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Biens mal acquis : le parquet de Paris fait appel |
Nombre de messages:
20
Pages:
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@charlie+Afronoir,ne suivez pas votre France changement de vestes!! |
kily (
08/05/2009 19:24 )
À Shanghai / China
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HAHAHAHa heureusement que vs avez des gens gentils tels Omar Bongo !!! A sa place,puisqu'il tend vers sa fin,j'allais mettre le feu a la France en Afrique!! Total,Shell,Maurel&Prom qui vient de decouvrir un nouveau champs petrolier dans le MOgouee...les salaries francais au Gabon(plus de 5000/13000 vivant au gabon).....chasser l'Armee Francaise de mon pays...j'allais mettre le K.O ,le reste tant pis!!!! Et je finance le desordre a paris en declarant toutes les magouilles et d'autres pillages qui ne disent pas leur noms! Et On verra si la France sera encore dans le G7. Encules juges Francais pd,homos go to hell! |
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des vrais bouffons les french people! |
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08/05/2009 19:55 )
À Shanghai / China
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Tout en faisant autant dans tous les autres pays "francophones"malgre eux!! Les Areva et autres remplaces par les Breziliens ou chintocks....Le Cfa out !! La langue francaise,inutile aux recherches d'ailleurs tombe!!! Et plus d'argent de poche pour les mendiants candidats francais a la presidence !! On allait voir si la France tiendra debout !! Des cons ces juges francais hypocrites,tjrs a la recherche du gain !! |
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08/05/2009 21:40 )
À Auffreville-brasseuil / France
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j'ai du mal à comprendre que je suis un president ; dans mon pays les hopitaux sont vides, pas de logements sociaux, pas de bibliotheques, pas d'usine d'assainissement d'eau , un autre president en plus blanc ,vient me convaicre de piller mon etat et de venir flamber chez lui. |
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08/05/2009 23:07 )
À Gießen / Germany
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Anonyme 21h40
Tu as du mal à comprendre parce que tu es un Homme (je veux dire être humain) Nos dictateurs ne sont plus les hommes depuis ils ont vendus leurs âmes .
bande de maudits,la France avec bien sûr |
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09/05/2009 02:36 )
À Paris / France
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Vous ne comprenez donc pas que c'est à ce prix là qu'il sont choisi entretenu et maintenu au pouvoir?
au prix de votre misère? il n'ont d'autre pouvoir sur la situation que le pouvoir de vous nuire. ils sont formés pour ça choisi pour ca. sous prétexte que la france a des accord avec le tchad on instale place entretient maintient au pouvoir des bozizé idriss deby et pour preuve c'est la france qui se bat ouvertement aujourd'hui par des frappes aérienne au tchad contre les rebelles venu renverser deby...
et vous vous parlez de dictateur comme si c'était des gens qui un jours ont été sensés vous représenter...Pfff
Vous ne les choisissez pas on vous les impose...ayez au moins l'honnêteté de l'admettre . c'est comme ca que vous vous en sortirez... bozizé et sassou ne sont-ils pas partis de paris pour renverser par les armes les présidents démocratiquement élus?
