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Faire des affaires en chine, un possible Hub

 
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M.O.P.
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MessagePosté le: Jeu 22 Juil 2004 08:42    Sujet du message: Faire des affaires en chine, un possible Hub Répondre en citant

http://www.quotidienmutations.net/cgi-bin/alpha/j/25/2.cgi?category=9&id=1090358879

Economie_Sup : Afriland First Bank : Une brèche dans la Grande muraille .Depuis 1987, la banque connaît une évolution qui la conduit en Chine.
Constant R. Sabang
Afriland First Bank

Depuis près de deux ans, des échos nous parviennent de Chine. Plus précisément de Beijing, ville où Afriland First Bank a ouvert tout récemment une représentation. Selon ses promoteurs, la banque camerounaise sert pour l’heure de courroie entre les opérateurs économiques chinois et camerounais, voire africains. La philosophie qui soutend cette démarche est simple : " faire connaître la Chine aux Camerounais et le Cameroun, par conséquent l’Afrique, aux Chinois tout en suscitant un courant d’affaires entre les deux pays, avec l’intermédiation de la First Bank ". De l’avis des responsables de cet établissement financier créé en 1997 sous le nom de Caisse commune d’épargne et d’investissement (Ccei), il s’agit de l’aboutissement de quinze ans de progression et d’innovation.

Le bureau de Beijing, c’est l’une des quatorze représentations de la banque, disséminées à travers le monde, et dont dont les plus prestigieuses sont celles de Yaoundé, de la Guinée Equatoriale (Ccei Bank), de de Sao – Tome et Principe, mais aussi la République du Congo... En Europe, Afriland est aussi présente. A Paris notamment. Sans parler du réseau de correspondants et de partenaires essaimés aux quatre coins de la planète. Et tout récemment, celle de Chine. De ce coté de la planète justement, la banque s’investit considérablement dans les domaines de l’agriculture, de l’agro-Industrie, de l’industrie de l’industrie du Bois, de l’équipement, de l’artisanat, de l’organisation des salons et des foires, du tourisme…

Opportunités
" Ici, il est particulièrement question d’amener les Chinois à s’intéresser au Cameroun et vice-versa. Pas seulement dans les activités de commerce, mais aussi et surtout dans le cadre d’un transfert de technologie " apprend-t-on des services proches de la direction générale de Yaoundé. Ce qui explique probablement pourquoi, durant un récent séjour au Cameroun, une mission chinoise constituée de nombre d’industriels et d’agro-industriels s’est baladée a travers le pays, " question nous dit-on, d’évaluer les besoins [des futurs partenaires] tout en prospectant des opportunités dont pourrait bénéficier la Chine ". Notamment dans le domaine du bois, de l’agriculture, du tourisme, de l’artisanat, le cuir. Ce pays, faut-il le relever représente près du cinquième de la population mondiale. Un marché quasi-illimité. Offrant d’innombrables opportunités d’affaires…

C’est probablement parce qu’elle est consciente de ces enjeux que la First Bank, s’est arrogé un rôle de facilitateur. Insistant sur le volet conseil et assistance administrative, les études de marché ou de marketing, la recherche de partenaires techniques et commerciaux. Généralement dans la cadre des joint-ventures. Toute choses qua traduisent des visites organisées entre l’un et l’autre pays. A ce propos, la récente mission conduite par la responsable de l’Agence chinoise a permis surtout " d’explorer les opportunités d’affaires entre les deux pays, ceci afin de jour pleinement son rôle d’intermédiation ". En un peu plus d’un mois, cette mission s’est rendue dans l’arrière-pays. Notamment à Kribi, Limbé, Foumban, Bamenda, et Baham…
Des rencontres marquées par des séances de travail avec une trentaine d’opérateurs économiques locaux qui ont pu échanger avec leurs homologues chinois, cinq industriels invités de la banque. Par ailleurs, la mission chinoise de la First Bank a tenu des réunions avec la Mutuelle financière des femmes africaines (Muffa), une institution de micro finance, essentiellement dédiée aux femmes. A l’issue de la rencontre qui regroupait près de 80 femmes, il a été convenu la mise sur pied d’un programme d’initiation à la micro entreprenariat avec des chinois.


