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Faure Gnassingbé a prêté serment ce lundi |
Nombre de messages:
8
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bravo ! |
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04/05/2010 14:18 )
À La Plaine / France
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1er coup d'état sur le sol Africain était l'oeuvre de son père . Franchement le leadership Africain est très très malade et sans moralité .Kouchener était à la ceremonie j'espere ?. |
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Honteux et Immoral ces singeries |
Bisou (
04/05/2010 18:15 )
À / Canada
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Ces dictateurs..doivent etre lapidé.. Dis-moi ca n'existe pas l'Exile en Afrik.. Haiti met en Exile tous ces presidents fuckes.. comment ca se fait.. que des cons comme celui-ci sur la photo sont toujours au Pouvoir.. !!
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04/05/2010 20:22 )
À Cergy / France
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Longue vie au fils de pute de maçon, les togolais liberez-vous! |
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04/05/2010 23:27 )
À / France
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[5/4/2010] Présidentielle Mars 2010 : du rififi à la CENI
Le président de la CENI, Taffa Tabiou, n’est visiblement pas content des opinions et actes contraires posés par les membres UFC qui se sont désolidarisés du rapport général et d’autres décisions prises. En réprésailles, le président Taffa Tabiou leur coupe les traitements et fait saisir leurs voitures mises à leur disposition par le PNUD. Attitudes délirantes mais tout à fait possibles au Togo: se désolidariser d'un groupe est un délit. Lire plutôt la lettre de dénonciation des délégués UFC à la CENI.
Jean-Claude Delava CODJO
Essem AMELEWONOU
Membres de la CENI
Lomé, le 23 Avril 2010
A
Monsieur le Président
et à Madame et Messieurs les Membres de la CENI
Lomé
Réf. : Notre lettre en date du 12 Avril 2010
Votre lettre n°820/2010P/CENI du 14/04/10
Monsieur le Président,
Madame et Messieurs les Membres de la CENI,
Par lettre n°820/2010P/CENI du 14/04/10, vous avez accusé réception de notre lettre citée en référence et fait état de divers propos que, bien entendu, nous ne partageons pas mais auxquels nous nous sommes abstenus de répondre pour éviter toute escalade de polémiques inutiles.
Mais aujourd’hui, vous venez de mettre à exécution, et de la manière la plus grossière, les menaces de représailles que les collègues qui soutiennent et défendent le RPT à la CENI, n’ont jamais cessé de brandir pour nous intimider.
Déjà en Septembre 2009, lorsque nous avions suspendu notre participation pour protester contre la prétendue élection du président de la CENI, vous avez décidé, en guise de représailles, d’amputer de moitié, nos indemnités et allocations.
Après notre reprise et au cours de la visite de courtoisie que la CENI a faite au Chef de l’Etat, le Ministre d’Etat BODJONA ne s’est pas gêné d’évoquer cette question devant le Président de la République dont il sollicitait l’accord pour faire rétablir nos allocations, donnant ainsi l’impression que l’ordre de couper ces allocations venait du Chef de l’Etat lui-même.
De même lorsque, en février 2010, nous avons suspendu notre participation aux travaux de la CENI pour protester, notamment, contre la conduite déplorable des affaires de la CENI et le refus de notre institution de donner une suite crédible aux questions d’authentification et de traçabilité des bulletins de vote, vous avez menacé de confisquer le matériel de travail y compris le bureau mis à notre disposition et de partager entre vous, la part de nos allocations correspondant à la période de suspension.
Aujourd’hui, parce que nous avons refusé, malgré les chantages, de valider le rapport général de la CENI, qui rapporte précisément des résultats que nous récusons pour vice de procédure et manque de transparence, le président de la CENI envoie un détachement de la police enlever de force, avec un camion remorque, le véhicule de fonction mis à la disposition de M. CODJO par les Nations Unies et ce, après que vous ayez déjà retenu le véhicule mis à la disposition de M. AMELEWONOU.
Il est à noter que pour exécuter vos ordres abusifs, le détachement de la police envoyé au domicile de M CODJO, n’avait d’autre document qu’une copie de votre lettre précitée, dans laquelle vous n’avez pas manqué de réitérer les chantages et menaces habituels.
Nous dégageons jusqu’à nouvel ordre, toute responsabilité en ce qui concerne désormais, le sort des deux véhicules immatriculés RT AE 8114 et RT AE 8115.
