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Dieudonné refoulé du meeting de Royal à Charléty |
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t_sankara (
02/05/2007 18:58 )
À / France
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certainement que ce post sera efface ........
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Les médias sur Dieudonné à Charlety et son vote pour Ségolène Royal
[mardi 1er mai 2007]
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Les dépêches des médias internet marchands au fur et à mesure...
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Présidentielle 01/05/2007 - 18:23
Dieudonné à Charléty
L’humoriste habitué des grands écarts politiques, Dieudonné s’est déplacé mardi au stade Charléty, où un grand concert-meeting est organisé par le PS et Ségolène Royal. Accueilli par des huées et des sifflets, le controversé comique, soutien de José Bové mais également de Jean-Marie Le Pen, a fendu la foule avant que cette dernière ne... l’expulse, sans violence, de l’enceinte sportive.
http://www.lejdd.fr/cmc/scanner/pre...
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Quelques minutes après la première dépêche ci-dessus (18h23 heure vraie) , le titre avait changé, "expulsé" ajouté, mais pas la phrase à double sens, et mensongère. La foule n’a ni expulsé Dieudonné, ni même fait mine de le faire. Preuves vidéo à venir.
Présidentielle 01/05/2007 - 18:23 [heure fausse]
Dieudonné expulsé de Charléty
L’humoriste habitué des grands écarts politiques, Dieudonné s’est déplacé mardi au stade Charléty, où un grand concert-meeting est organisé par le PS et Ségolène Royal. Accueilli par des huées et des sifflets, le controversé comique, soutien de José Bové mais également de Jean-Marie Le Pen, a fendu la foule avant que cette dernière ne... l’expulse, sans violence, de l’enceinte sportive.
http://www.lejdd.fr/cmc/scanner/pre...
Voir aussi : http://www.universalpressagency.com...
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Ambiance au concert-meeting de Ségolène Royal
mardi 1 mai 2007 19h08
Depuis 16h, chanteurs et artistes se succèdent sur la scène du stade Charlety pour le concert-meeting de la socialiste Ségolène Royal. Parmi eux, Benabar, Grand corps malade, Renaud ou encore Yannick Noah. D’après le PS, 60.000 personnes se sont rassemblées dans l’enceinte du stade pour profiter de l’ambiance.
La rivalité continue... Après Nicolas Sarkozy à Bercy dimanche, ce mardi Ségolène Royal est au stade Charlety à Paris. La candidate socialiste a d’ores et déjà marqué des points : elle souhaitait répliquer à la démonstration de force de l’UMP. Nicolas Sarkozy affirmait avoir rassemblé 40.000 personnes à Bercy, alors qu’au PS, on annonce 60.000 personnes. Le monde est là à Charlety. Cris, applaudissements et chants rythment la manifestation.
Sur la scène, devant le drapeau bleu, blanc, rouge, les chanteurs se succèdent... A l’affiche Benabar, Grand corps malade, Renaud, George Moustaki, Cali ou encore Michel Delpech. Dans la foule, on pouvait aussi y voir Geneviève de Fontenay, Robert Hue, Dieudonné, Ludivine Sagnier ou Danièle Evenou. Les socialistes Dominique Strauss-Kahn, Jack Lang ou Bertrand Delanoë ont été acclamés par la foule à leur arrivée dans le stade.
C’est l’avant-dernier grand meeting pour Ségolène Royal qui espère grâce à cette mobilisation générale gagner des points dans les sondages. Mais demain, mercredi, c’est aussi le grand oral pour les deux rivaux. Les candidats ont rendez-vous avec un grand débat télévisé dans la soirée. Débat qui n’avait pas eu lieu depuis 1995. Fort de son score au premier tour, Nicolas Sarkozy est le favori de ce face à face.
http://www.europe1.fr/informations/...
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Quelques ajoûts par rapport à la dépêche ci-dessus, l’heure est bien changée, contrairement au JDD...
Royal veut "faire gagner la France" dimanche
mardi 1 mai 2007 20h29
A cinq jours du deuxième tour, Ségolène Royal a défendu son projet d’une France apaisée devant plusieurs dizaines de milliers de personnes réunies à Paris au stade Charléty pour un "concert de la fraternité". Chanteurs et artistes se sont succédés sur la scène, parmi eux : Benabar, Grand corps malade, Renaud ou encore Yannick Noah. D’après le PS, 60.000 personnes étaient réunies.
