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Alassane Ouattara se rendra à Addis Abeba le 10 mars |
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(
06/03/2011 10:24 )
À Garges-lès-gonesse / France
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Suspicion legitime d'un scenario de montage sur les tueries des femmes à Abobo
Source : Autres Médias : Dernière Mise à jour : 05/03/2011 (Auteur : )
Lorsqu'on regarde le film de ce qui s'est passé à Abobo, dans un premier temps, on est véritablement choqué par les images atroces de ces femmes tuées. D'ailleurs la mort de toute être humain, même de votre ennemi, reste condamnable au vu d...e la constitution ivoirienne.
L'émotion passée, on regarde de nouveau la vidéo pour vérifier l'authenticité des faits. C'est en ce moment qu'on se rend compte de certaines incohérences qui frisent la thèse d'un montage. Relevons ces incohérences:
1- On nous parle d'une marche de femmes. Les images montrent plutôt un groupe mixte avec des jeunes armés à la machette.
2- Dans ce cas, pourquoi les balles n'ont touché que les femmes? ou bien avons-nous à faire à des balles "misogyne"?
3- Pourquoi ce n'est que dans cette commune qu'il y a eu mort de femmes, alors qu'elles ont aussi marché dans les autres communes comme Treichville et Koumassi? Dans ces deux communes citées on ne déplore aucun incident grave.
4- On relève aussi que loge dans la commune d'Abobo, le fameux groupe de "commando invisible" qui combat à l'arme lourde nos forces de défense et de sécurité.
5- Les femmes sont mises devant et les jeunes armées derrières. A quoi répond cette stratégie? Elle ressemble étrangement à la stratégie des autres marches organisées par le camp ouattara dans la commune d'Abobo. Des marches qui se sont soldées par des morts d'hommes aussi bien chez les manifestants que chez nos forces de l'ordre.
Des civiles aux mains nues devant, suivies de civiles lourdement armées comme attestent la vidéo ci-dessous. Drôle de marche pacifique.
Maintenant passons à ces femmes mortellement atteintes que présentent la vidéo.
6- Lorsque les FDS passent à 4 min 26s. on entend des rafales de kalachnikov.
Faite un arrête sur image à 5min2, la jeune dame à une ouverture d'environ 10 cm sur le coté gauche du coup. Cela ne ressemble pas à une blessure par balle.
La jeune fille en orange rayé de blanc à une blessure par balle au niveau de l' omoplate gauche (5 minute 14). ce qui signifie qu'elle a reçu une balle dans le dos alors que les FDS venait de face.
De même la dame en blanc rayé de vert à 6 minute00 à également une balle par derrière sur le flanc droit.
Deux questions se posent sachant que les FDS étaient sur des chars en mouvements:
-Comment se fait-il que toutes les victimes se trouves étendues sur un même périmètre (moins de trois métre de diamètre si l'on trace un cercle)?
Car s'il s'agissait de tirs venant des chars des FDS en mouvents les victimes ne seraient pas disposé ainsi.
- Lorsque le FDS passent il n'y a aucun tir. La video en tèmoigne. il y a des tirs de somations avant leur passage.
Si les FDS avaient tiré depuis leurs chars et véhicules comment expliquer les blessure au niveau du flanc de la dame en blanc rayé de vert?
Faites un arrêt à 5m20 et regardez, la femme supposée morte se leve et on lui fait signe de se recoucher. (La vidéo ci-dessous résume ce passage)
Toutes ces incohérences montrent que les choses ont été préparées à l'avance pour accuser les FDS et à travers elles, le président Gbagbo de génocidaire. Des preuves dont a besoin la France pour actionner la Cour pénale internationale. La France et le camp ouattara semblent avoir leur morts tant recherchées. Mais ils ont besoin de l'appui de l'ONU pour "certifier" que le président Gbagbo est un génocidaire et le tout est joué.
On comprend alors que "La France souhaite que le Conseil des droits de l`homme des Nations unies se saisisse des violences en Côte d`Ivoire et qu`une "commission d`enquête crédible et impartiale sous l`égide de l`ONU" soit mise en place, a annoncé vendredi le ministère des Affaires étrangères.
Les forces nationales de défense et de sécurité ont déjà fait connaître leur position sur ce sujet. Elles ne se sentent nullement concernées par cette stratégie. le gouvernement ivoirien réuni actuellement des preuves pour faire échouer ce plan machiavélique.
