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Impact de la recherche scientifique en Afrique.

 
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M.O.P.
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MessagePosté le: Mar 21 Mar 2006 19:26    Sujet du message: Impact de la recherche scientifique en Afrique. Répondre en citant

Espace Ntic: Lier le bois à l'internet
A Polytech, des chercheurs fabriquent des antennes à base de substrat en bois.

il y a plus d'une décennie déjà, la réalisation par des ingénieurs locaux d'antennes paraboliques. La mise au point de cette technologie à faible coût eu pour effet multiplicateur l'accès de toutes les couches sociales à la télévision par câble. Dans la même logique de baisse du coût d'accès aux technologies de l'information, l'équipe du Pr Tonye, chercheur et enseignant à Polytech vient de mettre au point un procédé technologique qui permet, à partir d'un assemblage fait à base de matériaux locaux, de permettre l'accès à l'internet.


http://www.cameroon-info.net/cmi_show_news.php?id=17424

Les travaux menés à l'Ecole nationale supérieure Polytechnique en ce moment sont du même ordre qu ceux qui consacrèrent, il y a plus d'une décennie déjà, la réalisation par des ingénieurs locaux d'antennes paraboliques. La mise au point de cette technologie à faible coût eu pour effet multiplicateur l'accès de toutes les couches sociales à la télévision par câble. Dans la même logique de baisse du coût d'accès aux technologies de l'information, l'équipe du Pr Tonye, chercheur et enseignant à Polytech vient de mettre au point un procédé technologique qui permet, à partir d'un assemblage fait à base de matériaux locaux, de permettre l'accès à l'internet.

Le dispositif " Antennes pour système de communication inter-universitaire " a pour but de développer des didacticiels sur ordinateur pour l'aide à l'enseignement en électromagnétisme, propagation et rayonnement d'ondes électromagnétiques. Ces recherches ont été menées dans le cadre des travaux de thèse de Bossou Olivier Vidémé, en partenariat avec l'Ecole polytechnique Fédérale de Lausanne, Suisse. Après la réflexion, les auteurs veulent déjà passer à la phase opérationnelle, en mettant sur pied des antennes à base de matériaux locaux qui permettront d'effectuer des connexions autonomes via satellite et achever ainsi la diffusion libre des didacticiels par internet. Ces antennes seront construites dans la mesure du possible avec des matériaux locaux. Dans une dernière phase, l'antenne sera combinée avec l'équipement électronique de base pour construire une micro-station terrienne, conçue et assemblée sur place à partir de composants bon marché.

De manière plus spécifique, ce dispositif serait une solution de connectivité alliant coût et qualité. Pour une connexion à l'Internet, il ne coûterait, d'après ses inventeurs que la modique somme de 100 à 150.000 Fcfa environ, là où les dispositifs similaires en vente sur le marché se situent à 750.000 Fcfa. Et du coup, des opportunités d'affaires : " Notre motivation, explique Emmanuel Tonye, est fondée sur le fait que nous apportons une innovation dans le domaine, car nous serons les premiers à fabriquer ces produits localement au Cameroun en utilisant les matériaux locaux tels que le bois et l'aluminium et surtout nous comptons faire chuter les prix. Pour l'instant nous avons développé des prototypes qui fonctionnent bien et nous comptons d'ici la fin de cette année finaliser le produit ".

Il ne fait aucun doute que la mise en service à grande échelle d'une telle technologie serait une solution numérique pour nombre d'utilisateurs dont les cybercafés, les particuliers… qui, du fait de l'inaccessibilité financière des technologies existantes semblent jusque-là limités dans leurs marges. " Une baisse considérable des prix des moyens de communication augmentera le nombre d'utilisateurs et ouvrira les portes à d'autres types d'investisseurs dans le domaine de la radiocommunication ", soutient Emmanuel Tonye. Reste qu'il faudra encore patienter, d'ici à ce que les financements soient trouvés pour passer des maquettes au prototypage puis à la fabrication industrielle
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M.O.P.
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MessagePosté le: Mar 21 Mar 2006 19:31    Sujet du message: Répondre en citant

Génial: un Climatiseur fonctionnant à base d’eau plate

http://www.cameroon-info.net/cmi_show_news.php?id=17423

YAOUNDE - 21 MARS 2006
© Jeanine FANKAM, Cameroon Tribune


Ventifraîcheur résout les problèmes de pollution, d’assèchement de l’air et est huit fois plus économique que les ventilateurs classiques.