ayez le courrage de reconnaitre que tout président que vous élirez et qui tantera de travailler pour vous sera remercié par la france...le dernier exemple est madagascar... |
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afronoir (
09/05/2009 04:01 )
À Bordeaux / France
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les africains en afrique resteront toujours pauvres en croyant que c'est à cause des autres qu"ils sont dans la merde.aujourd'hui ils accusent la france ,demain se sera la chine,aprés pourquoi pas les usa et la russie.ils ont fait comment les asiatiques.l'inde ,macao ,hong kong ,l'indonesie ,l'indochine étaient pourtant occupés par les européens. |
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Petite ame |
Bangoura (
09/05/2009 07:19 )
À Beijing / China
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Il faut etre sans ame pour faire de telle crime a son voisin a plus raison son peuple.Comme quoi, ils peuvent dsn toutes maisons en meme temps. Petite ame |
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09/05/2009 10:29 )
À / France
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L'Igorance est le non respet de ses citoyens par les Militaires des pays Francopnones aggrave la situation dans les pays .Ils sont toujours de cote des pilleurs . |
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09/05/2009 16:22 )
À Courbevoie / France
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@ afronoir
DACCORD à 100%. après les terriens, on va accuser les extraterrestres |
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les buveurs du sang africains et leurs maruinnette placez au noms de la france et la franc maçon nous disnen qu'ils vont bientôt recuperez les sous des presidents africains placez par leurs soins vive le franc cfa et les comptes d'opérations et le codevel |
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09/05/2009 17:20 )
À Nanterre / France
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c'est pas un bien mal acquis mais un bien acquis pour la france et surtout pour son economie au nom de restez president et surtout avoir les bases militaires sur ,place si un opposant bronche on le tue immédiatement
vraiment c'est triste et dommage que les africians n'ont pris conscience de cherchez à se liberez immédiatimement. |
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voilà la democratie française que les journaux de progande passe leurs temps a nous boré le crane nous arrivons croyez nous |
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09/05/2009 17:43 )
À Nanterre / France
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Le directeur de la rédaction de Jeune Afrique nous a habitué à cette présentation de portraits de compatriotes recensés on ne sait sur la base de quels critères.Dans son édition n° 2520-2521 de la semaine du 26 avril au 9 mai 2009, l’hebdomadaire Jeune Afrique présente dans sa manchette “ Les 50 font le Cameroun ”. Seize pages intérieures sont consacrées à des personnalités sélectionnées ou recensées on ne sait sur la base de quels critères dans une rubrique intitulée “ l’enquête ”.
On sait seulement, à partir de l’article d’ouverture de la dite “ enquête ” de François Soudan qu’il s’agit d’une “ revue, forcément subjective, des cinquante femmes et hommes qui font le Cameroun de 2009 ”, en dehors du président Paul Biya qui n’y figure pas.
L’auteur de la série d’articles composant cette “ enquête ” parle précisément “ de celles et de ceux qui, dans son ombre, parfois contre lui et souvent en dehors de lui, modèlent le “ Cameroun de l’entre-deux ” et font que ce pays posé entre sahel et Afrique centrale continue de suivre, sous la houlette d’un commandant de bord à la fois invisible et omniprésent, son propre couloir aérien sans se préoccuper des autres ”.
Les 50 personnalités sont rangées dans des sous rubriques : quinze personnalités composées de quelques politiciens de l’opposition et du parti au pouvoir, des militaires et conseillers du chef de l’Etat se retrouvent dans le domaine politique.
Dix personnalités du monde des affaires et de la finance sont concentrées dans la partie business. Huit personnalités forment les nominés des pages société et dix-sept autres clôturent les pages réservées à la culture et aux médias.
Portraits choisis ou “ gombos ” ?
Dans la galerie de portraits que le lecteur du magazine panafricain peut rapidement parcourir, compte tenu de la brève présentation des personnalités retenues dans le casting dont on a du mal à deviner les critères de sélection, des personnes bien connues du public sont en tout cas nombreux. François Soudan a habitué les lecteurs de Jeune Afrique à ce genre de constructions frisant la manipulation à des périodes bien précises. Il s’agit d’un mélange de genres dont le résultat n’est pas éloigné du marketing. Cela n’a rien à voir avec une vraie enquête journalistique. C’est une véritable opération controversée dont l’une des finalités est de bien vendre le journal dans le pays des personnalités concernées.
Sans prétendre pour autant que tous ces portraits choisis aient été réalisés après quelque négociation occulte ou arrangement quelconque, il faut se méfier d’un travail sur des personnalités où l’auteur n’indique pas de manière claire sa méthodologie. Le fait pour François Soudan d’indiquer qu’il s’agit “ dans cette revue, forcément subjective, des cinquante femmes et hommes qui font le Cameroun de 2009 ”, ne l’absout pas. Car, manquer volontairement d’objectivité dans un travail supposé être sérieux est une faute professionnelle.
La présence en politique de cinq personnalités de premier plan travaillant ou ayant travaillé au secrétariat général de la présidence de la République ne laisse pas indifférent le lecteur avisé. Il s’agit respectivement de René Sadi, Laurent Esso, Marafa Hamidou Yaya, Ephraïm Inoni et Amadou Ali. Leur présence est-elle justifiée par la perspective de la succession du chef de l’Etat qui demeure seul maître à bord du bateau Cameroun ou par leur capacité à influencer le cours des choses au pays en 2009 et par rapport à l’horizon 2011?
