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  Crise ivoirienne : Le panel de l'Union Africaine arrive à un consensus à Nouakchott
La teneur de sa solution n'a cependant pas encore été présentée
 
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Crise ivoirienne : Le panel de l'Union Africaine arrive à un consensus à Nouakchott

Nombre de messages
:  11
Pages:  1  

 
( 07/03/2011 14:23 )
À Djelfa / Algeria

Au fait qui connaît la capitale de la république du Golf ?
C’est Visisgouata
Ville Simbole des Incompétents et Sanguinaires Onusiens SorGuillaum OuttarHasan
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( 07/03/2011 14:24 )
À Djelfa / Algeria

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( 07/03/2011 14:35 )
À Staten Island / United States

Plus que tout, les révoltes en Afrique du Nord et au Moyen-Orient préoccupent ces grands canaux de la désinformation mondiale qui savent se taire sur les causes réelles et les vrais acteurs de ces contestations populaires que l’on cherche à désarmer et dont on sent des frémissements jusqu’en Afrique noire où les mécontentements se sont accumulés au fil des ans.


C’est déjà le cas au Burkina-Faso où à Koudougou, dans le centre-ouest, le décès d’un jeune dans les locaux de la police a mis le feu aux poudres. Depuis lundi 21 février, la jeunesse est dans un état de révolte électrique dans la ville, où confrontée à la violence de la répression policière qui a fait de nombreux tués par balles dans ses rangs, elle a saccagé et mis le feu au siège du gouvernorat de la province. Sur place, les autorités locales s’employaient toujours à calmer l’inacceptable, par des mensonges et des omissions de responsabilités quant aux brutalités du régime Compaoré. Le bilan s’est alourdi : à ce jour, il est de 5 morts, en plus d’au moins, une centaine de blessés dont certains dans un état grave. La révolte fait tache d’huile. Elle s’étend désormais à Ouagadougou, la capitale ainsi qu’à d’autres villes de provinces comme Poa, Ouahigouya et autres.

Au-delà de tels symptômes éruptifs, la raison profonde de cette contestation de la jeunesse est évidente : depuis 1987, année de l’assassinat brutal de Thomas Sankara et de l’inversion réactionnaire du processus révolutionnaire décapité à gauche de la façon la plus sanglante et crapuleuse, le régime usé jusqu’à l’os par l’incurie, la corruption et toute une série de brutalités sans nom, se maintient malgré tout, grâce à la politique du bâton et de la carotte.

Dans ce contexte, les frustrations de la jeunesse et le délitement social généralisé se sont dangereusement accumulés. La base de cette accumulation est traversée par des courants inouïs d’hostilité souterraine qui, par moment, profitent d’évènement déclencheurs pour remonter à la surface sous forme de révoltes contre le régime qui caporalise l’Etat à son seul profit.

Et c’est le cas ici, où curieusement et sans surprise, les médias dominants français ou occidentaux et les antennes diplomatiques de toutes ces grandes « Démocraties », comme à leurs habitudes, quand il s’agit de défendre des intérêts concrets néocoloniaux et impérialistes, ne voient rien de ce qui se passe dans le pays. Ils sont juste atteints de cécité ou de myopie passagère qui les empêche de regarder en face, là où la vraie nature du régime Compaoré s’est toujours dévoilée. Un régime de tyrannie redoutablement efficace et missionné à défendre les intérêts stratégiques français en Afrique de l’Ouest. Et voilà pourquoi, on lui déroule à l’Elysée, le tapis rouge du sang de nos peuples.

Qu’il affame son peuple ou réprime sa jeunesse, n’est pas le principal ; ce qui importe est qu’il serve les intérêts néocoloniaux jusqu’à l’obsolescence de son pouvoir. En attendant, on se contente d’agiter, sous son nez, des hochets de principes d’ordre humanitariste qu’il sait compléter lui-même, pour faire bonne figure, par une série de mascarades électorales qui sauvent l’essentiel : 24 ans de tyrannie prédatrice, affairiste et protectrices des intérêts néocoloniaux.


Voilà pourquoi l’Occident et ses institutions du capitalisme mondialisé l’encensent, s’activent à le missionner en médiateur dans les crises et guerres civiles africaines que le néocolonialisme provoque et mène localement en sous-mains. Bref, la bonne affaire ! Voilà encore un Africain exceptionnel : une aubaine pour l’Occident mais un danger pour les peuples d’Afrique dont on assassine dans l’impunité les filles et fils gênants pour les intérêts occidentaux.



