Chère Winnie Mandela,
Je vous comprends, chère Madame, car quand vous étiez en lutte avec votre mari, la plupart de ces jeunes loups n'étaient pas encore nées, car au cours des années 1960, eux ils étaient au mieux des jeunes enfants, et certains étaient à l'étranger pour éviter les douleurs de l'Apartheid..
Mais avec la nommination récente de votre fille au poste d'ambassadeur en Argentine, le président Zuma vous a piégée, certainement parce qu'.il était au courant de votre réaction, alors que l'enjeu ce ne sont pas des postes politiques, sinon ce serait une erreur monumentale.
Le but n'étant pas de faire du favoritisme au profit de la seule famille Mandela, mais de considérer tous les enfants des martyrs de la liberté comme des puppiles de la nation.
Le vrai enjeu, c'est la mémoire de toute l'Afrique, celle de votre lutte pour la liberté, celle de la lutte des opprimés, qui doit être sauvegardée et entetenue afin que les futures générations comprennent leur mission.
La liberté a exigé d'énormes sacrifices, à présent il en faudra encore plus pour construire une Afrique digne et prospère.
Votre exemple doit servir aux futurs dirigeants et aux Afros déscendants de part le monde, afin qu'ils comprennent que seul le travail dans l'unité mais surtout la persévérence dans le temps permettent de changer le destin des peuples. À cela, puissions nous ajouter une organisation solide, pour guider les masses.
Cette appréciation symbolique de la mémoire vivante de votre famille, i.e. de Nelson Mandela, devrait être comprise en ce sens sinon, il sera dommage que d'ici quelques années on uoblie les sacrifices consentis et que l'on retombe dans les travers de la politique politicienne, comme cela se voit déjà dans le comportement de la jeune génération incarnée par Jilius Malemea et d'autres.
J'espère que vous et les leaders de l'ANC, surtout les leaders historiques de la lutte de libération, vous serez capables de chérir à sa juste valeur les acquis de votre liberté afin d'attaquer le dur combat de la copmpétitivité économique et de la stabilité social.
Bien à vous Mme Winnie Mandela. |