• Même l’intention de ce forum ne peut pas être jugée bonne ! Dans un pays ÉNORMÉMENT en retard ne serait-ce que pour l’ossature primaire, il est fou et plus qu’inintelligent d’entreprendre un tel débat à un niveau si général. Car ce forum sera et ne restera qu’un échauffement à s’époumoner ostensiblement aux dépends du trésor national, une autre épurge d’imbécillités conjuguées par/sous Zoah et/ou Iya. Les tâches sont pourtant claires pour contribuer à l’élaboration ne serait-ce que d’une fondation élémentaire :
1. Les infrastructures (immobilières et éducatives)
2. L’animation et encadrement aux niveaux scolaires et académiques qui sont de facto présents (quoi que hélas mêmes les meilleures écoles et universités manquent JUSTEMENT d’infrastructures…) : Les compétitions interscolaires et interuniversitaires constituent l’inspiration de base et le réservoir garanti et automatique des talents. Aux EU par exemple, le professionnalisme (qui est le résultat du produit distillé et final du parcours et formation scolaire et/ou académique dans tous les sports) est basé sur ce modèle qui profite à tous les pays du monde là-bas. En effet, le système américain est ouvert à tous, mêmes les non-américains. C’est lui qui a formé les modèles tels Akeem Alajouwan, Joakim Noah, Mba Moute, etc… Tous les coureurs et marathoniens modernes du Kenya, Ethiopie, Nigéria, etc. sont entraînés dans le système américain. Similairement mais plus élitiques, les pays comme la France, la Chine, l’Australie, etc. ont des systèmes d’écoles de sports impeccablement structurées à partir d’une politique nationale officiellement définie et établie. C’est de là par exemple qu’était sorti—par miracle—Yannick Noah (repêché au Cameroun par l’américain Arthur Ashe et introduit dans le système des sports français par l’intermédiaire de ce fameux tennisman).
3. La formation des formateurs (encadreurs, entraîneurs, arbitres, médecins et techniciens de sports, managers, experts en posage et maintenance des gazons, terrains et autres appareils et lieux/enceints sportifs, etc.) : Que sont devenus l’Institut National des Sports, le Centre Universitaire des Santés, etc. Bien sûr, des nids de corruption, négligés et abandonnés par l’état à la mafia des recrutements et façonnements du faux, des faux diplômes, du fonctionnarisme, népotisme, etc. Ce domaine tout seul, qui le concerne pourtant, dépasserait les capacités intellectuelles d’un Zoah (lui-même recruté—comme Béti—sous la pourriture du népotisme de l’oligarchie tyrannique béti dont la pointe de la lance est Biya).
Rien que ces 3 domaines de base constituent des mers à boire pour ce qui est de la situation présente des sports et des RETARDS PROFONDS que cette situation se vit au Cameroun. Mais rien et aucun progrès serait espéré sans la volonté, sans une politique, sans une entreprise de base pour poser et solidement construire a priori et de facto une telle fondation. C’est la même situation au niveau national de l’économie camerounaise : Éternellement à l’âge de la pierre taillée, imbue des brutalités propres aux jungles sauvages dans lesquelles les animaux s’entre-déchirent farouchement, assujettie honteusement et lâchement à la France surtout, sans INFRASTRUCTURES (routes, rails, aérogares, téléphones, internet, ports + ingénieurs, économistes, éducateurs, médecins et hôpitaux, diplomates, etc… bien formés, patriotiques et intègres en matière de CORRUPTION…), la misère, le gaspillage des ressources, le mauvaise gouvernance… et surtout, le MIASME DE LA CORRUPTION et l’ABSENCE DE LA DÉMOCRATIE (qui profitent du manque des[infra]structures étatiques et des normes de base en droits de l’HOMME) ne feront que continuer à faire éternuer et enfoncer les progrès du Cameroun face au globalisme de plus en plus impardonnable (pour les retardataires).
Zoah, Iya comme Yang et Biya se moquent et pissent dans les gueules des camerounbais…
Les problèmes du Cameroun, que ce soit en politique, sports, agriculture, médecine, exploitation et distributions HONNÊTES des ressources du patrimoine collectif national, etc. SONT CLAIRES, SIMPLES, DIRECTEMENT ATTAQUABLES ET INTELLIGEMMENT REMÉDIABLES. Il s’agit de bien poser les débats et travailler HONNÊTEMENT, PATRIOTIQUEMENT DANS L’ACCEPTATION DU SACRIFICE (allant même jusqu’a la perte de sa vie si nécessaire) pour le bien commun et le futur de liberté et bonheur au Cameroun !
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