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JESUS, UN MYTHE ASTROTHEOLOGIQUE?

 
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OGOTEMMELI
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Inscrit le: 09 Sep 2004
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MessagePosté le: Lun 20 Sep 2004 01:14    Sujet du message: JESUS, UN MYTHE ASTROTHEOLOGIQUE? Répondre en citant

PRESENTATION

Voici un copier-coller d’extraits d'un long article qui m'a paru vraiment bien argumenté et instructif. J'ai reconditionné ces extraits en "paquets" livrés ci-après successivement, afin d'en faciliter la lecture.

[Pour tout l'article, confère : http://www.truthbeknown.com/francais.htm]

Résumé
0) Même les non-chrétiens sont des millions dans le monde à croire savoir que Jésus est un personnage historique attesté.
1) Or, il n'en serait rien : ni ses parents, ni sa naissance (a fortiori la date), ni sa vie, ni son nom, ni ses lieu de naissance et de mort n'ont pu être authentifiés.
2) Jésus serait la énième version d'un thème mythique. On en dénombre des dizaines d'autres versions dans tout le monde ancien, dont les plus vieilles, d'origine négro-africaine, ont des milliers d'années d'antériorité par rapport à Jésus.
3) Ce thème mythique consisterait fondamentalement en une interprétation anthropomorphique du phénomène solaire, de sa divinisation : une astrothéologie...

Qu'en pensez-vous?

INTRODUCTION
« […] on enseigne à la majorité des personnes, dans la plupart des écoles et églises que Jésus-Christ était une figure historique et réelle, et que la seule polémique le concernant est que certains le perçoivent en tant que fils de Dieu et Messie, alors que d'autres non. Cependant, bien que ce soit le débat le plus évident dans ce domaine aujourd'hui, il n'est pas le plus important. Aussi choquant que cela puisse paraître à l’homme de la rue, la polémique la plus profonde et durable à ce sujet est de savoir si un individu appelé Jésus-Christ a réellement existé.
[…] quand on examine cette question de manière plus approfondie, on trouve un énorme volume de littérature qui démontre à maintes reprises, logiquement et intelligemment, que Jésus-Christ est un personnage mythologique au même titre que les hommes-dieux grecs, romains, égyptiens, sumériens, phéniciens ou indiens, qui sont tous actuellement perçus comme des mythes plutôt que comme des personnages historiques. En fouillant plus avant dans cette grande quantité de documents, on peut découvrir les preuves que le personnage de Jésus est basé sur des mythes et des héros beaucoup plus anciens du monde antique. On s’aperçoit alors que cette histoire n'est pas une représentation historique d'un charpentier rebelle juif qui s'incarna physiquement dans le Levant il y a 2.000 ans. »

Conclusion
« Comme le dit Walker, "Les efforts des érudits pour éliminer le paganisme des Evangiles, afin de retrouver le personnage historique de Jésus, se sont avérés aussi désespérés que de rechercher le noyau d’un oignon." L'histoire "Évangélique" de Jésus n'est pas une représentation effective d'un "maître" historique qui a marché sur la terre il y a 2.000 ans. C'est un mythe établi à partir d'autres mythes et hommes-dieux, qui étaient à leur tour des personnifications du mythe omniprésent du dieu-soleil.
Le Christ des Evangiles n’est en aucun cas un personnage historique ou un modèle suprême de l’humanité, qui souffrit, essaya et échoua à sauver le monde par sa mort. Il est impossible d’établir l’existence d’un personnage historique même en tant qu’imposteur. Car dans ce cas les deux témoins que sont la mythologie astronomique et le gnosticisme s’avèrent être un alibi. Le Christ est une figure populaire qui n’a jamais existé, une figure d’origine païenne ; une figure qui fut le Bélier et ensuite le Poisson ; une figure qui était sous forme humaine le portrait et l’image d’une douzaine de dieux différents. Gerald Massey »
_________________
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OGOTEMMELI
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MessagePosté le: Lun 20 Sep 2004 01:21    Sujet du message: LES PERSONNAGES Répondre en citant

