BOF ! |
Diakité Inza (
27/07/2010 19:37 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire
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Je crois que c'est une réussite comme toute autre, mais pas hors du commun.
L'Afrique a besoin d'entrepreneurs.
De vrais créateurs de richesses sur le continent.
Voici un Monsieur après la Nasa est plus interessé par travailler chez Microsoft (créee par un vrai entrepreneur) en Afrique au lieu de créer une entreprise, une vraie entreprise technologique pour justement montrer sa créativité.
Nous avons besoin d'Africains qui créent des sociétés technologiques, que d'Africains qui se battent pour occuper des postes de DG de multinationales en AFrique.
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lam toro (
27/07/2010 21:39 )
À Fontenay-sous-bois / France
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tres bon parcours et u, homme qui souhaite faire changer les choses au mail et sur le continent.
bonne chose |
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Creer des entreprises en Afrique ou ailleurs plutôt que de servir les multinationales ! |
koasal (
29/07/2010 00:53 )
À Malakoff / France
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Oui, l'intervenant Diakité Inza a dit l'essentiel plus haut.
Merci Diakité Inza .
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Franchement l'homme noir exagère! |
feygirl (
29/07/2010 15:41 )
À Paris / France
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Il a pris un an sabbatique pour monter un labo au Mali; il a créé une fondation pour aider l'Afrique; il est présent (dès le départ ou par la suite) dans des projets de réduction de la fracture numérique en Afrique via les universités virtuelles. Que lui demande-t-on de plus?
Pourquoi toujours opposer l'entrepreneuriat avec le fait d'être salarié d'une multinationale? Comme si les multinationales c'était le diable... Chacun doit agir selon les marges de manoeuvre qu'il a! Rien ne garantit qu'en étant à la tête d'une PME il pourra influencer autant sur l'évolution de l'afrique qu'à la tête de MS Afrique... |
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Non Feygirl.... |
Diakité Inza (
29/07/2010 16:41 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire
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Nous ne disons pas qu'il ne se bat pas mais il fait comme la plupart des Africains.....Création d'Associations, de Forums, d'ONG, de Fondations....mais jamais de Sociétés lucratives technologiques capables de faire entendre la voix de l'Afrique sur les grandes places boursières du monde. C'est de cela qu'il s'agit.
Par ailleurs, nous ne disons pas que les multinationales sont des diables. Nous disons tout simplement q'il fait comme la plupart des Africains qui veulent rentrer sur le continent : Se trouver une place au chaud dans une société créee par les autres.
C'est dommage ce type de comportements où on ne prend pas de risques.
Je suis sur que tu vois bien la différence entre créer une Association et créer une Société. Si tu crées une Asso et elle foire, ta vie n'est pas en danger. par contre si tu crées une Société et qu'elle foire, là ton pain est en danger.....et là les Africains sont complétement absent, y compris leurs grands génies comme ce mec, contrairement aux Indiens, Coréens....qui reviennent dans leurs pays après des carrières remplies en Occident pour créer des sociétés.
Voilà le fond de ma pensée. |
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hum!!! |
zogoda zué (
30/07/2010 14:32 )
À Vanves / France
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Inza la meme, toi meme tu fais quoi? au lieu de critiquer.
Va chercher pour toi lui il a reussi vous aimez trop ça. |
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Inza tu as raison, mais à moitié |
PIPO .PCX (
31/07/2010 19:44 )
À Villejuif / France
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Tu as raison de t'étonner que la diaspora africaine, lorsqu'elle revient au pays, elle se bat pour trouver une place soit au gouvernement local, soit dans une société parapublique locale, soit (le nectar) une place dans une multinationale ou à l'antenne locale d'une organisation internationnale. On se serait en effet attendu qu'elle vienne créer des sociétés; et quand tu parles de sociétés technologiques, je te comprends parfaitement: tu ne vaux pas forcément parler de centrale nucléaire, mais de sociétés innovante (même seulement dans l'organisationnel).
Mais Inka, il faut aussi considérer que l'entrepreunariat n'est pas fait pour tous; c'est un chemin rugueux, qui demande à la fois intelligence totale et courage, surtout sous nos tropiques.
Et si j'ai appris quelque chose de la première video de ce Monsieur, ce que compte tenu de la répartition de notre capital humain actuel, le déclic DOIT venir de la diapora, celle là qui a le SAVOIR-FAIRE. |
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MERCI D ETRE UN EXEMPLE CONCRET |
Martin (
01/08/2010 15:53 )
À Chaponost / France
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Un exemple concret, nous en avons besoin en Afrique.
Je retiens que Nous (Africains) devons être pragmatiques, nous devons avoir un confiance en nous et travailler sur le SAVOIR FAIRE.
Nous avons notre destin en main. |
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A zogoda zué |
Diakité Inza (
02/08/2010 18:25 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire
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Tu imagines bien que je suis au charbon actuellement. Je ne peux pas critiquer si je donne pas le bon exemple.
Je suis rentré au pays (j'aimais bien quand Grioo indiquait nos endroits géographiques d'intervention...) pour me battre et créer. Je ne dis pas que c'est facile. C'est même très dur (comme le disais l'intervenant PIPO, il faut être armé et avoir un mental d'entrepreneur pour oser entreprendre sous les tropiques) mais c'est le prix à payer pour que l'Afrique se relève....
