution
Cinquante ans plus tard, comme chacun l’observe, les rôles semblent s’être diamétralement inversés. Face à une Amérique qui prend pour Président un homme "noir" (selon les critères états-uniens…), l’Assemblée nationale française n’accueille qu’au compte-gouttes les Noirs dans ses travées.
Mais ce constat ne suffit pas. Encore faudrait-il se demander pourquoi, depuis un demi-siècle, une telle régression s’est accomplie dans notre pays.
Or, cette question, bien peu de monde semble décidé à se la poser, et surtout à y répondre. Et pour cause! C’est tout le "Système" de la Ve République -totalité des partis politiques, totalité des intellectuels, grands médias, universités, programmes scolaires- qui est compromis dans cette affaire. Parfois, il est vrai, en toute bonne foi, c’est-à-dire par ignorance…
Explications. Le régime sous lequel nous vivons, la Ve République, est fondé sur une gigantesque imposture à caractère antirépublicain et antidémocratique, dont les Français noirs comptent parmi les premières victimes.
L’indépendance de l’Afrique subsaharienne, systématiquement présentée par l’école, les médias, les intellectuels et la classe politique, comme le triomphe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, autrement dit comme le fruit de la volonté des Africains, fut, en réalité, essentiellement décidée par Paris, contre la volonté profonde des Africains.[/quote]
Surligné en rouge : Sans être une spécialiste et si je sors un peu de ma naïveté afro-congénitale, je trouve que la france est dans sa logique d'il ya cinquante ans. Sauf qu'à l'époque, il fallait nommer une élite sensé représentée la diversité de la grande france, de la métropole aux colonies : ça faisait bien dans un pays autoproclamé pays des droits de l'homme et en même temps il fallait récompenser ceux qui seraient tôt ou tard garants des intérêts de la république. Cela me paraît donc logique, sauf que comme d'habitude, nous avons du mal à voir plus loin que le bout de notre nez.
Relisez donc Césaire.[/quote]
Dernière édition par apek le Lun 14 Mar 2011 18:06; édité 2 fois
Posté le: Dim 24 Mai 2009 04:04 Sujet du message: Re: Lettre ouverte à Gerbi un homme a gerber sur rue89.com
Que les indigènes comme ils étaient surnommés à l’époque, étaient tous pour devenir des citoyens de 2nde zone comme le sont aujourd’hui les antillais de France, cantonnés à des postes subalternes juste au dessus des immigrés africains?
Sachez cher ami que malgré l’embobinage à l’égard des leaders politiques africains de l’époque, et celui de ces mêmes leaders à l’égard de leurs peuples, malgré le bourrage des urnes lors des referendums…Il y avait biens des africains déterminés et qui prônaient l’indépendance de leur pays et croyez bien que je parle ici en connaissance de cause puisque fils d’un des pères fondateurs du Gabon et seul opposant réclamant l’indépendance du pays avec son parti. Evidement dans toutes les sociétés les gens préfèrent l’immobilisme pour conserver leurs petits acquis on le voit encore aujourd’hui avec des gens au PS qui n’appellent à voter ni Aubry, ni Royal espérant intégrer l’équipe gagnante sans s’être mouillé.
En Afrique beaucoup toute la classe intellectuelle et politique locale, voulaient de l’indépendance, mais peu oser l’affirmer tout haut de peur d’être mis au placard si, si les colonies devenaient territoire d’Outre Mers.
Très peu d’hommes on osé affirmer haut et fort dans chaque colonie leur volonté de voir leur pays accéder à l’indépendance et mon père fut de ceux là il fut même le seul.
« Source wikipedia Léon Mba » Gabon
Dès juillet 1958, une troisième force politique tente de s’imposer au Gabon : le Parti de l’Unité nationale gabonaise (PUNGA) mené par René Sousatte et Jean-Jacques Boucavel [34]. Après avoir appelé au « non » lors du référendum de 1958[34], le PUNGA organise plusieurs manifestations, soutenues par l’UDSG, afin d’obtenir l’indépendance et la tenue de nouvelles élections législatives [30]. En mars 1960, sachant que l’indépendance est déjà donnée par la France, Mba fait interdire par le Conseil des ministres le PUNGA puisque son objectif avoué est atteint [35]. Puis, il lance un mandat d’arrêt contre René Sousatte sous prétexte qu’il comploterait, et des perquisitions ont lieu au domicile de membres de l’UDSG, soupçonnés de complicité [35]. Intimidés, trois députés UDSG rejoignent la majorité gouvernementale représentant désormais 32 députés sur 40[35].
À bon entendeur…
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Décolonisation: comment Paris a forcé la main aux Africains Par un fou nommé Alexandre Gerbi néo colon a gerber...
L’élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis jette une lumière glaciale sur l’Histoire de France.