Les Personnages

Il est évident qu’il n’y avait pas un personnage unique sur laquelle la religion chrétienne s’est fondée, et que ce "Jésus-Christ" est une compilation de légendes, héros, dieux et hommes-dieux. La place manque ici pour entrer dans le détail au sujet de chaque dieu qui a contribué à la formation du personnage de Jésus; qu'il suffise de dire qu'il y a d'abondance de documents pour prouver que ce sujet n'est pas une question de "foi" ou de "croyance." La vérité est que, à l’époque où ce personnage a censément vécu, il y avait une vaste bibliothèque à Alexandrie et un réseau incroyablement souple de confréries qui s’étendait de l'Europe à la Chine ; ce réseau d’information a eu accès à de nombreux manuscrits qui racontaient le même récit que celui du Nouveau Testament, avec des noms de lieu et d'appartenance ethnique différents. Dans la réalité, le récit de la vie de Jésus constitue un parallèle presque identique avec l'histoire de Krishna, par exemple, y compris dans ses détails, comme signalé entre autres par le mythologue et érudit distingué Gérald Massey il y a plus de cent ans, aussi bien que par le révérend Robert Taylor il y a cent soixante ans, entre autres . Le conte de Krishna que l’on trouve dans les Védas hindous a été daté à au moins 1400 B.C.E.15 On peut dire la même chose du mythe d’Horus, qui est presque identique, dans ses détails, à l’histoire de Jésus, mais qui précède la version chrétienne de milliers d’années.
L’histoire de Jésus a incorporé des éléments de récits d'autres dieux enregistrés dans ce vaste territoire, comme par exemple ceux des sauveurs du monde et "fils de Dieu", dont la plupart précèdent le mythe chrétien, et dont un bon nombre furent crucifiés ou exécutés :
• Adad d'Assyrie
• Adonis, Apollon, Héraclès ("Hercule"), et Zeus en Grèce
• Alcides de Thèbes
• Attis de Phrygia
• Baal de Phénicie
• Bali d'Afghanistan
• Beddru du Japon
• Buddha en Inde
• Crite de Chaldée
• Deva Tat du Siam
• Hésus des druides celtes
• Horus, Osiris, et Sérapis d'Egypte, dont l'aspect barbu avec de longs cheveux a été adopté pour le personnage du Christ
• Indra au Tibet
• Jao au Népal
• Krishna en Inde
• Mikado des Sintoos
• Mithra en Perse
• Odin des Scandinaves
• Prométhée au Caucase
• Quetzalcoatl au Mexique
• Salivahana aux Bermudes
• Tammuz de Syrie (qui fut, dans un mouvement typique de la fabrication des mythes, plus tard transformé en disciple Thomas)
• Thor en Gaule
• Monarque universel des Sibyles
• Wittoba des Bilingonèses
• Xamolxis de Thrace
• Zarathustra/Zoroastre en Perse
• Zoar des Bonzes
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OGOTEMMELI
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MessagePosté le: Lun 20 Sep 2004 01:25    Sujet du message: PRINCIPAUX PERSONNAGES Répondre en citant

LES PRINCIPAUX PROTAGONISTES

Bouddha
Bien que la plupart des personnes pensent que Bouddha fut une personne qui vécut vers 500 B.C.E., on peut également démontrer que le personnage généralement dépeint comme Bouddha est une compilation des hommes-dieux, des légendes et paroles de divers hommes saints avant et après la période attribuée au Bouddha historique.
Le personnage de Bouddha a les points suivants en commun avec le Christ:
• Bouddha est né de la Vierge Maya, qui était considérée comme la "Reine du Ciel".
• Il était de naissance royale.
• Il exécutait des miracles et des merveilles, guérissait les malades, nourrit 500 hommes à partir d’un "petit panier de gâteaux", et marcha sur les eaux.
• Il a écrasé la tête d'un serpent.
• Il a supprimé l’idolâtrie, était un "semeur de mots", et prêchait "l’établissement d’un royaume de justice".
• Il enseigna la chasteté, la douceur, la tolérance, la compassion, l’amour et l’égalité de tous.
• Il fut transfiguré sur une montagne.
• Sakya Buddha fut crucifié pour expier ses fautes, souffrit durant trois jours en enfer, puis fut ressuscité.
• Il est monté au Nirvana ou au "ciel."
• Il était considéré comme le "bon berger ", le "Charpentier", "l’Infini et Eternel".
• Il fut appelé "le Sauveur du Monde" et "la lumière du Monde".
Horus d’Egypte
Les histoires de Jésus et d’Horus sont très semblables, Horus ayant de plus contribué à l’attribution du nom de Jésus-Christ. Horus et son père Osiris sont fréquemment interchangeables dans le mythe ("Moi et mon Père sommes un"). Les légendes relatives à Horus datent de milliers d'années, et il a avec Jésus les points communs suivants:
• Horus est né de la vierge Isis-Meri le 25 décembre dans une grotte/crèche, sa naissance étant annoncée par une étoile à l’est et attendue par trois hommes sages.
• Il enseignait à des enfants au Temple et fut baptisé à l’âge de trente ans.
• Il a eu 12 disciples.
• Il effectua des miracles et éleva un homme, El-Azar-us, d’entre les morts.
• Il marcha sur l’eau.
• Horus fut transfiguré sur la Montagne.
• Il a été enterré dans un tombeau et a été ressuscité.
• Il était aussi "la Voie, la Vérité, la Lumière, le Messie, le fils oint de Dieu, le Fils de l’Homme, le Bon Berger, l’Agneau de Dieu, le Mot", etc.
• Il était "le Pêcheur" et était associé à l’Agneau, au Lion, au Poisson ("Ichthys")
• L'épithète personnelle de Horus était "Iusa," "le fils éternel" de "Ptah," le "Père."
• Horus s'appelait "le KRST," ou "Oint," longtemps avant que les chrétiens en reprennent l'histoire .
En fait, dans les catacombes de Rome, on trouve des images d’Horus représenté comme un bébé tenu par Isis, la vierge mère - la "Madonne et l'enfant" initiaux - et le Vatican lui-même est construit sur la papauté de Mithra, qui a de nombreux points communs avec Jésus et qui a existé longtemps avant que le personnage de Jésus ne soit formalisé. La hiérarchie chrétienne est presque identique à la version de Mithra à laquelle elle s’est substitué . Pratiquement tous les éléments du rite catholique, de l’obole à l’hostie et de l’eau bénite à l’autel jusqu’à la doxologie sont directement empruntés à d’anciennes religions à mystères païennes.

