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  Colin Powell : "des gens sont venus de mon continent enchaînés"
L'ex-secrétaire d'Etat aux affaires étrangères américain participait à un festival de mode et de musique africaine
 
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Colin Powell : "des gens sont venus de mon continent enchaînés"

Nombre de messages
:  19
Pages:  1  

 
( 16/10/2008 01:36 )
À Crawley / United Kingdom

il n'est jamais trop tard pour bien faire.............
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  Il n'est jamais trop tard
Hannibal ( 16/10/2008 12:13 )
À / France

Il n'est jamais trop tard cher Frère de regarder vers la mère patrie.

Si ces déclarations étaient tenues par un Panafricain, on l'aurait accusé d'idéaliste ou d'anti-blancs.

Maintenant ne reste aux déclarations, passe aux actes, nous t'attendons dans le combat de la Renaissance !
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  quel que soit la durée de la nuit, le jour fini toujours par arriver
Muntudu ( 16/10/2008 12:39 )
À Neuilly-sur-marne / France

C'est bien.... mais ce genre de déclarations venant d'un Powell qui a occupé de très hautes fonctions dans l'appareil d'état Américain est inopportune en ce moment, quand on sait la crainte ou le soupçon (soupçon du reste complètement absurde) d'une partie de l'électorat blanc Américain envers BO, qui selon eux, voudrait promouvoir le "black Power" ou quelque chose dans ce genre. Ils pourraient ainsi se dire que Powel a ce genre d'idée mais ne les a jamais exprimé pendant qu'il était en fonction..... et que barrack Obama nourrit certainement les mêmes idées, mais secrètement....
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  Powell n'est pas clean......
Enero ( 16/10/2008 15:11 )
À Crawley / United Kingdom

Je suis d'accord avec le fait que les declarations de Powell fait la part belle aux republicains. Ce qui s'en doute le pousse a le faire dans le but de raviver la crainte du "Black retaliation " , la vengeance des noirs sur les blancs, chez l'electorat blanc qui hesite encore.
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Maryjane ( 16/10/2008 15:56 )
À Paris / France

... J'aime bien ce genre de "Réveil Nègre", une fois avoir quitté les Hautes Sphères du Pouvoir...
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THIAM ( 16/10/2008 17:46 )
À Paris / France

Son pas de danse montre qu'il maitrise le mouvement déhanché...pas de doute ils noir. il est l'un des notres.

je pense que Barack va le nommer secrétaire d'état à la défense...tenez vous bien. ne soyez pas non plus surpris de voir Condi à la tête de la CIA.
Hillary Clinton ne supportant pas le titre de secrétaire sera juge à la cour suprême. Bill Richardson secrétaire d'état au commerce...wait and see
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  oui c'est ça mème
l'homme de là bas ( 16/10/2008 18:43 )
À Milan / Italy

c'est trop facile de te rappeler maintenant que tu proviens d'Afrique. qu'est ce que tu as fait pour le continent quand tu étais au gouvernement? tu parles du tour de l'Afrique, pourtant tu es bien placé pour savoir que le continent jamais ne se developpera tant que des pays tel que la france et votre pays continueront à supporter les dictacteurs au pouvoir, à favoriser les coups d'état juste pour diviser et établir votre suprématie
Crèves de bavardage ipocrite. Vous avez mis l'Irak à sang et à feu pour des intétèts inavoués et je me rappelles que cette fois là tu avais joué le role de l'avocat du diable presentant des images inventés au sommet de l'onu qui avait ainsi donné le feu vert pour l'attaque. Le jour du jugement viendra.
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  je vous prie de lire ce livre
( 16/10/2008 21:29 )
À Nanterre / France

Le nouvel ouvrage d’Etienne de Tayo aux éditions Menaibuc nous invite à découvrir la face cachée du monde de la finance internationale et de l’apprauvrissement occidental de l’Afrique.

LE RÈGNE DE L’INFORMEL

En 1956, l’Argentine est étranglée par les dettes. Elle demande à connaître ses créanciers. Le ministre français des Finances s’étant proposé comme intermédiaire, la première réunion se tint à Paris le 16 mai de la même année. Le Club de Paris était ainsi né dans l’informel.