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M.O.P.
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MessagePosté le: Jeu 22 Juil 2004 08:43    Sujet du message: Info2 Répondre en citant

http://www.quotidienmutations.net/cgi-bin/alpha/j/25/2.cgi?category=9&id=1090358727

Jessie Liang : Du charme dans les affaires .La Dg d’Afriland Chine assure l’intermédiation entre Chinois et Africains.
Constant R. Sabang
Afriland First Bank

De nos amis Chinois, on a l’image de ces commerçants qui ouvrent des échoppes un peu partout, inondent nos marchés, vendent des produits de qualité parfois approximative… Bref les Chinois aujourd’hui au Cameroun, c’est quasiment le commerce à la sauvette. Image proche de la réalité, mais qui ne reflète pas exactement la réalité des échanges entre nos deux pays. Et comme pour se départir de ces clichés, de ce Chinois à la mine affable qui maîtrise mieux les coupures de Cfa que nos langues officielles, voilà que débarque un authentique chef d’entreprise. Précisément Jessie Lang, 42 ans et directrice générale d’Afriland Bank Beijing Office, représentation chinoise d’Afriland First Bank. Sans efforts, elle tranche nettement avec les idées arrêtées sur ses compatriotes. Cette dame, qui préside depuis quelque temps, aux destinés de la banque de Paul Fokam affiche un Cv assez révélateur de ses compétences et dispose d’un job description assez intéressant.

Jessie Liang a pour mission essentielle de diriger une banque d’affaires. C’est-à-dire " de rechercher des opportunités, de fournir des conseils à des investisseurs potentiels, de leur trouver des partenaires, de matérialiser des joint-ventures ". Un rôle de facilitation en somme. Une partition qu’elle joue avec un talent certain dans la nouvelle symphonie des affaires qui s’écoute l’Afrique noire à la Chine continentale. En attendant de développer, dans les trois prochaine années, les activités de banque commerciale. Toujours a Beijing.
Ayant séjourné au Cameroun ces dernières semaines, dans le cadre d’une mission d’affaires, on a peine le temps d’apprendre qu’elle a fait des études supérieures aux Etats-Unis, qu’elle s’envole déjà pour le Ghana. Toujours en quête de ses partenaires africains qui, à travers elle et sa banque, envisagent désormais les affaires avec des entrepreneurs de l’Empire du milieu sous de meilleurs auspices.

Dans un anglais impeccable, teinté d’un délicieux accent pékinois, elle évoque les circonstances de sa rencontre avec le Président d’Afriland : " Du Cameroun, avoue-t-elle, je ne connaissais que le football. J’ai rencontré M. Fokam qui prospectait en chine. Une visite dans notre usine[la Chang Chanlin Group Ndrl], l’a convaincu des possibilités de partenariat. Trois mois après, nous sommes venus au Cameroun pour l’installation d’une unité de montage de cycles. Nous nous sommes rendu au siège d’Afriland et ça été le déclic".
Résultat, une convention de partenariat, étant donné " qu’il existait des partenaires solides sur place, que le pays jouissait d’une stabilité certaine ", avant d’ajouter en souriant, "Ce qui a convaincu le gouvernement chinois à accepter le projet d’ouverture d’une représentation Afriland, deux ans après avoir épluché les détails de notre projet." Une victoire, pour qui connaît la méticulosité des autorités chinoises, et qui bénéficie aussi de l’onction, fait relativement rare, du gouvernement camerounais.

Désormais, madame la Dg s’atèle à de nouvelle tâches : mettre à la disposition des hommes d’affaires chinois des informations fiables sur les opportunités d’affaires au Cameroun et en Afrique. " En Chine, précise-t-elle, les usines sont très nombreuses et leur marché s’avère étroit et elles sont prêtes à profiter du moindre débouché en Afrique ".
Avant de se consacrer essentiellement à la finance internationale, Jessie Liang a évolué dans les Télécoms. D’abord pour le compte de Fax International, une entreprise américaine, et ensuite la Pan Datanet Co Ltd, dont elle a, par ailleurs, été directrice général. " Son sens des affaires, nous indiquent ses collègues camerounais, lui a permis de flairer un créneau porteur : celui de l’intermédiation financière entre partenaires d’affaires Africains et Chinois." Sans hésiter, elle a accepté la proposition de Paul Fokam, à savoir, mettre en place le bureau de représentation de la First Bank en Chine. Et manifestement ça marche pour elle.