Aucun député de l’Assemblée nationale ne figure dans les portraits malgré le rôle que certains d’entre eux ont pu jouer à diverses occasions entre février 2008 et avril 2009. Oubli ou mépris de l’enquêteur ?
Dans l’opposition, John Fru Ndi, Chairman du Social Democratic Front (Sdf), Adamou Ndam Njoya de l’Union démocratique du Cameroun (Udc) et Jean- Jacques Ekindi du Mouvement progressiste (Mp) sont les seuls leaders cités. Les autres leaders des autres partis de l’opposition, dont certains sont pourtant très présents sur le terrain, ne comptent-ils pas ou ne font-ils pas aussi le Cameroun ?
Dans le business, bien d’autres chefs d’entreprises non cités auraient pu figurer dans les portraits à la place de certains qui ont été choisis. Il est par exemple assez curieux de constater l’absence du portrait président de la Chambre de commerce, d’industries, des mines et de l’artisanat du Cameroun. Ou encore l’absence du portrait du patron d’une grande société brassicole camerounaise ayant pignon sur rue. Il s’agit bien d’autres hommes d’affaires importants qui font aussi vivre l’économie du pays.
Melting-pot
Par ailleurs, on ne comprend pas pourquoi les personnalités regroupées dans les pages culture et médias ne font pas également partie des pages de la rubrique société. Dans la mesure où tous ou presque font bouger la société camerounaise à travers leur savoir-faire, leurs prouesses dans leurs différents domaines. La société est un concept plus large qui englobe la culture, la religion, les médias et d’autres domaines. L’auteur de cette “ enquête ” aurait gagné à utiliser le terme de société civile dans ce melting-pot où l’on retrouve en bonne place le cardinal Christian Tumi, aux côtés des sportifs tels que Issa Hayatou, Samuel Eto’o et Roger Milla parmi d’autres leaders d’opinion, patrons de presse, journalistes, intellectuels, militants des droits de l’homme, artistes, musiciens, écrivains et cinéastes de renom.
© La Nouvelle Expression : Edmond Kamguia K
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un con selon le petit robert |
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09/05/2009 18:38 )
À Nanterre / France
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Un con, selon le petit robert, est un imbécile, un idiot. Faire le con, serait se conduire d’une manière absurde. Le titre de notre présent papier paraît provocateur mais en réalité, il n’en est rien car comme le rappelait Valery Giscard d’Estaing, pour guérir une plaie, il ne faut pas la lécher avec une langue de bois. L’impérialisme, à la fin du 19 e siècle, représentait l’unique moyen du capitalisme pour sa survie et sa croissance au stade de développement où il est parvenu. Celui des fondateurs des comptoirs était ancien, au tournant des deux siècles il se prolonge d’un impérialisme du capital sous forme financier vers les régions périphériques. Avec le temps, il diversifie ses moyens de prise de contrôle, perfectionne les méthodes de pillage des zones périphériques en matières premières et énergie bon marché, puis s’adjoint une razzia sur leur force de travail, retrouvant l’ancienne traite des hommes, et renouvelle l’impérialisme pour le débouché. Aujourd’hui encore il subsiste encore une autre forme d’esclavage que nous appelons esclavage monétaire. Les pays africains et ceux de la zone franc en particulier connaissent une certaine concaténation de maux dont le franc CFA, la monnaie des Cons de la France en Afrique, explique en partie ce cercle vicieux.