Krishna
Les similitudes entre le personnage Chrétien et le messie Indien sont nombreuses. En effet, Massey trouve plus de 100 similarités entre les deux, et Graves, qui inclut les divers évangiles non-canoniques dans son analyse, en liste plus de 300. Il est intéressant de remarquer qu’une ancienne écriture usuelle de Krishna en anglais était "Christna", ce qui fait ressortir son rapport avec "Christ". On peut encore noter que, tout comme le messie Juif, beaucoup de gens pensaient que Krishna avait physiquement existé.
• Krishna est né de la Vierge Devaki ("La Divine").
• Son père était charpentier.
• Sa naissance était attendue par des anges, des hommes sages et des bergers, et il se présenta avec de l’or, de l’encens et de la myrrhe.
• Il s'appelle Dieu des bergers.
• Il fut persécuté par un tyran qui ordonna le meurtre de milliers d'enfants en bas âge.
• Il était de naissance royale.
• Il fut baptisé dans le Gange.
• Il effectua miracles et merveilles.
• Il ressuscitait les morts et guérissait les lépreux, les sourds et les aveugles.
• Krishna utilisait des paraboles pour enseigner au peuple la charité et l’amour.
• "Il vécut pauvre et il aima les pauvres."
• Il fut transfiguré devant ses disciples.
• Dans certaines traditions, il mourut sur un arbre ou fut crucifié entre deux voleurs.
• Il ressuscita d’entre les morts et monta au ciel.
• Krishna est appelé "le Dieu-Berger" et le "Seigneur des Seigneurs", et était considéré comme "le rédempteur, le premier-né, le Libérateur, le Mot Universel".
• Il est la seconde personne de la trinité et s’est proclamé lui-même "la résurrection" et "la voie vers le Père".
• Il était considéré comme "le Début, le Milieu et la Fin" ("alpha et omega"), comme un être omniscient, omniprésent et omnipotent.
• Ses disciples lui donnèrent le titre de "Jezeus", ce qui signifie "pure essence".
• Krishna doit revenir se battre avec le "Prince du Mal", qui désolera la Terre.
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OGOTEMMELI
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MessagePosté le: Lun 20 Sep 2004 01:29    Sujet du message: LA CREATION D'UN MYTHE Répondre en citant

LA CREATION D'UN MYTHE

Les chrétiens ont effectué une telle censure que cela a mené à l'analphabétisme virtuel du monde antique ; de plus, ils se sont assurés que leur secret serait caché des masses, mais les érudits des autres écoles et sectes n'ont jamais renoncé à leurs arguments contre l’historicisation d’un être mythologique très antique. Nous avons perdu les arguments de ces dissidents érudits parce que les chrétiens ont détruit toutes les traces de leurs travaux. Néanmoins, les chrétiens ont préservé les conflits avec leurs détracteurs par les propres réfutations.
Par exemple, un des premiers pères de l'église, Tertullien (160-220 C.E.) "ex-païen" et évêque de Carthage, admet ironiquement les véritables origines du récit du Christ et de tous les autres hommes-dieux en énonçant une réfutation de ses critiques, "Vous dites que nous adorons le soleil; mais vous aussi." Point notable, initialement croyant et défenseur acharné de la foi, Tertullien renonça ensuite au christianisme.