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M.O.P.
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MessagePosté le: Jeu 22 Juil 2004 09:05    Sujet du message: Info3 Répondre en citant

http://www.jeuneafrique.com/gabarits/articleJAI_online.asp?art_cle=LIN30123afrilxuaelb0

Afriland First Bank sur tous les tableaux

Afriland First Bank

Banque d'affaires à vocation internationale, le groupe présidé par Paul Fokam se veut, avant tout, profondément africain. Le paradoxe n'est qu'apparent...


Pour Afriland First Bank, 2002 est décidément l'année de tous les records. Son bilan total culmine à 141 milliards de F CFA (215 millions d'euros, + 13 % par rapport à l'année précédente), alors que les dépôts de sa clientèle ont augmenté de 21 % pour atteindre 118 milliards, dont plus de 70 % placés sur des comptes épargne. Quant au résultat net d'exploitation (1,4 milliard de F CFA), il fait un bond de 32 %. Bref, le groupe présidé Paul Kammogne Fokam confirme son ambition de devenir la troisième banque du Cameroun à l'horizon 2005. Une ambition qui n'a rien de démesuré, même si ses concurrents directs ne sont pas les premiers venus, qu'il s'agisse de la Banque internationale du Cameroun pour l'épargne et le crédit (BICEC), du groupe Banques populaires, du Crédit Lyonnais du Cameroun ou de la Société générale de banque du Cameroun (SGBC).
Mais les espoirs du groupe ne se limitent pas à son pays d'origine. À l'instar de la Bank of Africa, d'Ecobank ou de la BGFI Bank, Afriland a aujourd'hui pignon sur rue dans plusieurs pays subsahariens. Déjà présente en Guinée équatoriale depuis 1994 sous le nom de CCEI Bank (Caisse commune d'épargne et d'investissement), elle a récemment ouvert une succursale dans le port congolais de Pointe-Noire, ainsi qu'à São Tomé e Príncipe, en 2002. Cette même année, le groupe a pris pied en Côte d'Ivoire via une prise de participation dans le capital de la banque Omnifinance. Des partenariats ont en outre été mis en place avec des établissements comme la Banque de développement du Tchad, la Société marocaine de dépôt et de crédit et la First National Bank of South Africa.

Pourtant, à en croire son patron, Afriland First Bank n'est pas une banque panafricaine. « Ce terme désigne un agglomérat d'entités qui auraient perdu leur identité, explique Fokam. Je préfère parler de "banque africaine", puisque, par ses racines, sa culture et ses actions, notre entreprise l'est en effet profondément. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle nous avons, l'an dernier, changé de raison sociale. "Afriland" souligne notre attachement au continent et "First" notre ambition professionnelle. »

Pourtant, les objectifs du groupe débordent largement le continent. Des bureaux ont ainsi été ouverts en France et en Chine, et plusieurs autres partenariats lui assurent une représentation en Amérique et en Europe occidentale. En fait, la démarche de Paul Fokam est double : « Nous voulons, dit-il, développer des partenariats entre l'Afrique et le reste du monde à travers nos activités de banque d'affaires. Et parallèlement, mobiliser l'épargne de la diaspora. »

De manière générale, le problème des banques africaines n'est certainement pas le manque de liquidités. Faute de projets « bancables », ce serait même plutôt le contraire ! « C'est pourquoi Afriland s'efforce de répondre aux demandes de financements à long terme, commente Fokam. Car ce sont ces services financiers qui font le plus défaut aux entreprises. La Bourse des valeurs mobilières d'Afrique centrale, à Libreville, ou le Douala Stock Exchange ne pourront remplir leur mission tant que des mesures destinées à promouvoir l'investissement en Afrique centrale ne seront pas mises en place. Il faut au préalable modifier l'environnement des affaires et réduire de manière significative le coût des facteurs de production. Tant que la situation n'évoluera pas, la Bourse restera une coquille vide. »