L’histoire de la naissance des zones monétaires
Au lendemain de l’abandon de l’étalon-or par la Grande Bretagne les « zones monétaires » firent leur apparition : un grand nombre de pays suivirent la livre en maintenant un taux de change fixe entre leur monnaie et le sterling. Ces pays continuèrent à détenir leurs réserves de liquidités internationales sous forme d’avoirs dans les banques de la Cité. C ’était la naissance de la « zone sterling ». Entre temps, du moins entre Avril 1933 et Janvier 1934, le dollar est resté monnaie flottante. Un grand nombre de pays d’Amérique Centrale et d’Amérique du Sud rattachèrent leur monnaie au dollar formant de la sorte la « zone dollar ». Notons au passage que la débandade au niveau monétaire des pays faisait suite à l’effondrement de l’étalon de change-or à partir de septembre 1931. La tentative de mettre sur pied un système monétaire aménagé par la coopération internationale aurait été une bonne solution mais hélas, la conférence de Londres de 1933 échouait. La Grande Bretagne va asseoir son hégémonie sur la zone sterling par la préférence impériale et les accords commerciaux puis à travers la politique des prêts-liés. Ainsi les prêts qui ont été accordés par Londres à partir de 1931 avaient deux buts : soutenir l’industrie britannique et aider les pays emprunteurs à maintenir un taux de change stable avec la livre pour éviter que ces pays ne soient amenés à quitter la zone sterling. Cette zone va donner des idées à la France qui traverse des moments difficiles avec ses dévaluations répétitives. Elle ne trouvera pas meilleur soutien que de se replier sur ses colonies, à qui elle avait déjà imposé l’utilisation du franc comme monnaie. La constitution de la zone franc va se faire donc en 1939 avec l’établissement du contrôle de change. En effet, il fallait dresser la liste des pays qui acceptaient une monnaie phare comme moyen de paiement internationale. C’est ainsi que le 9 septembre 1939, la zone franc s’est vu établir son extrait d’acte de naissance. Mais c’est le 26 décembre 1945 que le franc CFA sera officiellement né. La zone franc était alors composée de trois sous-ensembles : le premier constitué par les départements français métropolitains, les quatre départements français d’Outre-mer et les territoires d’Outre-mer, à l’exception du territoire des Afars et Issas (ancienne Côte Française des Somalis) ; le deuxième sous-ensemble est constitué par les Etats africains et malgache puis le troisième sous-ensemble formé par le Maroc, l’Algérie et la Tunisie. Ces derniers pays à qui, il faut dire du bien, ont refusé à cette époque la liberté de transfert entre leurs pays et la France, les mécanismes des comptes d’opérations moins contraignants que ceux des autres pays africains de la zone. Dans la période immédiate après-guerre, après la signature des accords de Bretton Woods en juillet 1944, l’économie Française avait besoin de se relever de toute urgence. Pour l’aider dans ce processus, le franc CFA jouera un important rôle en lui garantissant un marché captif pour ses produits. Les autres monnaies virent leur taux d’échange être indexé au dollar. Les réserves des banques centrales Européennes en ce temps là étaient constituées de monnaies à valeur douteuse d’après-guerre qui avaient été dévalorisées des fluctuations de la monnaie. Pour cette raison, la France avait besoin des monnaies de ses colonies pour soutenir sa compétitivité avec ses rivaux Américains et Britanniques. De Gaulle et Pierre Mendès, son principal conseillé économique, rencontrèrent des dirigeants africains et développèrent un pacte colonial qui garantirait ceci dans un traité (avec des clauses publiques et des clauses secrètes).
Les motivations de la France lors de la création de la zone franc
Dans tous les livres, on vous dira que la monétisation des anciennes colonies s’effectuait de façon anarchique avant le franc CFA. Faux parce que les colonies avaient des monnaies avant qu’on les supprime pour imposer leur franc français et le franc CFA après. D’autre, peut-être plus juste diront que la dislocation progressive de l’espace monétaire et commercial international dans les années trente, la montée généralisée du protectionnisme et l’enchainement des dévaluations compétitives provoquèrent de la part des puissances coloniales une réaction de repli sur leurs empires. Ils diront aussi que la France avait à cœur de réinstaurer son autorité monétaire dans ses territoires qui ont été isolés de la métropole durant la seconde guerre mondiale, et ont souffert de la raréfaction des échanges, et ont dû parfois s’arrimer à d’autres devises comme le dollar US. Mais ceux qui volent plus haut comme l’aigle, arrivent à connaître les vraies motivations de la France : dominer les pays de la zone. Le Docteur Agbohou Nicolas a pour sa part trouvé des origines Nazzies dans les mécanismes du franc CFA. Mais les motivations de cette zone et ses corollaires sont à trouver dans les propos de Monsieur Emile Moreau qui fut gouverneur de la Banque de France de Juin 1926 à septembre 1930. Rapportant un entretien qu’il avait eu avec le président du Conseil il écrit : « J’ai eu une importante conversation avec