Le "fils" ("Son") de Dieu est le "soleil" ("Sun") de Dieu
La raison pour laquelle tous ces récits sont si semblables, avec un homme-dieu qui est crucifié et ressuscité, qui fait des miracles et a 12 disciples, est que ces contes sont basés sur les mouvements du soleil dans les cieux, un développement astrothéologique qui peut être retrouvé sur toute la planète parce qu'on peut observer le soleil et les 12 signes de zodiaque tout autour du globe. Autrement dit, Jésus-Christ et tous les autres sur qui son personnage est fondé sont des personnifications du soleil, et l'Évangile est simplement une répétition d'un texte mythologique (le "Mythos", voir plus haut) concernant les mouvements du soleil dans les cieux.
Par exemple, la plupart des hommes-dieux crucifiés ont leur anniversaire traditionnel le 25 décembre. C'est parce que les anciens se sont rendu compte que (d'une perspective géocentrique) le soleil effectue une descente annuelle vers le sud jusqu'au 21ème ou 22ème jour de décembre, le solstice d'hiver, qu’il cesse ensuite de se déplacer vers le sud pendant trois jours et puis recommence à se déplacer vers le nord. A ce moment, les anciens disaient que le "soleil de Dieu" "était mort" pour trois jours avant de "ressusciter" le 25 décembre. Les anciens se rendaient compte de façon très claire qu’ils avaient besoin du Soleil chaque jour et qu'ils auraient de gros ennuis si le soleil continuait à se déplacer vers le sud et ne s'arrêtait pas pour inverser sa direction. Ainsi, ces nombreuses cultures célébraient l'anniversaire du "soleil de Dieu" le 25 décembre. Suivent les caractéristiques du "soleil de Dieu":
• Le soleil "meurt" pendant trois jours le 22 décembre, lors du solstice d'hiver, quand il arrête son mouvement vers le sud, avant de renaître le 25 décembre, lorsqu’il reprend son mouvement vers le nord.
• Dans certaines cultures, le calendrier commençait initialement dans la constellation de la Vierge, et le soleil était donc " né d'une Vierge."
• Le soleil est la "Lumière du Monde."
• Le soleil "vient sur des nuages, et chaque oeil le verra".
• Le soleil se levant le matin est le "Sauveur de l'humanité".
• Le soleil porte une "couronne d’épines" ou halo.
• Le soleil "marche sur les eaux. "
• Les "disciples" du soleil sont les 12 mois et les 12 signes du zodiaque ou constellations, par lesquels le soleil doit passer.
• Le Soleil à 12 heures est dans la maison ou le temple du "Plus Haut" ; par conséquent , "il" commence le "travail de son père" à l’ "âge" de 12 ans.
• Le Soleil entre dans chaque signe du Zodiaque à 30° ; en conséquence, le "soleil de Dieu" commence son ministère à l’ "âge" de 30 ans.
• Le Soleil est tenu sur une croix ou "crucifié", ce qui représente son passage par les équinoxes, celle de Printemps étant Pâques (Easter), époque à laquelle il est ressuscité.
Contrairement à la croyance populaire, les anciens n'étaient pas ignorants et superstitieux au point de considérer leurs dieux comme de véritables personnes. En fait, cette propagande calomnieuse représente une partie de la conspiration pour faire croire que les anciens étaient effectivement la populace hébétée qui avait grand besoin de la "lumière de Jésus". La vérité est que les anciens n’étaient pas moins avancés dans leurs pratiques spirituelles et morales, et même plus avancés dans de nombreux cas, que les chrétiens avec leur prétendue spiritualité et idéologie qui, avec cette atteinte à l’historicité, ont en fait dégradé l’ancien Mythos. En effet, à la différence des chrétiens "supérieurs", l’élite intellectuelle des anciens se rendait bien compte que leurs dieux étaient de nature astronomique et atmosphérique. Platon, Socrate et Aristote savaient sûrement que Zeus, le père et dieu du ciel qui est arrivé en Grèce originaire d'Inde et/ou d'Egypte, n'était pas une véritable personne, malgré le fait que les Grecs avaient indiqué en Crète à la fois une caverne de naissance et une caverne de la mort de Zeus. De plus, on peut trouver à plusieurs endroits du monde des sites où ce prétendu Dieu est né, mort, a marché, souffert, etc, un procédé commun qui n’est pas monopolisé et n’a pas commencé avec la Chrétienté.
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OGOTEMMELI
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MessagePosté le: Lun 20 Sep 2004 01:34    Sujet du message: L'ETYMOLOGIE Répondre en citant