La rivalité continue... Après Nicolas Sarkozy à Bercy dimanche, ce mardi Ségolène Royal était au stade Charlety mardi à Paris. La candidate socialiste a d’ores et déjà marqué des points : elle souhaitait répliquer à la démonstration de force de l’UMP. Nicolas Sarkozy affirmait avoir rassemblé 40.000 personnes à Bercy, alors qu’au PS, on annonce 60.000 personnes. Côté scénographie, rien à voir avec le meeting du candidat de l’UMP : à Charlety, l’ambiance s’apparentait plus à celle d’un festival ou d’un concert. Sur la scène, devant le drapeau bleu, blanc, rouge, les chanteurs se sont succédés...Benabar, Grand corps malade, Renaud, George Moustaki, Cali ou encore Michel Delpech ont chanté pour ensuite céder la place à Ségolène Royal.
"Je suis avec vous, libre, droite, pour dimanche prochain faire gagner la France", a déclaré la candidate socialiste à la présidentielle. "Je ne veux pas la victoire d’une partie de la France contre une autre. Ce que je veux, c’est la victoire de la France présidente", a assuré la première femme à avoir une vraie chance d’accéder à l’Elysée. "Dans la France que je veux, il y a de la place pour tous et pour toutes’", a-t-elle lancé à la foule qui interrompait son discours par des cris "On va gagner" et "Ségolène présidente". Dimanche prochain, "la France ne se laissera pas abuser par des choix qui, même parés des plumes de la rupture ou des ramages de la nouveauté, sont marqués du sceau de l’échec et de l’amnésie des bilans", a-t-elle déclaré, attaquant son adversaire de droite, Nicolas Sarkozy, sans le citer nommément.
Dans la foule, on pouvait voir Geneviève de Fontenay, Robert Hue, Dieudonné, Ludivine Sagnier ou Danièle Evenou. Les socialistes Dominique Strauss-Kahn, Jack Lang ou Bertrand Delanoë ont été acclamés par la foule à leur arrivée dans le stade. C’est l’avant-dernier grand meeting pour Ségolène Royal qui espère grâce à cette mobilisation générale gagner des points dans les sondages. Mais demain, mercredi, c’est aussi le grand oral pour les deux rivaux. Les candidats ont rendez-vous avec un grand débat télévisé dans la soirée. Débat qui n’avait pas eu lieu depuis 1995. Fort de son score au premier tour, Nicolas Sarkozy est le favori de ce face à face.
http://www.europe1.fr/informations/...
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Mardi 01 Mai 2007
Royal embrase Charléty
Par Anne LE GAL et Benjamin BONNEAU
LeJDD.fr
Un succès populaire incontestable. Alors que Nicolas Sarkozy avait allumé le feu à Bercy, dimanche, Ségolène Royal avait choisi, elle, le stade Charléty pour son dernier meeting parisien. Et au regard de la densité de la foule aux abords du stade, la candidate socialiste pouvait presque regretter de ne pas avoir réservé le Stade de France.
40 000 personnes à l’intérieur et autant à l’extérieur selon les organisateurs. (Maxppp)Approcher le stade Charléty relevait de la performance en ce mardi ensoleillé. Le long du boulevard Jourdan, la tendance est nette : affiches de Ségolène Royal placardées un peu partout, des Français grimés comme un soir de Coupe du Monde, des roses aux balcons et un melting-pot générationnel qui donnent à ce rassemblement des airs de grande kermesse. "Sego, celle qui nous faut", arbore fièrement Monique, retraitée de la SNCF, venue pour "apporter son soutien et participer à ce moment unique". Encore étudiant, Jérémy a opté pour un message simple, écrit à même la peau : "les jeunes avec Ségo" car "ce n’est pas avec Sarko que l’avenir de la jeunesse va s’améliorer. Il ne nous promet que la précarité et la flexibilité. Avant de bosser plus pour gagner plus, moi j’aimerai bien travailler ! ", explique-t-il, visiblement remonté.
Nicolas Sarkozy avait lancé les enchères. En rassemblant près de 40 000 personnes au Palais omnisports de Paris Bercy dimanche dernier, il avait fait une belle démonstration de force. Mardi, dès 18 heures, les organisateurs du concert-meeting de Ségolène Royal en annonce 80 000. "On ne peut plus accepter de public au stade Charléty qui est bourré à ras la gueule. Je vous demande de rentrer chez vous", lance alors de la scène Yvan le Bolloc’h, recueillant les huées du public en retour. "La prochaine fois, on prendra Maracana, ça sera plus simple", réplique-t-il pour détendre l’atmosphère, en référence au gigantesque stade de Rio de Janeiro.