M. Poincaré sur la question de l’impérialisme de la Banque d’Angleterre. J’ai exposé au président du Conseil que l’Angleterre ayant été le premier pays européen à trouver une monnaie stable et sûre après la guerre, a profité de cet avantage pour jeter sur l’Europe les bases d’une véritable domination financière. Le Comité financier de Genève a été l’instrument de cette politique. Le jeu consiste à rabattre sur le Comité de Genève, que les anglais contrôlent, tous les pays en mal monétaire. Les remèdes appliqués comportent toujours l’installation auprès de la Banque d’Emission d’un contrôleur étranger anglais ou désigné par la Banque d’Angleterre, et le dépôt d’une partie de l’encaisse de la Banque d’Emission à la Banque d’Angleterre, ce qui sert à la fois à soutenir la livre et à fortifier l’influence anglaise...... » [1] . La France voulait donc dominer les pays de la zone franc, comme ce fut son cas avec l’Angleterre. Toutes autres explications ne relèvent que du fantasme du mensonge. La France va elle aussi lier le sort des pays membres de la zone franc par des accords commerciaux et des prêts-liés. L’empire colonial français absorbait 10% des exportations françaises à la fin du XXe siècle, 17% à la veille de la crise de 1929 et 42% en 1952 [2] . La formation d’une zone économique impériale protégée de la concurrence extérieure est fondée sur la base d’une complémentarité des productions coloniales et métropolitaines. La France, cette puissance secondaire devenait avec l’aide de ses colonies, une puissance de la « première division ». Le dispositif des comptes d’opérations, qui sont des comptes courants ouverts par le Trésor public français pour chacun des instituts d’émission de la zone. Les variations des soldes des comptes retracent l’évolution du solde agrégé de la balance des paiements des Etats membres de chaque union. La France utilise les réserves des pays de la zone franc pour soutenir sa monnaie et aujourd’hui pour renflouer ses réserves. Les pertes de change consécutives à la dévaluation du franc français en 1969, ont obligé la France à utiliser les réserves des pays la zone franc pour défendre sa monnaie. La part des réserves des pays de la zone franc dans le total des réserves officielles françaises était entre 10 et 20% de 1964 à 1967. Elle était de plus de 50% entre 1968 et 1969 [3] . Avant ou après les indépendances, certains pays ont dit non à cette escroquerie monétaire pendant que les pays de l’Afrique noire de la zone franc demeurent dans l’esclavage monétaire.
Aujourd’hui le maintien du franc CFA est une servitude acceptée
Contrairement aux pays actuels de la zone franc, d’autres avaient compris que la souveraineté monétaire est un préalable à l’indépendance tout court. Mieux, la monnaie est un instrument au service du développement et même un instrument de cohésion sociale, donc un fait social. D’abord l’ex-Indochine (Cambodge, Laos, Viêtnam) en 1954, la Guinée et la Tunisie en 1958, le Maroc en 1959, Le Mali l'a quittée en 1962 pour la réintégrer en 1984, l’Algérie en 1963, et enfin la Mauritanie et Madagascar en 1973. Ces pays ont vu dans cette zone monétaire, les germes d’une éternelle domination. Le principe fédéral (de gaule en 1958) inspirant ce projet donne une large place au domaine de gestion commune, « qui doit comprendre la défense [4] , la politique étrangère, la direction de l’économie, la politique des matières premières et la monnaie » [5] . Le système actuel de dépendance des pays de la zone franc est une résultante directe des politiques coloniales du gouvernement français. La création et le maintien de la domination française des économies de l’Afrique francophone sont le produit d’une longue période de colonisation française et la dépendance apprise des Etats africains. Pour la majeure partie de l’Afrique francophone, leurs banques centrales n’ont que des pouvoirs limités. La dépendance à l’égard de l’exploitation de ressources naturelles et le degré limité de diversification qui en découle, créent des risques en soumettant les économies de la région à de fortes variations de la croissance dues, en partie, à la volatilité des cours des matières premières
Quand le franc CFA appauvrit les pays membres
Le franc CFA est contre les pays membres. Il n’a pas aidé les pays à sortir de l’ornière du sous-développement bien au contraire. Alors qu’en Europe, on peut espérer vivre jusqu'à 77,9 ans , un peu moins pour l'homme (74,7 ans) et un peu plus pour la femme (81,3 ans), les rapports sont alarmants pour l’Afrique au sud du Sahara qui englobe un grand nombre de pays de la zone franc. Selon ce ‘Rapport mondial sur le développement humain 2006’, qui évalue l’indice de développement humain dans 160 des 177 pays ou territoires membres des Nations unies, « dans les 31 pays en bas de la liste, dont 28 sont situés en Afrique sub-saharienne, une personne peut espérer vivre en moyenne 46 ans, soit 32 ans de moins que dans les pays à indice de développement humain élevé ». Tous les pays du Maghreb qui ont chacun une monnaie fonctionnent mieux que les « stars » de la zone franc. Le Maroc et la Tunisie sont des pays qui émergent, et qui sont courtisés par la même France.