L'Afrique ne se relevera jamais, avec une élite qui se bat pour travailler dans des organisations internationales, dans des multinationales, dans des sociétés parapubliques....
Il faut créer des entreprises technologiques, apporter de nouvelles méthodes de travail, améliorer des créations locales, améliorer des produits locaux, produire des produits finis pour le marché local et pour l'exportation.
Comment voulez-vous que l'Afrique s'en sorte lorsque dans des pays comme la Côte d'Ivoire ou le Senegal, seuls les Libanais et les Blancs ont des sociétés industrielles "serieuses" ?
Voilà, là où l'on nous attend. |
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Entreprenariat vs consumerisme |
Kamo-nubien (
06/08/2010 20:11 )
À Cergy / France
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J'adhère à l'opinion selon laquelle nous devons privilégier l'entreprenariat. Si l’on peut se réjouir de la nomination d’un homme aussi compétent que Cheick Modibo Diarra à la tête de Microsoft Afrique et sans vouloir nier à l’informatique l’intérêt qu’il va représenter pour le développement du continent africain, les nouvelles technologies de l’information ne semblent pas pouvoir répondre en priorité de la manière la plus adéquate aux urgences alimentaires et sanitaires auxquelles la population africaine doit faire face. Trois millions de personnes meurent de malnutrition chaque année en Afrique, sur trente neuf millions de séropositifs que compte le monde, vingt-huit millions survivent en Afrique subsaharienne. Soixante quinze pour cent des femmes séropositives au monde sont Africaines. La clé d’un développement durable passera certainement par un renforcement du secteur agricole et de celui de la santé. Il est dommage de constater, à quel point, en Afrique, pullulent des produits importés de l’Occident ou de l’Asie. De la voiture au fer à repasser en passant par les téléviseurs, aucun de ces produits n’est manufacturé en Afrique. Le cynisme ne serait pas si atroce si nous ne réalisions point que la plupart des matériaux constituant ces produits proviennent bien de chez nous, en Afrique : le tantale des téléphones portables, le plastique tirés du pétrole, les bois, le caoutchouc des pneus, le cuivre, l’or, les diamants. De même qu’en Europe, l’avènement de l’industrie doit être anticipé par la construction d’infrastructures routières, ferroviaires et portuaires. Même si cela peut sembler trivial, il faut préciser que ces grands travaux nécessiteront toute la vigueur de bras bien nourris. D’où, la nécessité de consolider le secteur agricole africain, car de là nous pourrons vaquer à des occupations industrielles lourdes. Ce qui nous permettra de sortir du cercle vicieux consuméristes qui nous rend trop dépendants vis-à-vis des productions manufacturières des autres blocs. Ce consumérisme, on le constate, malheureusement au quotidien, dans les moindres activités des noirs. Les apatrides Africains à Paris s’agglutinent dans les commerces appartenant aux ressortissants des autres communautés. Ils vont et viennent chez les Indopakistanais pour les cartes téléphoniques prépayés ou accéder à une connexion Internet, achètent leur viande certifiée halal chez les bouchers Arabes, se procurent d’autres denrées chez les Chinois. Tout cela se passe dans un quartier soi-disant africain. Comment se fait-il que les nouveaux immigrés, tels que les Indiens, supplantent aussi aisément les noirs alors que les liens entre la France et les Africains, suite à la colonisation, sont censés être beaucoup plus fort qu’entre la France et les autres ressortissants du tiers-monde vivant sur le territoire français ? Le lien entre la manière dont évolue la communauté noire de France et la situation des noirs dans ce monde est assez évident.
http://www.grioo.com/forum/viewtopic.php?t=7298 |
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Du courage |
Moulinatou (
13/01/2011 17:39 )
À / Benin
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Mr DIARRA joue dans la cours des grands et s'il a décider de creer son partie c'est qu'il est sur de pouvoir apporter sa pierre à l'édifice.Un chanteur a dit que "les ennemies de l'Afrique ce sont les Africains"lorsque nous prenons notre chère continent dans sa globalité on se rend compte qu'il nous reste du chemin à faire.Cheih Modibo DIARRA n'agit pas au hasard moi je voudrais seulement qu'il puise mettre en pratique tout ce qu'il a dit lors de son interview par "Africa busness"n°274.il n'est pas sans savoir que la politique salie son homme alors si tous les Africains qui sont comme lui décident de se préoccuper du sort de leur continent les prochains 50ans seront comme "une poussée d'archimède".En ce qui concerne cet grand homme on ne peut que lui dire du courage. |
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informations |
MOUKOKO (
23/01/2011 10:38 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire
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Je suis professeur de maths au Cours Lamartine à Abidjan en classes de Terminale S et Première S ; je suis fortement intéressé par l'introduction des logiciels informatiques dans cette discipline ,et , je travaille dessus depuis quelques années
Je voudrais savoir s'il existe une équipe qui s'intéresse à ce domaine que je pourrais intégrer
Merci pour votre compréhension
Cordialement |
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