Dehors, le service d’ordre a le plus grand mal à contenir la foule. Et les grillages de plus de deux mètres de hauteur qui encerclent le stade ne suffisent pas à retenir les milliers de personnes restées à l’extérieur. Elles sont des dizaines, de tous âges, à les escalader pour entrer dans l’arène. Devant la pression de la foule, des grilles s’ouvrent, laissant entrer quelques centaines de curieux au compte-goutte quand près de 20 000 resteront dehors. "Pour entrer, j’ai du passer par dessus la barrière, mais je voulais voir Ségolène Royal", lâche Paul Lionel, 24 ans, agent de sécurité incendie.
Jacques Higelin, Jane Birkin et... Dieudonné
Sur scène, les artistes se succèdent : Disiz la Peste, Leny Escudero, Kerry James, Michel Delpech, Les Têtes Raides, Dionysos, Cali, Saez ... Le meeting prend des allures de festival. Les écrans géants diffusent les images des people massés dans les gradins, sous les applaudissements de la foule. Dans les tribunes, on reconnaît le footballeur Vikash Dhorasoo, les acteurs Philippe Torreton, Jean-Pierre Daroussin, Didier Bezace, Michel Boujenah ou Didier Podalydès, mais aussi Jane Birkin, Jacques Higelin, Valeria Bruni-Tedeschi, Julie Gayet et Geneviève de Fontenay. Plus étonnant, Dieudonné, habitué des grands écarts politiques (il a soutenu José Bové et s’est affiché aux côtés de Jean-Marie Le Pen avant le premier tour de la présidentielle), traverse la fosse, le sourire aux lèvres, sous les huées et les sifflets du public, qui s’empresse de l’expulser, sans violence, du stade.
Quand arrive enfin Ségolène Royal sur scène, aux alentours de 20 heures, après avoir traversé la foule, quelques personnes, visiblement plus intéressées par la musique que la politique, quittent les lieux. Pendant une heure, la candidate socialiste défendra le projet d’une France rassemblée. "J’ai entendu le message de la gauche antilibérale. Oui, nos vies valent mieux que leurs profits. J’ai entendu le message de la gauche altermondialiste. Oui, un autre monde est possible. Et j’ai entendu le message des électeurs centristes", assure-t-elle, acclamée par la foule.
Ses piques, elle les réservera à "l’autre candidat", fustigeant le discours anti-mai 68 que Nicolas Sarkozy a tenu lors de son meeting dimanche dernier : "A l’écouter on se serait cru au mois de juin 68. A l’écouter, Bercy c’était des voitures en flammes, des émeutes... mais mai 68 c’était il y a quarante ans. Les Champs-Elysées, ce n’est pas le Palais omnisports de Paris Bercy, Doc Gynéco n’est pas André Malraux, Bernard Tapie, ce n’est pas François Mauriac et monsieur Sarkozy, ce n’est pas le général De Gaulle".
"Il nous manque deux points dans les sondages"
Dans le public, le message passe. La foule demande aux plus bruyants de baisser d’un ton pour écouter les arguments de la candidate. Chacun se fait sa propre opinion. Pierre, Astrid et Audrey, la vingtaine, se sentent plus proche d’Olivier Besancenot que du PS. Ils ont "voté utile" au premier tour et pensent voter une nouvelle fois pour Ségolène Royal dimanche. "C’est impossible pour nous de voter Sarkozy, c’est la droite dure, libérale. Nous ne sommes pas de fervents admirateurs de Ségolène Royal, mais nous voulons savoir où nous allons." Plus loin, Céline Durand, secrétaire, est venue avec ses deux filles. Elle est allée au meeting de Nicolas Sarkozy dimanche. "Mais je me sens mieux là, admet-elle. Là-bas, on voyait que c’était la France des patrons. Ségolène Royal, c’est plus pour les employés comme nous."