Les entreprises françaises profitent énormément du franc CFA car en l’absence de risque de change, de toute restriction à leurs mouvements de capitaux et rapatriements de bénéfices, elles peuvent se déployer dans la zone franc avec une liberté équivalente à celle dont elles jouissent sur le territoire métropolitain.
L’appel à une émancipation monétaire des pays africains de la zone franc
La division impérialiste du travail caractérise la structure hiérarchisée d’une économie mondiale en voie d’intégration. Les deux caractéristiques d’orientation vers et de domination par les « métropoles » s’expliquent par l’histoire du développement capitaliste. Le commerce colonial, la mise en valeur des colonies ont commencé la destruction des anciens modes de production pour les remplacer par un capitalisme où les moyens de production appartiennent à des capitalistes extérieurs et qui s’est construit sur la base de l’empire colonial, puis du marché mondial, et non sur une base nationale. Confinés au développement de l’agriculture d’exportation, les pays africains de la zone franc connaissent une détérioration croissante de l’agriculture traditionnelle, celle qui devait les nourrir. Le moment est arrivé pour les africains de répudier définitivement le « cfafrique » [6] , un système savamment implanté pour piller les ressources de l’Afrique, les dominer et empêcher leur développement endogène. L’extraversion commerciale est renforcée par la dépendance monétaire à travers les mécanismes de coopération monétaire franco-africaine conférant à la France un rôle primordial ainsi qu’un droit de regard dans la conduite de la politique monétaire et dans les relations monétaires internationales des pays de la zone franc. Les pays africains de la zone franc doivent créer leur monnaie et intensifier les échanges intra-communautaires pour soutenir cette monnaie que nous voyons très forte. Selon une étude prospective de la Banque mondiale (1989, p.179), « bien que les pays membres de l’Union douanière et économique de l’Afrique centrale aient une monnaie convertible, le franc CFA, les échanges à l’intérieur du groupe ont fléchi alors que les échanges avec les pays tiers ont augmenté » [7] . Cette observation est la même pour les pays de l’UEMOA. Une intégration n’est pas une juxtaposition des économies mais consiste en un processus qui conduit à un plus grand degré de concentration entre les acteurs, d’interconnexions entre les unités et de diversification des activités créant un processus de relative irréversibilité et permettant une plus grande maîtrise des problèmes qui se posent à l’échelle régionale (Hugon, 1991) [8] . Elle sera possible avec un tissu industriel crée avec le soutien du système bancaire et une monnaie active dans les économies, ce qui n’est pas le cas avec une monnaie-instrument qu’est le franc CFA. Oh africains, quand est-ce que les écailles de vos yeux tomberont ? Que la colère de Dieu s’abatte sur les dirigeants africains qui nous maintiennent dans la l’humiliation et la honte.
Dieu bénisse l’Afrique et ses dignes fils et filles !
Le Président du MLAN
Prao Yao Séraphin
www.mlan.fr
contact@mlan.fr Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
[1] Maurice NIVEAU, Histoires des Faits Economiques contemporains, PUF, 1966, p.306-307
[2] Cf. Jacques Marseille, Empire colonial et capitalisme français, histoire d’un divorce, Paris, Albin Michel, 1984.
[3] Jacques Adda et al. La France face au Sud : le miroir brisé, les éditions KARTHALA, 1989, p.70.
[4] Selon l’Annexe II de l’accord de Défense signés entre les gouvernements de la République Française, de la République de Côte d’Ivoire, de la République de Dahomey et de la République du Niger le 24 Avril 1961, la France a la priorité dans l’acquisition de ces « matières premières classés comme stratégiques ». En effet, selon l’article 2 de l’accord, ‘ la République Française informe régulièrement la République de Côte d’Ivoire (et les deux autres) de la politique qu’elle compte adopter concernant les matières premières et les produits, en tenant compte des besoins généraux de la défense, de l’évolution des ressources et la situation du marché mondial ».