Il y a un demi-siècle, tandis que l’affaire Rosa Parks confrontait l’Amérique ségrégationniste à la révolte noire, la France pouvait passer pour un modèle à suivre: le deuxième personnage de l’Etat, le président du Sénat, était un Noir guyanais, Gaston Monnerville, tandis que d’autres "hommes de couleurs" avaient, depuis longtemps, assumé parmi les plus hautes fonctions de la République.
Dans les années 30, Blaise Diagne avait été secrétaire d’Etat, Gratien Candace vice-président de la Chambre des députés, Félix Eboué gouverneur du Tchad, puis de l’Afrique équatoriale française (AEF).
Après la Seconde Guerre mondiale, la France continua d’être à l’avant-garde: en 1946, Léopold Sédar Senghor participa à l’élaboration de la Constitution, tandis qu’au cours de la décennie suivante, Félix Houphouët-Boigny fut ministre puis ministre d’Etat, Hamani Diori et Mamadou Konaté vice-présidents de l’Assemblée nationale.
Cette liste n’est pas exhaustive, et permet de comprendre qu’à l’époque, comme l’a noté Patrick Lozès, président du CRAN, les Noirs d’Amérique regardaient la France comme une terre d’espoir.
Le problème, c'est la Constitution
Cinquante ans plus tard, comme chacun l’observe, les rôles semblent s’être diamétralement inversés. Face à une Amérique qui prend pour Président un homme "noir" (selon les critères états-uniens…), l’Assemblée nationale française n’accueille qu’au compte-gouttes les Noirs dans ses travées.
Mais ce constat ne suffit pas. Encore faudrait-il se demander pourquoi, depuis un demi-siècle, une telle régression s’est accomplie dans notre pays.
Or, cette question, bien peu de monde semble décidé à se la poser, et surtout à y répondre. Et pour cause! C’est tout le "Système" de la Ve République -totalité des partis politiques, totalité des intellectuels, grands médias, universités, programmes scolaires- qui est compromis dans cette affaire. Parfois, il est vrai, en toute bonne foi, c’est-à-dire par ignorance…
Explications. Le régime sous lequel nous vivons, la Ve République, est fondé sur une gigantesque imposture à caractère antirépublicain et antidémocratique, dont les Français noirs comptent parmi les premières victimes.
L’indépendance de l’Afrique subsaharienne, systématiquement présentée par l’école, les médias, les intellectuels et la classe politique, comme le triomphe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, autrement dit comme le fruit de la volonté des Africains, fut, en réalité, essentiellement décidée par Paris, contre la volonté profonde des Africains.[/quote]
C'est la raison pour laquelle le français ont gentiment massacré les population Camerounaise... Qui voulaient eux leur indépendance...
Afrik 100 Fric[/quote]
Dernière édition par apek le Sam 12 Mar 2011 14:14; édité 1 fois
Posté le: Dim 24 Mai 2009 15:06 Sujet du message: Re: ¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬L¬
Ciiman a écrit:
Si les anciennes colonies
étaient devenu des DOM
De quelle couleur serait Sarkozy ?
Pensez vous que les politiciens français
d'il y a 50 ans
n'y ont pas pensé ?
Pensez vous que les politiciens du
continent l'ignoraient ?
Le probleme
je pense
n'était pas (n'est pas)
forcement l'independence
Mais la représentativité et la légitimité
des administrateurs
Un system démocratique pour tous, aurait
fait voler en éclat tot ou tard la politique
colonialiste de l'empire France
Aurait il été possible d'empécher le
controle de la politique française par des millions
d'Africains dés lors que la démocratie est vantée par
toutes les puissance occidentales depuis la fin de la 2e GM ?
Une fois de plus :
diviser pour mieu regner
PS:
Apek, je suis très heureux de savoir que tu es le fils de ton père
PS2:
Gerbi - gerber, c'est pas terrible comme jeu de mots...
du reste: who the fuck is he ?
Bravo frère;trop de de gros mots indépendance,démocratie pour ne qu'embrouiller les esprits des pauvres Africains.Avec de tels élucubrations Les Africains ont vite fait de s'égarer.Beaucoup ont voulu la démocratie alors que l'indépendance n'est même pas encore effective dans leur pays.Il faudra du temps pour que la plupart des Africains comprennent que l'Occident créait des concept bidon pour les éloigner du plus important : "leur liberté".
Posté le: Sam 12 Mar 2011 14:12 Sujet du message: afrique
L’élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis jette une lumière glaciale sur l’Histoire de France.
Il y a un demi-siècle, tandis que l’affaire Rosa Parks confrontait l’Amérique ségrégationniste à la révolte noire, la France pouvait passer pour un modèle à suivre: le deuxième personnage de l’Etat, le président du Sénat, était un Noir guyanais, Gaston Monnerville, tandis que d’autres "hommes de couleurs" avaient, depuis longtemps, assumé parmi les plus hautes fonctions de la République.