L'ETYMOLOGIE INDIQUE L'HISTOIRE

Zeus, connu aussi comme "Zeus Pateras," que nous prenons maintenant automatiquement pour un mythe et non pas une figure historique, prend son nom de sa version indienne, "Dyaus Pitar." A son tour Dyaus Pitar est relié au "Ptah" égyptien, et de Pitar et de Ptah vient le mot "pater," ou "père." "Zeus" provient de "Dyaus," qui est devenu "Deos," "Deus" "Dios" et "Dieu." "Zeus Pateras," comme Dyaus Pitar, signifie, "Dieu le père", un concept très ancien qui en aucun cas n’a commencé avec "Jésus" et la chrétienté. Il n’est pas question de considérer Zeus comme un personnage historique. Dyaus Pitar est devenu "Jupiter" dans la mythologie romaine, et de la même façon n'est pas représentatif d'un personnage réel et historique. Dans la mythologie égyptienne, Ptah, le père, est le "dieu-force" invisible, et le soleil était considéré comme le mandataire visible de Ptah qui apporte la vie éternelle sur terre; par conséquent, le "fils de Dieu" est vraiment le "soleil de Dieu." En effet, selon Hotema, le nom même du " Christ " vient du mot "Kris" (comme dans Krishna), qui est un nom pour le soleil.
En outre, puisque Horus s'est appelé "Iusa/Iao/Iesu" le "KRST" et que Krishna/Christna était appelé "Jezeus" plusieurs siècles avant un quelconque personnage juif portant le même nom, il serait plus sûr de considérer que Jésus-Christ n’est qu’une répétition de Horus et Krishna, entre autres. Selon le révérend Taylor, le titre "Christ" dans son forme hébraïque, signifiant "Oint" ("Masiah") a été porté par tous les rois d'Israel, et il était "tellement emprunté par tous les imposteurs, prestidigitateurs, et personnes prétendant à des communications surnaturelles, que la seule référence à ce mot est considérée comme une indication d’imposture dans l’évangile elle-même." 28 Hotema établit que le nom de "Jésus-Christ" n'a été officiellement adopté sous cette forme que lors du premier Conseil de Nicée, en 325 C.E.
En réalité, même les noms de lieu et les appellations de beaucoup d'autres personnages du nouveau testament peuvent être considérés comme des traductions hébraïques des textes Egyptiens.
Par exemple, dans le fable de "Lazare," la momie élevée des morts par Jésus, les copistes chrétiens n'ont pas beaucoup changé son nom, puisque "El-Azar-us" étant la momie égyptienne élevée des morts par Horus probablement au moins 1.000 ans avant la version Juive. Ce récit est une allégorie pour le passage du soleil par la "constellation de la momie," lui apportant la lumière et la vie. Ce n'est pas une histoire vraie.
L'ennemi principal de Horus - initialement l'autre visage d’Horus ou son aspect "sombre" - était "Set" ou "Sata," d'où vient "Satan." Horus lutte avec Set de la façon exacte dont Jésus lutta avec Satan, 40 jours dans le désert, entre autres similitudes. C'est parce que ce mythe représente le triomphe de la lumière sur l'obscurité, ou le retour du soleil pour soulager la terreur de la nuit.
"Jérusalem" signifie simplement la "ville de la paix," et il y a des raisons de suspecter que la ville réelle en Israel ait été nommée d’après la ville sainte de la paix des textes sacrés égyptiens qui existaient déjà avant que la ville ait été fondée. De même, "Béthany," célèbre site de la multiplication des pains, et qui signifie la "Maison de Dieu," est une allégorie pour la "multiplication du nombre à partir de l’Unité." N'importe quelle ville portant ce nom était probablement nommée à partir de l’endroit allégorique des textes qui existait avant la formation de la ville. Le prédécesseur et sa contrepartie égyptienne est "Bethanu."