Selon l’article 3, « la République de Côte d’Ivoire (et les deux autres) informent la République Française des politiques qu’ils comptent suivre concernant les matières premières stratégiques et les produits, et les mesures qu’ils se proposent d’adopter afin d’appliquer ces politiques. » et pour conclure, l’article 5 :« Concernant ces même produits, la République de Côte d’Ivoire (et les deux autres), pour les besoins de la défense, les réserve en priorité pour la vente à la République de France, après avoir satisfait aux besoins de la consommation interne, et ils importeront ce dont ils ont besoin prioritairement de la France. » la réciprocité entre les signataires n’était pas une négociation d’égal à égal, mais elle reflétait |
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suite petit con AFRICAIN |
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09/05/2009 18:44 )
À Nanterre / France
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http://www.africamaat.com/La-richesse-de-l-Occident-a-ete |
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10/05/2009 15:44 )
À Colombes / France
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moi, je suis camerounais je ne lis pas "jeune afrique," je ne prends pas air cameroun(camair) , j'ecris les lettres de protestations à mon ambassade , je denonce et déconseilles mes collegues de travails de se rendre au cameroun à cause de Biya au pouvoir depuis 1982. vous, vous critiquez et vous participez à consolider ce qui fait rester au pouvoir Biya |
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10/05/2009 15:50 )
À Colombes / France
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Deux grands pays comme le Nigeria et le cameroun à par de venir prendre du bon temps en occident, les deux presidents ne se rencontre jamais pour travailler ensemble.
oui cest la faute à la franceeeeeeeee! |
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Manifestez! |
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10/05/2009 16:42 )
À Lausanne / Switzerland
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Je ne comprends pas pourquoi les africains de France ne manifestent pas sur la rue (comme les français) pour protester contre ces chefs d'états. INCROYABLE! Qui ne fait rien n'a rien. Bien sûr que le gouvernement français ne va rien faire. Il n'a aucune pression. Si les africains en Afrique n'osent pas au moins ceux qui sont en France peuvent appuyer plus ces organisations qui se battent. |
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Une petite goutte d'eau |
Dibindi Makandi pakatolo époukèpoukè (
10/05/2009 23:40 )
À Lannion / France
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Une petite goutte d'eau dans l'océan mais qui peut être un bonheur quand on se trouve dans le désert du sahara et qu'on crève de soif.
Ils sont combien comme ça dans toute l'afrique?tous ces vieux charognards,ces vautours qui sucent le sanng de tout leur peuple jusqu'à la moelle épinière,jusqu'à voir le squelette du dernier nourrisson et du dernier enfant se faire enterrer tous les jours est une situation tristement insupportable,intolérable,inacceptable.Dans toute l'afrique,ils sont combien comme ça?comme ces 3 cités par la justice française? ils sont tous condamnables tous ces vautours qui détournent le destin de leur peuple en volant,détournant,exploitant et bradant ainsi leur vie et leur avenir au profit de quelques sadiques mafieux européens,juste pour faire les gigolos et les rigolos près d'eux. c'est scandaleux,c'est triste,c'est honteux,c'est tristement regrettable ,c'est malheureux,c'est abominable,c'est pouilleux,c'est méprisant,c'est c'est c'est....il ya pas de mots assez fort à la hauteur des crimes.Méprisant? c'est pas le mot? sinon comment qualifier tous ces serpents,ces charognards,ces vautours qui volent et bradent depuis plus d'un demi siècle tous les biens et richesses de leurs peuples? comment les qualifier quand ils forment de grosses associations mafieuses avec ces groupes mafieux et ces gouvernements tordus,avares et corrompus européens qui cherche depuis la nuit des temps à vider le continent africain de ses biens au bénéfice de leurs intérêts occidentaux? comment qualifier ces arrangements qu'ils font avec ces gens là pour toujours être sous leur protection quoiqu'il arrive malgré toutes les catastrophes qu'ils organisent dans leur pays? économiques,politiques,humanitaires,