Nous dénonçons cette volonté permanente de discrimination, de chantage et de représailles à l’encontre des membres de la CENI ne partageant pas les mêmes points de vue que le président et les autres membres de la CENI, notamment ceux qui soutiennent et défendent le RPT.
Il est pour le moins indécent, que pour des opinions émises, des points de vue exprimés ou des actes posés dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de leur fonction, des membres de la CENI soient constamment l’objet de menaces, de harcèlements, d’intimidations, de chantage et de représailles y compris policières, par leurs pairs, en l’occurrence, par le président et les autres membres de la même CENI.
Détrompez-vous, chers collègues, nous n’avons jamais démissionné de la CENI, même si le président et les autres membres qui soutiennent le RPT le souhaitent vivement pour pouvoir opérer à leur guise et échapper à toute observation critique.
Notre institution ayant été mise en place pour un mandat d’au moins une année, nous entendons prendre pleinement part à toutes les activités inter-scrutin de la CENI, étant entendu qu’à la différence de certains, notre présence dans cette institution n’a nullement pour objet de préserver des pécules, mais de faire ou de contribuer à faire un travail constructif, transparent et crédible. Nous refusons à cet égard, de céder au chantage et à l’intimidation.
Avant de clore cette longue réaction à laquelle vous nous avez contraints, nous voudrions levez une bonne fois pour toute, l’équivoque que vous entretenez d’une manière délibérément pernicieuse, sur les raisons de notre retrait de la séance de compilation des résultats, le 06 Mars 2010, sur le site de la Foire Togo-2000.
En effet, vous savez très bien que conformément aux procédures que nous avons adoptées, la CENI était sensée vérifier et valider les résultats du scrutin bureau de vote par bureau de vote et CELI par CELI, que ces résultats aient été transmis par voies électroniques comme stipulé dans la note N° 091/2010/P/CENI du 04 Mars 2010 ou qu’ils aient été convoyés physiquement au siège de la CENI par les présidents et membres des bureaux des CELI, comme convenu à la ‘’séance plénière spéciale’’ du 05 Mars 2010, à la suite de la ‘’panne’’ du système de transmission par VSAT.
Contrairement à vos allégations, nous avons clairement motivé notre retrait de la séance du 06 Mars 2010 par le non respect de ces procédures. Mais auparavant, nous avions, à juste titre, dénoncé la diffusion en direct sur les médias (et à l’insu des membres des CELI et de plusieurs d’entre nous membres de la CENI), de résultats non authentifiés, non vérifiés et non validés par l’Assemblée plénière de la CENI.
Veuillez agréer, Monsieur le Président, Madame et Messieurs les membres de la CENI et chers collègues, les assurances de notre considération distinguée.
Jean-Claude Delava CODJO Essem AMELEWONOU
CC :
Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs,
Membres du Comité de Pilotage du Projet PAPE
(www.mo5-togo.com)
Visitez www.mo5-togo.com
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Le prefet. (
05/05/2010 00:55 )
À Villeneuve / France
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honte , honte, honte à l'Afrique !!! |
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QUI A VOTE POUR FAURE GNASSINGBE LE SANGUINAIRE DE PYA /lisez bien cet article |
Kpatcha (
05/05/2010 01:20 )
À Brussels / Belgium
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Investiture de Faure Gnassingbé le 3 Mai 2010 : Le virtuel et la réalité
Mardi, 04 Mai 2010 16:58
Triste journée pour nous que celle d'aujourd'hui, le 3 mai 2010, où FAURE se fait ré-introniser PR avec un résultat exceptionnel de 60% au 1er Tour, renouvelant l'exploit de 2005, alors que son homologue Ali Bongo s’était contenté de recueillir, modestement, 43% au Gabon.
J'attire votre attention particulière que ce taux de 60% semble un nombre fétiche pour FAURE qui est né le 6.6.66. Cela expliquerait pourquoi l’on retrouve ce score de 60% à chacune de ses élections ! Cela nous rappelle son père, Eyadema, qui tenait beaucoup au chiffre"13" à figurer dans ses heures de RDVS,...
Il faut aussi que vous sachiez qu'à ma connaissance, aucun Président élu d'un pays démocratique occidental n'a jamais pu enregistrer ce taux mirifique de 60%, face à 7 autres candidats chevronnés !