Faute d'instruments financiers communautaires, Afriland a donc choisi de développer des produits adaptés, en misant notamment sur les fonds de capital-risque. En 1998, avec le soutien de la coopération néerlandaise, il crée Cenainvest (Central Africal Investment), un outil de capital-risque destiné aux entrepreneurs africains souhaitant réaliser des investissements à moyen et long terme (sept ans en moyenne). À ce jour, plus de 2,3 milliards de F CFA ont ainsi été mobilisés par le biais de diverses prises de participation.
Enfin, même s'il a surtout des activités de banque d'affaires (60 % de son chiffre d'affaires), le groupe ne néglige pas sa clientèle de base : les PME du secteur formel et les petits commerces informels, ainsi que les ménages désireux d'acquérir des produits financiers. Contrairement aux filiales des multinationales, qui appliquent sur le terrain des recettes « universelles », Afriland met l'accent sur l'adéquation entre ses services et leurs usagers. Dans les pays où existent des communautés musulmanes importantes, elle a lancé le compte de dépôt islamique, respectueux des règles imposées par l'islam (absence d'agios, d'intérêts et de frais de tenue de compte), et propose une épargne « spécial pèlerinage ». Plutôt que d'investir dans des équipements monétiques inaccessibles au plus grand nombre (comme les ditributeurs automatiques de billets), Afriland a choisi de développer le Flash Cash, un outil bancaire qui permet de remplacer l'argent liquide par des contre-valeurs certifiées. Autre produit en cours de lancement, la e-card, un instrument de paiement sécurisé qui permettra aux clients d'éviter de transporter de grosses sommes en espèces.
Enfin, le groupe s'intéresse à la finance comme outil de développement social. Il est à l'origine d'un réseau d'une cinquantaine d'établissements de microcrédit baptisés MC2, ou Muffa (Mutuelles financières des femmes africaines). Docteur en gestion et enseignant au Conservatoire national des arts et métiers (Paris), le Bamiléké Paul Fokam se veut profondément afro-optimiste. Passionné par les cultures africaines, il est parvenu à bâtir un groupe financier sans renier ce qui fait sa spécificité. L'établissement qu'il préside respecte scrupuleusement les normes « prudentielles » internationales sans pour autant se couper de sa clientèle de Bafoussam ou de Kousseri.
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M.O.P.
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MessagePosté le: Jeu 22 Juil 2004 09:18    Sujet du message: Fonds de capitaux risques Répondre en citant

Fonds de capitaux risques

CENAINVEST
Central Africa Investment

Née d’une volonté commune de la FMO (Société Financière Néerlandaise pour le Développement) et d’Afriland First Bank, la Central Africa Investment - CENAINVEST S.A- est une société de gestion de fonds de capital risque destinée à répondre au problème crucial de financement du haut de bilan des entreprises en création, en restructuration ou en croissance.

SECTEUR D'INTERVENTION
Hormis les jeux de hasard et les industries d’armement, CENAINVEST intervient dans multiples secteurs d’activités tels que :
- les télécommunications
- les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC)
- l’agro-industrie
- les études géologiques
- le bâtiment et les travaux publics
- les assurances
- l’industrie chimique et pharmaceutique
- le tourisme et l’hôtellerie
- etc.

MECANISME D'INTERVENTION
Elle aide les entrepreneurs à réaliser des investissements propices en mettant à leur disposition de l’argent intelligent, assorti d’un suivi des performances, des conseils en management et d’une assistance technique.
Les modes de financement sont variés et peuvent prendre la forme :
- de participations au capital (souscription d’actions);
- de prêts participatifs;
- d’obligations;
- de dettes subordonnées.

A relever que les prises de participation au capital ou les emprunts convertibles sont de l’ordre d’un minimum de 25% à un maximum de 49% des fonds propres.
Pour accéder aux fonds, il suffit de :
- confectionner un dossier d’affaires,
- prendre contact avec la CENAINVEST (qui met à votre disposition une équipe multidisciplinaire de spécialistes qui vous assistera dans le bouclage du dossier).
- rédiger une demande de financement dans le cas où le dossier avait déjà été confectionné.

CONSTITUTION DES DOSSIERS D'AFFAIRES
Le dossier d’affaires comprend les éléments ci-après :
- la présentation des promoteurs;
- la présentation de l’entreprise accompagnée des textes juridiques de base (statuts…);
- la présentation de l’organigramme et des dirigeants;
- la description des produits et/ou services;
- la description et l’évaluation du marché cible;
- la présentation du plan d’investissement;
- la présentation du plan marketing;
- la présentation des ressources humaines existantes;
- les besoins nouveaux, justificatifs et stratégie de financement;
- les états financiers prévisionnels (compte de résultat, bilan, plan de trésorerie);
- l’analyse de la rentabilité (seuil de rentabilité, ratios endettement, liquidité, solvabilité);
- l’analyse de la sensibilité;
- l’analyse des risques.