André Talla, inventeur de ventifraîcheur, a basé sa recherche sur l’exploitation de la thermodynamique. Il est parti de certaines observations : d’abord, du constat que la plupart des climatiseurs coûtent cher en investissement et en consommation énergétique. Le plus petit d’entre eux a une puissance d’un cheval, l’équivalent de 736 watts. Sur la base de petits calculs, en supposant qu’on fait fonctionner ce ventilateur d’un cheval pendant 10 heures de temps chaque jour au Cameroun, il engendre une dépense mensuelle d’environ 16.560 Fcfa. Mais dans les usages, c’est généralement les climatiseurs de trois à cinq chevaux qu’on rencontre dans les bureaux, ce qui alourdit davantage les dépenses.

L’autre constat, c’est que les climatiseurs classiques sont nuisibles à l’environnement. Ils fonctionnent au moyen de gaz à effet de serre qui détruisent la couche d’ozone essentielle dans la protection de l’atmosphère contre les rayons ultraviolets. Ces climatiseurs classiques peuvent aussi nuire à la santé dans la mesure où en fonctionnant, ils condensent l’eau contenue dans l’atmosphère, diminuant par le fait, le degré hygrométrique de l’air et provoquant les problèmes d’assèchement des muqueuses. En plus de ces trois observations, le protocole de Tokyo qui visait à retirer progressivement du marché les appareils à base du Chloro-fluoro-carbone (CFC) à l’horizon 2030 a fortement motivé le chercheur à inventer un climatiseur qui ne desserve pas l’environnement et qui limiterait les dépenses de son utilisateur.

Le chercheur aboutit à un appareil qui fonctionne à base d’eau plate, plus économique, ne posant aucun préjudice à l’environnement. André Talla a conçu un système tel que l’air qui vient de l’extérieur pour ventiler une pièce passe dans une surface mouillée où il perd sa chaleur latente en absorbant l’humidité ; ce qui a pour conséquence la diminution de sa température sèche (celle mesurée au simple thermomètre à mercure) qui évolue vers sa température humide. Tout le système est compact et est composé d’un bac à eau, d'une petite pompe de 13 watts qui produit des jets d’eau, d'une surface d’échange constituée de copeaux de bois constamment humidifiés, d’un dispositif équipé d'un ventilateur centrifuge devant aspirer l’air qui passe par la surface humidifiée et d'un variateur de vitesses permettant de réguler les paramètres de l'air à admettre dans le local à climatiser. Résultat : la température initiale de l’air évolue vers sa température humide qui, selon l’inventeur, peut être 20 fois plus petite que la température du départ.

Ventrifraîcheur, de l’avis de André talla, offre le même confort que les climatiseurs classiques, avec les avantages ci-dessus énumérés. En terme de comparaison, et sur la base des calculs, le chercheur affirme que là où le climatiseur classique crée une dépense de 16.560 Fcfa, le Ventifraîcheur se limite à 2.250 Fcfa.

L’appareil a été conçu en 1995. Faute de bailleur de fonds, le produit n’a pas été vulgarisé au Cameroun. Par contre, en Afrique de l’Ouest, il serait très connu et a du succès.
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Boursine
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MessagePosté le: Mar 21 Mar 2006 20:08    Sujet du message: Répondre en citant

La recherche scientifique est nécessaire pour tous les pays africains, au même titre que les autres pays du monde. Faire de la recherche, c'est s'interroger, déconstruire, et poser des questions sur ses propres réponses; un vrai travail se "Sysiphe".
Dans le contexte actuelle de pauvreté, la présence des chercheurs dans tous les domaines n'est pas un luxe mais une nécessité absolue. Il faut tout essayer, du moins un maximum de solutions, faire une lecture critique des tendance dans le mone entier pour les aprivoiser, les africaniser.
POUR CE FAIRE IL FAUT AUTRE CHOSE QUE DE "LA RACAILLE" QUI PRESIDE AU DESTIN D'UNE GRANDE PARTIE DES PAYS AFRICAINS. ENTENDEZ IL FAUT DES PRESIDENTS AVEC DES PROJETS DE SOCIETE ET NON DES PROJET DE COMPTE EN BANQUE ET DE NEPOTISME.