source : cotedivoire-lavraie.over-blog.fr
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Regardez cette video you tube et formilez votre propre opinion:
Il y'a suspicion legitime par rapport aux montages devenus monnaie courante des medias internationaux
faut resté couché le sénario n'est pas encore fini
http://www.youtube.com/watch?v=-i-oXt73-kc
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Les Forces de défense et de sécurité de Côte d'Ivoire (FDS-CI) nient avoir tiré sur des femmes du RHDP qui manifestaient pacifiquement, le jeudi 3 mars 2011, dans la commune d'Abobo. Lire ci-dessous, leur communiqué
Communiqué des FDS-CI
Sur la base des propos de pseudo témoins, des agences de presse ont diffusé 1"information selon laquelle les FDS-CI seraient coupables de la mort de sit (06) femmes, tuées par balles, au cours de la marche des militantes du RHDP à Abobo, le jeudi 03 mars 2011. Cette information a été automatiquement relayée depuis hier par des médias internationaux. Tout en s'inclinant très sincèrement sur la mémoire de ces femmes tuées, victimes d'actes d'un autre âge, les FDS-CI déclarent purement et simplement ne pas se reconnaître dans cette accusation, forcement mensongère et sans fondement. A l'intention de ces médias qui, de façon curieuse et suspecte, s'accordent autour de cette accusation grave, les FDS-CI rappellent que des marches similaires de militantes du RHDP ont eu lieu à Adjamé, à Marcory, à Treichville, à Attécoubé, à Bassam et dans d'autres localités les jours précédents; elles ont été toutes dispersées par des FDS-CI à l'aide de moyens conventionnels, sans qu'aucun cas de tuerie par balles n'ait été déploré; ni d'actes de barbarie observés. Les FDS-CI, s'insurgent contre ces adeptes des informations pour qui la légèreté et la manipulation des faits sont établies comme des règles professionnelles. Aussi, le Chef d'État-major des armées demande-t-il à ces accusateurs, de rechercher les auteurs présumés de ces tueries de femmes à Abobo ailleurs, car il affirme que la zone d'Abobo n'a jamais été le théâtre d'opérations des FDS-CI ce jour précis du jeudi 03 mars 2011, jour de la marche. Enfin, le Chef d'État-major des Armées précise que les troupes des FDS-CI sont restées stationnées dans leur cantonnement d'Abobo.
DIEU BENISSE ET SAUVE LA COTE D'IVOlRE!
Fait à Abidjan le vendredi 04 mars 2011
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esperons qu il parlera enfin de paix |
annabelle (
06/03/2011 11:11 )
À Chambourcy / France
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j espere que dieu lui a ouvert les yeux car le mal qu il a pu faire aux africains au 21 eme siecle c est grave il doit le reconnaitre car cela ne peut pas vous faire du bien ainsi qu à votre famille des compromis pour détruire le peuple noirs on n est plus sous l'esclavage pour arriver à s'enrichir tuer les hommes si on tuait votre fils monsieur comment vous serez si on vous vole vos biens quel réaction allez vous avoir ? donc ce que vous ne voulez pas qu on vous fasse ,ne le faite pas aux autres assez de mal assez de sang versé par votre faute vous avez maintenu des armes aux rebelles et vous les avez encore armez .vous n aurez pas du jouer à ce jeu là leur dire oui vos complices mais pour l' amour de vos freres et soeurs africains pour la vie d' un homme qui est précieuse au yeux de dieu vous avez versé du sang injustement pour faire plaisir aux sectes ...et bien c est du qui vous jugera tous jusqu au dernier car la paix ,l amour ,faire du bien à l' homme qui en a besoin surtout à son peuple africain vaut mieux que tout l'or du monde .je prie que dieu vous donne plus de sagesse si vous voulez diriger un peuple puis un pays car un président violent entraine un peuple à l'anarchie .mais heureusement que tous les présidents ne sont pas violent et pour cela il aime son peuple il ne veut pas meme un meurtre dans son pays .toute accusation fausse sera contre les auteurs car avec dieu tout est mis à nu et à découvert .que dieu benisse l afrique et les afrcains pour que leurs yeux s ouvre à la vérité . |
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Pays de la 1er assassination Presidentielle en Afrique Noire et la mème famille depuis 47 ans |
(
06/03/2011 11:14 )
À Saint-avertin / France
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Le Frac exige le retrait d’un projet de loi liberticide
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Par Aghu | 05/03/2011 | 16:14:30 TOGO :: POLITIQUE
::Article de la rédaction de Koaci.com au Togo ::
Pour la première manifestation d’après l’an 1 du « hold-up électoral » de Faure Gnassingbé, à, l’issue de la présidentielle du 0’ mars 2010, les militants et sympathisants du Front républicain pour alternance et le changement (Frac) ont répondu massivement à l’appel de leurs responsables.
Au menu, les préalables au dialogue inclusif, le projet de loi sur les manifestations, les révolutions en Afrique du nord et l’élection présidentielle au Bénin.
Le leader du Parti des travailleurs, Claude Améganvi a été le premier a donné le ton de la dénonciation du projet de loi adopté en conseil des ministres, le mercredi dernier. Ce projet de loi porte réglementation des manifestations. Elle vise selon le gouvernement, à éviter que la liberté de manifester des uns, n’empiète sur les libertés d’autres citoyens. « Il s’agit pour le pouvoir-Rpt, de prendre des dispositions pour anticiper sur la révolte populaire, qui pointe à l’horizon », rétorque M. Améganvi qui a lancé un appel aux Togolais à se battre contre ce projet.
De fait, le pouvoir interdit depuis un moment, les manifestations sur les voies publiques, en semaine. « C’est de l’arbitraire », estime à son tour, Jean-Pierre Fabre, qui s’est dit favorable à une proposition de Claude Améganvi, appelant à l’organisation de manifestations de protestations, dès le courant de la semaine prochaine. La date du jeudi 10 mars prochain est d’ailleurs avancée. Une proposition qui a reçu une approbation massive auprès des manifestants. Reste à savoir si le Frac passera à l’exécution de cette annonce qui n’en est pas à sa première.