Aujourd’hui, plus de 50 ans après sa création, ce groupe informel qui se présente comme une "non institution" et qui tient des sessions mensuelles, n’a ni existence légale ni statuts. Son secrétaire général a dit un jour que "quand les délégués des différents Etats étaient sur le chemin du retour, le Club de Paris cessait d’exister". Et pourtant, le Club de Paris trône sur le toit du monde et n’hésite pas, quand il le faut, à faire sentir le mors aux pays en développement qui traînent les pattes par rapport au remboursement des dettes.

Le Club de Paris est formé par 19 Etats créanciers dont les membres du G8 auxquels il faut ajouter : Australie, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, Finlande, Irlande, Norvège, Pays- Bas, Suède, Suisse. Par l’objectif qu’il s’est fixé, ce Club des créanciers montre qu’il n’est ni une instance de négociation encore moins un groupe philanthropique mais plutôt une agence de recouvrement forcé et une trappe sur laquelle viennent échouer tous les pays pauvres très endettés et en difficulté de remboursement : "Les créanciers du Club de Paris souhaitent recouvrer au maximum leurs créances. Ainsi, ils demandent le paiement immédiat d’un montant aussi élevé que possible. Les montants qui ne peuvent pas être payés sont rééchelonnés dans des conditions qui équilibrent les paiements futurs et dans l’objectif de minimiser la chance que le débiteur doive retourner dans le futur devant les créanciers du Club de Paris avec une requête additionnelle".

Dans sa démarche, le Club de Paris qui pourtant se situe dans la continuité de la politique de gestion de la dette du FMI et de la Banque Mondiale, se moque parfaitement de l’état de santé économique des Etats débiteurs : "Il ne s’agit pas de libérer les capacités de financement du développement de ces pays, ni de les soulager du fardeau insupportable de la dette mais de leur faire payer au maximum de leurs capacités. Desserrer l’étau de la dette juste assez pour qu’ils soient en mesure de rembourser".

Les chiffres sont d’ailleurs édifiants à cet effet. De 7 à 10 pays endettés auditionnés de 1997 et 1999, le Club de Paris est passé à 20 pays en 2000 et à 18 pays en 2001, "ce qui est un signe inquiétant de l’inefficacité des mesures imposées".

Le 14 juin 2006, le Club de Paris a organisé à Paris justement, une conférence à l’occasion de son cinquantième anniversaire. Ce forum qui a réuni environ 400 participants a permis des échanges fructueux mais rien n’a été dit sur le caractère informel de ce groupe qui pourtant est devenu un acteur majeur de la coopération et le développement dans le monde.

En 1975, au lendemain du conflit Israélo arabe, une crise pétrolière sans précédent menace le monde. Valery Giscard d’Estaing, qui vient d’être élu président en France, prend l’initiative de réunir de façon tout à fait informelle à Rambouillet, non loin de Paris, les chefs d’Etats et de gouvernement de l’Allemagne, Etats Unis, Royaume Uni, Italie et Japon en vue de trouver une réponse commune à cette menace. Le G7 qui deviendra G8 avec l’admission de la Russie venait ainsi de voir le jour au terme d’une anecdote.

Il est constitué de nations industrielles situées pour la plupart à l’hémisphère nord. De proche en proche, et profitant de l’apathie des institutions chargées de la régulation économique dans le monde, et de la montée du nombre d’Etats clochardisés dans le monde, le G8 - qui forme en fait la nervure central de l’ossature du Club de Paris - a pris le pouvoir et domine littéralement le monde.

Ses sommets, particulièrement courus ces derniers temps, accouche souvent des décisions sensés s’imposer sur l’ensemble de la planète au travers du système international qu’il a fini par phagocyter.

En 1996, réunis à Lyon, le G7 décide de lancer l’initiative Pays Pauvres Très Endettés (Ppte) afin de rendre soutenable la dette de pays en situation très difficile. Aussitôt, le concept est adopté par l’ensemble du système financier et monétaire mondial. Dans la gestion de l’industrie de la pauvreté, le G8 est devenu le maître d’ouvrage tandis que les institutions de Brettons Wood, le FMI et la Banque Mondiale, et les autres instruments du système des Nations Unies sont réduits au simple rôle de maître d’oeuvre. Et pourtant, comme le Club de Paris, le G8 n’a aucune existence juridique et comme lui, se complait dans l’informel.