Dans les années 30, Blaise Diagne avait été secrétaire d’Etat, Gratien Candace vice-président de la Chambre des députés, Félix Eboué gouverneur du Tchad, puis de l’Afrique équatoriale française (AEF).
Après la Seconde Guerre mondiale, la France continua d’être à l’avant-garde: en 1946, Léopold Sédar Senghor participa à l’élaboration de la Constitution, tandis qu’au cours de la décennie suivante, Félix Houphouët-Boigny fut ministre puis ministre d’Etat, Hamani Diori et Mamadou Konaté vice-présidents de l’Assemblée nationale.
Cette liste n’est pas exhaustive, et permet de comprendre qu’à l’époque, comme l’a noté Patrick Lozès, président du CRAN, les Noirs d’Amérique regardaient la France comme une terre d’espoir.
Le problème, c'est la Constitution
Cinquante ans plus tard, comme chacun l’observe, les rôles semblent s’être diamétralement inversés. Face à une Amérique qui prend pour Président un homme "noir" (selon les critères états-uniens…), l’Assemblée nationale française n’accueille qu’au compte-gouttes les Noirs dans ses travées.
Mais ce constat ne suffit pas. Encore faudrait-il se demander pourquoi, depuis un demi-siècle, une telle régression s’est accomplie dans notre pays.
Or, cette question, bien peu de monde semble décidé à se la poser, et surtout à y répondre. Et pour cause! C’est tout le "Système" de la Ve République -totalité des partis politiques, totalité des intellectuels, grands médias, universités, programmes scolaires- qui est compromis dans cette affaire. Parfois, il est vrai, en toute bonne foi, c’est-à-dire par ignorance…
Explications. Le régime sous lequel nous vivons, la Ve République, est fondé sur une gigantesque imposture à caractère antirépublicain et antidémocratique, dont les Français noirs comptent parmi les premières victimes.
L’indépendance de l’Afrique subsaharienne, systématiquement présentée par l’école, les médias, les intellectuels et la classe politique, comme le triomphe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, autrement dit comme le fruit de la volonté des Africains, fut, en réalité, essentiellement décidée par Paris, contre la volonté profonde des Africains.[/quote]
Surligné en rouge : Sans être une spécialiste et si je sors un peu de ma naïveté afro-congénitale, je trouve que la france est dans sa logique d'il ya cinquante ans. Sauf qu'à l'époque, il fallait nommer une élite sensé représentée la diversité de la grande france, de la métropole aux colonies : ça faisait bien dans un pays autoproclamé pays des droits de l'homme et en même temps il fallait récompenser ceux qui seraient tôt ou tard garants des intérêts de la république. Cela me paraît donc logique, sauf que comme d'habitude, nous avons du mal à voir plus loin que le bout de notre nez.
Relisez donc Césaire
Dernière édition par apek le Lun 14 Mar 2011 18:07; édité 2 fois
Posté le: Lun 14 Mar 2011 18:03 Sujet du message: afrique
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Décolonisation: comment Paris a forcé la main aux Africains Par un fou nommé Alexandre Gerbi néo colon a gerber...
L’élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis jette une lumière glaciale sur l’Histoire de France.
[color=darkred]Il y a un demi-siècle, tandis que l’affaire Rosa Parks confrontait l’Amérique ségrégationniste à la révolte noire, la France pouvait passer pour un modèle à suivre: le deuxième personnage de l’Etat, le président du Sénat, était un Noir guyanais, Gaston Monnerville, tandis que d’autres "hommes de couleurs" avaient, depuis longtemps, assumé parmi les plus hautes fonctions de la République.
Dans les années 30, Blaise Diagne avait été secrétaire d’Etat, Gratien Candace vice-président de la Chambre des députés, Félix Eboué gouverneur du Tchad, puis de l’Afrique équatoriale française (AEF).
Après la Seconde Guerre mondiale, la France continua d’être à l’avant-garde: en 1946, Léopold Sédar Senghor participa à l’élaboration de la Constitution, tandis qu’au cours de la décennie suivante, Félix Houphouët-Boigny fut ministre puis ministre d’Etat, Hamani Diori et Mamadou Konaté vice-présidents de l’Assemblée nationale.
Cette liste n’est pas exhaustive, et permet de comprendre qu’à l’époque, comme l’a noté Patrick Lozès, président du CRAN, les Noirs d’Amérique regardaient la France comme une terre d’espoir.[/color]
Le problème, c'est la Constitution
Cinquante ans plus tard, comme chacun l’observe, les rôles semblent s’être diamétralement inversés. Face à une Amérique qui prend pour Président un homme "noir" (selon les critères états-uniens…), l’Assemblée nationale française n’accueille qu’au compte-gouttes les Noirs dans ses travées.