De ce point de vue, l’exceptionnalité de Blaise Compaoré dans les milieux néocoloniaux en Occident confirme sa stature de prédateur exceptionnel, adoubé par eux et reçu dans leurs loges, comme tant d’autres, en parfait négro-maçon et décorés à souhait de toutes sortes de breloques qui flattent l’infantilisme et perdent la tête et la raison à la fois.
Dans ces conditions, le système répressif qu’il met en branle régulièrement au Burkina-Faso, peut continuer à se déployer en toute impunité jusqu’au jour où il devra des comptes. En attendant, des familles pleurent actuellement, dans la douleur insupportable, la mort de leurs enfants : de jeunes manifestants simplement en colère contre l’avenir indigne et bouché qu’on leur projette.

Devant ces constats horribles, où est la presse française prompte à intoxiquer, hier sur le Rwanda et aujourd’hui sur la Côte d’Ivoire ? Mais cette question n’est pas une demande d’ingérence armée ou humanitaire-humanitariste dans les affaires africaines. Elle est plutôt une invitation à sortir du jeu des connivences d’intérêts ligués contre l’avenir des peuples d’Afrique et celui de leurs jeunesses.
A ce niveau, les silences, les amalgames, la confusion des genres et les manipulations médiatiques ou diplomatiques restent à l’évidence des signes d’accompagnement de la politique d’étouffement social que le régime Compaoré impose à tout un peuple. Grand ami africain de la France, Blaise Compaoré est depuis octobre 1987, l’épine dorsale de la Françafrique, après avoir décapité, le processus révolutionnaire du capitaine Thomas Sankara qui, on le sait, n’arrangeait pas les affaires du néocolonialisme franco-africain et de l’impérialisme.
Non content d’imposer la désespérance sociale aux Burkinabè, Blaise Compaoré est devenu aujourd’hui le cheval de Troie de la France dans la crise ivoirienne. Ancien putschiste armé contre la démocratie chez lui-même, il est missionné par Sarkozy pour défendre celle-ci en Côte d’Ivoire ; c’est-à-dire régler une crise d’élections formelles par les moyens de la guerre contre la volonté et la souveraineté de la nation, de l’Etat et des institutions ivoiriennes.


Une telle mission au contenu de classe les plus réactionnaires, si elle aboutissait, serait un précédent dangereux pour l’Afrique, en termes d’ingérences armées, occidentales, futures dans les affaires africaines. Les régressions politiques et sociales qui en résulteraient, conforteraient bien de convictions racistes qui, par clichés coloniaux et inepties culturelles occidentales, prétendent que « l’Afrique n’est pas encore rentrée dans l’Histoire. »

"La bonne blague pour justifier de nouvelles missions civilisatrices en Afrique !"
Bien sûr, ce jeu pervers auquel Blaise Compaoré se prête, vise deux objectifs politiques mesquins : faire diversion sur ses propres échecs à domicile et pérenniser dans le même mouvement, les intérêts de l’impérialisme français et occidental au Burkina-Faso, en Côte d’Ivoire et ailleurs dans la sous-région. Et il vaut mieux à ce niveau qu’il échoue. Sa réussite dans ce pari compromettrait gravement la paix et l’avenir commun de nos peuples.
Aussi, l’Afrique consciente des enjeux en cours à la responsabilité de rappeler à Blaise Compaoré qu’il ne peut continuer de se tromper de combat ; et c’est ce que lui dit la jeunesse burkinabè à Koudougou, à Ouahigouya, à Poa, à Ouagadougou malgré les balles assassines de sa police. Pour la énième fois, celle-ci tire sur la colère sociale à main nue, à un moment où il est plus qu’urgent pour le régime de se préoccuper de la question sociale en interne à domicile.



La jeunesse reste en droit de se dresser contre l’impunité, la corruption et l’affairisme clanique prédateur que son pouvoir a institués en système ; et qui le minent. Elle est en droit de rejeter le chômage et la précarité de masse qu’on lui propose comme plan d’avenir.