Même le NON au référendum français du 27 avril 1958, proposant au Peuple Togolais de demeurer dans l’Union franco-africaine, n’avait pas atteint ce chiffre de 60%, alors qu’il s’agissait de l’Indépendance du pays et qu’il n’y avait que 2 choix à faire (entre le OUI ou le NON) contre 8 choix le 4 Mars 2010 (entre 8 candidats) !
Et cette performance électorale exceptionnelle de FAURE, candidat de l’ancien parti unique RPT, se révèle d'autant plus remarquable que la misère économique et sociale n'a fait que s'accentuer depuis 30 ans, sous le gouvernement RPT, tant parmi les 75% de la population qui vivent en dessous du seuil de pauvreté, que parmi les 20% de la classe moyenne ne profitant pas des redistributions claniques ou des mannes du régime. Comment donc réfléchissent tous ces 60% d’électeurs qui ont voté pour FAURE ? C’est la raison pour laquelle mon Feu ami Joachim Atutsé AGBOBLI et moi avions convenu qu’il ne faudrait plus adopter le régime présidentiel où la plupart des votants ne comprennent rien à la POLITIQUE qui signifie « la chose publique », et qu’il valait mieux prôner le modèle parlementaire où le pouvoir est exercé par le premier Ministre ou un Chancelier élu par les Députés, laissant au Président de la République la fonction d’arbitre des Institutions avec son arme de dissolution en cas de difficulté majeure du Chancelier à gouverner et notamment à bien gérer les Finances Publiques. Et nous y ajoutions le Sénat pour y recueillir des représentants à parts égales des élus locaux, des chefs traditionnels et des organisations professionnelles. De la sorte, l’enjeu de tout faire pour occuper la fonction de PR deviendrait moins attrayant, et le pays connaîtrait la véritable PAIX, fondée sur la confiance du Peuple dans la bonne gouvernance de ses dirigeants dont les pouvoirs seraient alors limités.
Comme nous n’en sommes pas là encore au Togo, je me rappelle de mon vœu social émis en 1991 à la suite de la Conférence Nationale Souveraine : celui de revoir un jour, avant de mourir, le Peuple Togolais heureux comme en 1960 quand j'avais 16 ans. Ce Peuple d'alors avait un sourire accueillant et naturel sur ses lèvres, avec des yeux pleins d'espérance. A présent, 50 ans après l’Indépendance et 20 ans après avoir émis ce vœu humaniste, je constate qu'il n’est toujours pas exaucé : Ô rage, Ô désespoir...
Seigneur, ayez donc pitié de ce Peuple qui a tant et tant souffert depuis trente ans, et qui va encore subir ce même régime politique parce qu’il est reconnu par la coalition internationale des gouvernements africains puis européens qui ont entériné les résultats annoncés par la CENI et proclamés par la Cour Constitutionnelle ! Ô miserere nobis.
Cependant, il faut que le Président de la République investi par la Cour Constitutionnelle, sache quand même que ce sacre officiel ne permettra pas de restaurer la confiance des investisseurs étrangers soucieux de bonne gouvernance publique ni celle de la Diaspora togolaise. Ils ne viendront pas investir au Togo ni y créer les centaines de milliers d'emplois dont a besoin la jeunesse togolaise désœuvrée à travers le pays et qui n’a donc pas les moyens de vivre pour pouvoir se donner un sens à son existence.
Or, notre jeunesse grossit en nombre tous les jours. Elle attend de trouver du travail, les bras croisés, car le débouché des "Zémidjans", qui était un pis-aller jusqu'ici, est à saturation à présent. Elle sera donc confrontée à un chômage croissant dans les années à venir si elle demeure au pays. Et compte tenu de ses besoins de vivre dans notre monde moderne, elle sera aux abois.
Aussi faudra-t-il s'attendre à des tensions sociales dans les années à venir. Elles émergeront un beau matin, sans prévenir personne, comme pour le 5 octobre 1990, en surprenant tout le monde et en s'étalant comme une traînée de poudre à travers toutes les villes du pays où la jeunesse est désespérée par manque de travail et de perspectives pour son avenir. Cela surprendra le pouvoir en place, qui ne s’y attendra pas, parce que ces tensions ne seront pas téléguidées par l'Opposition qui est bien surveillée et espionnée par le pouvoir.
Ces tensions surprendront donc le pouvoir parce qu'elles n'auront rien de politique au départ, résultant tout simplement du besoin de survie de la jeunesse désœuvrée et riche de 500.000 à 700.000 personnes à travers le pays selon les âges.
