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Dentarel,l'invention d'1 camerounaise fait grincer des dents

 
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M.O.P.
Super Posteur


Inscrit le: 11 Mar 2004
Messages: 3224

MessagePosté le: Jeu 01 Fév 2007 08:30    Sujet du message: Dentarel,l'invention d'1 camerounaise fait grincer des dents Répondre en citant

L'invention de cette Camerounaise, Lydie Ouega, revolutionne le monde des implants dentaires et lui cause la foudre des dentistes francais.


http://www.lydie-ouega.fr/
Citation:

DENTAREL le postiche dentaire sur mesure, sans crochet métalique , remplace efficacement bridge et implant.DENTAREL est remboursé par la MGEN , RITCHAARD SANTE , LE COMITE D'ENTREPRISE DE LA VILLE DE REIMS.Renseignez-auprès de votre assurance complémentaire des conditions de remboursement d'un postiche dentaire. Brevet International : PCT/FR04/000307


Arrow Un reportage sur Lydie Ouega sur RFO, En fin du journal

Cette Invention a le potentiel de rendre cette Dame riche, bougrement riche!!!!

Si elle reussit, comme elle le prevoit, d'ouvrir des magasins franchises un peu partout dans le monde


Citation:

Lydie OUEGA:

Après avoir entammé des études de médecine , Lydie sous les conseils de sa soeur chirurgien-dentiste décide de suivre plutôt des études de prothésiste dentaire.

Elle rentre en 1987 à IFOSUPD ( institut de formation supérieure de prothésiste dentaire ) à Aix- en - Provence. Très bonne élève elle achève un cycle de 4 ans en 3 ans et obtient ainsi son diplôme de prothésiste dentaire avec une spécialisation en céramique et en stellite.

En 1990 elle occupe son 1er poste de prothésiste dentaire au département de prothèse fixée à TROYES dans l'Aube.

En 1991 elle occupe encore un poste de prothésiste dentaire au département de prothèses fixée à REIMS dans la Marne.

En 1996 elle participe au 1er CANNES INTERNATIONAL DENTAL CONGRESS à cANNES où elle particite à de nombreux stages notamment en implantologie.

En 1996 , elle entame une formation de deux ans en vue de préparer au BTM l'équivalent du brevet de maîtrise en prothèse dentaire .

En 1997 elle rentre au Centre de Soins Dentaires de l'hôpital Maison Blanche à Reims parallèlement à sa formation de BTM où elle se spécialise en prothèse totale.

En 1999 , elle crée son propre laboratoire de prothèses dentaires où elle travaille comme le prévoit la loi , uniquement avec les chirurgiens dentistes. Elle fabrique des prothèses fixées ( inlay/onlay , inlay-core , coronne coulée , bridge métallique ou céramique ...) et des appareillages amovibles ( appareil dentaire de une dent à toutes les dents ).

Lydie s'est servie de son labo de prothèse comme d'un véritable laboratoire de recherce qui est sa passion.

En 2002 elle dépose ainsi son 1er brevet d'inventiopn : le porte - empreinte dentaire à taille unique en accordéon pour lequel elle obtient le prix de lauréate du développement technologique régional par l'ancien l'ANVAR INNOVATION.

Encouragée par Mme CLAUDIE REIGNERAY alors Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche , elle dépose en 2003 son 2è brevet d'invention sur l'auto-prise d'empreinte dentaire qui lui permet de fabriquer entre autres des DENTAREL : postiche dentaire , sans crochet métallique et surtout sans aucune intervention dans votre bouche du client !!!!!

Cette invention a donné naissance à un nouveau savoir-faire : concept Lydie Ouega - postiche dentaire.

Depuis Lydie développe son concept LYDIE OUEGA dans ses magasins de Reims et Paris.



Arrow Un Article sur la Dame


Lydie L. Tchouangang recevant le Trophée "Brevet" du Développement technologique des mains de Patrick Cazeneuve, Délégué régional de l'ANVAR


Lydie Tchouangang et son ingénieux porte-empreinte.

Ouega prothèses dentaires, le premier porte-empreinte «toutes tailles» à usage unique
Les dentistes sont toujours à courir derrière leurs porte-empreintes dentaires, déclinés en plusieurs tailles, à la fois pour le haut et le bas de la mâchoire. Et quand ils n'ont pas sous la main la taille adaptée à la bouche de leur patient, ils doivent improviser et bricoler. Lydie Livolsi Tchouangang, prothésiste dentaire depuis douze ans, a trouvé la solution à ce problème récurrent. Elle a inventé et fait breveter le porte-empreinte « à géométrie variable ». Et, qui plus est, jetable.