Le Livre de la Révélation est égyptien et zoroastrien
On peut trouver certains noms de lieu allégoriques tels "Jérusalem" et "Israel" dans le Livre de la Révélation. Massey a établi que cette Révélation, loin d’avoir été écrite par un apôtre du nom de Jean pendant le 1er siècle C.E., était à cette date un texte très antique qui date des débuts de cette ère de l’histoire, c.-à-d. possiblement écrit depuis une période aussi considérable que 4.000 ans. Massey affirme que la révélation est liée à la légende mithraïque de Zoroastre/Zarathustra. De ce livre mystérieux, qui a stupéfié l’humanité pendant des siècles, Hotema dit : "Il est exprimé en termes de phénomène créatif ; son héros n’est pas Jésus mais le Soleil de l’Univers, son héroine est la Lune ; et tous ses autres protagonistes sont les planètes, les étoiles et les constellations ; le décor de la pièce comprend le Ciel, la Terre, les Rivières et la Mer. " La forme commune de ce texte a été attribuée par Churchward au scribe d’Horus, Aan, dont le nom nous a été transmis comme "Jean ." (Horus a été également baptisé par "Anup le Baptiseur," qui est devenu "Jean le Baptiste.")
Le mot Israel lui-même, loin d'être une appellation juive, vient probablement de la combinaison de trois dieux régnants différents: Isis, la Déesse Mère de la Terre révérée dans tout le monde antique; Ra, le dieu-soleil égyptien; et El, le dieu Sémite que nous connaissons sous le nom de Saturne. "El/Saturn" était un des noms les plus anciens pour le dieu des anciens Hébreux (d'où Emmanu-El, Micha-El, Gabri-El, Samu-El, etc.), et son culte se reflète dans le fait que les juifs considèrent toujours samedi ("Saturday") comme le "jour de Dieu."
En effet, le fait que les chrétiens adorent le dimanche ("Sunday") trahit les origines véritables de leur dieu et homme-dieu. Leur "sauveur" est en fait le soleil, qui est la "Lumière du monde que chaque oeil peut voir." Le soleil a été constamment considéré à travers l'histoire comme le sauveur de l'humanité pour d’évidentes raisons. Sans soleil, la planète ne durerait qu’un jour tout au plus. Le Soleil était tellement important pour les anciens qu’ils ont composé un "Livre du Soleil", ou "Helio Biblia", qui est devenu la "Sainte Bible" ("Holy Bible").
Les "patriarches" et "Saints" sont les Dieux d'autres cultures
Quand on étudie la fabrication des mythes, on peut aisément discerner et tracer un schéma qui s’est répété à travers l'histoire. Toutes les fois qu'une culture d’invasion prend le pas sur ses prédécesseurs, elle diffame les dieux précédents ou les transforme en dieux secondaires, "patriarches", ou, dans le cas de la chrétienté, "saints ." Ceci s’est produit à plusieurs reprises dans l'histoire. Un exemple de ce procédé est l’adoption du nom du dieu Hindou Brahma comme celui du patriarche Hébreu Abraham. Une autre école de pensée propose que le nom du patriarche Joshua ait été basé sur Horus en tant que "Iusa," puisque le culte de Horus avait migré à cette période vers le Levant. Dans cette théorie, le culte de Joshua, situé exactement dans la zone où le drame du Christ a prétendument eu lieu, fut passé dans l'histoire chrétienne, avec Joshua devenant Jésus . Comme le dit Robertson, "le livre de Josuah nous conduit à penser qu’il avait plusieurs attributs du dieu-Soleil et que, comme Samson et Moise, il était une ancienne déité réduite à un statut de simple mortel."
En effet, la légende de Moïse, loin d'être celle d’un personnage Hébreu historique, peut être retrouvée dans l’Extrême et le Moyen-Orient antique, le personnage ayant différents noms et appartenances ethniques, selon l’endroit: "Manou" est le législateur Indien ; "Nemo le législateur," qui a descendu les tablettes de la Montagne de Dieu, vient de Babylone; on trouve "Mises" en Syrie et en Egypte, où "Manes le législateur occupe aussi la scène ; Minos est le réformateur Crétois et les Dix Commandements ("Décalogue") sont une simple répétition du code Babylonien d’Hammurabi et des Védas Hindous, entre autres. Comme Moïse, Krishna a été placé par sa mère dans un bateau de roseau, et abandonné au fleuve avant d’être découvert par une autre femme. Il y a un siècle, Massey a souligné, et Graham a récemment réitéré, que l'exode lui-même n'est pas un événement historique. Que la réalité de l'exode soit remise en question est renforcé par le manque d‘un quelconque enregistrement archéologique, comme le signale La revue biblique d'archéologie ("BAR"), de Septembre/Octobre 1994.
Comme la majorité des personnages bibliques principaux, Noé est également un mythe , il y a bien longtemps emprunté aux Egyptiens, aux Sumériens et à d'autres, comme n'importe quel érudit expérimenté pourrait le démontrer, et cependant nous trouvons toutes sortes de livres – dont certains transmettant même la "vérité finale" fournie par un être mystique, omniprésent, omniscient et éternel, comme Jésus lui-même – jasant sur un véritable Noé historique, ses aventures extraordinaires, et la "Grande Inondation !"
De plus, l’ "Esther" du Livre d'Esther dans le Vieux Testament est une réminescence de la déesse Ishtar, Astarte, Astoreth ou Isis, dont vient "Pâques" ("Easter") et au sujet de laquelle peu est dit dans le "Mot infaillible de Dieu" sur son règne si étendu dans l’espace et le temps. Le motif de la Vierge Mère/Déesse/Reine des Cieux se retrouve sur tout le globe, bien avant l’ère Chrétienne, Isis étant par exemple aussi appelée "Mata-Meri" ("Mère Marie"). Comme le dit Walker, "Mari" était le "nom de base pour la Déesse connue des Chaldéens comme Marratu, des Juifs comme Marah, des Perses comme Mariham, des Chrétiens comme Marie. Les sémites adoraient une combinaison androgyne de la Déesse et du Dieu, appelé Mari-El (Marie-Dieu), qui correspondait à l’Egyptien Meri-Ra, qui combinait le principe féminin de l’eau au principe masculin du Soleil. "
Même le nom hébraïque de Dieu, "Yahweh," a été pris du mot égyptien, "IAO." Dans l’une des tromperies Chrétiennes les plus connues, et afin de convertir les fidèles du "Seigneur Bouddha", l’Eglise le canonisa comme St Josaphat", ce qui représentait l’interprétation chrétienne du titre bouddhique "Bodhisat".
Les "Disciples" sont les maisons du zodiaque
De plus, ce n'est pas une coïncidence s'il y a 12 patriarches et 12 disciples, 12 étant le nombre de maisons astrologiques, ou mois. En effet, comme les 12 tâches herculéennes et les 12 "aides" d’Horus, les 12 disciples de Jésus sont symboliques des maisons du zodiaque et ne correspondent à aucune personne qui a joué un rôle vers 30 C.E. On peut montrer que les disciples sont d’anciennes déités/héros folklorique/constellations. Pierre est facilement identifié à un personnage mythologique , et on a dit que Judas représente le Scorpion, "le médisant," la période de l'année où les rayons du soleil s'affaiblissent et où le soleil semble mourant. Jacques, le "frère de Jésus" et "frère du Seigneur", est équivalent à Amset, le frère d’Osiris et frère du Seigneur. Massey dit que "Taht-Matiu était le scribe des dieux, et dans l’art Chrétien Matthieu est dépeint comme le scribe des dieux, avec un ange assis à côté de lui, pour lui dicter l’Evangile." Certains conjecturent que l'apôtre Paul est lui aussi inventé. […]
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OGOTEMMELI
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MessagePosté le: Lun 20 Sep 2004 01:43    Sujet du message: JESUS NE POUVAIT ETRE UN ESSENIEN Répondre en citant