Mais ce constat ne suffit pas. Encore faudrait-il se demander pourquoi, depuis un demi-siècle, une telle régression s’est accomplie dans notre pays.
Or, cette question, bien peu de monde semble décidé à se la poser, et surtout à y répondre. Et pour cause! C’est tout le "Système" de la Ve République -totalité des partis politiques, totalité des intellectuels, grands médias, universités, programmes scolaires- qui est compromis dans cette affaire. Parfois, il est vrai, en toute bonne foi, c’est-à-dire par ignorance…
Explications. Le régime sous lequel nous vivons, la Ve République, est fondé sur une gigantesque imposture à caractère antirépublicain et antidémocratique, dont les Français noirs comptent parmi les premières victimes.
L’indépendance de l’Afrique subsaharienne, systématiquement présentée par l’école, les médias, les intellectuels et la classe politique, comme le triomphe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, autrement dit comme le fruit de la volonté des Africains, fut, en réalité, essentiellement décidée par Paris, contre la volonté profonde des Africains.[/quote]
Surligné en rouge : Sans être une spécialiste et si je sors un peu de ma naïveté afro-congénitale, je trouve que la france est dans sa logique d'il ya cinquante ans. Sauf qu'à l'époque, il fallait nommer une élite sensé représentée la diversité de la grande france, de la métropole aux colonies : ça faisait bien dans un pays autoproclamé pays des droits de l'homme et en même temps il fallait récompenser ceux qui seraient tôt ou tard garants des intérêts de la république. Cela me paraît donc logique, sauf que comme d'habitude, nous avons du mal à voir plus loin que le bout de notre nez.
Relisez donc Césaire.[/quote]
Posté le: Lun 14 Mar 2011 18:09 Sujet du message: afrique
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Décolonisation: comment Paris a forcé la main aux Africains Par un fou nommé Alexandre Gerbi néo colon a gerber...
L’élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis jette une lumière glaciale sur l’Histoire de France.
Il y a un demi-siècle, tandis que l’affaire Rosa Parks confrontait l’Amérique ségrégationniste à la révolte noire, la France pouvait passer pour un modèle à suivre: le deuxième personnage de l’Etat, le président du Sénat, était un Noir guyanais, Gaston Monnerville, tandis que d’autres "hommes de couleurs" avaient, depuis longtemps, assumé parmi les plus hautes fonctions de la République.
Dans les années 30, Blaise Diagne avait été secrétaire d’Etat, Gratien Candace vice-président de la Chambre des députés, Félix Eboué gouverneur du Tchad, puis de l’Afrique équatoriale française (AEF).
Après la Seconde Guerre mondiale, la France continua d’être à l’avant-garde: en 1946, Léopold Sédar Senghor participa à l’élaboration de la Constitution, tandis qu’au cours de la décennie suivante, Félix Houphouët-Boigny fut ministre puis ministre d’Etat, Hamani Diori et Mamadou Konaté vice-présidents de l’Assemblée nationale.
Cette liste n’est pas exhaustive, et permet de comprendre qu’à l’époque, comme l’a noté Patrick Lozès, président du CRAN, les Noirs d’Amérique regardaient la France comme une terre d’espoir.
Le problème, c'est la Constitution
Cinquante ans plus tard, comme chacun l’observe, les rôles semblent s’être diamétralement inversés. Face à une Amérique qui prend pour Président un homme "noir" (selon les critères états-uniens…), l’Assemblée nationale française n’accueille qu’au compte-gouttes les Noirs dans ses travées.
Mais ce constat ne suffit pas. Encore faudrait-il se demander pourquoi, depuis un demi-siècle, une telle régression s’est accomplie dans notre pays.
Or, cette question, bien peu de monde semble décidé à se la poser, et surtout à y répondre. Et pour cause! C’est tout le "Système" de la Ve République -totalité des partis politiques, totalité des intellectuels, grands médias, universités, programmes scolaires- qui est compromis dans cette affaire. Parfois, il est vrai, en toute bonne foi, c’est-à-dire par ignorance…
Explications. Le régime sous lequel nous vivons, la Ve République, est fondé sur une gigantesque imposture à caractère antirépublicain et antidémocratique, dont les Français noirs comptent parmi les premières victimes.
[size=18][color=red]L’indépendance de l’Afrique subsaharienne, systématiquement présentée par l’école, les médias, les intellectuels et la classe politique, comme le triomphe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, autrement dit comme le fruit de la volonté des Africains, fut, en réalité, essentiellement décidée par Paris, contre la volonté profonde des Africains[/size][/color].[/quote]
C'est la raison pour laquelle le français ont gentiment massacré les population Camerounaise... Qui voulaient eux leur indépendance...
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