Claude Améganvi a appelé à saluer la bravoure des peuples tunisiens, égyptiens et à être solidaire avec ceux de la Lybie, où Mohamed Kadhafi est entrain de perpétrer un génocide. Me Abi Tchessa, leader du Pacte socialiste pour le renouveau (Psr), a de son côté salué la détermination des partis politiques et organisations de la société civile béninoise, qui ont su arracher un report du scrutin présidentiel, pour améliorer la liste électoral, sur laquelle plus d’un million d’électeurs n’ont pas réussi à s’inscrire. « C’est ce genre d’anomalies, qui empêche les peuples de désigner leurs dirigeants, qui nous amènent au Togo, à être dans les rues, un an après l’élection présidentielle », a-t-il noté.
Tour à tour, Me Isabelle Améganvi, Me Abi Tchessa, Claude Améganvi et Jean-Pierre Fabre, sont revenus sur la question du dialogue annoncé par Faure Gnassingbé. « Je voudrais vous annoncer que les motos arbitrairement saisies à nos militants qui voulaient manifester à Sokodé, viennent de leur être restituées », a déclaré Me. Isabelle Améganvi. La restitution des motos saisies par les forces de sécurité aux militants du Frac et à l’occasion d’une manifestation des organisations de la société civile contre la vie chère, fait partie des préalables soumis par l’Alliance nationale pour le changement (Anc), à l’intention de Faure Gnassingbé, pour répondre à son invitation au dialogue.
« Certains nous reprochent de ne pas être allés, pour signifier de vive voix nos préalables à Faure Gnassingbé. Est t-il encore besoin d’aller lui répéter ces injustices sur lesquelles nous n’avons de cesse d’attirer son attention en vain ? », a questionné Jean-Pierre Fabre, qui dit douter de la volonté du pouvoir. « Ils sont coutumiers du fait. L’opposition est à présent mature et personne ne va plus nous duper », explique Me. Abi Tchessa. « Au Parti des travailleurs, nous sommes hostiles à tout dialogue avec ce pouvoir. On ne dialogue pas avec des gens qui doivent quitter le pouvoir», assène Claude Améganvi avec l’approbation des manifestants. « S’ils satisfont à nos préalables, alors seulement nous verrons si nous pourrons aller à un dialogue », indique Jean-Pierre Fabre. « Si dialogue il doit y avoir, il doit porter sur une transition qui va amener à une prise du pouvoir pacifique par l’opposition », martèle Me. Abi Tchessa.
Echaudée par la roublardise du pouvoir, la franche représentative de l’opposition ne se montre guère plus partisane d’un dialogue avec le système-Rpt. Depuis le déclenchement des revendications populaires en 1990, les Togolais ont tenu treize (13) dialogues dont les conclusions n’ont pour l’essentiel jamais été respectées par le pouvoir. Le Frac entend donc rompre avec cette façon de dialoguer pour dialoguer. « Nous l’avions exprimé aux chancelleries occidentales au Togo. C’est fini, plus personne ne va nous imposer ces marchés de dupes », a affirmé Jean-Pierre Fabre. De plus en plus, les Togolais ont la conviction que les technocrates européens, roulent pour le maintien du système-Rpt au Togo.
A la fin de meeting, responsables et militants de l’Anc ont mis le cap sur Sangéra, un canton dans la banlieue nord-ouest de Lomé, pour une manifestation. La semaine dernière, le ministre de la sécurité et son homologue de l’administration du territoire, ont interdit une manifestation de l’Anc dans ce canton. Un défi qu’ils entendent relever ce jour.
Aghu, correspondant de Koaci.com à Lomé
Frac | ANC | Loi | Faure Gnassingbé | Manifestations | Togo |
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Assafo
La position du FRAC est claire. Il n'y a pas d'ambiguïté. Ce soit disant dialogue inclusif est encore un dialogue de trop. Tous les autres dialogues jusqu'a présent, n'ont rien donné.
Le FRAC a l'obligation de maintenir la pression sur le régime RPT qui sent que la cloche sonne. Il faudra que cette situation finisse pour que le travail pour la vraie indépendance pour le Togo, puisse commencer.
Les Togolais sont fatigués. Les jeunes diplômés on besoin du travail et mener une vie normale et contribuer a la construction du patrimoine. C'est claire que l'Occident supporte un régime sanguinaire pour qu'ils puissent continuer a nous exploiter.
Dans un pays aussi riche de ressources naturelles comme le Togo, la pauvreté est alarmante. La population a du mal a subvenir aux besoins élémentaires quand au même moment, l'usurpateur et son entourage, vivent d'une opulence honteuse. Il faudra qu'on finisse avec cette affaire et le FRAC a la responsabilité que cela soit chose faite.
Je souhaite du courage a tous les membre du FRAC.
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Par Aghu | 05/03/2011 | 16:14:30 TOGO :: POLITIQUE
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Au menu, les préalables au dialogue inclusif, le projet de loi sur les manifestations, les révolutions en Afrique du nord et l’élection présidentielle au Bénin.
Le leader du Parti des travailleurs, Claude Améganvi a été le premier a donné le ton de la dénonciation du projet de loi adopté en conseil des ministres, le mercredi dernier. Ce projet de loi porte réglementation des manifestations. Elle vise selon le gouvernement, à éviter que la liberté de manifester des uns, n’empiète sur les libertés d’autres citoyens. « Il s’agit pour le pouvoir-Rpt, de prendre des dispositions pour anticiper sur la révolte populaire, qui pointe à l’horizon », rétorque M. Améganvi qui a lancé un appel aux Togolais à se battre contre ce projet.