Jésus était-il un maître d'Essène?
Pour ce qui est de Jésus assimilé à un Essénien selon les Rouleaux "secrets" de la Mer Morte, on avait spéculé sur ce fait depuis des siècles, donc avant la découverte des rouleaux, mais Massey a habilement argué du fait que plusieurs des enseignements présumés de Jésus étaient en contradiction avec ou étaient inexistants dans la philosophie des Esséniens. Les Esséniens ne croyaient pas à la résurrection corporelle, ni à un messie fait chair. Ils n’acceptaient pas l’historicité de Jésus. Ils n'étaient pas des sectateurs de la Bible des Hébreux, ou de ses prophètes, ou du concept de la chute originelle qui doit produire un sauveur. Massey remarque plus loin que les Esséniens étaient des antialcooliques et mangeaient pour vivre plutôt que l’inverse. Comparé à eux, Jésus, l'Essénien assumé, semble être un glouton et un alcoolique. En outre, tandis que selon Josèphe les Esséniens détestaient prêter des serments, Jésus adorait faire prêter serment à ses disciples. Comme beaucoup de doctrines Esséniennes sont inclues dans le Nouveau Testament, la liste des disparités entre les Esséniens des Rouleaux de la Mer Morte et leur prétendu grand maître Jésus se poursuit.

Qumran n'est pas une Communauté d’Esséniens
À cet égard, il convient de noter qu'il y a une autre discussion pour savoir si Qumran, le site traditionnellement associé aux Rouleaux de la Mer Morte, était une communauté d'Esséniens. Dans BAR, précédemment citée, on signale que les trouvailles archéologiques indiquent que Qumran n'était pas une communauté d'Esséniens mais était probablement une halte pour des voyageurs et des négociants traversant la Mer Morte. Dans BAR, on a également présumé que le ton fervent et le style guerrier de certains des rouleaux déterrés près de Qumran dénient une origine Essénienne et indiquent plutôt une attribution possible aux fanatiques Zélotes Juifs. Dans Qui a écrit les Rouleaux de la Mer Morte, Norman Golb plaide avec succès que ces documents n'ont pas été écrits par des scribes d'Essène, mais étaient une collection de livres d'une variété de bibliothèques qui ont été cachés dans des cavernes à l'est d'Israel par des Juifs qui voulaient échapper aux armées de Rome pendant la première révolte 70 A.D. Golb a aussi présumé que Qumran était une forteresse et non un monastère. De toute façon, il est impossible d'identifier l’ "enseignant de justice" trouvé dans les rouleaux à Jésus-Christ.

Le nouveau testament fut-il composé par les Thérapeutes?
En 1829, le Rév. Taylor a habilement plaidé que l'histoire entière de l’Évangile existait déjà longtemps avant le début de l'ère chrétienne et fut probablement composé par les moines égyptiens d’Alexandrie appelés les "Thérapeutes" en Grec et les "Esséniens" en Egyptien, les deux mots signifiant "soigneurs". Cette théorie découle en partie de l’affirmation de l’un des premiers pères de l’église, Eusèbe qui, dans ce qui semble un de ses rares moments d’honnêteté, "admit…que les épîtres et évangiles Chrétiennes canoniques étaient les anciens écrits des Esséniens et des Thérapeutes reproduits au nom de Jésus." Taylor affirme lui-aussi que "les Thérapeutes Egyptiens, voyageurs, ramenèrent toute l’histoire d’Inde jusqu’à leurs monastères en Egypte où, quelques temps après les débuts de la monarchie Romaine, il fut transformé en Christianisme." En outre, Wheless démontre qu'on peut trouver une grande partie du récit de "Jésus-Christ" dans le livre d'Enoch, qui prédate l'arrivée supposée du maître juif de centaines d'années. D’après Massey, ce sont les Gnostiques ‘paiens’ – ce qui incluait des membres des Esséniens/Thérapeutes et des confréries Nazaréennes, entre autres – qui amenèrent en fait à Rome les textes ésotériques (gnostiques) contenant le Mythos, sur lesquels les nombreux évangiles, incluant les quatre canoniques, se basèrent. Wheless dit que "les Evangiles et autres brochures du Nouveau Testament, écrites en Grec et citant 300 fois les Septuagint Grecs et plusieurs auteurs paiens Grecs, comme Arathus et Cléanthe, furent écrits non pas par des paysans Juifs illettrés mais par des Pères et des prêtres ex-paiens de langue Grecque loin de la Terre Sainte des Juifs." Mead affirma : " Nous pouvons en conclure que les originaux de nos quatre Evangiles furent probablement écrits en Egypte, sous le règne d’Hadrien."
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Nénuphar
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MessagePosté le: Mar 21 Sep 2004 15:22    Sujet du message: Répondre en citant

Confused Jésus était sémite aux dernières nouvelles...
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OGOTEMMELI
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MessagePosté le: Ven 24 Sep 2004 07:38    Sujet du message: A MOUYABI Répondre en citant

Salut Mouyabi,


La question ici posée est de savoir si Jésus est un personnage historique scientifiquement attesté.
La réponse de l’auteur du texte dont j’ai posté les extraits (ACHARYA S.) est NON : Jésus est un personnage mythique. La énième version tardive d’un mythe négro-africain. Un mythe de divinisation du phénomène solaire.
Quel est ton point de vue à ce sujet ?
Que penses-tu de la réponse faite par l’auteur ?