Dans la répartition du travail qu’ils se sont donnée, les deux institutions ci-dessus tendent à se rendre indispensables et incontournables pour les pays en développement. Le Club de Paris, sous les apparences de session de "négociation", traque, de façon impitoyable, les débiteurs constitués essentiellement de pays pauvres. De son coté, le G8 s’évertue à tenir un discours humaniste et à faire des promesses toujours plus mirobolantes les unes que les autres, en vue du développement de ces mêmes pays. Le Club de Paris et le G8 agissent ainsi comme deux bestioles dont l’un est chargé de mordre sa victime et l’autre, de souffler sur la blessure, question d’atténuer la douleur.

Ce qui nous a interpellé dans ce travail, ce n’est nullement la richesse des riches qui en principe ne devrait gêner personne, sauf les jaloux. C’est :

d’un coté, la roublardise insupportable des dirigeants du G8 qui oublient souvent leurs promesses dès qu’ils les ont annoncées au cours de leur sommet et qu’ils ont pris soin de les faire relayer par les médias ;

et d’un autre coté, la relative naïveté, pour ne pas dire plus, de certains dirigeants africains qui pensent que le G8, présenté comme le groupe des "puissants du monde" - qui est du reste fier et jaloux de sa puissance - effacera sans condition la dette des pays africains et fournira ensuite des moyens nécessaires au financement des projets devant favoriser le décollage économique du continent africains. Ce qui serait trop beau dans un monde dominé par l’indifférence, l’égoïsme et le cynisme.

Dans ce travail, nous affirmons que cette politique de mendicité fait courir un péril grave à la dignité et à la fierté de l’Afrique et des Africains. Nous avons pensé que, sans vouloir s’enfermer dans une sorte d’autarcie qui n’est plus possible dans ce monde mondialisé, l’Afrique doit, pour son développement, tourner le dos à tous les "marchands des promesses trompeuses". Elle doit compter d’abord sur elle-même et sur toutes les bonnes volontés que recèle heureusement la coopération citoyenne. Elle doit ensuite :

Abandonner sans délai, la culture des produits agricoles qu’elle ne transforme, ni ne consomme, ni même ne maîtrise la fixation des prix sur le marché mondial. Elle doit ainsi tirer les leçons de la faillite de ces produits d’exportation et revenir aux cultures vivrières pour nourrir ses fils et filles ;

Trouver les moyens de faie fructifier plus que par le passé les transferts des migrants qui dans certains cas, doublent l’aide publique au développement dont les effets négatifs sur la fierté et la dignité de l’Afrique sont incalculables ;

Mobiliser la diaspora en vue de tirer le meilleur de sa contribution pour le développement du continent. Bien entendu, l’approche proposée dans ce travail marque la rupture par rapport au passé. Et tout processus de rupture autoentretenu nécessite la transformation de l’Homme, d’abord pour le couper de la nostalgie et l’installer dans la perspective des nouveaux enjeux.

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( 17/10/2008 01:15 )
À Tart-le-haut / France

mdr thiam pour toi les noirs on la danse dans le sang c'est sa??
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juste une id ( 17/10/2008 01:19 )
À Brampton / Canada

les gars vous êtes dans un trip bizarre. On dirait que vous avez besoin d'amour, d,attention et que vous recherchez ça dans toutes parole ou geste de personnalités.

A votre echelle, travaillez autant que vous pouvez , si tout le monde le fait, l'afrique s en sortira. le problème des noirs en général c'est que pour vous faire plaisir, suffit de sortir des belles paroles... les asiats, n,attendent rien des whites et autres, ils s,en foutent !!!

ils croient en eux et regardent devant eux!

aujourd'hui powel dit ceci, ca vous plait, demain il dira autre chose, vous serez faché, entre temps vous aurez fait du surplace ! et surtout vous vous ferez toujours avoir !!!!
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  reaction
( 17/10/2008 22:07 )
À Toronto / Canada