Et c'est alors que la donne politique changera.
Car le pouvoir en place sera tellement surpris qu'il ne saura que faire, d'autant plus qu'il ne s'est jamais préoccupé jusqu’ici du bien-être général de la population togolaise dans son ensemble ni de sa jeunesse en particulier, en dehors du clientélisme politique de la JRPT, devenue beaucoup moins nombreuse depuis 1990 que les yeux de la population se sont ouverts sur la Politique grâce à la liberté de la Presse privée.
Le risque majeur sera alors que le pouvoir révèle sa nature en se comportant de façon brutale, au cas où il ferait appel aux 6.000 forces de sécurité (financées et bien équipées par l'Union Européenne pour les élections 2010) pour réprimer par la force ce bouillonnement populaire et spontané de la très nombreuse jeunesse désœuvrée. Et la mauvaise résolution politique de ce problème purement social risquera fort d’aggraver le malaise social de la jeunesse désœuvrée, ce qui deviendra alors un malaise général. C’est alors que l’Opposition, réunie au sein du FRAC, serait amenée à réclamer la démission du gouvernement tout en réclamant, à juste titre, de nouvelles élections générales en vue d’élire les nouveaux gouvernants qui sauront mieux répondre aux nouvelles aspirations populaires. C’est cela le jeu démocratique ! ET alors, ce sera conforme aux promesses de FAURE d’organisera des élections aussi transparentes et crédibles qu’au Ghana voisin !
Car, il faut bien en prendre conscience, les fusils des forces de répression ne pourront plus imposer l'ordre si toute la jeunesse togolaise rejette la gouvernance de ses dirigeants qui n’auront pas assuré leur bien-être en leur procurant du travail. C'est là une loi de la Nature de toute élection démocratique, et quiconque n’en respecte pas la logique en subit la rigueur.
C'est pourquoi j'ai déclaré à plusieurs reprises dans mes interviews publiques (à la risée de nombre de mes amis de l’Opposition), que si FAURE veut réussir son 2nd mandat et laver son péché originel de 2005 et des reproches du FRAC, il devrait se rapprocher de FABRE/FRAC pour créer un gouvernement de « RECONCILIATION POUR LA RECONSTRUCTION NATIONALE » ou (RPRN) entre le FRAC et le RPT, où les ministères seront équitablement partagés 50/50, sur la base d'une feuille de route de 5 ans, dont les caractéristiques seraient les suivantes :
- fixer les objectifs économiques, sociaux et culturels à atteindre au cours de ces 5 ans (notamment l'éradication de la corruption à la Douane, Justice, Impôts, Attribution des marchés publics et Dépense publique, ainsi que la sécurisation de la population sur tout le territoire pour faire du Togo la première destination touristique de la Côte ouest africaine, la gratuité des soins de santé dans tous les Dispensaires publics à créer dans chaque quartier urbain et canton, la gratuité de l'enseignement public à tous les degrés, …etc…)
- la mise en place dans les 3 mois d'une nouvelle Constitution à régime parlementaire et non plus présidentiel, avec un Chancelier comme Chef de gouvernement (comme en Allemagne), dans une structure bicamérale [avec 100 Députés représentant env. 60.000 habitants chacun, et 100 Sénateurs composés de 30 élus des chefs traditionnels, de 30 élus des préfectures et de 40 élus des organisations professionnelles], ...etc...
- et d'autres priorités à définir au cours des négociations FAURE+RPT/FABRE+FRAC.
Cela permettrait de sortir ce pays du cercle vicieux dans lequel il dépérit depuis 30 ans que la mauvaise gestion des affaires de l'Etat l’a plongé dans un endettement infernal, creusé à partir de 1975, par la fameuse politique d’Eyadema/Assor, dite des "Grands Travaux". De la sorte, FAURE n’aura plus le remords d’être le candidat du RPT comme les rumeurs avaient circulé dans tout Lomé en 2009, avant son investiture comme candidat du RPT. Non, je n’ai pas la langue de bois …
En ce jour d’investiture de FAURE GNASSINGBE, à tous mes compatriotes républicains du FRAC, je formule ce nouveau vœu :
« Qu’un jour le Peuple Togolais puisse bénir son gouvernement ! ».