Aussi, l’intensification de la répression et la fermeture des école ou des universités, depuis le mardi 22 février, ne sauraient tenir lieu de réponses à cette jeunesse en quête de sens à sa vie, de réalisation de soi, de reconnaissance et d’émancipation par le travail, la culture… ; ni aux masses qui aspirent à l’accès aux soins de santé, à l’alimentation et à l’eau potable, à un système éducatif et scolaire désaliéné, à l’habitat décent et aux services publics de qualité, … ; en somme tout l’inverse de ce qu’elles vivent de nos jours.



Les fausses promesses faites, lors des mascarades électorales, n’y ont jamais rien changé. Dans la réalité, les travailleurs des villes et des campagnes rament à trouver des solutions aux problèmes de l’existence quotidienne : se nourrir, se loger, se soigner, se vêtir, se déplacer ou se cultiver tout simplement. A aucun de ces niveaux, le bilan du régime en place depuis 1987, n’est glorieux. Seules les couches dominantes qui accaparent les ressources par les moyens de l’Etat s’en sortent.
La corruption, les assassinats extrajudiciaires, le clientélisme prédateur ont achevé de miner les institutions et de cadenasser nombres de consciences individuelles. La jeunesse, confrontée à la précarité et au chômage de masse, n’a plus foi en l’avenir. Au quotidien, les travailleurs des villes et des campagnes sont tenus à la gorge par les exigences des plans d’ajustement structurels imposés par le FMI. Dans ce décor de ruine, le régime continue de laminer et d’intimider une opposition politique éparpillée, tenue en cage par lui, ou acculée à jouer, pour l’extérieur, les rôle de faire valoir à une façade démocratique décrépie.
Derrière cette façade délavée, le régime, même usé jusqu’à l’os, conserve encore l’abominable énergie qui lui reste : celle des répressions brutales contre les travailleurs, les scolaires et les étudiants ou les opposants politiques ; bref, contre le peuple Burkinabè qui, face à un pouvoir socialement malfaisant, n’a jamais désarmé dans ses luttes pour l’émancipation.


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  Pas de Burkinabè à la tete de la Cote d'Ivoire
Coolman ( 07/03/2011 16:30 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire

.....Tout le reste n'est que du blabla.

Grioo, pourquoi c'est la photo du satan Ouattara et son poulain, le petit illétré-guerrier Soro, que vous mettez ?
Il aurait été plus intelligent d'afficher une photo d'archive avec Gbagbo (oui, c'est ce nom que l'on doit mettre en premier parcequ'il est le véritable patron en Eburnie) et Ouattara.

Nous sommes sereins.
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  Preuve de l'implication directe de la france dans l'armement des rebelles
( 07/03/2011 18:12 )
À Solingen / Germany

Une énorme cargaison d'arme en provenance des forces francaises stationnées au Tchad et destinée aux rebelles ivoiriens interceptée au Cameroun.

http://camer.be/index1.php?art=13402&rub=6:1

L’encombrant colis était destiné au port ivoirien de San Pedro.

Trente containers en provenance du Tchad et suspectés de contenir des armes ont été saisis, le vendredi 4 mars 2011, à Garoua-Boulai, bourgade du département du Lom et Djerem, par la brigade de gendarmerie locale. Il s’agirait vraisemblablement de containers d’armes de l’Onuci à destination de la Côte d’Ivoire. Le chef de l’Etat a été saisi du dossier.

Selon des sources sécuritaires, proches de la légion de gendarmerie de l’Est à Bertoua, c’est le vendredi 4 mars 2011 que la brigade de gendarmerie de Garoua Boulai, a interpellé un convoi de 15 camions semi- remorques portant chacun deux containers. L’important convoi qui venait du Tchad, est arrivé au poste de contrôle frontalier de la gendarmerie nationale de Garoua-Boulaï la nuit tombante. Les gendarmes ont alors stoppé le convoi pour identification d’usage des conducteurs, et c’est là qu’ils ont découvert sur le pot aux roses. Un élément de la gendarmerie en poste à Garoua-Boulai, joint hier au téléphone par Le Messager, explique sous anonymat :

