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  Environ 50 milliards de dollars quittent illicitement l'Afrique chaque année
Mbeki estime que le phénomène "ronge" l'économie africaine
 
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Environ 50 milliards de dollars quittent illicitement l'Afrique chaque année

Nombre de messages
:  10
Pages:  1  

 
Quimboiseur ( 18/10/2012 10:10 )
À Draveil / France

Il faudrait savoir qui récupère illicitement 50 milliards chaque année et aller lui tordre le bras !
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( 18/10/2012 17:37 )
À Lennoxville / Canada

Voilà le seul problème de l'Afrique et seuls les Africains en sont responsables.

Ni la colonisation ni la néo-colonisation ne sont entièrement responsables du mal Africain, car ce ne sont que des conséquences plus ou moins lointaines et secondaires de la situation actuelle.

En revanche, la fuite des capitaux et des cerveaux, sont quant à eux, les vraies sources de l’hémorragie terrible dont souffre ce continent riche, tant sur le plan culturel que matériel.

Mr Le Président Thabo a su trouver le diagnostic juste aux maux dont souffres la majorité des Etats africains, à présent il sera question de trouver le remède adéquat.

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( 18/10/2012 19:53 )
À Saint-avertin / France



Lomé, Suisse de l’Afrique
Forte probabilité de l’existence de la fortune de Guéi au Togo

Il n’est un secret pour personne. La politique a ses secrets et dans ce domaine, il s’agit, certes, parfois des affirmations qui peuvent ne pas être vraies et qui ne reposeraient sur aucune preuve, mais qui peuvent orienter vers une piste de réflexions.

De sources historiques, il a été admis du moins dans la conscience collective qu’à un certain moment dans l’histoire du Togo, notre pays a recelé des biens des dictatures étrangères de tout acabit et avec leurs bagages, ce depuis le temps de la guerre de Biafra, jusqu’à la guerre en Côte d’Ivoire.

On se rappelle que pour avoir écrit sur « Les malles de bijou de la veuve de Mobutu », un confrère a connu la prison. Par la suite, l’organe de presse dont nous étions Directeur de Rédaction en ce temps, « Le Nouveau Combattant » qui titrait « … Diamantaire », avait été saisi et nous-mêmes contraints à choisir entre l’exil ou la compromission à travers des accusations voilées sur des délits qui n’ont rien à avoir avec la presse, mais auxquels notre nom avait été associé. Ce qui démontre que le pouvoir de Lomé, pour des raisons politiques, était capable du pire.

En réalité, l’information que nous diffusions dans ce journal avait été, à maintes reprises, fatales au régime en place. Nous avions un soutien de taille, feu Me Siméon Occansey qui publiait dans nos colonnes des correspondances titrées « la lettre aux patriotes ». Et pour décrédibiliser le bouillonnant avocat, le pouvoir lui attribua, pour le besoin de la cause, l’assassinat de l’ambassadeur du Gabon au Togo. Un crime dont l’auteur sera reconnu plus tard comme étant un vulgaire voleur qui aurait été repéré dans les geôles au Ghana.

Mais quel tort n’a-t-il pas été fait à notre journal. Ce qui démontre une fois encore la véracité de nos écrits. Si ces informations ont été rejetées par le pouvoir de Lomé, ce n’est pas pour autant que ces informations sont fausses car, quelques temps après la mort de feu Mobutu Sessé Séko, son Conseiller Spécial a écrit à ce propos en évoquant les lignes sur lesquelles le pouvoir de Lomé a trahi ses frères dans le livre « Pour qui sonne le glas ? ». Sans vouloir ressusciter les vieux démons, il importe de revisiter l’histoire afin de rebâtir l’avenir.

Le deuxième aspect est relatif au fils de Savimbi qui aurait été gardé à Lomé et pour qui le pouvoir de Lomé, malgré l’embargo sur les armes imposé à l’UNITA, avait fortement soutenu en échange de diamants de guerre Jonas Savimbi qui, semble-t-il, à chaque descente, porterait une bourse de cette pierre précieuse à son frère et ami. Sur ce dossier, Alioune Blondin Béye, le Représentant spécial du Secrétaire Général des Nations-Unies en Angola en mission au Togo n’est plus revenu sur ses pas, l’avion qui le prenait n’est jamais arrivé à destination ; il a explosé dans l’océan. Une mort suspecte dit-on.