idéologiques,tribales et autres? comment qualifiés ces terribles abus si ce n'est simplement que du mépris de ces africains envers leurs peuples? Et les autres? soi disant saint d'esprit? les juges ils jugent même quoi? ceux que eux même ont organiser? engendrer? perpétrer depuis le début? encourager et soutenu depuis toujours? car tous ces pillages,ces détournements des biens,ces destructions massives,ces massacres,ces tortures, toute cette haine envers les populations et les peuples exploités à qui profitent-ils? n'est-ce pas à eux les occidentaux? les anglais,les espagnols,les français,les russes,les italiens,les belges,les portugais,les suisses,les américains et autres que j'oublie et aujourd'hui les asiatiques et chinois,que font-ils en afrique depuis la nuit des temps? n'est-ce pas repérer,piller et emporter toujours et toujours toutes les richesses des africains? se sont-ils inquiètter un jour depuis le temps qu'ils pillent ce continent qu'il ne s'est pas développer ni évoluer comme les leur? qui peut compter ici combien de milliards de biens ou combien de milliards de tonnes de richesses ces différents pays européens ont déja pris à l'afrique?c'est sans compter biensur les milliers de quotients humain africains absorber par l'occident? ces sadiques occidentaux aiment-ils les africains?sinon comment expliquer que depuis le temps qu'ils exploitent et pillent ce continent et qu'aujourd'hui ils soient tous aussi prospèrent et aussi riches ils continuent toujours leur sale besogne? biensur avec l'aide des tous ces gigolos de gouvernants africains? comment expliquer tout ça?et aujourd'hui ils font semblant de juger et de vouloir donner de leçons?à qui? quand on voit la misère profonde et la pauvreté criarde de toute l'afrique aux yeux du monde aujourd'hui et que c'est ces mêmes occidentaux qui pillent et protègent tous ces dictateurs de vautours avec qui ils partagent leur plans mafieux pour exterminer le continent et que ces derniers viènnent blanchir tout cet argent chez eux en ayant des tas de chateaux inhabités, 150 comptes bancaires pour une seule personne,et les voitures les plus chères qui peuvent faire le tour de la terre et qui roule à peine une fois tous les 2 à 3 ans pour faire à peine la moitié du tour de paris c'est ça être riche? que posséder des choses matérièlles qui ne nous serviront presque jamais? et dont on a pas forcement besoin? c'est être riche du grand vide que comporte notre cerveau? ou sinon c'est plutot une profonde et triste pauvreté d'esprit? une pauvreté tellement aveugle qu'ils en deviènnent complètement malade? On sait depuis toujours que les européens n'aiment pas les noirs et encore moins les africains donc c'est pas aujourd'hui qu'ils vont être gentils et témoigner leur grand amour aux africains en dénonçant 2 ou 3 de leur complices sur combien? mais nous savons aussi que les africains ne s'aiment pas déjà eux-même et ils n'aiment pas ce continent car ils ne savent pas le préserver et l'entretenir comme qui conque possède un bien précieux le protège soigneuseument,et enfin ils ne savent pas réellement ce qu'ils veulent et ce qui est bon pour eux.quand ils auront trouver des reponses à ces questions et aimer un peu plus ce continent alors ça ira mieux en Afrique
Amicalement... TOBY Bobson
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rigolardgland |
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11/05/2009 01:59 )
À Nîmes / France
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l'heure viendra ou ma génération mettra un grand coup de pied au cul de la france afrique et des écervelés présidents africains!
halte au post colonialisme!!! |
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11/05/2009 13:05 )
À Poitiers / France
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Vous vous faites du mal ... |
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12/05/2009 11:49 )
À Algiers / Algeria
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A
voilà la democratie française que les journaux de progande passe leurs temps a nous boré le crane nous arrivons croyez nous
( 09/05/2009 17:43 )
Depuis que j'ai arrêter de lire ces choses débiles DANS CES RAMMASSIS DE PAPIERS CONTROLES PAS D'AUTRES, je m'informe bien ailleurs dans les médias contrôlés pars les AFROS.
Un autre exemple, comment des médias produits dans des pays de dictatures et hostiles aix AFROS (Tunisie, Maroc), peuvent apporter quelque chose de bien AUX AFROS?. C'est comme vous demander aux nazis dans les années 1940 de parler des juifs. |
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