De fait, le pouvoir interdit depuis un moment, les manifestations sur les voies publiques, en semaine. « C’est de l’arbitraire », estime à son tour, Jean-Pierre Fabre, qui s’est dit favorable à une proposition de Claude Améganvi, appelant à l’organisation de manifestations de protestations, dès le courant de la semaine prochaine. La date du jeudi 10 mars prochain est d’ailleurs avancée. Une proposition qui a reçu une approbation massive auprès des manifestants. Reste à savoir si le Frac passera à l’exécution de cette annonce qui n’en est pas à sa première.
Claude Améganvi a appelé à saluer la bravoure des peuples tunisiens, égyptiens et à être solidaire avec ceux de la Lybie, où Mohamed Kadhafi est entrain de perpétrer un génocide. Me Abi Tchessa, leader du Pacte socialiste pour le renouveau (Psr), a de son côté salué la détermination des partis politiques et organisations de la société civile béninoise, qui ont su arracher un report du scrutin présidentiel, pour améliorer la liste électoral, sur laquelle plus d’un million d’électeurs n’ont pas réussi à s’inscrire. « C’est ce genre d’anomalies, qui empêche les peuples de désigner leurs dirigeants, qui nous amènent au Togo, à être dans les rues, un an après l’élection présidentielle », a-t-il noté.
Tour à tour, Me Isabelle Améganvi, Me Abi Tchessa, Claude Améganvi et Jean-Pierre Fabre, sont revenus sur la question du dialogue annoncé par Faure Gnassingbé. « Je voudrais vous annoncer que les motos arbitrairement saisies à nos militants qui voulaient manifester à Sokodé, viennent de leur être restituées », a déclaré Me. Isabelle Améganvi. La restitution des motos saisies par les forces de sécurité aux militants du Frac et à l’occasion d’une manifestation des organisations de la société civile contre la vie chère, fait partie des préalables soumis par l’Alliance nationale pour le changement (Anc), à l’intention de Faure Gnassingbé, pour répondre à son invitation au dialogue.
« Certains nous reprochent de ne pas être allés, pour signifier de vive voix nos préalables à Faure Gnassingbé. Est t-il encore besoin d’aller lui répéter ces injustices sur lesquelles nous n’avons de cesse d’attirer son attention en vain ? », a questionné Jean-Pierre Fabre, qui dit douter de la volonté du pouvoir. « Ils sont coutumiers du fait. L’opposition est à présent mature et personne ne va plus nous duper », explique Me. Abi Tchessa. « Au Parti des travailleurs, nous sommes hostiles à tout dialogue avec ce pouvoir. On ne dialogue pas avec des gens qui doivent quitter le pouvoir», assène Claude Améganvi avec l’approbation des manifestants. « S’ils satisfont à nos préalables, alors seulement nous verrons si nous pourrons aller à un dialogue », indique Jean-Pierre Fabre. « Si dialogue il doit y avoir, il doit porter sur une transition qui va amener à une prise du pouvoir pacifique par l’opposition », martèle Me. Abi Tchessa.
Echaudée par la roublardise du pouvoir, la franche représentative de l’opposition ne se montre guère plus partisane d’un dialogue avec le système-Rpt. Depuis le déclenchement des revendications populaires en 1990, les Togolais ont tenu treize (13) dialogues dont les conclusions n’ont pour l’essentiel jamais été respectées par le pouvoir. Le Frac entend donc rompre avec cette façon de dialoguer pour dialoguer. « Nous l’avions exprimé aux chancelleries occidentales au Togo. C’est fini, plus personne ne va nous imposer ces marchés de dupes », a affirmé Jean-Pierre Fabre. De plus en plus, les Togolais ont la conviction que les technocrates européens, roulent pour le maintien du système-Rpt au Togo.
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Le FRAC a l'obligation de maintenir la pression sur le régime RPT qui sent que la cloche sonne. Il faudra que cette situation finisse pour que le travail pour la vraie indépendance pour le Togo, puisse commencer.
Les Togolais sont fatigués. Les jeunes diplômés on besoin du travail et mener une vie normale et contribuer a la construction du patrimoine. C'est claire que l'Occident supporte un régime sanguinaire pour qu'ils puissent continuer a nous exploiter.
Dans un pays aussi riche de ressources naturelles comme le Togo, la pauvreté est alarmante. La population a du mal a subvenir aux besoins élémentaires quand au même moment, l'usurpateur et son entourage, vivent d'une opulence honteuse. Il faudra qu'on finisse avec cette affaire et le FRAC a la responsabilité que cela soit chose faite.
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Pour la première manifestation d’après l’an 1 du « hold-up électoral » de Faure Gnassingbé, à, l’issue de la présidentielle du 0’ mars 2010, les militants et sympathisants du Front républicain pour alternance et le changement (Frac) ont répondu massivement à l’appel de leurs responsables.
Au menu, les préalables au dialogue inclusif, le projet de loi sur les manifestations, les révolutions en Afrique du nord et l’élection présidentielle au Bénin.
Le leader du Parti des travailleurs, Claude Améganvi a été le premier a donné le ton de la dénonciation du projet de loi adopté en conseil des ministres, le mercredi dernier. Ce projet de loi porte réglementation des manifestations. Elle vise selon le gouvernement, à éviter que la liberté de manifester des uns, n’empiète sur les libertés d’autres citoyens. « Il s’agit pour le pouvoir-Rpt, de prendre des dispositions pour anticiper sur la révolte populaire, qui pointe à l’horizon », rétorque M. Améganvi qui a lancé un appel aux Togolais à se battre contre ce projet.