Quant au texte que tu as posté (et que tu as déjà posté par ailleurs sur ce forum…), il ne répond pas vraiment à cette question. Ce n’en est pas l’objet.
Bilolo dit, en substances, que peu importe ce qu’est Jésus (ou Mahomet, Bouddha, etc.), les négro-africains ont leurs propres traditions et personnages spirituels (Osiris-Mungu-Maweja-Tatu-Nzambi-wa-Bankolo, -wa-Bankulunkulu). Ces traditions se suffisent à elles-mêmes et n’ont rien à envier aux autres, qui bien souvent leur doivent beaucoup. Bilolo préconise par conséquent d’aller puiser directement aux sources millénaires de cette tradition.
Evidemment, en tant qu’Afrocentriste, je ne peux que partager cette position de principe. Mais ce n’était pas vraiment l’objet stricto sensu de ce topic que d’en débattre.
Il s’agissait pour moi de rappeler ici que certains édifices spirituels que l’on reçoit pour fondés une fois pour toutes, sur des bases historiques et théologiques inébranlables, sont en réalité fragiles, voire friables. Qu’à leur propos des questions se posent depuis des siècles, que nos frères ne doivent pas ignorer ; eux qui embrassent les religions étrangères souvent avec ferveur et enthousiasme, sans sagesse ni esprit critique…
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OGOTEMMELI
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MessagePosté le: Sam 25 Sep 2004 04:32    Sujet du message: Re: no way Répondre en citant

[quote="mouyabi"]
Citation:
Tu poses les questions et tu réponds

Non, je n'ai fait aucune réponse personnelle : j'ai posté des extraits d'un texte qui n'est pas de ma propre facture, d'où j'ai tiré une problématique qu'il m'a semblé intéressant de soumettre ici.

Citation:
Jésus ou pas cela n'est pas un problème africain ou mieux une préoccupation.

Cette problématique peut ne pas t'intéresser. Ce n'est pas une condition indispensable pour la mettre en discussion. Il ne t'appartient pas d'apprécier ce dont on peut discuter ou pas. Nos préoccupations peuvent ne pas être rigoureusement identiques ; et visiblement elles ne le sont pas.
La prolifération d'institutions chrétiennes en Afrique, particulièrement au cours de ces dernières décennies, m'interdit de penser que Jésus n'est pas un problème africain; contrairement à ce que tu en dis.

Citation:
Le Afrcains doivent faire table -rase des bêtises que l'occident distille pour se consacrer à leurs croyances.

Ouais : là tu t'emportes trop facilement, et risque de manquer ce que tu vises en procédant de la sorte...

Citation:
L'existence scientifique de Jésus pour les gens qui se penchent sur la question nous savons qu'elle est problématique

Précisément, vous êtes trop peu à le savoir. Il y a trop peu de gens en général, et d'Africains en particulier, qui savent que rien n'atteste scientifiquement l'existence historique de Jésus. Un sondage rapide autour de soi suffit à s'en convaincre. De même que les réactions sucitées par le film "La passion du Christ" montrent que pour beaucoup de nos contemporains les récits bibliques procèdent de quelque fondement historique.
Combien sont-ils à croire sincèrement que la fête de Noël commémore la naissance historique (et non simplement symbolique) d'un enfant Jésus, de surcroît un 25 décembre?

Citation:
et que les Juifs ont bâti une religion qu'ils ont servi aux moutons de panurge que nous sommes tous plus ou moins.

Là encore, visiblement, tu t'es emporté au lieu d'examiner attentivement la question. Tu n'apportes aucune preuve de ce que "les Juifs ont bâti etc..."
Par contre, une étymologie de "Jésus" donne une origine négro-africaine de ce nom (voir ci-avant). Par conséquent, rien n'interdit de penser que si un tel personnage avait existé, ce n'avait pas été un Négro-africain, un Kemite. Auquel cas, ton topo sur "les Juifs" serait vraiment gratuit. En tout cas, il demeure sans aucun intérêt pour l'objet de ce topic.
Par ailleurs, l'origine égyptienne (donc négro-africaine) de nombreux éléments de la religion chrétienne est amplement attestée (cf. notamment les travaux du professeur Sarwat Anis Al Assiouty).

En définitive, le fait de montrer à nos frères les failles de l'édifice spirituel chrétien peut contribuer à les mieux disposer au retour vers leurs propres traditions spirituelles. Où l'on voit que le but ultime que toi et moi, avec d'autres, visons n'est pas si différent. Quant à la stratégie à adopter pour atteindre un tel but, tout reste à voir...

Cordialement
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