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Cameroun : Denis Lavagne remplace Javier Clemente |
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Cheick Kongo (
27/10/2011 12:20 )
À London / United Kingdom
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les Camerounais n'ont toujours pas compris que mettre des selectionneurs blancs, ne leur rapporteront rien !!! |
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Héééééé |
lola (
27/10/2011 16:20 )
À Paris / France
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vraiment les camerounais !!!! heureusement qu'ils sont là pour divertir la scène internationale. |
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27/10/2011 22:01 )
À Crawley / United Kingdom
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Son seul atout est de savoir qu'au Cameroun c'est le ministre des sports et son homologue de la FECAFOOT qui choisissent les joueurs. |
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lemirobolent |
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28/10/2011 13:13 )
À Villeneuve-lès-avignon / France
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Qu'il soit blanc je m'en tape. Le problème est qu'il n'est pas camerounais et ne connait rien du pays.
avec tous les grands footballeurs que le Cameroun a eu, aucun d'eux ne peut entrainer le pays ?
Sérieux, ils n'ont même plus honte ! |
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Mon Dieu, quel complexe au 21è siècle |
Mahatma (
28/10/2011 16:34 )
À Juvisy-sur-orge / France
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Il y'a de grandes gloires camerounaises, ayant joué à un haut niveau professionnel, qui st bien capables d'entraîner cette équipe nationale.
Malheureusement, la problème ds ce pays qui est mien est la jalousie!On préfère donner des millions et des millions à un blanc que de les donner à son compatriote.
Aujourd'hui, chaque fois que ce pays joue, je préfère qu'il perde car même s'il gagne, l'argent rappoté ne profitera pas au camerounais lambda,mais à Biya et son entourage.
La preuve: regardez ttes les campagnes nationales et internationales des lions indomptables depuis 1982 et voyez ce qu'elles ont engrangé comme pognon:le cameroun à ce jour n'a toujours pas un stade digne de son nom et de son standing.
Quant à Lavagne que l'on ne connaît que de par son père (Léonce qui fut un bon entraîneur), il n'apportera rien à ce pays corrompu jusqu'à la möelle. |
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aida (
28/10/2011 17:44 )
À Englewood / United States
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À Villeneuve-lès-avignon / France, ce que vous avez dit a du sens. |
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et dire que ces gnatas camer |
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29/10/2011 00:34 )
À Paris / France
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voulaient donner des leçons aux ivoiriens ,il fallait voir ces abrutis se déchainer sur les forums au moment des élections ...c'était pathétique
les ivoiriens ont pu faire respecter le vote des urnes pendant que ces bantous se coltinent leur dictateur à vie!pendant ce temps les djandjoux cameruineuses cherchent leurs blancs sur internet
ils vont employer tous les entraineurs blancs de la terrre
pauvres d'eux ,aliéné jusqu'aux os |
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29/10/2011 20:26 )
À Saint-avertin / France
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Présidentielle-Cameroun : Corruption des médias, le syndicat des journalistes dénonce !
Par mh | 29/10/2011 | 17:50:06 CAMEROUN :: SOCIÉTÉ
Des médias auraient reçu de l'argent de la présidence de la République et du ministère de la Communication Issa Tchiroma (ph)
ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE CAMEROUN 2011::
C'est une affaire qui fait du bruit dans le milieu des médias depuis quelques jours. Des jounalistes auraient perçu de l'argent de la présidence de la République à la veille de la présidentielle du 9 octobre dernier.Une situation qui a fait bondir le Syndicat national des journalistes du Cameroun (Snjc) dont le Comité d’urgence du Bureau Exécutif National s’est réuni à Douala le 21 octobre 2011 dernier.
Le SNJC dit avoir reçu "des informations persistantes selon lesquelles depuis le 28 Septembre 2011, en pleine campagne électorale pour l’élection présidentielle, les plus hauts responsables du Cabinet Civil de la Présidence de la République et du Ministère de la Communication ont entrepris et mené une démarche visant à discréditer l’ensemble des acteurs médiatiques camerounais tout en subjuguant l’indépendance éditoriale des principaux organes médiatiques nationaux".
Selon le SNJC, relayant "diverses sources", certains médias auraient perçu de la présidence de la République entre 5 et 15 millions de francs CFA en guise d'« appui à la couverture de l’élection présidentielle ». "Parallèlement, le Ministre de la Communication aurait distribué de son côté, dans des conditions tout autant opaques, une somme dont le montant total varie entre 200 et 600 millions de francs aux mêmes patrons de la Presse ainsi qu’à des individus divers, pour, dit-on, « faciliter la couverture de l’élection présidentielle »".
Pour le SNJC, c'est "une tentative évidente de corruption des patrons de presse camerounais par le pouvoir". Le ministre de la Communication Issa Tchiroma n'a pas démenti l'information. Répondant à la question d'un journaliste de savoir sur quels critères on a sélectionné les médias devant recevoir ce argent, le ministre a dit que "même quand il s'agit de l'aide publique à la communication, ce n'est pas tous les médias qui en bénéficient". Pour sa part, le rédacteur en chef d'un journal qui a reçu cet argent se défend : "Notre ligne éditoriale n'a pas bougé d'un iota. On ne peut donc nous accuser de rien".
En tout cas, le SNJC demande au Premier ministre ainsi que les responsables des services de l’Etat impliqués à expliquer au cours d’une conférence de publique la nature véritable de cette opération et "engage les journalistes à la solidarité pour faire échec à cette attaque contre leur indépendance et crédibilité et réaffirme sa détermination à poursuivre le difficile combat de la défense des intérêts moraux, professionnels et matériels des journalistes en vue de la valorisation de la profession pour le progrès démocratique et le développement véritable du Cameroun".