De fait, le pouvoir interdit depuis un moment, les manifestations sur les voies publiques, en semaine. « C’est de l’arbitraire », estime à son tour, Jean-Pierre Fabre, qui s’est dit favorable à une proposition de Claude Améganvi, appelant à l’organisation de manifestations de protestations, dès le courant de la semaine prochaine. La date du jeudi 10 mars prochain est d’ailleurs avancée. Une proposition qui a reçu une approbation massive auprès des manifestants. Reste à savoir si le Frac passera à l’exécution de cette annonce qui n’en est pas à sa première.
Claude Améganvi a appelé à saluer la bravoure des peuples tunisiens, égyptiens et à être solidaire avec ceux de la Lybie, où Mohamed Kadhafi est entrain de perpétrer un génocide. Me Abi Tchessa, leader du Pacte socialiste pour le renouveau (Psr), a de son côté salué la détermination des partis politiques et organisations de la société civile béninoise, qui ont su arracher un report du scrutin présidentiel, pour améliorer la liste électoral, sur laquelle plus d’un million d’électeurs n’ont pas réussi à s’inscrire. « C’est ce genre d’anomalies, qui empêche les peuples de désigner leurs dirigeants, qui nous amènent au Togo, à être dans les rues, un an après l’élection présidentielle », a-t-il noté.
Tour à tour, Me Isabelle Améganvi, Me Abi Tchessa, Claude Améganvi et Jean-Pierre Fabre, sont revenus sur la question du dialogue annoncé par Faure Gnassingbé. « Je voudrais vous annoncer que les motos arbitrairement saisies à nos militants qui voulaient manifester à Sokodé, viennent de leur être restituées », a déclaré Me. Isabelle Améganvi. La restitution des motos saisies par les forces de sécurité aux militants du Frac et à l’occasion d’une manifestation des organisations de la société civile contre la vie chère, fait partie des préalables soumis par l’Alliance nationale pour le changement (Anc), à l’intention de Faure Gnassingbé, pour répondre à son invitation au dialogue.
« Certains nous reprochent de ne pas être allés, pour signifier de vive voix nos préalables à Faure Gnassingbé. Est t-il encore besoin d’aller lui répéter ces injustices sur lesquelles nous n’avons de cesse d’attirer son attention en vain ? », a questionné Jean-Pierre Fabre, qui dit douter de la volonté du pouvoir. « Ils sont coutumiers du fait. L’opposition est à présent mature et personne ne va plus nous duper », explique Me. Abi Tchessa. « Au Parti des travailleurs, nous sommes hostiles à tout dialogue avec ce pouvoir. On ne dialogue pas avec des gens qui doivent quitter le pouvoir», assène Claude Améganvi avec l’approbation des manifestants. « S’ils satisfont à nos préalables, alors seulement nous verrons si nous pourrons aller à un dialogue », indique Jean-Pierre Fabre. « Si dialogue il doit y avoir, il doit porter sur une transition qui va amener à une prise du pouvoir pacifique par l’opposition », martèle Me. Abi Tchessa.
Echaudée par la roublardise du pouvoir, la franche représentative de l’opposition ne se montre guère plus partisane d’un dialogue avec le système-Rpt. Depuis le déclenchement des revendications populaires en 1990, les Togolais ont tenu treize (13) dialogues dont les conclusions n’ont pour l’essentiel jamais été respectées par le pouvoir. Le Frac entend donc rompre avec cette façon de dialoguer pour dialoguer. « Nous l’avions exprimé aux chancelleries occidentales au Togo. C’est fini, plus personne ne va nous imposer ces marchés de dupes », a affirmé Jean-Pierre Fabre. De plus en plus, les Togolais ont la conviction que les technocrates européens, roulent pour le maintien du système-Rpt au Togo.
A la fin de meeting, responsables et militants de l’Anc ont mis le cap sur Sangéra, un canton dans la banlieue nord-ouest de Lomé, pour une manifestation. La semaine dernière, le ministre de la sécurité et son homologue de l’administration du territoire, ont interdit une manifestation de l’Anc dans ce canton. Un défi qu’ils entendent relever ce jour.
Aghu, correspondant de Koaci.com à Lomé
Assafo
La position du FRAC est claire. Il n'y a pas d'ambiguïté. Ce soit disant dialogue inclusif est encore un dialogue de trop. Tous les autres dialogues jusqu'a présent, n'ont rien donné.
Le FRAC a l'obligation de maintenir la pression sur le régime RPT qui sent que la cloche sonne. Il faudra que cette situation finisse pour que le travail pour la vraie indépendance pour le Togo, puisse commencer.
Les Togolais sont fatigués. Les jeunes diplômés on besoin du travail et mener une vie normale et contribuer a la construction du patrimoine. C'est claire que l'Occident supporte un régime sanguinaire pour qu'ils puissent continuer a nous exploiter.
Dans un pays aussi riche de ressources naturelles comme le Togo, la pauvreté est alarmante. La population a du mal a subvenir aux besoins élémentaires quand au même moment, l'usurpateur et son entourage, vivent d'une opulence honteuse. Il faudra qu'on finisse avec cette affaire et le FRAC a la responsabilité que cela soit chose faite.