ASSALAMOU ALEIKOUM
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Vivre l'Afrique, parler d'Afrique dans le monde, parler du monde selon l'Afrique, parler des africains du monde, du monde des africains pour finalement mettre l'Afrique sur un piédestal au firmament et contempler notre terre promise comme un viatique indélébile. Nous reviendrons au terme de nos pérégrinations pour parachever l'oeuvre et murir l'héritage de nos ancêtres.
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Kamiche
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Messages: 332

MessagePosté le: Jeu 23 Mar 2006 05:55    Sujet du message: Répondre en citant

Boursine a écrit:
Dans le contexte actuelle de pauvreté, la présence des chercheurs dans tous les domaines n'est pas un luxe mais une nécessité absolue. Il faut tout essayer, du moins un maximum de solutions, faire une lecture critique des tendance dans le monde entier pour les aprivoiser, les africaniser.

Les africaniser. A mon avis c'est là que nous devrions commencer. Il y a tellement de techniques, dans tous les domaines, qui ne nécessitent que d'être adaptées pour résoudre les nombreux problèmes que nous connaissons. Le tout est de savoir apprivoiser, et non copier et reproduire à l'identique comme c'est malheureusement très souvent le cas.

Naturellement, cela demande quand même quelques prérequis sans lesquels rien ne peut se faire. D'abord la formation; on a tellement écrit dessus que je ne vais pas y revenir. Ensuite, la diffusion de l'information scientifique, qui doit être confiée à des professionnels, et idéalement il faudrait créer des revues spécialisées pour publier nos propres résultats. A titre d'exemple, dans le rapport d'avancement du projet de création d'antennes (http://www.lets.africa-web.org/Recherche/RapportDDC2004.pdf), on lit ceci p.4:
Citation:
Ces résultats nous montrent que l’Ayous est un milieu anisotrope de pertes diélectriques très élevées. Au vu de ces pertes qui sont très significatives, nous pouvons conclure que l’Ayous ne peut être utilisé comme substrat pour les antennes imprimées qu’au prix d’une réduction appréciable du gain d’antenne.

Et p.8
Citation:
Les matériaux locaux ne semblent pas idéaux et le recours aux matériaux standard pourrait être envisagé.

Et lorsque dans l'article on lit ceci, on a plus l'impression d'être en face d'un article de propagande, qu'un article de sciences.
Citation:
De manière plus spécifique, ce dispositif serait une solution de connectivité alliant coût et qualité.

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I long to accomplish great and noble tasks, but it is my chief duty to accomplish humble tasks as though they were great and noble.
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M.O.P.
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MessagePosté le: Jeu 23 Mar 2006 09:01    Sujet du message: Répondre en citant

kamiche a écrit:

Naturellement, cela demande quand même quelques prérequis sans lesquels rien ne peut se faire. D'abord la formation; on a tellement écrit dessus que je ne vais pas y revenir. Ensuite, la diffusion de l'information scientifique, qui doit être confiée à des professionnels, et idéalement il faudrait créer des revues spécialisées pour publier nos propres résultats. A titre d'exemple, dans le rapport d'avancement du projet de création d'antennes (http://www.lets.africa-web.org/Recherche/RapportDDC2004.pdf), on lit ceci p.4:
Citation:
Ces résultats nous montrent que l’Ayous est un milieu anisotrope de pertes diélectriques très élevées. Au vu de ces pertes qui sont très significatives, nous pouvons conclure que l’Ayous ne peut être utilisé comme substrat pour les antennes imprimées qu’au prix d’une réduction appréciable du gain d’antenne.

Et p.8
Citation:
Les matériaux locaux ne semblent pas idéaux et le recours aux matériaux standard pourrait être envisagé.

Et lorsque dans l'article on lit ceci, on a plus l'impression d'être en face d'un article de propagande, qu'un article de sciences.
Citation:
De manière plus spécifique, ce dispositif serait une solution de connectivité alliant coût et qualité.