Renseignements et Contact : M. ALAMINE OUSMANE MEY

aomey@afrilandfirstbank.com
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M.O.P.
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MessagePosté le: Jeu 22 Juil 2004 09:20    Sujet du message: Re: Fonds de capitaux risques Répondre en citant

Fonds de capitaux risques - 2

MITFUND
Micro Trust Fund

La MITFUND est le 1er fond de Capital Risque destiné aux financment des micro-projets. Il est née d'une volonté commune de KAFINVEST et d'Afriland First Bank de mettre sur pied un instrument d'appui :
- aux besoins en financement du haut de bilan des micro entreprises dans la sous-région d'Afrique Centrale ;
- à une insuffisance de recherches appliquées sur cette portion de l'économie ;
- à un important déficit de formation des micro entrepreneurs.

Plusieurs secteurs sont concernés par ces fonds ; il s'agit de :
- l'élevage ;
- la taillerie ;
- la pisciculture ;
- le petit commerce ;
- l'agriculture ;
- la transformation de produits de base ;
- la parapharmacie rurale ;
- l'extraction sable ;
- l'aviculture ;
- le petit restaurant ;
- les télé boutiques ;
- etc.

Une évaluation préalable au financement doit prouver le bon potentiel du projet sur les quatre points essentiels suivants :
- le fort potentiel de croissance ;
- le taux de rendement élevé ;
- la maîtrise par le promoteur du marché visé ;
- les capacités d'épargne, d'investissement et de gestion du (des) promoteur(s).

Pour accéder aux fonds, il suffit de :
- confectionner un dossier d'affaires,
- prendre contact avec la MITFUND (qui met à votre disposition son équipe multidisciplinaire de spécialistes pour vous assister a dans le bouclage de votre dossier)
- rédiger une demande de financement lorsqu'on avait déjà confectionné son dossier de financement.

N.B :

- MITFUND rémunère ses placements à des taux variant entre 17 et 35%. Ces taux élevés se justifient par l'énorme potentiel de croissance et de rentabilité des micro entreprises.
- Les ressources mises à la disposition de votre micro entreprise pour une durée maximale de cinq ans ne font l'objet d'aucune caution ni garantie. Au terme du partenariat, MITFUND se retire de votre projet par la vente de ses parts auprès des entrepreneurs ou de toutes personnes choisies d'accord partie.
- A relever que le séjour de MITFUND dans une micro entreprise varie entre 1 et 5 ans et son apport oscille entre 100.000 et 5.000.000 FCFA par projet.

Renseignements et Contact: Joseph TOUBI

jtoubi@afrilandfirstbank.com
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M.O.P.
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MessagePosté le: Jeu 22 Juil 2004 09:23    Sujet du message: Re: Fonds de capitaux risques Répondre en citant

Fonds de capitaux risques - 3

SAPA
Société Africaine de Participation



C’est une société de capital risque qui a été créée pour permettre aux nationaux de prendre une part active dans le processus de privatisation des entreprises publiques d’une part et la création des sociétés d’autre part. On lui doit :

- l’acquisition de la Société Camerounaise de Manutentions (SOCAMAC)
- la création de la SAAR – Société d’Assurances et de Réassurances
- la création de la SAPI – Société Africaine de Promotion Immobilière
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Kamiche
Grioonaute régulier


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MessagePosté le: Ven 30 Juil 2004 01:39    Sujet du message: Re: Fonds de capitaux risques Répondre en citant

Merci MOP pour ces liens. J'ai pris le temps de les parcourir et ils regorgent d'informations intéressantes.
Par contre j'aimerais bien avoir le témoignage de quelqu'un qui a pu monté un projet grâce à l'un de ces fonds, question d'avoir une appréciation de son parcours.

Merci encore.
PS: si c'est pas indiscret, comment es-tu arrivé là dessus, je veux dire est-ce le résultat d'une recherche particulière?
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Nino
Bon posteur


Inscrit le: 05 Mar 2004
Messages: 603

MessagePosté le: Ven 30 Juil 2004 09:13    Sujet du message: Re: Fonds de capitaux risques Répondre en citant

kamiche a écrit:
si c'est pas indiscret, comment es-tu arrivé là dessus, je veux dire est-ce le résultat d'une recherche particulière?