Je souhaite du courage a tous les membre du FRAC.
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Et si c'était la fin?! |
(
06/03/2011 13:13 )
À Villejuif / France
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Il sort et ne revient plus en CI!
J'espère que ce sera bien joué |
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Un jour viendra où il sortira pour de bon; |
mats (
06/03/2011 13:53 )
À Juvisy-sur-orge / France
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En réalité, aucun des ces assassins, Soro ou Ouatarra, n'est point embrigadé.Ils ont choisi cette stratégie pour s'attirer la sympathie .Ils sortent et rentrent comme ils veulent, avec la complicité de l'ONUCI et de ses partenaires tapis dans l'ombre.Si seulement l'Afrique était solidaire, nous ne serions pas dans cette situation où je vois mes frères, mes soeurs, mes mères, mes pères , avec des enfants à la suite, marcher des heures entières, chargés comme des ânes, sous un soleil de plomb, pour se réfugier; certes, il s'agit de l'instinct de survie.La CI était un pays paisible or, depuis que ce chamberlan des occidentaux qu'est Ouattara est arrivé,c'est capharnaüm.Les ivoiriens ne voient t-ils vraiment pas que ce Mr est la cause de leurs malheurs? |
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Rédaction GRIOO, soyez sérieux pour une fois, voyons donc, |
yuotam (
06/03/2011 14:02 )
À Haguenau / France
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Mossi Dramane Alassane Ouattara, "président-élu" de Côte d'ivoire.
Soyez sérieux pour une fois, je pense que vous avez rater un épisode.
Je vais vous rafraîchir la mémoire, ce chef terroriste, n'a jamais été élue en C.I., puisque la CEI, qui est la commission électorale indépendante, na aucune habilitation, pour designer même une chèvre en chaleur, a plus forte raison un apatride a quoi que ce soit, et surtout pas souiller notre fauteuil présidentiel, par son "C" merdeux..
GRIOO, avant de designer un président a la place des Ivoiriens, relater les faits.
En Côte d'ivoire, il n’y a pas eu d’élection. Les rebelles n’avaient pas déposé les armes, des citoyens ont été empêchés de voter. Si ce qui s’est passé, vous appelez cela une élection, alors c’est Laurent GBAGBO, qui a gagné.
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Quand la photocopie diffère de l’originale. |
cmoi (
06/03/2011 14:47 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire
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Ouattara et Gbagbo n’ont-ils pas le même projet de société (ou presque) pour tous les habitants de la Côte d’Ivoire (ivoiriens ou non) et tous les ivoiriens vivants à l’étranger ? N’a-t-on pas entendu dire votez l’original et laissez photocopie ? Face aux cameras de l’ex-RTI n’a-t-on pas vu les deux amis de long date aborder les problèmes économiques, sociaux, économiques, sécuritaires et autres dans le même sens ? Mais pourquoi aujourd’hui ces deux amis ne se parlent plus ? Pis ils mettent en danger la vie de leurs concitoyens, électeurs d’un jour et sympathisants de tous les jours ? On peut continuer ces interrogations indéfiniment tend la situation appelle réflexion. Sachez que le chef ne se fâche jamais car sa colère ne l’appartient pas.
Aujourd’hui c’est la course au pouvoir, toutes les vertus sont foulées aux pieds au profit du matériel qui est d’ailleurs périssable et de la gloire. Mais vanité des vanités, tout est vanité.
Pour l’instant, les domiciles et biens des Ministres Charles Koffi Diby, Sidy Diallo, Sidiki Konaté, Allah Kouadio, Adama Toungara, Amadou Koné, Mabri Toikeusse, François Amichia et son père et ceux du Gal François Konan-Banny, le domicile familial de Jean-Baptiste Ekra et Méité Sindou sont saccagés, pillés et brulés (tous des proches de M. Ouattara). Tout le monde se tait et laisse faire. Peut être parce que tout le monde n’est pas concerné ou ne se sent pas concerné pour l’instant. Une chose est sure si vous habitez dans un village où dès que vous atteignez la barre des 30 ans l’on vous tranche la tête, n’attendez surtout pas d’avoir 29 ans avant de chercher à changer les règles. A bon entendeur….
Les lieux de cultes (essentiellement des mosquées) sont brulés sans que personnes ne puisse crier son indignation sous peine de mort.
Le pays va mal. Ce qui se passe maintenant n’est que la partie visible de l’iceberg. Si rien n’est fait bientôt ce sera des épurations ethniques. A yopougon (wouakouboué, yao cei…) des jeunes miliciens (jeunes patriotes) sont recrutés et entrainés au maniement des armes et à l’art de la guerre au vu et su de tout le monde. C’est une véritable inquiétude pour stabilité sociale quand on sait que ces jeunes tuent, brûlent, violent, rackettent en toute impunité les paisibles populations. Récemment, au marché de sicogi (yopougon), ces jeunes ont fait une descente musclée punitive triant et frappant sévèrement les pauvres dames majoritairement celles du nord (facilement reconnaissable à leur tenue) ou souvent dénoncées comme telles par des guides. Au campus universitaire de Cocody, les étudiants de la fesci obligent leurs camarades résidents des chambres à aller se constituer en bouclier humain au domicile de M. Gbagbo sous peine de violences, de traumatismes, de brimades, d’exclusion de la chambre, d’interdiction de mettre les pieds en salle de cours, au restaurant et même d’emprunter le bus (SOTRA). Ne parlons même pas des autres résidences universitaires. Où allons-nous ?