“ Après avoir identifié les chauffeurs, nos éléments ont demandé à connaître ce qu’ils transportaient dans les containers. Tous ont déclaré qu’il s’agissait des vêtements et du coton qu’ils sont en train de convoyer vers le port de Douala. Ce qui a attiré l’attention des gendarmes est le fait qu’il y avait sur chaque container la mention “ Onuci Bouaké Côte d’Ivoire ”. Il se trouve qu’un convoi des Nations unies ne peut pas venir d’un pays voisin, et traverser ainsi tout le pays sans que les autorités militaires et de sécurité du pays concerné n’aient été informées. C’est pour cette raison que nos éléments ont tenu à vérifier ce qui se trouvait effectivement dans ces containers. ”

Notre source indique alors que les chauffeurs se seraient d’abord opposé à la fouille des containers. Mais face à la détermination des gendarmes de Garoua-Boulaï, ils ont fini par obtempérer. C’est alors que, selon toujours notre source, les gendarmes auraient découvert dans deux des premiers containers contrôlés, des armes de guerre du genre Kalachnikov, Fusils d’assaut léger (Fal) et des grenades. Immédiatement, face à l’incapacité des chauffeurs des camions transportant ces colis de s’expliquer, les gendarmes ont donné l’alerte.

Informé, le commandant de la légion de gendarmerie de l’Est va ainsi envoyer sur place des renforts pour convoyer tous les camions sur Bertoua. Le convoi arrive dans la capitale régionale du Soleil Levant au petit matin de samedi 5 mars 2011. La première exploitation des chauffeurs permet aux gendarmes de la légion de l’Est, de savoir que le cortège se rendait à Douala, où il était attendu au port de la capitale économique, pour embarquement des containers à direction de la Côte d’Ivoire, et précisément du Port de San Pedro.

Pour en savoir plus, nous avons contacté le cabinet du secrétaire d’Etat à la Défense où une source officieuse a confirmé l’immobilisation de ce convoi de 15 camions à Bertoua par la gendarmerie. “ Pour l’instant, a-t-elle indiqué, il est difficile de dire avec le maximum de précision ce que contiennent ces containers. La haute hiérarchie a été informée de l’immobilisation des camions et des premiers éléments de l’enquête. Il s’agit d’un convoi des Nations unies. Nous ne pouvons pas l’ouvrir sans l’autorisation du chef de l’Etat ”.

A la représentation des Nations unies à Yaoundé, on n’a pas semblé au courant de cette expédition. Voici ce que nous a répondu une voie autorisée : “ Ce qu’il faut savoir, c’est que ce n’est pas nouveau que des convois des Nations unies partent du Tchad pour Douala, et vice versa. Le Pam, par exemple travaille beaucoup avec le Tchad. Mais pour ce qui est d’un convoi de containers des Nations unies interpellé à Bertoua, je ne suis pas au courant ”.




Pour sa part, joint au téléphone hier, l’ambassadeur de Côte d’Ivoire au Cameroun est formel : “ J’ai été mis au courant par un appel téléphonique d’un individu disant vivre à Bertoua qui m’a informé de cette situation. Je suis en train de vérifier auprès des autorités camerounaises. En tout cas pour ce qui nous concerne, l’ambassade n’a pas été saisie du passage d’un convoi des Nations unies venant du Tchad, à destination de la Côte d’Ivoire. ”

Au moment où nous mettions sous presse, dans la nuit de dimanche, les camions étaient toujours parqués à la légion de gendarmerie de l’Est, attendant sans doute que les forces de sécurité reçoivent de la présidence de la République des indications sur la conduite à tenir. Car, s’il était établi qu’il s’agit effectivement des containers d’armes, traversant le Cameroun pour aller sur un théâtre de guerre civile, dans un pays africain frère, le problème serait forcément diplomatique, et ne pourrait se traiter qu’au niveau du chef de l’Etat. Lequel voudrait bien, et devrait avoir la primeur des réponses aux questions de savoir si l’Onuci a opté définitivement pour une solution armée en Côte d’Ivoire, ou si des trafiquants d’armes ont usurpé le sigle des Nations unies pour tromper la vigilance de la douane et de la sécurité du territoire camerounais.

Une chose est sûre : pour confirmer ou infirmer que les 30 containers ne contiennent que des armes, et en savoir plus sur l’expéditeur de la cargaison, les éléments de la gendarmerie ne peuvent les ouvrir au-delà du contrôle de routine qui les a conduits à la découverte, sans instructions du chef de l’Etat, si nous en croyons un haut responsable du Sed. C’est donc une affaire à suivre.

