Grioo.com   Grioo Pour Elle     Village   TV   Musique Forums   Agenda   Blogs  



grioo.com
Espace de discussion
 
RSS  FAQFAQ   RechercherRechercher   Liste des MembresListe des Membres   Groupes d'utilisateursGroupes d'utilisateurs   S'enregistrerS'enregistrer
 ProfilProfil   Se connecter pour vérifier ses messages privésSe connecter pour vérifier ses messages privés   ConnexionConnexion 

Sida, ebola, sras, guerre biologique?

 
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet       grioo.com Index du Forum -> Santé
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
Sorel
Grioonaute


Inscrit le: 01 Avr 2004
Messages: 45

MessagePosté le: Mar 27 Juin 2006 04:08    Sujet du message: Sida, ebola, sras, guerre biologique? Répondre en citant

Le SRAS, virus de la pneumonie atypique,aurait été fabriqué en laboratoire !

Selon une dépêche Reuters datée du vendredi 11 avril 2033, intitulée "Le SRAS a peut-être été créé en laboratoire -expert russe" :





Pour Sergueï Kolesnikov, de l’Académie des sciences médicales russe, la maladie semble combiner la rougeole et les oreillons, synthèse qui ne peut être réalisée qu’en laboratoire. »

Selon cet autre reportage intitulé "Sars biological weapon ?", c’est-à-dire "Le SRAS, une arme biologique ?", paru le 11/04/2003 15:13 sur le site new24.com :

Nikolai Filatov, head of Moscow’s epidemiological services, told the Gazeta daily that he thought the pneumonia was man-made because "there is no vaccine for this virus, its make-up is unclear, it has not been very widespread and the population is not immune to it." »,

C’est-à-dire :

Nikolaï Filatov, chef des services épidémiologiques de Moscou, a dit à la "Gazeta daily" qu’il pensait que le SRAS avait été fabriqué par l’homme parce que "il n’y a pas de vaccin pour ce virus, son processus d’apparition n’est pas clair, il n’était pas très répandu à l’origine, et la population n’a aucune immunité contre lui." »

Cela fait deux savants russes disant qu’ils voient mal comment il serait possible que le SRAS n’ait pas été fabriqué par l’homme : Sergueï Kolesnikov, de l’Académie des sciences médicales russe, et Nikolaï Filatov, le chef des services épidémiologiques de Moscou.

Numérotons les arguments de ces deux spécialistes :

1°) La nature ne peut produire un tel virus, dont l’ARN est une combinaison de celui de la rougeole et de celui des oreillons (Kolesnikov)
2°) Il n’y a pas de vaccin contre ce virus (Filatov 1)
3°) On ne comprend pas comment ce virus est apparu (Filatov 2)
4°) À l’origine, il est peu répandu (Filatov 3)
5°) La population n’a aucune immunité contre lui (Filatov 4)

Tentons maintenant de comprendre ce que signifie chacun de ces points :

Le point 1 n’a besoin d’aucune explication, me semble-t-il.

Pour le point 3, on peut comparer, par exemple, avec le virus de la grippe. Les chercheurs savent très bien comment et où il apparaît. À tel point qu’ils peuvent chaque année prévoir ce que sera à l’avance le nouveau virus grippal et, même, faire un vaccin relativement efficace pour prévenir cette nouvelle version de la maladie. Donc, quand un nouveau virus apparaît de façon naturelle, on peut souvent comprendre son apparition. Ce qui n’est visiblement pas le cas pour celui de la pneumonie atypique.

Pour le point 4, quand un nouveau virus apparaît, il n’en apparaît pas qu’un en un seul endroit très restreint. C’est au contraire toute une population, ou du moins toute une fraction d’une population d’un virus déjà existant, qui se met à muter. Donc, si le virus SRAS était apparu de façon naturelle ; alors, dès ses débuts, il aurait été plus répandu.

Le point 5 est un peu plus difficile, d’autant plus qu’il est lié par l’un de ses deux aspects au point 2. Pour l’aspect le plus facile : si ce virus était préexistant, même très peu répandu et refusant jusque là de se répandre beaucoup, et que, pour une certaine raison encore inconnue, il se soit mis à se propager à grande vitesse, alors, il existerait forcément depuis le début quelques être humains asymptomatiques (des personnes qui n’ont pas les symptomes de la pneumonie atypique) qui auraient des anticorps leur permettant de se défendre au moins un peu contre ce virus. Ce qui semble ne pas être le cas.