je fais 2 observations par rapport a cet article:
1ere: Les afroamericains sont beaucoup plus fiers de leur origine africaine que les Antillais (antillais francais) qui passent leur temps a' croire qu'ils sont directement descendus du ciel pour se retrouver aux antilles.
2e: Powell a servi un systeme et le systeme etant etabli au detriment du continent noir ne permet pas a ce dernier(Powell) de changer l'ordre des choses. La seule solution au probleme de l'Afrique est que les Africains arretent de pleurnicher sur leur sort et se mettent resolument au travail pour la transformation de leur continent car aucune aide, aucun apport exogene ne pourra egaler les efforts que les africains eux meme auraient fourni pour une transformation endogene de leur environnement (l'afrique).
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( 18/10/2008 12:23 )
À Tart-le-haut / France

ce que certains n'ont pas compris c'est que powel a bien fait la difference entre servir l'etat et servir ses interets ou ses ideaux personneeles voila pourquoi des imbeciles l'ont traité de traitre ou de pantin de bush..
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  Que des paroles!!
anonyme ( 18/10/2008 13:33 )
À Lyon / France

L'Afrique ne va pas se construire avec de belles paroles. Comme l'a remarqué un intervenant plus haut il faut vraiment qu'on arrête de s'accrocher à de belles paroles de personnalités occidentales ou de la diaspora en faveur de l'Afrique.
Il suffit qu'un Collin Powell, un Condi ou autre déclare son attachement pour le continent africain pour qu'on se mette à jubiler et crier honneur "à la renaissance noire"!!! C'est vraiment ridicule et ça ne nous mène nulle part. Les belles paroles on s'en fout!! Il faudrait qu'on apprenne se mettre en valeur nous même au lieu d'attendre que ce soit des personnalités de la Diaspora qui nous jettent quelques fleurs par ci et là (quand l'occasion s'y prête) pour commencer à s'exclamer.
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( 18/10/2008 15:08 )
À Tart-le-haut / France

c'est vrai que tout ceux qui disent quelque chose on fait considerablement evolué la situation

depuis que les afrocon scient s'occupent de l'afrique celle ci va de mieu en meiu
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( 18/10/2008 20:20 )
À Choisy-le-roi / France

colin powel se pense noir cte bonne blague , première nouvelle , lui qui a bien " nettoyé ses boyaux " il n'a que mépris pour ces gens couleurs de malheur.
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  Les antillais tombés du ciel
( 19/10/2008 01:53 )
À Le Lamentin / Martinique

Toujours des attaques contre les antillais!!!Toujours les graines empoisonnées de la division ,apanage des cons
lancées par ....... comme un bambin qui fait sa crise de NA!!!!NA!!!!La fierté est partout et celà dépend de ce que l'on en fait .On peut crever de fierté bêbête.
Heureusement quesur ce site ,il y a desgens qui dialoguent et qui ne sont pas là pour proférer des injures
à l'encontre d'une communauté quel quelle soit.
Ils se trouvent que ceux qui nous attaquent ont sûrement quelque chose à se reprocher dans notre
"traversée "...et cherchent des justifications à leur leur passé indigne.Dans les cases ,les souvenirs se sont transmis !Il
sinon ,je crois qu'OBAMA n'a pas fait de campagne sur le thème de la race qui est un concept scientifiquement dépassé.
OBAMA est un homme né , issu d'un humain à faible taux de mélanine et d'un autre humain à fort taux de mélanine.De ce fait ,je crois qu'il sait plus que quiconque ce qu'est un humain.Normalement ,il ne devrait pas fonder ses choix sur la pygmentation.S'il choisii ,il tue son père ou il tue sa mère.Valeur de la pygmentation ,une valeur en baisse !
J'espère qu'OBAMA sera un bon berger pour tous ses moutons qu'ils soient à poils blancs , à poils noirs où à poils noirs et blancs..
S'il est élu,son élection apaisera aussi bien les pigmentés noirs que les pygmentés blancs parce COLLECTIVEMENT, on fera un grand pas vers la vérité de ce qui fait la substance intrinsèque de L'HUMANITE.
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  La science infuse
( 19/10/2008 02:40 )
À Le Lamentin / Martinique