T'as raison karmiche, c'est a se demander s'ils n'ont pas consulter les responsables du projet avant d'ecrire leur article.
Shocked
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videme
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MessagePosté le: Mar 04 Juil 2006 12:04    Sujet du message: Réaction Répondre en citant

Ce travail de recherche n'est pas de la propagande. Car nous avons à notre disposition des résultats qui justifie notre idée première. Je crois qu'il faudra attendre la publication officielle des résultats avant de porter un jugement.
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M.O.P.
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MessagePosté le: Mer 26 Juil 2006 13:14    Sujet du message: Répondre en citant

Jean Paul Nyoma : Le self-made-man vit son rêve

http://www.quotidienmutations.net/mutations/50.php?subaction=showfull&id=1153883070&archive=&start_from=&ucat=50&

Electronicien, il a bénéficié des financements du programme national d'appui à l'auto-emploi.
Emile Zola Ndé Tchoussi
--------------------------------------------------------------------------------
Dans le cadre de la visite des unités de production soutenues par le gouvernement camerounais à travers le Programme national d'appui à l'auto-emploi, les ministres Zacharie Perevet, de l'Emploi et de la Formation professionnel, et Bernard Messengue Avom, des Petites et moyennes entreprises (Pme), ont fait escale, il y a quelques jours, au carrefour Bata Nlongkak à Yaoundé, où est installé Nyoma Technology. Un atelier de maintenance électronique qui, avec l'aide du Fonds national de l'emploi (Fne), a mis sur pied une machine à compter les pièces de monnaie. Apparemment fier de sa création, Jean Paul Nyoma est passé à la démonstration. Sur un appareil dont le sélecteur oscille entre les chiffres 10 et 2000, l'inventeur clique sur le chiffre 50. Du coup, devant un public émerveillé, le bec de l'appareil déverse exactement les 50 pièces de monnaie commandées...

"L'idée de créer cet appareil est survenu quand j'ai vu la peine que se donnaient les exploitants de casinos pour compter manuellement l'argent. Après un an et demi de recherche, j'ai, en 2004, inventé cet appareil numérique, afin de faciliter le comptage de pièces", raconte Jean Paul Nyoma. Se souvenant avoir arrêté ses études en classe de 5ème, cet électronicien de 46 ans est un parfait autodidacte. Car, prétend-il: "Dans un rêve, deux vieillards m'avaient remis un trousseau de clefs. Quelques jours après ce songe, sans avoir été apprenti et sans le sou, j'ai aménagé au domicile familial, un endroit où je pouvais dépanner tous types d'appareils électroniques. Une passion qui ne m'a pas quitté depuis 23 ans".

La machine à compter les pièces n'est pourtant pas la première découverte de Jean Paul Nyoma. "En 2004, pendant la grande période de délestages qu'a connue Yaoundé, je ne parvenais pas à satisfaire mes clients. J'ai dû inventer un accumulateur d'énergie, qui devait me rendre autonome.", raconte-t-il. Le "Groupe emectro-secours", selon son inventeur, fournit le courant électrique grâce à une batterie spécialement installée. Avec une autonomie de six heures, il a une puissance de 250 watts. L'appareil peut ainsi, selon son concepteur, alimenter, sans risque, un téléviseur, un lecteur de casettes, une chaîne musicale, un magnétophone, un ordinateur et diverses lampes. Il coûte 65.000 Fcfa, alors que le prix des machines à compter l'argent varie selon leur capacité. Selon qu'on désire une machine à 900 ou de 5000 pièces, les prix vont de 140.000 à 250.000 Fcfa.

Avec l'aide du ministère de l'Industrie, des Mines et du Développement technologique, Jean Paul Nyoma, qui emploie une dizaine de jeunes Camerounais dans sa Pme, devrait obtenir bientôt son Brevet d'invention à l'Organisation africaine de la propriété intellectuelle (Oapi). Inscrit dans le programme d'appui du Fne, après étude de son dossier, il a obtenu un crédit de 2,8 millions de Fcfa pour l'extension de ses activités. Mieux, Camille Mouthé à Bidias, le directeur général du Fne, marqué par le "génie" de Jean Paul Nyoma, lui a promis, pour cette année, un stage de perfectionnement de trois mois en Allemagne.
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