J’ai réservé le point 2 pour la fin parce que, pour comprendre en quoi le fait qu’il n’y ait pas de vaccin contre le virus SRAS pouvait prouver qu’il a été fabriqué en laboratoire, j’ai dû demander des explications à un biologiste. Il m’a dit que puisque le filament d’ARN du virus SRAS était une combinaison du filament d’ARN du virus de la rougeole et du filament d’ARN du virus des oreillons, normalement, n’importe quel vaccin contre la rougeole ou contre les oreillons devrait fonctionner contre le virus SRAS (et bien sûr, c’est le deuxième aspect du point 5, toutes les personnes immunisées par vaccination contre la rougeole ou les oreillons devraient être immunisées contre ce virus), ce qui n’est pas le cas !

Conclusion : les diverses parties du filament d’ARN du virus SRAS ont été soigneusement sélectionnées parmi les parties constituant les ARN des virus de la rougeole et des oreillons, en éliminant chacune de celles que les divers vaccins contre la rougeole ou les oreillons pourraient reconnaître comme étant une signature d’un de ces virus. Sélection extrêmement improbable que la nature n’avait pas le temps de faire, les vaccins en question étant bien trop récents. Comme de toute façon ce n’est certainement pas en Chine, dans le Guangdong, que ces vaccins ont été le plus répandus, il y avait très très peu de chance pour qu’un tel événement aussi miraculeux se réalise précisément à cet endroit. Donc, même si elle avait eu la possibilité théorique de réaliser d’elle-même une telle chimère, ce qui est de toute façon scientifiquement impossible, la nature n’en avait pas les moyens en si peu de temps, surtout à cet endroit.

Tout ce qu’on connaît du virus de la pneumonie atypique nous amène à conclure que c’est l’homme qui l’a fabriqué par manipulation génétique. Et la seule raison pouvant expliquer que ce virus ait été conçu de façon à ce que les vaccins existant contre la rougeole ou les oreillons ne puissent fonctionner contre lui, c’est la volonté de fabriquer un virus de guerre.

Bien sûr, de tout cela, on ne peut déduire que c’est le gouvernement chinois qui a fabriqué ce virus de guerre et qui l’a laissé s’échapper par mégarde. Il peut très bien s’agir d’une attaque perpétrée contre la Chine par un autre pays ; mais, si tel est le cas, on comprend mal pourquoi, en Chine, beaucoup de malades sont soignés dans des hôpitaux militaires et que, de surcroît, l’accès desdits hôpitaux militaires soit refusé à l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), comme si les Chinois ne voulaient pas que l’on sache comment ils soignent les gens. Comme si les soins qu’ils leur prodiquent contre la pneumonie atypique étaient un secret millitaire.

Mais ne jugeons pas trop vite, il pourrait tout aussi bien s’agir d’une attaque-avertissement des USA contre la Chine ayant eu pour but de lui prouver que le bioterrorisme, ça existe, et que, par conséquent, Pékin aurait tord de trop se déclarer "contre" la nouvelle guerre du Golfe (celle qui vient paraît-il de se terminer) avec l’alliance France-Allemagne-Russie. Et dans ce cas, il se peut que le secret militaire entretenu par Pékin autour de la pneumonie atypique soit seulement dû à sa volonté de cacher la gravité de cette épidémie et son incapacité à l’endiguer.

Tout n’est pas noir dans ce tableau

En effet, quand un laboratoire fabrique un nouveau virus, il se débrouille toujours pour insérer dans ce virus un gène de sensibilité à un médicament quelconque et à un vaccin. D’ailleurs, c’est ce que pense Sergueï Kolesnikov : « Les laboratoires de ce type fabriquent généralement des vaccins en même temps que des armes biologiques ; un antidote devrait donc être trouvé prochainement ».

Ne soyons pas trop optimistes toutefois. On va voir dans quelle mesure le gouvernement créateur du SRAS tient à son virus de guerre : s’il donne le vaccin, il perd du même coup son virus de guerre, mais s’il ne donne pas bientôt les médicaments et le vaccin, ce sera très grave pour l’humanité. Tout dépendra des pressions qui seront faites sur ledit gouvernement.