C'est l'expérience qui nous mûrit.Personne à part quelques génie, n'a la science infuse.Et nous nous enrichissons de notre expérience et de celle des autres..
Nous procédons par tâtonnement et chaque jour devrait nous apporter une pierre supplémentaire dans la facon de contruire un monde idéal.
Colin, Condolizza et n'importe qui d'entre nous avons le droit d'évoluer dans nos choix,notre manière dappréhender le monde, car chaque jour des angles de vues différents nous force après analyse à évoluer.
Ne vous trompez pas, à leur fonction à leur place ,ces personnalités , par leur compétences ont fait évoluer l'mage de " l'homme pigmenté".De si hautes fonctions seraient-elles possibles ,il y a trente ans???
Gardons nous de leur cracher dessus.
DE notre point de vue ,leur choix et leur projet politique ne nous convenaient peut-être pas ,mais leur présence aux plus hautes fonctions de cette Nation,est une reconnaissance ,une ouverture qui permet de démonter briques par briques ce mur mental de 400ans etde faire évoluer la perception qu'on les esprits faibles de l'homme pygmenté.Ce qui fait que les hommes comme dans les maladies auto-immunes s'attaquent à leur propre image.
Croire que son voisin est un chien c'est croire en quelque part que toi aussi est un chien
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( 19/10/2008 17:09 )
À Choisy-le-roi / France

a l'inconnu d'1h53 , pendant que tu te prélace dans ton fauteuil de bon sentiments , d'autres ont une vision beaucoup plus réaliste des choses , ils estiment que nous ne sommes pas tous pareil et privilegie leurs enfants d'un coté certains peuvent s'epanouir fonder une famille et faire des projets d'avenir , quand les autres sont au bord du précipice
Il n'y a que toi qui pense que obama est moitié blanc , moitié noir (tu prouve malgré toi que tu as eté dupé par l'histoire disant que celui qui a du sang blanc n'est pas pareil aux autres negres )
LE MONDE ENTIER le considère comme un noir, lui le premier .
plus qu'une question du taux de mélanine dans le sang , ce qui nous différencie c'est notre facon de voir la vie et d'appréhender le monde , tu auras beau naitre dans l'alaska profond et ne pas cotoyer les gens de ta communauté ,ton comportement jusqu'à tes gouts alimentaires rappelerons que tu es descendant d'afrique , pourquoi vouloir toujours le nier et dire que nous sommes pareil ? nous sommes tous d'etres humains , mais nous ne sommes pas pareil et ce sont ces differences qui font la beauté de cette humanité
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  Colin est un fieffé opportuniste à mon avis
Musengeshi Katata ( 21/10/2008 01:08 )
À Visselhövede / Germany

Connaissant sa vie et surtout ses mensonges, il est difficile de croire que tout d´un coup Colin Powell aurait découvert ses racines africaines ou même supporterait Obama sans calcul personnel le mettant du côté d´un puissant mouvement qui a déjà gagné la présidence américaine et le monde entier. On appelle cela un voyageur clandestin. Je suis vraiment surpris que les africains ne voient même pas quand ils deviennent importants. Dans la crise actuelle, c´est l´Afrique qui gagne lentement d´importance...et malheureusement aussi cette Afrique éveille la cupidité accrue des occidentaux aux pieds du mur de la saturation. Le plus dramatique dans cette affaire n´est pas l´occident, mais bien l´Afrique qui semble n´être pas préparée à ce qui va lui arriver ! Parce qu´où pourraient les occidentaux s´enrichir encore une fois en trompant leur monde si ce n´est...en Afrique ? Il suffit de la promesse d´une voiture, de quelques bibelots ou même d´aides fallacieuses enfermant à la pauvreté pour que les africains se mettent à danser et à croire qu´on leur veut du bien. En réalité on veut seulement les exploiter et ramener les gains en occident où les endettements publics, le chômage ont pris des proportions ruineuses. Et la Chine arrive à grands pas avec un courant exceptionnel de croissance économique.
Le meilleur commentateur, pour écourter, est celui qui dit que les africains ne devraient pas attendre l´aide de qui que ce soit, mais se forger eux-mêmes leurs valeurs socioéconomiques et culturelles de réalisation. Colin peut aujourd´hui danser comme il veut, libre à lui; mais nous, nos femmes et nos enfants, nous restons des africains d´âme et de devoir depuis toujours. Notre liberté autant que notre avenir ne dépend que de nos efforts et de nos attentes, et cela l´histoire nous l´a très bien appris. Surtout ne pas se laisser ENCORE UNE FOIS mener en bateau. Ce serait décidément trop bête au moment où nous avons fini par comprendre et connaître nos ennemis et nos erreurs.

Musengeshi Katata
Forum Réalisance
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