Le discours s’achève. Les soutiens de Ségolène Royal la rejoignent sur scène. Dominique Strauss-Kahn, Jack Lang, Bertrand Delanoë et François Hollande pour le PS, mais aussi l’ensemble des artistes sont là. Ils sont une quarantaine à saluer le public. "La symbolique est très forte. Sarkozy enferme tout le monde dans une bulle au Palais omnisports de Paris Bercy et Ségolène Royal accueille le public dans un lieu ouvert. Et le public est très métissé, on voit des jeunes, des vieux, des noirs, des blancs ", analyse Stéphane Lipidus, chef d’entreprise de 51 ans. Il invite ses voisins à convaincre leurs amis et leurs collègues d’aller voter pour Ségolène Royal dimanche. "Il nous manque deux points pour passer devant Sarkozy dans les sondages, il nous reste trois jours pour les gagner", conclut-il.
Le rassemblement voulu par la candidate socialiste aurait donc réussi. Les 40 000 personnes restées aux abords de Charléty en sont persuadées. En attendant, Ségolène Royal n’est pas la seule gagnante de la journée. Flairant le bon coup, des dizaines de baraque à frites se sont installées un peu partout. Et pour Mourad, "ce sera la plus grosse recette de l’année !"
http://www.lejdd.fr/cmc/presidentie...
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A NOTER : Les journalistes Anne LE GAL et Benjamin BONNEAU du JDD.fr, ne semblent pas avoir reçu les dépêches signalant la volonté affirmée de Dieudonné de dédiaboliser le FN (le diable n’existe pas, la démocratie c’est le dialogue avec tous, être OGRES), et son concept de "vraie droite" (Le Pen) et de "vraie gauche" (Bové, ou lui-même)... La vraie démocratie c’est aussi les "extrêmes", droite et gauche, qui débattent, tous les deux et avec d’autres, y compris avec les deux clones de la pensée unique ! CQFD. Ou alors ces journalistes adorent foutre le bordel. Raconter des barres sur les expulsions "de foule" par exemple. Internet les remplacera bientôt s’ils ne font pas mieux rapidement...
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2 MAI 2007
Dans le stade Charléty face à Ségolène Royal
(...)
Dieudonné s’invite dans l’après-midi et provoque un début d’émeute. L’humoriste s’est affiché par le passé avec des responsables du Front national. Il essuie des « Dieudonné fasciste », et reçoit sur la tête plusieurs pancartes « Ségolène présidente ».
(...)
Nicolas Barriquand (IPJ) presidentielle@plusnews.fr
http://www.plusnews.fr/presidentiel...
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A NOTER : Quel début d’émeute ? Où sont les éléments permettant de le prétendre ? Il n’est pas impossible qu’il y ait eu une démarche médiatique (preuves à venir), qui auraient pu contribuer à permettre un opération de manipulation de quelques nervis... A suivre...
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DIAPORAMA LeMonde
"Dieudonné refoulé à Charléty
1 - En fin d’après-midi, à l’une des entrées latérales du stade Charléty, à Paris, les spectateurs restés dehors remarquent un mouvement de foule près des gradins, racontent des témoins. Pendant que les concerts se succèdent dans le stade, quelqu’un semble se faire raccompagner hors de l’enceinte, dans une ambiance tendue.
2 - C’est l’humoriste Dieudonné qui apparaît, casquette noire, fendant la foule, entouré de quelques proches et suivi de deux ou trois policiers.
3 - Dieudonné se fait insulter : "Va-t-en !", "Tu n’as rien à faire ici !". Les sympathisants de Ségolène Royal lui reprochent ses visites répétées au Front national ou ses sorties sur les juifs, qui lui ont valu d’être condamné. "On t’aimait bien et tu nous as déçus", lui lance une femme, furieuse.
4 - L’humoriste reste là quelques minutes, affirmant qu’il n’était venu au meeting qu’en simple spectateur. C’est ce qu’il avait dit pour répondre aux critiques après sa première apparition à un meeting de Jean-Marie Le Pen, au Bourget, fin 2006.
5 - Tout au long de sa sortie mouvementée, Dieudonné est resté assez goguenard, selon des témoins. En quittant les lieux, il lève les bras vers la foule".
http://www.lemonde.fr/web/portfolio...
A NOTER : "Belle" manip du Monde... "Les sympatisants" : généralisation peu digne d’un journaliste pour une poignée de connards (on choisit une "femme", ça fait moins "nervis")... Aucune condamnation à ce jour... "Les juifs", le mot qui tue... Le Monde ne désinforme visiblement pas que sur Bayrou et Royal... Faire référence à la visite à la fête publique BBR, sans en tirer les mêmes conclusions puisqu’il y a eu aussi là quelques insultes, c’est fort ! Au FN trois insultes ça n’empêche pas une supposée connivence, au PS quelques insultes ce n’est pas une connivence. Au FN Dieudonné est dit bien accueilli, au PS Dieudonné est dit refoulé. Prochainement des vérités attestées, mais pour le moment laissons "la presse" s’enfoncer un peu plus...