Il me SEMBLE que ce sont des articles du journal camerounais en ligne www.quotidienmutations.net

A ce propos, la banque Afriland First Bank recherche des jeunes diplomés intéressés par l'activité bancaire ( au sens large, pas forcément uniquement sur le plan financier) et qui souhaiteraient travailler au Cameroun.
_________________
Mon blog: http://nino.akopo.com
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M.O.P.
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MessagePosté le: Ven 30 Juil 2004 16:17    Sujet du message: Re: Fonds de capitaux risques Répondre en citant

kamiche a écrit:

Merci encore.
PS: si c'est pas indiscret, comment es-tu arrivé là dessus, je veux dire est-ce le résultat d'une recherche particulière?


En effef Comme Nino l'indique, les deux premiers articles sont du quotidien mutation le lien se trouve a l'en-tete des textes.

Et les informations sur les "Fonds de capitaux risques" m'ont particulierement interesse.

kamiche a écrit:

Par contre j'aimerais bien avoir le témoignage de quelqu'un qui a pu monté un projet grâce à l'un de ces fonds, question d'avoir une appréciation de son parcours.


Ca m'interesserait aussi (les autres je suppose egalement).

Nino as tu des contacts plus etroits avec cette banque ?
Si c'est pas trop indiscret evidemment!
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Kamiche
Grioonaute régulier


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Messages: 332

MessagePosté le: Dim 01 Aoû 2004 01:18    Sujet du message: Re: Fonds de capitaux risques Répondre en citant

M.O.P. a écrit:
kamiche a écrit:

Merci encore.
PS: si c'est pas indiscret, comment es-tu arrivé là dessus, je veux dire est-ce le résultat d'une recherche particulière?


En effef Comme Nino l'indique, les deux premiers articles sont du quotidien mutation le lien se trouve a l'en-tete des textes.

Et les informations sur les "Fonds de capitaux risques" m'ont particulierement interesse.

Je voulais en fait savoir si c'est tes activités professionnelles, académiques ou des projets personnels qui t'amènent à rechercher ce genre d'informations.
Moi personnellement, je termine mes études dans environ deux ans et je voudrais bien rentrer avec un ou plusieurs projets bien ficelés, question de ne pas aller à l'aventure.
Du coup tout ce qui a trait à des possibilités de financement m'intéresse.
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Kamiche
Grioonaute régulier


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MessagePosté le: Lun 02 Aoû 2004 23:01    Sujet du message: Re: Fonds de capitaux risques Répondre en citant

kamiche a écrit:
kamiche a écrit:

Merci encore.
PS: si c'est pas indiscret, comment es-tu arrivé là dessus, je veux dire est-ce le résultat d'une recherche particulière?

Je voulais en fait savoir si c'est tes activités professionnelles, académiques ou des projets personnels qui t'amènent à rechercher ce genre d'informations.

Je crois que j'ai été indiscret.
Sorry.
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M.O.P.
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MessagePosté le: Mar 03 Aoû 2004 06:33    Sujet du message: Re: Fonds de capitaux risques Répondre en citant

kamiche a écrit:

Merci encore.
PS: si c'est pas indiscret, comment es-tu arrivé là dessus, je veux dire est-ce le résultat d'une recherche particulière?

Je voulais en fait savoir si c'est tes activités professionnelles, académiques ou des projets personnels qui t'amènent à rechercher ce genre d'informations.

Je crois que j'ai été indiscret.
Sorry.[/quote]

T'inquietes karmiche,
c'etait pas si indiscret que ca, je repond tres souvent sporadiquement selon ma disponibilite(malheureusement).
Disons que c'est plus a titre personnel que ce type d'informations m'interessent.

kamiche a écrit:

je termine mes études dans environ deux ans et je voudrais bien rentrer avec un ou plusieurs projets bien ficelés, question de ne pas aller à l'aventure.
Du coup tout ce qui a trait à des possibilités de financement m'intéresse.


Je me disais bien que ce type d'informations pouvaient en interesser plus d'un Smile
Sinon je te souhaite beaucoup de succes, tu peux toujours m'envoyer un mp.
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