Mh, ,KOACI.COM YAOUNDÉ, copyright © koaci.com
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29/10/2011 21:47 )
À Saint-avertin / France
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CAMEROUN: La France cautionne la réélection de Paul Biya
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Par mh | 28/10/2011 | 19:40:37 CAMEROUN :: POLITIQUE
Nicolas Sarkozy et Paul Biya...
:ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE CAMEROUN 2011::
© koaci.com -Ce matin, l'ambassadeur de France a reconnu la réélection de Paul Biya qui célèbre les 30 ans de son pouvoir le 6 novembre prochain. Ce soir Nicolas Sarkozy adresse une lettre de félicitation au vieux président de 78 ans.
Au Cameroun où la France est perçue comme le principal soutien de Paul Biya, ça commençait à paraitre long et suspect que le locataire de l'Elysée n'ait pas encore envoyé sa lettre de félicitation au président Paul Biya, réélu à l'issue du scrutin du 9 octobre dernier. Surtout qu'en 2004, le président français Jacques Chirac avait félicité Paul Biya avant même la proclamation définitive des résultats par la Cour suprême. Il y avait aussi de quoi s'inquiéter après la sortie du parti des Verts en France. Sur RFI le 25 octobre dernier, Yannick Jadot, eurodéputé Vert, membre d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV) porte-parole d’Eva Joly(EELV) a critiqué avec une rare virulence, la réélection de Paul Biya :" En Afrique subsaharienne, on continue à soutenir des dictateurs simplement parce qu’on y a de grandes entreprises et que ça nous arrange bien. Paul Biya est un dictateur (…). Un régime dictatorial empêche le Cameroun d’émerger et le plonge dans le sous-développement avec le soutien de la France. La communauté internationale a contesté les élections, a dit à quel point il y avait des irrégularités. Il n’est pas normal que la France s’aligne sur Paul Biya".
La presse s'affole
Après cette sortie, le quotidien camerounais "Ouest Littoral" a titré à sa UNE "la gauche veut chasser Biya du pouvoir". Ce matin, le quotidien "Mutations", l'un des plus influents du pays a publié un article pour indiquer que les grandes puissances ignorent la réélection de Biya. " Présidentielle 2011 : La Chine, la France, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ignorent la victoire de Paul Biya. Depuis vendredi dernier, aucun chef d’Etat ou d’une organisation internationale n’a adressé un message de félicitations au président réélu" a écrit le quotidien camerounais. Le journal expliquait même qu'une "crise" couvait au Quai d'Orsay entre le ministre Alain Juppé, chiraquien et vieil ami du président et Bernard Valéro, sarkozyste et porte-parole. Le ministre Alain Juppé avait qualifié les élections "d'acceptables" alors que Bernard Valéro souhaitait que toute la lumière soit faite sur les irrégularités.
La France réagit
Invité ce matin dans une radio privée de la capitale camerounaise, Radio Tiéméni Siantou, l'ambassadeur de France au Cameroun, Bruno Gain a reconnu la victoire "haut la main" du président camerounais. Bruno Gain a indiqué que la France prenait acte des résultats proclamés par le Cour suprême tout en réaffirmant le respect de la France pour le souveraineté du Cameroun. "Nous avons eu tout au long de cette période électorale, une attitude marquée par le plein respect de la souveraineté du Cameroun, le souci de modération, d'équilibre" a dit Bruno Gain. Néanmoins, il a appelé le gouvernement camerounais à "examiner dans quelle mesure les règles électorales et le de fonctionnement d'Elecam (la commission électorale, Ndlr) pourraient être améliorés". Il a aussi plaidé pour "l'amélioration de la démocratie" au Cameroun. Ce soir, Nicolas Sarkozy a adressé cette lettre de félicitation tant attendue dans laquelle il a présenté au dictateur camerounais ses "vœux de succès pour votre nouveau mandat". Nicolas Sarkozy a encouragé Paul Biya, conformément à ses promesses de campagne électorale, à "parachever la mise en place des institutions prévus dans la constitution de 1996" à savoir le sénat, le conseil constitutionnel et la poursuite de la décentralisation. Nicolas Sarkozy a dit que c'est un "gage de la stabilité" au Cameroun. Il a réaffirmé la " disponibilité de la France à accompagner le développement économique et social du Cameroun". Reste attendue, le message de félicitation du président Obama des États-Unis. Les USA ont l'habitude d'être plus directs vis-à-vis du pouvoir de Yaoundé. Mais, les réactions des USA n'émeuvent plus vraiment le locataire d'Etoudi.
Au Cameroun, plusieurs personnes pensent que Paul Biya veut mourir au pouvoir. Le politologue Mathias Eric Owona Nguini s'est dit certain que Paul Biya briguera un nouveau mandat de 7 ans en 2018, à 85 ans, après 36 ans de pouvoir. Une éventualité d'ailleurs évoquée par Jacques Fame Ndongo, porte-parole du RDPC, le parti au pouvoir. "La constitution ne limite plus les mandats présidentiels" avait-il rappelé sur RFI. Pour sa part, le politologue Achille Mbembe a indiqué que l'alternance ne surviendra au Cameroun que de deux manières, soit par la mort de Paul Biya, soit par un coup d’État.
Mh, KOACI.COM YAOUNDÉ, copyright © koaci.com
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