© Le Messager : Jean Francois Channon
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  Les rebelles Pro-Ouatarra délogés de Toulepleu
zingh2006 ( 07/03/2011 21:45 )
À Paris / France

Les rebelles Pro-Ouatarra délogés de Toulepleu

http://cotedivoire-lavraie.over-blog.fr/article-les-rebelles-pro-ouatarra-deloges-de-toulepleu-68821899.html
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( 07/03/2011 22:37 )
À Paris / France

vidéo choc (âmes sensible s'abstenir) des exactions perpétrées par les rebelles hier

http://www.twitvid.com/BB4OA
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  @À Dortmund / Germany
KAK ( 07/03/2011 22:48 )
À / Togo

Mais c'est quioi ce type d'individus qui viennent sur ce site avec des liens à nous faire partager au ieu de réfléchir. C est pas un site de propagande ok? Dc arrêez avec vos liens n importe qui peut faire cela. Soyez pour gbagbo personne ne vous en veut mais qui donc cherchez vous à convaincre? Vous mêmes.. lol
Un de vous a dit dans un post qu'ils sont sereins, on ne dirait pas... Sinon, qu'est ce que c'est que cette manie de toujours avoir un discours de haine de l'etranger, de tribalisme et de neo nationlaisme à la con? parce que franchement c'est même^pas viable votre truc. Ayez des arguments convaincants..Au lieu de cela, c 'est toujouirs la VICTIMISATION... Oh le pauvre gbagbo qui massacre des pauvres femmes.. Mais il a soi disant une armée.. Et bien ce sera l occasion d ele prouver si réellement les rebelles sont sur la route d abidjan; je rigole déjà par avance..
S'il est serein votre gbagbo qu'il aille à ADDIS...lol lol....
Blague à part, vous en avez pas marre avec des insultes à la con? CElui est burkinabè, sa femme est blanche....je dis insultes parce que votre intelligence vous dicte que ces mots egalent insultes... Mai honnêtement, pkoi vous tenez vous à l'ecart (EN PLUS CHEZ CES BLANCS QUE VOUS MAUDISSEZ) pour combattre sur grioo. D'aucuns osent prendre l'exple de gens d afrique du nord. C est pathetique, eux au moins ils sont sur le terrain, pour se battre. Vous faites la bagarre sur le forum de grioo..En plus en y regardant de plus près ça doit pas voler très haut dans vos vies professionnelles. MAis sur grioo au moins tout le monde est invisible et dc joue aux pseudo intellectuel ...
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  @KAK
Kinyo ( 08/03/2011 11:39 )
À Paris / France

Mais en quoi cela vous gêne t-il de voir quelqu'un poster des liens sur ce site ?
Laissez-les gens poster des liens si ceux-ci s'avèrent intéressants et peuvent alimenter le débat.
Rien ne vous oblige à cliquer dessus.

Depuis quelques jours certains médias nous abreuvent de fausses informations concernant cette localité de CI.
Or il semble qu'elle ait été reprise aux rebelles ce lundi. Pourtant dans les autres médias aux ordres, il n'en est pas encore question. Pourquoi ?
Tout comme ils n'ont pas encore publié le fait que les hélicoptères du Belarus pour les FANCI n'étaient que pure mensonge de l'ONUCI, affabulation.
Des sites comme celiu de Libé ou le Monde ont occulté ce mensonge éhonté. Pourquoi ?
Pour continuer leur sale propagande contre le président Gbagbo.

Vous qui, du Togo, ne cessez de prendre fait et cause pour les rebelles Ouattara-Soro, ne cessez de parler de respect du vote et de démocratie à longueur d'intervention, alors que tout le monde sait ce qu'il se passe au Togo où un usurpateur a confisqué le pouvoir en prenant la succession de son père qui a régné durant 38 ans, comment pouvez-vous avoir cette mentalité , cette façon de penser ?
Je me demande même, si vous avez un cerveau pour réfléchir, tant je trouve vos interventions à la limite de l'absurde.
Tant mieux pour vous si vous vous complaisez dans cette situation politique au Togo où un tyran qui n'a jamais gagné une élection est au pouvoir.

