 |
|
 |
|
 |
|
 |
|
|
|
|
|
Le footballeur camerounais a témoigné dans l'affaire du viol de son fils aîné.
|
|
|
|
 |
|
 |
|
|
|
|
|
L’Affaire n’a pas défrayé la chronique outre mesure, mais plus d’un média en ligne a relayée l’information, sans nommer le mis en cause. Une histoire de mœurs légères impliquant un proche du footballeur camerounais Samuel Eto’o fils, jugé pour abus sexuel sur le fils mineur de l’attaquant de Barcelone selon des sources judicaires. Samuel Eto'o a été cité comme témoin au procès jeudi dernier au Tribunal supérieur de justice de Barcelone. Selon Le Monde, le présumé coupable, est bien qualifié d’ "ami intime" de la star du FC Barcelone, par le parquet.
L’histoire remonte à l’époque où Samuel Eto’o était titulaire de l’équipe de Majorque ; "aux alentours du premier semestre 2006", selon le tribunal. Le joueur confiait la garde de son premier fils né en 2002 sur l’île locale et vivant avec sa maman dont il est séparé, à un de ses proches. Celui- ci, chargé d’en prendre soin les week-ends où Eto’o en avait la garde, devait récupérer le gamin à Majorque et l'amener à Barcelone, quand le sportif avait des matches à livrer ou à participer aux entraînements. Le baby-sitter occasionnel aurait alors "profité de sa proximité avec le mineur pour le soumettre à toutes sortes d'attouchements (...) dans l'objectif de satisfaire ses désirs lubriques", d’après le parquet de Barcelone.
S’il est reconnu coupable des faits qui lui sont reprochés, le présumé encoure la peine six ans de prison et 60.000 euros d'amende, selon les réquisitions du Parquet. Chose surprenante cependant, citant le journal espagnol El Mundo dans son édition de vendredi dernier, le monde indique que le juge d'instruction a été surpris par l'attitude du footballeur, qui "a semblé davantage prendre la défense" de l'accusé "que des droits de son fils" et a paru "vouloir rester en marge du conflit". C’est l’ex-compagne du sportif qui aurait décidé de déposer une plainte après que le gamin âgé de 6 ans ait répété les faits à sa maman "avec les limites de son jeune âge", en août 2006 indique le Parquet.
|