Il y a un mystère naturel qui souffle dans l’air. Qui va nous sauver ?
Au sortir de l’élection présidentiel, après la proclamation des résultats provisoires par la CEI (on dit que cette proclamation n’a jamais eu lieu : admettons) et la saisine par le Conseil Constitutionnel du dossier, les plus curieux ont cherché à connaitre les prérogatives du Conseil Constitutionnel (désormais en charge du dossier) et l’original du Code Electoral pour analyser les cas de figure pouvant arriver. Tous ont porté leur attention sur l’article 64 nouveau du Code Electoral (LOI N° 2000-514 du 1er août 2000 portant Code Electoral telle que modifiée par l’Ordonnance n°2008-133 du 14 avril 2008 portant ajustements au Code Electoral pour les élections de sortie de crise) ce versé très clair et dit ceci : « Dans le cas où le Conseil Constitutionnel constate des irrégularités graves de nature à entacher la sincérité du scrutin et à en affecter le résultat d’ensemble, il prononce l’annulation de l’élection et notifie sa décision à la Commission Electorale Indépendante qui informe le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies et le Représentant Spécial du Facilitateur a toutes fins utiles.
La date du nouveau scrutin est fixée par décret en Conseil des Ministres sur proposition de la Commission Electorale Indépendante. Le scrutin a lieu au plus tard quarante-cinq jours à compter de la date de la décision du Conseil constitutionnel. »
Je ne suis pas sure que Gbagbo ou Ouattara ait gagné les élections,
Mais :
Je suis sure que Yao N’dré et ses collaborateurs ont purement et simplement menti au peuple,
Je suis sure que ce mensonge est en train de décimé mon peuple,
Je suis sure que les banques, les sociétés d’assurances, les PME, les Pharmacies, les exportations et importations de certains produits,…, les écoles ont fermés pour le malheur de mon peuple,
Je suis sure que les prix des denrées alimentaires, du gaz butane, du transport, des impôts ont augmentés pour aggraver la souffrance de mon peuple,
Je suis sure que le peuple perd beaucoup,
Je suis sure que les médicaments, le carburant, les gaz et même l’argent vont manqués pour la misère du peuple,
Je suis sure que le nombre de morts augmente de jour en jour,
Je suis sure que Gbagbo a l’original du Code Electoral,
Je suis sure que Ouattara a l’original du Code Electoral. a
Je suis sure qu'on peut assoir et discuter ensemble.
Que les uns et les autres se ressaisissent.
Que la vérité soit.
Que le peuple uni dans sa diversité soit.
Que Dieu soit pour chacun et pour tous.
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il faut les laisser se massacrer encore 20 ans, car ilsvoientrien |
Conscience africaine (
06/03/2011 15:00 )
À Paris / France
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pauvres partisans de Gbagbo qui sont tombés si bas en tirant sur des femmes.Ils pouvaient utiliser les canons à eau pour disperser la foule ou même utiliser les bombes lacrymogènes...
Mais en plus ils n'ont même pas le courage d'assumer leurs actes.
Vraiment c'est pathétique.
Un beau pays qui se fait détruire par l'incurie de ses propres fils.
Continuez comme ça pendant encore 20 ans.Lorsque la paix reviendra enfin vous découvrirez que vous êtes le pays le plus pauvre d’Afrique de l'ouest.
Vous méritez vraiment encore plus d'être "ilsvoient rien" |
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Si Gbagbo part a Addis |
Invite (
06/03/2011 17:20 )
À Westmount / Canada
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...il n'en reviendra jamais!
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Commentaire d'internaute ivoirien |
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06/03/2011 17:38 )
À Paris / France
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L
heure est venu pour nous de nous lever comme un seul homme et de dire
au monde entier que notre president LG ne bourgera pas de la Cote d
ivoire , ainsi que Yao ndere et ADO. Donc tous devant la residence du
president LG, de Nyao ndere et au Golf la veille de leur depart et des a
... present po...ur dire que personne deux ne bougera du pays.Le panel doit donner les resultats de leur enquêtes. |
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06/03/2011 17:40 )
À Paris / France
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Pourquoi Gbagbo ne doit pas partir à Addis Abeba
Pourquoi Gbagbo ne doit pas partir à Addis Abeba : D'abord, le présence de Yao N'dré, président du Conseil constitutionnel, exigée par l'UA, n'est pas bon signe. On sait que la Russie dit qu'elle ne peut reconnaitre Ado que si le conseil constitutionnel le reconnait comme président. Ado lui-même, après sa parodie de prestation de serm...ent au golf hotel, a écrit à Yao N'dré pour lui signifier qu'il a prêté serment.
Donc, quelque soit la reconnaissance par les plus grandes organisations mondiales ou africaines, et les pays les plus puissants du monde, tant qu'il n'a pas la reconnaissance du conseil constitutionnel, il est dans le faux ! Donc, ça ne m'étonnerait pas qu'on oblige Yao N'dré par tous les moyens de signer un PV de reconnaissance de Ado comme président.
