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  ''Le Niger, principal prédateur de la liberté de la presse'' selon MFWA
Le Niger aurait compté 23 cas d'abus de droits de la liberté de la presse
 
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''Le Niger, principal prédateur de la liberté de la presse'' selon MFWA

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mouss ( 14/01/2008 02:21 )
À Courbevoie / France

Il est regrettable que que des organisations telles que le mfwa ne soient pas équilibrés dans leurs rapports. Je pense que défendre la corporation des acteurs de la presse revient aussi à dénoncer les actes illégales de beaucoup de journalistes en Afique.Qu'ils soient étrangres - français pour la plupart- ou nationaux. Pour exemple le cas des deux reporters français actuellement aux arrêts au Niger. A entendre leurs défenseurs, ces deux là sont blancs comme neige et ne faisaient que leur boulot. Ce qui est contraire à la vérité des faits. Au Sénégal, pour des actes similaires, une journaliste française avait été expulsée du territoire ( pas embastillée puis jugée).
Par excés de corporatisme, certaines associations se décrédibilisent. Dans beaucoup de nos pays africains, des gens se réclament journalistes alors qu'ils n'ont aucune compétences dans le métier et sont souvent à la solde d'opposants qui tirent sur tout ce qui est proche du pouvoir sans aucune objectivité. Rumeurs, diffamations et autres manipulations sont monnaie courante. Ces mêmes journaleux se réfugient ensuite sous le falacieux paravent de la "liberté de la presse". De même, des journalistes étrangers s'emparent de problémes extrémement grave liés à l'unité nationale pour tirer sur les gouvernements en place. En toute impartialité et aussi dans le but d'alimenter le sensationnel sur l'Afrique. Au Niger, les deux journalistes français n'avaient reçu aucune accrédidation pour ce qu'ils étaient entrain de faire et ont trompé la confiance de l'Etat nigérien. En fait, ils se sont comporté en délinquants. Cela, leurs souteneurs ne le disent pas souvent.
Par ailleurs, ,et pour montrer le déséquilibre dans ce résumé que vous publiez , on note que le Sénégal est plus "mal placé" que la côte d'ivoire ou le burkina où il y a eu meutre de journaistes.
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mouss ( 14/01/2008 02:44 )
À Courbevoie / France

Au regard des multiples agressions des pouvoirs d'argent ou politiques contre la presse en France, quel serait le classement de la France si elle se situait dans la zone ouest africaine?
Cette question juste pour faire comprendre que la liberté de la presse est malmenée un peu partout dans le monde.
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  Le Niger, principal prédateur de la liberté de la presse'' selon MFWA
MOHA ( 16/01/2008 22:11 )
À Algiers / Algeria

A MOUS
Vous avez pleinement raison. J'ai vu le reppoprtage de ces deux jounaleuux français. Le message s'inscrit pleinement dans leur idéologie: le mépris et la haine du nègre, le sentiment du chaos et d'incapacité oar rapport au blanc. Honte à reporter sans frontière et à son presponsable.
Le Niger merite d'être soutenu pas tous ceux qui veulent que cela cesse et que les deux français soient condamnés. Les autres Etats doivent suivre cet exemple. C'est en cela que ces idéologues negrophobes cesseront ces pratiques.
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( 17/01/2008 16:22 )
À Clichy / France

at

Attention, Moha. Mon propos ne se voulait pas du tout raciste. Mememe si les agissement de la plupart des associations et autres Ong sont sovent teintés de racisme ou du moins de paternalisme envers les africains noirs. Mon soucis demeure la liberté de la presse qu'il faut défendre sous tous les cieux. Pariculiérement dans les pays comme la France, grand donneur de leçons ou la Presse est au ordre soit du cac40 ou de l'Elysée; Alors, en meme tps qu'on jette l'opprobe sur les ETATS africains, il serait aussi bien de démasquer les auteurs d'agression contre lapresse dans son propre pays.
Il faut aussi qu'on arrête de demander que des délinquants - journalistes ou pseudo- humanitaires - , pris pour des fautes commises en dehors du cadre légal de leur accréditation en pays étrangers soient libérés sans aucun jugement. On ne peut réclamer l'impunité à des délinquants, couvrir leurs agressions contre la déontologie,et se présenter par la suite comme défenseur de la presse! Demander la liberation immédiates de deux délinquants journalistes aux arreets au Niger, c'est insulter tous les jounalistes honnetes qui prennent d'énormes risques tout en respectant les lois du pays et de leur conscience; c'est aussi insulter tout un peuple au nom duquel justice doit etre rendue.
En définitive, les africains doivent tous les jours, sans relache, prouver aux occidentaux qu'ils peuvent gerer leurs problemes. En un mot, se comporter en hommes et femmes libres. En Etats souverains.
cC'est une question politique avant d'etre raciale. Gardons nous de tous ramener à un affaire de race. Meme si c'est le cas en face, il nous appartient de situer le débat sur un autre terrain d'autant plus que les propositions , les solutions ne peuvent etreque politiques, économiques ou scientifiques et non raciales.
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