Question médicaments, les médecins de Hong Kong disent soigner correctement la pneumonie atypique dans 80 à 90% des cas avec une association Stéroïdes + Ribavarin (c’est-à-dire avec les mêmes médicaments que pour la rougeole ou les oreillons).

do

do est l’animateur du site Vive La Révolution, qui, entres autres, développe la thèse plus que sérieuse de "l’incendie du Reichtag", à propos du 11 septembre, à savoir que les services spéciaux états-uniens auraient comandité les attentats du 11 septembre, pour justifier ensuite l’invasion de l’afganistan, puis de l’Irak...

lire en ligne


http://www.grainvert.com/article.php3?id_article=426

Qu’est-ce donc qui a pris Mathieu Kérékou actuel président du Bénin de passage à Paris fin 2002 pour qu’il déclare, à propos du SIDA, à l’adresse de compatriotes abasourdis : Ce sont les puissances étrangères qui ont inventé ce fléau pour décimer les Noirs d’Afrique…J’ai en ma possession un document confidentiel qui le prouve. Si j’en divulgue le contenu on se rendra bien vite compte du scandale.

Le ralliement du président béninois à des thèses que l’on ne connaît officiellement et principalement qu’à Thabo Mbeki le président sud-africain en a surpris plus d’un, d’autant que la position était sans détours. Il faut bien reconnaître que les thèses conspirationnistes sur le SIDA ne sont pas nouvelles et que les points de vue des pays et populations africains -Afrique du Sud, Zimbabwé, Namibie…-qui ont vu à l’œuvre toutes sortes de tentatives d’extermination bio-terroristes mériteraient une plus grande attention de la part de la communauté internationale à commencer par les Africains concernés au premier chef.

La position des grands laboratoires pharmaceutiques domine sans partage les débats sur l’origine et les thérapies de la pandémie, et l’opinion internationale est poussée à soutenir les énormes financements nécessaires à la recherche de thérapies et de vaccins. Ce conditionnement lucratif pour toute la chaîne des décideurs politiques, sociaux et économiques sidavores relègue au second plan une véritable discussion sur l’origine du syndrome.

Il faut signaler que les débats des scientifiques portent sur plusieurs aspects du développement de la maladie et de son apparition. Certains mettent en cause le lien VIH-SIDA, arguant de l’antériorité du VIH au SIDA. Il aurait existé depuis bien longtemps avant le SIDA et se retrouverait aussi inoffensif dans des organismes sains. Pour d’autres, un virus qui se transmet par le sang ne peut se développer dans un contexte hétérosexuel puisque les rapports sont en général peu traumatiques et ne se prêtent pas aux lésions répétées responsables de la transmission. La prolifération dans une Afrique hétérosexuelle essentiellement est donc suspecte, d’autant plus que, si dans cette optique on peut penser que les modes de vie dits à risques, agressant régulièrement les organismes par des drogues intra-veineuses et transfusions répétées maximisent les chances de transmission du virus, le continent africain devrait être le moins touché. Son niveau de développement et ses pratiques culturelles ne s’accordant pas avec des transfusions massives et drogues intra-veineuses… Par ailleurs bien des chercheurs sont curieux de connaître des précédents de virus inoffensifs chez l’animal devenus mortels une fois transmis -et de quelle manière ?- à l’humain.

Au delà des controverses tournant autour de la transmission du virus et de son identification, se trouvent en amont des interrogations beaucoup plus graves que l’humanité ne devrait aucunement occulter, ne serait-ce que par égoïsme et auto-protection, la thèse selon laquelle le SIDA serait une invention de l’homme. La gravité d’une telle charge pesant sur la morale et la crédibilité internationales des grandes puissances et des organisations mondiales est lourde et sans commune gravité. Deux principaux arguments sont avancés avec pertinence.

L’argument par lequel le SIDA résulterait des campagnes de vaccination expérimentales effectuées en Afrique dans les années 50 serait de l’ordre du cynisme, du calcul économique amoral et corrompu et de la chosification des Africains, cobayes parfaits.