Les rapports des Nations-Unies en 2001 sur la violation de l’embargo sur l’armement a bel et bien établi la responsabilité du Togo dans ce commerce macabre. Dans la même ligne, Lomé a toujours été la plaque tournante sur laquelle transitent d’innombrables opérations lugubres en violation des lois internationales et ceci, en échange d’intérêts. Le cas de la Libye sous embargo nous en dit long.

On se rappelle en ce moment, malgré l’embargo américain imposé à Kadhafi, un gros porteur libyen atterri sur l’aéroport de Lomé pour le chargement. Les secousses de cet aéronef avait heurté les bais vitrés de l’aéroport. La publication d’un autre confrère sur cette affaire est un témoignage. Samuel Doe aurait également, dans sa fuite devant la rébellion de Charles Taylor, laissé un certain présent dans ce pays hôte. Il ne reviendrait plus lorsque le maître des lieux lui en avait rassuré que l’homme ne fuit pas le pouvoir. Mais la suite sera fatale à Taylor.

Par la suite, Charles Taylor, lui-même, dans ses multiples escales pour fuir mes assauts des rebelles n’est pas passé inaperçu au Togo.

Les évolutions cycliques de la crise politique en Afrique ont successivement fait du Togo, dans un sens ou dans l’autre, une terre de prédilection de réseaux mafieux où les conflits d’intérêts n’ont jamais cessé d’opposer en interne ou en externe les voisins. Les rivalités entre Blaise Compaoré et le pouvoir de Lomé durant le conflit de la Côte d’Ivoire témoignent d’un conflit d’intérêts.

En effet, lorsque le tonitruent Gbagbo est venu au pouvoir, hostile à la vieille méthode, opposant historique de Ndja Kouagni alias Félix Houphouët-Boigny, il a été confronté aux réalités du pouvoir et contraint à la concession de 70% du territoire.

L’interventionnisme de Gnassingbé Eyadéma, lui le filleul de Félix Houphouët-Boigny semble-t-il, au récent développement de l’actualité tenu secret, ayant été motivé, parce que le régime de Gbagbo aurait fait entendre, à un certain moment, qu’il avait laissé pour le besoin de la cause, une certaine disponibilité en nature dont on ignore l’importance. Dans cette situation ténébreuse, à qui doit-on donner raison et comment pourra-t-on distinguer le vrai de l’ivraie ?

Ce qui est sûr, entre Gbagbo et Lomé II, il y avait une inimitié engendrée par les injures et les offenses auxquelles Houphouët-Boigny dont Eyadema se réclamait fils spirituel avait été l’objet de la part de ce dernier. Et comme tel, les intérêts régionaux ont-ils effectivement prévalu sur les intérêts personnels dans le règlement du conflit ivoirien ? Les enquêteurs de l’ONU n’ont pas manqué d’établir que, paradoxalement à cette tentative de règlement pacifique de la crise, sur ce petit rectangle togolais se jouait simultanément le réarmement des belligérants.

L’histoire retiendra le nom d’un certain gendarme français Motoya Robert qui a séjourné au Togo au cours de ses opérations mercenariales dans la sous-région. Le souvenir des transactions lugubres de ce gendarme impliqué dans le trafic de bombes dans un document intitulé « Le Gendarme vendeur de bombe », démontre la duplicité du pouvoir de Lomé et la promiscuité entre le bien et le mal. Il est responsable de la compagnie Darkwood Logistique qui représente en Afrique Occidentale la société biélorusse BVST, une ambigüité sans équivoque lorsque ce même gendarme français a aidé au bombardement des soldats français stationnés en Côte d’Ivoire.

En effet, sans le passage retardataire des protagonistes à Lomé, la rébellion aurait marché sur Abidjan en un clin d’œil. C’est un amortissement de choc qui a permis à Gbagbo de se rééquiper afin de se lancer dans une opération dite de dignité. On a vu de colossales sommes d’argent injectée dans cette réconciliation, sous l’aval de Lomé II sans pour autant savoir d’où venait cet argent. Mais semblerait-il qu’à un certain moment, le pouvoir d’Abidjan n’a pas manqué de faire un état des lieux.

Mais bien avant cette date, le timide Robert Guéi n’a pas manqué de faire des escales répétés au Togo. Avant de connaitre une mort brutale l’empêchant de situer les siens sur ses potentiels avoirs à travers le monde comme tous les chefs d’Etat en ont l’habitude.