Voyez-vous, nous sommes très nombreux de par le monde à avoir encore en mémoire ces images où un militaire togolais s'enfuit avec une urne qu'il vient de dérober dans un bureau de vote d'un quartier favorable à l'opposition.
C'est ce genre d'élections que nous ne supportons plus en Afrique. Les bourrages d'urnes, les fraudes massives, les votes forcés sous la menace, les PV plus que douteux.
En bref, tout ce qui accuse le camp Ouattara dans le CNO et que vous vivez depuis toujours sous le règne du clan Eyadéma, nous autres, ne le supportons plus. Alors libre à vous de prendre la défense de ce criminel assassin-terroriste-égorgeurs de femmes et- d'enfants, dont le seul objectif est de satisfaire les intérêts de son maître français, tout comme le seul objectif du despote-tyran Gnassingbé Eyadéma fut de se soumettre servilement à la France, qui en contre partie passait sous silence toutes ses exactions, meurtres, assassinats d'opposants et de journalistes, magouilles de toutes sortes, fraudes massives aux élections.
C'est à cause de dirigeants de la sorte que l'Afrique en est à ce point de non-développement.
Pour finir, vous constaterez que c'est avec des dirigeants tels que le votre, que la France de Sarkozy et les USA d'Obama veulent rétablir la démocratie en CI.
On croit rêver quand on lit le cv des despotes chargés d'accomplir la sale besogne :
Wade, Compaoré etc
Rien que du beau monde, pouvant faire l'objet d'une inculpation au CPi pour l'ensemble de leur oeuvre.
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  Faut pas toujours repondre aux imbéciles !
( 08/03/2011 12:49 )
À Bocholt / Germany

L'information est vérifiée et fait la une de l'actualité au Cameroun.

Les armes saisies sont bien des armes de l'armée francaise destinées aux rebelles ivoiriens.

Comme quoi l'histoire se répête. Le colon arme et les autres s'extipent les estomacs. Pauvre Afrique !

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  @Kinyo
KAK ( 08/03/2011 17:47 )
À / Togo

je parie que vous jetez aujoud hui la ^pierre à Obama parce qu il ne clame pas haut et fort que gbagbo a gagné n'est ce pas? Soit.
Ce que je pense de la situation actuelle du Togo, croyez moi, ne diffère aps bcp de ce que je pense qu'il se passe en ci. L'une comme l'autre offre l'afrique en spectacle aux yeux du monde. Ou avez vous donc vu, un presient de conseil constitutionnel affirmer qu'il ya eu irregularités das un coin du pays pdt une election PRESIDENTIELLE, et neanmoins declarer un des candidats gagnants, au lieu d annuler le vote soit à l echelle nationale ou dans les regions concernées, il semble que la constitution dont vous devez être defenseur si je me risque à croire que vous êtes objectif, le ^prévoit non? Alors pkoi l ami de gbagbo ,'a t il pas appliqué ce que dit la constitution. C'est facile alors en prenant parti de dire que l autre est machiavelique..
Et laissez moi vous dire que si vous avez la naïveté (au minimum) de penser qu'en temps de "guerre" c'est du propre et bien bon courage.. Cahque camp est libre de raconter ce qu il veut, et contrairement à vous je ne mets pas en tête que gbagbo et ses FDS sont des anges et ouattara et les rebelles qui sont pour lui sont des malades mentaux. Que n a t on lu sur ce site.. QUe ouattara finançait depuis la nuit des temps les rebelles.....Quelqu'un a t il prouvé cela... Il est burkinabè donc ça suffit pour qu il soit paria.. Ecoutez, je ne sais pas si vous êtes Ivoirien mais ce qui se passe est affliigeant pour les populations qui sont sur place et notre image.......Enfin bref, comme dit quelqu'un qu'ils la fassent leur guerre civile..Comme ça au moins le calme règnera après. Je pense que là c'est une solution viable parce que pour l heure il n y a que du bla bla.. L'UA, CEDEAO , aucune n'a réussi à prendre ses responsabilités..
Je ne prends pas ait et cause our les rebelles, mais ami, en temps de guerre, chacun choisitson camp. Ne l'avez vous pas fait vous même?
Cela dit, j'apprécie vos analyses qui ont le mérite d'être claires et pertinentes. Pas comme certains frustrés qui passent leur temps à insulter à longueur de temps des coins reclus où ils vivent.
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