Ce sera alors le signe de son bonheur, ce bonheur qu’il avait espéré le 27 avril 1960 …
NMK
Nadim Michel KALIFE (obligé de rester à Paris à cause des risques pesant sur ma vie à Lomé)
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jeune togolais - merci Nadim Kalife |2010-05-04 18:39:33
Merci
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Afrique NOIR et se délires |
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05/05/2010 17:24 )
À / France
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21 TORANAGASSA | 5/5/2010 6:08:33 AM
PALMARES DES COUPS D'ETAT
1963 : Togo : Eyadema Etienne renverse Sylvanus Olympio
1965 : Algérie, Boumédiène renverse Ben Bella
1965 : Zaïre, Mobutu renverse Kasa-Vubu
1966 : Burkina Faso, Lamizana renverse Yaméogo
1966 : Burundi, Micombero renverse Ntare V
1966 : Centrafrique, Bokassa renverse Dacko
1966 : Nigeria, Aguiyi-Ironsi renverse Azikiwe
1966 : Ouganda, Obote renverse Mutesa
1967 : Togo, Eyadema Etienne renverse Grunitzky
1968 : Mali, Traoré renverse Keïta
1969 : Libye, Kadhafi renverse Idris Ier
1969 : Soudan, Nimeiry renverse al-Azhari
1971 : Ouganda, Amin Dada renverse Obote
1973 : Rwanda, Habyarimana renverse Kayibanda
1974 : Éthiopie, Andom renverse Hailé Sélassié Ier
1974 : Éthiopie, Haile Mariam renverse Aman Andom
1974 : Niger, Seyni Kountché renverse Hamani Diori
1975 : Comores, Jaffar renverse Abdallah
1975 : Nigeria, Gowon renverse Aguiyi-Ironsi
1975 : Tchad, Odingar renverse Tombalbaye
1976 : Burundi, Bagaza renverse Micombero
1976 : Comores, Soilih renverse Jaffar
1977 : Congo, Yhombi-Opango renverse Ngouabi
1977 : Éthiopie, Haile Mariam renverse Benti
1978 : Comores, Atthoumani renverse Soilih
1978 : Mauritanie, Ould Salek renverse Ould Daddah
1979 : Centrafrique, Dacko renverse Bokassa Ier
1979 : Guinée équatoriale, Obiang Nguema renverse Nguema
1979 : Tchad, Goukouni Oueddei renverse Malloum
1979 : Ouganda, Lule renverse Amin Dada
1980 : Burkina Faso, Zerbo renverse Lamizana
1980 : Guinée-Bissau, Bernardo Vieira renverse Almeida Cabral
1980 : Au Libéria, Samuel Doe renverse Tolbert
1981 : Centrafrique, Kolingba renverse Dacko
1982 : Burkina Faso, Ouédraogo renverse Zerbo
1982 : Tchad, Habré renverse Goukouni Oueddei
1983 : Burkina Faso, Thomas Sankara renverse Ouédraogo
1983 : Nigeria, Buhari renverse Shehu Shagari
1984 : Guinée, Lansana Conté renverse Lansana Beavogui
1984 : Mauritanie, Ould Taya renverse Khouna Ould Haidalla
1985 : Ouganda, Olara Okello renverse Obote
1985 : Soudan, al-Dahab renverse Nimeiry
1986 : Soudan, al-Mirghani renverse al-Dahab
1987 : Burkina Faso, Compaoré renverse Thomas Sankara
1987 : Burundi, Buyoya renverse Bagaza
1987 : Tunisie, Ben Ali renverse Bourguiba
1989 : Soudan, el-Béchir renverse al-Mirghani.
1990 : Libéria, Johnson renverse Samuel Doe
1991 : Mali, Toumani Touré renverse Moussa Traoré
1992 : Algérie, le Haut conseil de securité renverse Chadli Bendjedid
1993 : Togo, Etienne Eyadema renverse JK Koffigoh
1995 : Comores, Combo renverse Djohar
1996 : Burundi, Buyoya renverse Ntibantunganya
1996 : Niger, Baré Maïnassara renverse Ousmane
1997 : Zaïre, Kabila renverse Mobutu
1998 : Togo, Etienne EYADEMA vole l'élection de Gilchrist OLYMPIO
1999 : Comores, Assoumani renverse Massounde
1999 : Côte d'Ivoire, Robert Guéï renverse Konan Bédié
1999 : Guinée-Bissau, Mané renverse Bernardo Vieira
1999 : Niger, Malam Wanké renverse Baré Maïnassara
2003 : Centrafrique, Bozizé renverse Patassé
2003 : Togo, Etienne EYADEMA vole l'élection de BOB AKITANI
2003 : Guinée-Bissau, Correia Seabra renverse Kumba Yala
2005 : Togo, Faure Eyadema renverse Natchaba
2005 : Togo, Faure Eyadema vole l'élection de Bob AKITANI
2005 : Mauritanie, Ould Mohamed Vall renverse Ould Taya
2008 : Mauritanie, Ould Abdel Aziz renverse Ould Cheikh Abdallahi
2008 : Guinée, Dadis Camara à la mort de Lansana Conté
2009 : Madagascar, Andry Rajoelina renverse Ravalomanana
2009 : Guinée, Toumba renverse Moussa Dadis Camara
2010 : Niger, Salou Djibo renverse Mamadou Tandja
2010 : Togo, Faure (surnommé FRAUDE) EYADEMA vole l'élection de Jean Pierre FABRE.