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Dieudonné refoulé de Charléty...
Mercredi 2 mai, J-4
Dieudonné a tenté de s’inviter au meeting de Ségolène Royal au stade Charléty mardi. Il n’a pas été le bienvenu.
http://www.20minutes.fr/article/154...
A NOTER : On suit toujours bêtement Le Monde, comme un mouton...
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A NOTER : Aucun gros média marchand n’a encore signalé ce mercredi 2 mai à 16 heurs que Dieudonné votera Royal. Même pas le "lobby" anti-Royal supposé les rassembler ! Etonnant non ? La baudruche perdrait de son efficacité ? Ou on n’aurait vraiment les billes pour assumer des conséquences ? Ou on fait une première étape de diabolisation en parlant d’expulsion, puis on reviendra sur les doutes ? A suivre...
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Dieudonné refoulé du meeting de Royal à Charléty
02/05/2007
Comme chez le Pen, l’humoriste a déclaré être venu « juste pour voir »
Par Capucine Légelle
Dieudonné a tenté de s’inviter hier après midi au grand meeting-concert organisé par le Parti Socialiste au stade Charléty.
Repéré par le service d’ordre qui a visiblement reçu des instructions immédiatement, il sera raccompagné en douceur vers la sortie relativement rapidement après son arrivée.
Les caméras de BFM TV présentes sur place suivent l’action et la journaliste Ruth Elkrief ne manque pas de questionner Arnaud Montebourg au sujet de la présence de l’humoriste. Le porte parole de Ségolène Royal répond qu’il n’est absolument pas informé de cette visite.
Dieudonné, que l’on avait pris l’habitude d’aperçevoir du côté de l’extrême droite, a précisé être venu "juste pour voir"...
L’incident passera inaperçu au milieu de la foule forte de 40 000 personnes venues soutenir la candidate socialiste.
De nombreuses personnalités -attendues, elles- avaient fait le déplacement pour manifester leur appui à la gauche avant le second tour de l’élection présidentielle : Yvan le Boloch’, Bénabar, Cali, Jacques Higelin, Georges Moustaki... Le public a également pu vibrer avec Yannick Noah qui a interprété quelques titres avant de quitter la scène main dans la main avec Ségolène Royal.
Un meeting sous forme de fête populaire en décalage notoire avec le sommet sarkozyste de Bercy comme le voulait la présidentiable qui a opté pour le complexe Charléty au dernier moment, en référence aux belles heures de mai 68 décriées par le président UMP.
http://www.grioo.com/info10104.html
A NOTER : Dieudonné est resté 3/4 d’heure une heure, dans la foule... Il a annoncé, en particulier sur place à des journalistes d’une radio, et sur internet, qu’il voterait Royal. C’est Dieudonné qui a décidé de partir vers 19h. Aucun ordre, aucune action n’est venue de l’organisation du meeting. La police a simplement facilité, à la demande de Dieudonné, une sortie latérale, les portes principales étant fermées. Grioo ne rappelle pas l’annonce du vote pour José Bové (pourtant reçu par lui directement par email et aussi diffusé dans la presse !). Grioo a reçu par email cette nuit de mardi à mercredi des photos démontrant une ambiance amicale autour de Dieudonné...
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melost (
02/05/2007 19:28 )
À Brussels / Belgium
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Pour quelle raison a t-il été refoulé ?
Un citoyen français n'a -t-il pas le droit de s'inviter dans un meeting PS ?
Par cet acte , le PS devoile son veritable visage de fa faux jeton.
Et dire qu'il y en a qui vont votés PS. |
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melost (
02/05/2007 19:31 )
À Brussels / Belgium
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Dailleurs il n\'a même pas été refoulé.
C\'est quoi cette histoire encore ?
Voir les photos qui en temoignent : http://lesogres.info/article.php3?id_article=3205 |
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jofrere (
03/05/2007 11:44 )
À New York / United States
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bon bais alors Melost, qu\'est ce que tu dis? le PS dévoile son vrai visage ou pas?
il faudrait savoir. |
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