L’ancien journaliste de la BBC Edgard Hooper, suivant en cela une poignée de scientifiques, a consacré une longue enquête sur cette thèse. Au terme de 600 interviews à travers le monde, de l’analyse de plus de 4000 textes, de la production de données inédites, il découvre que les cartes de localisation des premières vaccinations contre la polio correspondent à celles de l’émergence des premières traces de VIH en Afrique. Fait accablant, tous les cas connus de VIH recensés en Afrique avant 1981 se situent à l’intérieur d’un rayon de 160 kilomètres des villes ayant fait l’objet des premières campagnes de vaccination antipolio entre 1957 et 1960. De facto le plus ancien exemplaire connu de VIH recueilli chez un Africain remonte à 1959 à Léopoldville dans l’actuel Congo Démocratique.

La compétition et les conflits de concurrence entre les responsables des premiers essais ont pu mener à une course démoniaque au vaccin, des négligences et inconséquentes seraient responsables de l’apparition du VIH chez l’humain. En effet le VIH serait le descendant direct d’un Virus d’Immunodéficience Simienne porté par le chimpanzé, transmis à l’homme par les lots d’un vaccin oral expérimental fabriqués à l’aide de cultures cellulaires provenant de reins de singes, eux-mêmes possiblement porteurs du VIS.

L’autre argument plus proprement lié à la thèse de la conspiration -encore qu’une thèse n’en exclu pas nécessairement une autre-, visant à décimer les noirs d’Afrique est à mettre en relation avec la période folle où le régime d’apartheid sud-africain cherchait à réduire la population noire pour éviter que le One man One vote ne fasse basculer le pouvoir politique. Avec les principales puissances voyoutes du globe, chacune pour ses intérêts, Etats-Unis, Israël, France, mais aussi Libye, ou Irak, l’Afrique du Sud blanche développait un programme d’avant-garde de bio-terrorisme recherchant une molécule susceptible de ne s’attaquer qu’à une population ciblée, les populations noires via la mélanine notamment.

Il n’y a rien d’improbable dans cette hypothèse puisque l’Afrique du Sud a longtemps officiellement utilisé toutes les armes de décimation des populations noires, empoisonnements, anthrax, stérilisation des femmes etc. En 1993 les Etats-Unis ont reconnu avoir inoculé la tuberculose dans les années 50 à des populations noires du Sud des Etats-Unis pour comprendre le cycle d’évolution de la maladie dont on connaissait déjà le traitement.

Au niveau international, les rapports des experts se suivent et se ressemblent qui imposent aux Africains de réduire leur croissance démographique, certains ont proposé de délocaliser les industries très polluantes en Afrique…, de même que c’est un secret de polichinelle que des puissances économiques enfouissent leurs déchets industriels et nucléaires en Afrique en collusion avec les autorités locales.

En définitive le SIDA prend une nouvelle dimension dans les rapports des peuples du monde avec la liberté, avec l’oppression extrême des puissants, les tentatives répétées d’extermination des peuples faibles, les Africains aujourd’hui et depuis le 15ème siècle, sort qu’ils ont partagé à l’époque avec les Amérindiens. Le prochain sur la liste ?

La possibilité, la probabilité d’une conspiration raciale pour décimer les noirs Africains ne peut être écartée d’autant plus qu’il y a une véritable deuxième conspiration, celle du silence, silence des politiques occidentaux, des médias, et adhésion inconsciente mais active des Africains à leur décimation progressive sur les fronts de la guerre, de la santé, des pillages par privatisations corrompues…



Lire The River, A Journey to the source of HIV and AIDS, Edward Hooper, Litte Brown and Company, 1999

Lire aussi Les premières campagnes de vaccination contre la poliomyélite pourraient être à l’origine de la propagation du VIH et de l’épidémie de sida. Paris 25 avril 2000, Cyberscience

http://www.afrikara.com/index.php?page=contenu&art=171&d=171
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé MSN Messenger
Cika
Grioonaute régulier


Inscrit le: 13 Jan 2006
Messages: 382
Localisation: What else?

MessagePosté le: Mar 27 Juin 2006 08:58    Sujet du message: Répondre en citant

un débat assez vif sur le pétendu <<VIH>> ICI
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet       grioo.com Index du Forum -> Santé Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
Page 1 sur 1

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum



Powered by phpBB © 2001 phpBB Group