TORANAGASSA
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05/05/2010 17:35 )
À / France
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[5/4/2010] Présidentielle Mars 2010 : le communiqué de la CNDH qui laisse perplexe
La Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) vient de se prononcer sur la présidentielle de mars 2010 et de la crise postélectorale, à travers un communiqué qui laisse quelque peu perplexe. Longtemps soupçonnée d’être à la solde du pouvoir RPT depuis le départ de Me Yawovi Agboyibo et de Me Dovi, la CNDH a fait une intervention, quoique très diplomatique, qui va surprendre quelque peu l’opinion et le pouvoir.
Tirant leçon du passé électoral violent du Togo depuis les années 1990, à en croire son président Koffi Kounté, la CNDH a travaillé avec la CENI et a fait des propositions pour que les élections soient transparentes et les résultats acceptés de tous.
« A chaque étape du processus, elle a eu à collaborer avec la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), afin de lever les obstacles qui pourraient entraver le bon déroulement de l’élection présidentielle », indique le communiqué.
La Commission a en outre mené plusieurs actions tendant « à trouver des solutions aux causes plausibles des violences électorales. » Au nombre de celles-ci figurent « des rencontres avec tous les candidats ou leurs représentants à l’effet de convenir d’actions communes à mener afin de faciliter la régularité du scrutin et d’éviter toutes formes de violences ; la formation par la CNDH des délégués de tous les candidats en vue de mettre ces délégués au même niveau d’information que les membres des Bureaux de vote afin d’éviter d’éventuelles contestations à la base », selon le communiqué.
Il y a également la proposition d’une « nuit électorale » le soir du 4 mars pour que les résultats soient donnés en direct sur les chaînes de radio, bureau de vote par bureau de vote.
«La proposition à la CENI d’organiser une véritable nuit électorale au cours de laquelle les résultats des différents bureaux de vote seront publiés en direct sur les médias d’Etat (Télévision Togolaise, Radio Lomé et Radio Kara) au fur et à mesure de leur envoi à la CENI par les Commissions Electorales Locales Indépendantes (CELI) », souligne le communiqué.
La CNDH n’a pas été écoutée et ses demandes n’ont pas été toutes satisfaites. Les préfets sont intervenus dans le processus électoral et l’administration s’y est beaucoup impliquée, le président de la CENI en a fait à sa guise ; les délégués des partis d’opposition ne furent pas suffisamment informés et formés pour pouvoir acter pertinemment sur le terrain.
Mais le clou du communiqué se trouve dans le refus de la non-diffusion des résultats par VSAT et l’absence de nuit électorale. En refusant de donner les résultats directement la nuit même du 4 mars, contrairement aux chiffres reçus par les Etats-majors de parti, en donnant les résultats trois jours après la tenue de l’élection, la CENI et le pouvoir ont laissé s’installer la suspicion de fraude sur la présidentielle.
Et cette attitude a entrainé les conséquences postélectorales que l’on vit aujourd’hui. La CNDH a beau jeu de le souligner : « en dépit de ces mesures, la CNDH constate avec regret que les violences postélectorales n’ont pu être évitées. »
La Commission constate également les dérapages répétés en matière de violations des droits de l’homme. A savoir l’interdiction des manifestations, la répression des veillées, les agressions sexuelles contre les femmes, le saccage du siège de l’UFC, les agressions contre les journalistes, sont autant de violations répétées des droits de l’homme auxquelles ont conduit les résultats controversés de la présidentielle.
(www.mo5-togo.com)
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