Ensuite, l'absence du président Gbagbo de la Côte d'Ivoire laisse la porte ouverte à tous les scénario de coup d'Etat comme on en a connu au Rwanda avec Juvénal Habiarimana, en Mauritanie avec Ould Taya, ou encore en Ouganda avec Milton Oboté ! La France de Sarkozy ne va pas rater une telle opportunité. On les a vu prêts à abattre l'avion de Laurent Désiré Kabila au moment d'une tentative de rencontre entre Kabila et Mobutu.
Et enfin, nous savons que les discussions que le Président Laurent Gbagbo engage en dehors de la Côte d'Ivoire le rendent très vulnérables. On a vu ce qui s'est passé à Marcoussis avec l'entrée des rebelles au gouvernement et le limogeage du premier ministre Affi N'guessan. On a vu comment à Prétoria, on a obligé Gbagbo à user de l'article 48 pour rendre Ado candidat. On voit donc, que toutes les discussions que le Présidents Gbagbo a eu en dehors de la Côte d'Ivoire ne nous ont pas été favorables, mais ont été favorables à Ado et ses rebelles.
DONC, RIEN QUE POUR CES TROIS RAISONS, LE PRESIDENT LAURENT GBAGBO NE DOIT PAS ALLER A ADDIS ABEBA ! YAO N'DRE NON PLUS
Jean-Louis Gayandet |
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Cela m"étonne aussi beaucoup |
Kinyo (
06/03/2011 17:54 )
À Pantin / France
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Pourquoi exiger la présence du Président du Conseil Constitutionnel à Addis Abeba, si ce n'est pour lui tendre un piège et exiger de lui qu'il reconnaisse ADO comme président de Côte d'Ivoire ?
Cela sent le piège, Zuma n'a pu rien faire et a dû se soumettre à Sarkozy, malgré ce qu'il a déclaré à CNN, concernant l'élection.
Gbagbo ne doit pas aller à Addis-Abeba. |
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EMA (
06/03/2011 18:31 )
À Boulogne-billancourt / France
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Bah Ouattara n'a qu'a allé jouer au président comme un enfant joue au docteur....lol
Franchement, on trompe qui la...?
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06/03/2011 19:16 )
À Hanover / Germany
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Gbagbo ne partira pas a moins qu'il ait oublié que les francais sont derrière l'attentat contre l'avion de Habiarimana qui a declenché le genocyde au Rwanda. |
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06/03/2011 19:53 )
À Paris / France
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http://www.youtube.com/watch?v=4S1FYQ9Lxj0&feature=player_embedded |
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@ Cmoi |
Coolman (
06/03/2011 23:33 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire
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Oui c'est ça :
"Pour l’instant, les domiciles et biens des Ministres Charles Koffi Diby, Sidy Diallo, Sidiki Konaté, Allah Kouadio, Adama Toungara, Amadou Koné, Mabri Toikeusse, François Amichia et son père et ceux du Gal François Konan-Banny, le domicile familial de Jean-Baptiste Ekra et Méité Sindou sont saccagés, pillés et brulés (tous des proches de M. Ouattara). "
Tu as oublié que c'est le RDR qui tue depuis 10 ans. Des villages entiers brulés à l'ouest, des machettes distibuées dans les mosquées pour tuer tout ce qui n'est pas RHDP, des familles de gendarmes égorgés, des familles tuées de non-dioulas brulées à Abobo....Vous pensiez avoir le monopole de la violence. Ce qui arrive est le résultat de ce que vous semez depuis bientot 10 ans.
C'est vraiment le monde à l'envers. Vous creez une rebellion, vous tuez des gens et ce sont que vous accusez. |
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PIEGE TENDU AU PRESIDENT GBAGBO |
MISSAMBO (
07/03/2011 10:09 )
À Marseille / France
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Le président GBAGBO ne doit pas se déplacer..
Qu'on installe une web cam et il pourra suivre tous les débats à partir du palais présidentiel.
C'est simple comme bonjour.
Voilà encore un pays que ceux qui s'enrichissent sur son dos sont arrivés à diviser et foutre le désordre
Nous Africains de la nouvelle génération devons reflechir pour faire face contre cet occident qui nous impose, manipule et dicte, ce que nous devons faire.
Chez eux quand ils ne sont pas d'accord, ils ne prennent pas les armes, pour s'entretuer bienque c'est eux qui les fabriquent.
Refléchissons, apprenons leurs différentes statégies pour éviter de nous déstabiliser.
"L'art de vaincre sans avoir raison"
comme disait la grande royale dans l'aventure ambiguë de CHEIK AMIDOU KANE. |
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On va vers un conflit Afrique contre l'Occident |
(
07/03/2011 11:42 )
À Paris / France
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On va vers un conflit Afrique contre l'Occident
http://www.dailymotion.com/video/xgaxtk_on-va-vers-un-conflit-afrique-contre-l-occident_news
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Témoignage édifiant d'un ivoirien - A écouter absolument! |
zingh2006 (
07/03/2011 11:44 )
À Paris / France
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http://www.youtube.com/watch?v=VlG6jjHZ2CI |
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l'occident et l'onu et la force licorne et les sous prefect de l'occident au pouvoirs regardez le mensonge en grand jour |
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07/03/2011 12:50 )
À Paris / France
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Les prétendues femmes tuées à Abobo par les Fds sont bel et bien vivantes. Voici le film de la manipulationhttp://actualites.ivorian.net/article/?p=752 |
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