Les allégations selon lesquelles une présumée fortune de ce dernier serait visée, en vrai ou en faux, par un certain Abass Youssef qui, quelque mois après une plainte formulée contre ses partenaires au motif de ne pas avoir été satisfait dans sa démarche sans pour autant au préalable vérifier l’authenticité de l’information, vient d’ouvrir une réflexion sur la question surtout que les personnes citées ne sont pas loin du sérail du pouvoir et que ce n’est évidemment après que le pot aux roses cassé que l’un des héritiers légitimes de Guéi aurait été informé de la machination contre le patrimoine supposé appartenir à son père, et compte tenu de certaines réalités susmentionnées, et des interrogations maintes fois répétées de l’opinion publique à propos d’une présumée fortune de Guéi au Togo, on vient sans doute d’ouvrir la boite de pandore sur la question.

Mais les derniers développements de l’actualité lèvent le voile sur les probabilités, selon lesquelles les richesses de Guéi font l’objet de convoitise. D’ailleurs, des indiscrétions parvenues à L’Oeil d’Afrique et émanant de l’entourage de feu Guéi, révèlent que sa famille a été invitée à démentir que le général défunt dispose de biens au Togo.

De toutes les façons, le problème est posé et les contours sont bien imprécis. Quels en seraient les tenants et les aboutissants ? Il faut donc s’attendre à ce que dans les jours à venir, Abass El Youssef soit cité à comparaître devant le parquet de la Côte d’Ivoire, suite à la plainte des ayants droits de Guéi.

Un rebondissement qui vient donner à l’affaire une tournure qui réserve des surprises. Après la mort du Général Robert Guéi, sa mémoire aura connu des fortunes diverses.

Par ailleurs la duplicité des Chefs d’Etats africains dans la gestion des richesses de leurs pays prête à confusion et laisse libre cours à des suppositions diverses lorsqu’on est face à des cas atypiques. Sinon comment est-il possible que le Togo contribue à violer l’embargo des Nations-Unies sur les armes imposées à la Cote d’Ivoire au temps de la guerre fratricide ?

Tant d’indices qui révèlent des non-dits sur les relations parfois ambigües entre les Chefs d’Etats. Ce qui est sûr, il y a toujours en politique, quelque chose qui se passe et on ne peut jamais tout savoir en matière de relations politiques. Le Togo, se clamant Suisse d’Afrique, aura-t-il à ce titre été l’une des banques les plus prisées ?

B. A
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  Informatiser toute transaction d'argent
Adama ( 19/10/2012 03:40 )
À / United Kingdom

Beaucoup de multinationales etrangeres instalees en Afrique evitent de payer des impots et rapatrient de l'argent dans leur pays d'origine privant ainsi l'Afrique d'une fortune. Le remede serait d'informatiser toute les transactions et toute les formes de payment d'impots afin de surveiller minutieusement tout mouvement d'Argent. Si rien n'est informatise il est tres difficileI de d'enregistrer toute les transactions. Il est temp d'agir et vite.
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  @ À Lennoxville / Canada
( 19/10/2012 11:21 )
À Wavre / Belgium

Vous avez dit "fuite de cerveau ?"

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( 19/10/2012 17:00 )

Oui j'ai bien dit fuite des cerveaux et j'espère que vous me comprenez dans le fond car là se trouve l'enjeu profond de la situation actuelle.

Il ne suffit pas d'accuser X ou Y mais de saisir l'enjeu profond du maintien des cerveaux du continent et d'en faire usage à bon escient.
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  ihtruders
( 19/10/2012 18:21 )
À Saint-avertin / France

http://www.icilome.com/nouvelles/news.asp?id=1&idnews=21611
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( 20/10/2012 00:34 )
À Saint-avertin / France

http://www.icilome.com/nouvelles/news.asp?id=91&idnews=21307
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( 21/10/2012 16:13 )
À Cergy / France

ils ouvrent toujours leur grande gueule ke kan ils ne sont plus au pouvoir!!!
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  Alpha Diallo
( 21/10/2012 23:05 )
À Montreal / Canada


Non Mr de Cergy, celui-là, ouvrait déjà sa gueule avant d'être au pouvoir, pendant qu'il était au pouvoir, et après être parti
Ce Mr à des défaut comme tout être humain mais il est au moins cohérent et sincère dans ce qu'il fait et pense.

Il est le seul homme d'État d'Afrique noir n'ayant jamais eu d'enfants et ayant plaidé toute sa vie pour son continent, depuis la fin de ses études. C'est une vie entière au service de la cause Africaine et de son pays et pour cela je suis fier de lui.

NMerci à vous Mr de Cergy.
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