Ouega, c'est le nom de l'entreprise individuelle (et artisanale) qu'a créée Lydie Livolsi Tchouangang. Au passage, et pour l'anecdote, signalons que c'est aussi le nom de son papa. Cette mère de famille de 39 ans a une soeur dentiste. C'est elle qui lui conseille de s'orienter vers le métier de prothésiste dentaire. Elle sait qu'il y a beaucoup à faire dans cette profession trop peu valorisée en France mais qui requiert un grand nombre de connaissances et débouche sur de vrais savoir-faire. Lydie fait son apprentissage dans une école privée d'Aix-en-Provence et a la chance de pouvoir travailler dès cette époque un jour par semaine dans un labo. Elle va vite. Elle réussit à effectuer ses quatre années en trois ans et sort avec deux spécialités en sus du CAP de base: spécialité en céramique dentaire et en stellite (ces plaques métalliques supports des dentiers). Un premier poste à Troyes en 1990 et la voilà qui rejoint Reims où elle travaille pendant six ans chez Estrade-Lebon. Elle veut encore progresser et obtient, grâce au Fongecif, les moyens de poursuivre une formation en alternance. Elle découvre la prothèse totale sous la coupe du professeur Jean-Pierre Martin, de la faculté de Reims. Son mémoire s'intitule : « Normalisation et réglementation en prothèse dentaire ». Elle rate l'examen d'un tout petit point, mais, déjà, elle caresse l'espoir de se mettre à son compte. Quelques mois de chômage précipitent les événements. Après un stage de créateur d'entreprise avec la Chambre de métiers, elle est parée à se lancer. La banque lui fait confiance et lui permet de s'installer à Reims d'abord, puis à Sommepy-Tahure, pour se rapprocher de son mari, médecin.

Les gros industriels du secteur de la prothèse dentaire n'ont plus le monopole de la créativité.
L'éloignement de la grande ville et d'une activité soutenue a parfois du bon. Son atelier est soudain moins encombré. Cela lui laisse le temps de cogiter. Pourquoi les fournisseurs de porte-empreintes ne fabriquent-ils que quelques tailles standard alors que les patients ont tous des mâchoires différentes ? Sortis des standards, les dentistes sont obligés de bricoler au quotidien avec des ajouts de cire. Ils sont contraints d’avoir du stock, ce qui est coûteux et encombrant. Ils doivent aussi stériliser à chaque fois les porte-empreintes qu'ils parviennent à récupérer chez les prothésistes. Que de manipulations!

Lydie Livolsi Tchouangang a un début de solution, qui bientôt prend forme : mettre au point un porte-empreinte capable de passer de la petite taille à l'extra large par un jeu de soufflets qu'on agrandit ou réduit en un tournemain. En ces temps où les problèmes sanitaires interpellent l'opinion publique, elle réfléchit parallèlement à la conception de porte-empreintes à usage unique, pour résoudre la question du nettoyage et de la stérilisation.

Le brevet d'invention a été déposé à l'INPI auprès de qui Lydie a trouvé le meilleur accueil. Et bien qu'avec sa petite entreprise elle n'ait pas, loin s'en faut, la capacité à intégrer un centre de recherche & développement, son porte-empreinte à géométrie variable est en cours de prototypage. En effet, le CRITT MDTS de Charleville-Mézières, reconnu pour ses compétences dans les biomatériaux, prête son concours à cette réalisation que l'inventeur a souhaitée la plus simple possible. La plus pratique pour l'utilisateur, la moins coûteuse aussi, et en matériau recyclable, par souci d'écologie.

La faisabilité est désormais admise. Dans quelques semaines, quelques mois au pire, un prototype sera au point. Lydie aura alors à choisir entre deux options qui la taraudent aujourd'hui : se lancer dans l'aventure industrielle, nouveau pas important pour elle et Ouega, ou vendre des licences. Pour les pratiquer régulièrement dans son métier de prothésiste dentaire, elle connaît bien les fournisseurs et les fabricants de porte-empreintes. Ils se comptent sur les doigts d'une main, pratiquement. Elle sait aussi qu'une innovation en appelle d'autres et elle a déjà
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Dernière édition par M.O.P. le Jeu 01 Fév 2007 08:58; édité 3 fois
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M.O.P.
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Inscrit le: 11 Mar 2004
Messages: 3224

MessagePosté le: Jeu 01 Fév 2007 08:50    Sujet du message: Répondre en citant

Tout ce qu'on peut dire, c'est que ca ne plait pas aux dentistes francais, qui semblent avoir peur de perdre un marche juteux.

http://www.eugenol.com/eugenol/read.php?9,133822

http://www.eugenol.com/eugenol/read.php?9,167561,page=1
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bamiléké
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MessagePosté le: Ven 16 Fév 2007 16:37    Sujet du message: Répondre en citant

Article interressant.
Je vois qu'elle déclenche déja l'hostilité des autres prothésistes. Sad
Un Noir qui emerge dans un domaine autre que le sport ou le spectacle en France est très mal vu Evil or Very Mad
Je me rapelle d'un dentiste camerounais qui avait pignon dans un des qurtiers les plus chics de Paris. Le conseil de l'Ordre l'avait suspendu pour une broutille afin de le casser.
Le pauvre avait du faire une grève de la faim en pleine rue pour protester. Je ne sais pas ce qu'il est devenu...
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