Posté le: Mer 15 Fév 2006 22:40 Sujet du message: Le Sénégal aspire à devenir un pays émergent
Le Sénégal aspire à devenir un pays émergent par la réalisation des infrastructures
Par CHEN Shun
DAKAR, 12 février (XINHUANET) -- Le Sénégal ambitionne de se hisser au rang des pays émergents dans une décennie par le biais d'un vaste projet de réalisation des infrastructures à Dakar et dans ses environs.
Ce projet consiste, dans un premier temps, en la construction d'une autoroute à péage entre Dakar et Diamniadio, sur une distance de 34 km, desservant également le nouvel aéroport international à construire à Ndiass, à 42 km au nord de la capitale sénégalaise.
L'entreprise est de taille, car il faut poser une chaussée de six voies jalonnées de plusieurs échangeurs (Malick Sy, Patte d'Oie, Pont de Hann), sans compter le pont de Colobane et le viaduc de Pikine à refaire et plusieurs carrefours à réaménager.
Le coût global des travaux s'élève à 200 milliards de FCFA, soit 400 millions de dollars, comprenant la couverture du recasement des populations à déplacer. Le niveau de financement public optimum pour assurer l'attractivité du projet pour le secteur privé est de 64% de l'investissement et les contributions privées attendues totalisent 47 milliards de FCFA (94 millions de dollars).
La Société chinoise de Henan pour les travaux de construction, qui avait obtenu l'adjudication de ce marché avant même le rétablissement des relations diplomatiques entre Beijing et Dakar le 25 octobre 2005, s'attèle à cet ouvrage de concert avec la compagnie locale Jean Lefèvre. Actuellement, les travaux battent leur plein sur le terrain et tout le matériel s'ébranle jour et nuit pour la réalisation en temps voulu du projet d'importance stratégique pour le Sénégal, a observé Xinhua sur place.
Un tel projet se justifie par l'accroissement extrêmement rapide de la population dakaroise qui est de 2,5 millions d'habitants aujourd'hui contre 500 000 en 1967, c'est-à-dire 30% de la population du pays sur 0,3% du territoire national (550 sur 196 700 km2). La seule région de Dakar abrite de nos jours 80% de l'activité économique nationale, en plus des fonctions administratives et politiques. Par conséquent, la réalisation d'une autoroute s'impose, compte tenu de l'encombrement de la circulation,désormais permanent et qui frise la paralysie aux heures de pointe à l'entrée de la capitale.
En effet, à travers la réalisation de ce projet, l'objectif visé par le gouvernement sénégalais est de restaurer au niveau du transport les conditions nécessaires à la consolidation de la croissance et de favoriser l'émergence de nouvelles zones d'investissement et de développement économique sur l'axe Dakar- Thiès en faveur des secteurs aussi divers que l'horticulture, le textile, la confection, les nouvelles technologiques, explique la Direction générale de l'Agence pour la promotion de l'investissement et des grands travaux (APIX), qui pilote ce projet.
Comme l'a affirmé le Premier ministre sénégalais, Macky Sall, la politique de réalisation de grands projets d'infrastructures menée par le gouvernement sénégalais doit être comprise comme élément central d'une démarche volontariste portée par la vision du chef de l'Etat Abdulaye Wade de créer les conditions d'un développement économique durable et de faire du Sénégal un pays émergent à l'horizon 2015. Fin
ki nèg nwè ki nèg klè
ki nèg klè ki nèg nwè
tout nèg a nèg
nèg klè pè nèg nwè
nèg nwè pa lè wè nèg klè
nèg nwè ké wéy klè
senti i sa roune nèg klè
mè nèg klè ké wéy klè a toujou nèg
sa ki fèt pou nèg vin' blang?
blang té gen chivé pli long?
pou senblé yé nou trapé chivé plat kon fil mang!!!
mandé to fanm...!
mè pou kisa blang lé vin' nwè?
ha... savé ki avan vin' blan yé té ja nèg!
a nou mèm ké nou mèm dépi nânni nânnan...
chinwa soti, kouli soti, indyen soti, blang soti
mèm koté nèg soti
Sénégal : 18,5 milliards de francs CFA placés dans l'aquaculture
DAKAR, 15 février (XINHUANET) -- Le financement de l'aquaculture, défini dans le programme national pour 2006-2010, se chiffre à 18, 5 milliards de francs CFA, a annoncé Matar Diouf, directeur de la pêche continentale et de l'aquaculture du Sénégal, cité mercredi par la presse officielle sénégalaise.
"Le secteur très jeune, très dynamique, est plein d'espoir. Nous avons l'ambition de passer à 100.000 tonnes (de produits aquacoles) en moins de cinq ans", a-t-il déclaré lors d'une séance des "Grands débats de l'information", organisée mardi dans les locaux du ministère de l'Information.
Au Sénégal, les premières expériences d'élevage de poissons, crevettes, crustacés, remontent à une trentaine d'années. L'objectif poursuivi par le gouvernement est d'augmenter la contribution du sous-secteur dans la satisfaction des besoins alimentaires et la croissance économique.
La contrainte la plus posée est la non maîtrise de l'eau, tandis que l'aménagement coûte cher (jusqu'à 6 millions), a indiqué M. Diouf, estimant que le retard est également dû à l'insuffisance d'usines d'aliments pour espèces cultivées.
Pour combler le déficit de la pêche continentale, l'appoint vient du programme de bassins de rétention. Seuls une trentaine sur plus de 130 au Sénégal présentent des caractéristiques qui s'adaptent à l'aquaculture, selon le ministre. Fin
ki nèg nwè ki nèg klè
ki nèg klè ki nèg nwè
tout nèg a nèg
nèg klè pè nèg nwè
nèg nwè pa lè wè nèg klè
nèg nwè ké wéy klè
senti i sa roune nèg klè
mè nèg klè ké wéy klè a toujou nèg
sa ki fèt pou nèg vin' blang?
blang té gen chivé pli long?
pou senblé yé nou trapé chivé plat kon fil mang!!!
mandé to fanm...!
mè pou kisa blang lé vin' nwè?
ha... savé ki avan vin' blan yé té ja nèg!
a nou mèm ké nou mèm dépi nânni nânnan...
chinwa soti, kouli soti, indyen soti, blang soti
mèm koté nèg soti
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum