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France: Rencontre Hollande-Dlamini-Zuma mercredi prochain à Paris |
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Madame vient-elle prendre la permission... |
Marcel Soumah (
14/11/2012 10:17 )
À Asnières / France
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...auprès de Tonton François? |
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Durant la crise |
Charlie (
14/11/2012 10:31 )
À Pantin / France
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post-électorale en CI, Jacob Zuma était venu à Paris, tenir tête à Nabotléon, semblant apporter un soutien sans faille à Gbagbo.
L'on sait, par la suite, ce qu'il est advenu de ce soutien. Laissant faire l'intervention et demandant même à Gbagbo de céder le fauteuil à Ouattara.
Espérons que Dlamini-Zuma saura tenir tête à Flamby 1er, connaissant sa forte personnalité, son franc-parler et surtout ses arguments évoquées lors de la campagne pour l'UA. |
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C'est la règle |
Marcel Soumah (
14/11/2012 11:23 )
À Asnières / France
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Toute personnalité en quête de légitimé en Afrique aux yeux de la communauté internationale passe obligatoire par Paris. |
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14/11/2012 13:54 )
À Saint-avertin / France
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http://www.icilome.com/nouvelles/news.asp?id=11&idnews=22677 |
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14/11/2012 13:56 )
À Saint-avertin / France
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http://www.koaci.com/articles-78577 |
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14/11/2012 22:05 )
À Saint-avertin / France
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http://www.icilome.com/nouvelles/news.asp?id=2&idnews=22722&pays= |
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Un pays de 45 kilometre de largeur 1er à assassiné son president en Afrique |
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14/11/2012 22:18 )
À Saint-avertin / France
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Le Togo au fond du classement
[11/13/2012 9:04:31 PM] | Liberte hebdo
Les Togolais vivent comme les damnés de la terre. Juste à l’opposé des habitants de cette terre où devraient couler le lait et le miel. C’est la révélation que fait l’ONG britannique Legatum Institute. D’après son rapport 2012 sur l’index de prospérité dans le monde, le Togo occupe le 136ème rang sur 142 pays sondés, soit 96% de la population mondiale.
Le Togo est l’un des pays où la prospérité est rare. Très rare. Selon l’ONG britannique Legatum Institute qui a mené une étude sur 142 pays et rendu public son rapport 2012 sur l’index de prospérité dans le monde, le Togo occupe le 136ème rang sur 142 pays. Les critères d’évaluation sont au nombre de huit (08) : l’économie, l’entrepreneuriat et les opportunités, l’éducation, la santé, la gouvernance, la sécurité, les libertés individuelles et le capital social.
Si les pays scandinaves comme la Norvège (1er), le Danemark (2ème), la Suède (3ème) et la Finlande (7ème) et d’autres pays occidentaux se bousculent dans le Top 1 du classement, la plupart des pays africains, quant à eux, rivalisent en bas du classement à chaque niveau de l’évaluation. Et pour couronner le tout, le Togo pointe à la 136ème place, devant le Congo (141ème) et la République centrafricaine qui ferme la marche (142ème rang). Dans une petite approche comparative, le Togo se trouve devancé de loin par ses pairs africains comme le Ghana (87ème), le Bénin (119ème). Le plus cocasse, même par des économies post-conflit à savoir le Libéria (130ème), la Sierra Leone (128ème).
Même les pays de l’hinterland sont nettement mieux classés que « l’Or de l’humanité ». Ainsi le Mali est à la 104ème place, le Burkina Faso à la 112ème place, tandis que le Niger, l’un des pays les pauvres au monde et où la misère sévit de façon périodique, pointe à la 114ème place. Le constat est donc évident : la prospérité n’est pas la chose la mieux partagée au Togo. Cette vérité est d’autant plus absolue que l’année dernière, l’observatoire international du bonheur, en établissant la carte des pays les plus heureux aux plus malheureux à partir d’une étude portant sur 149 pays du monde, avait classé le Togo à la toute dernière position, soit à la 149ème position. Bien avant, c’était une autre étude menée par l’institut Gallup qui épinglait le Togo et le classait comme l’un des pays où il ne faisait pas, mais alors pas du tout bon vivre. Ces mauvaises performances signalées, loin d’être le fait du hasard, traduisent le malaise profond qui ronge les Togolais depuis que les Gnassingbé ont pris en mains les rênes de leur pays. Et à la suite de son père, Faure Gnassingbé l’autoproclamé « L’Esprit nouveau » ou le « Leader nouveau » et sa clique sont en train de sacrifier la joie, le sourire, bref le bonheur et la prospérité des Togolais sur l’autel de leur enrichissement personnel égoïste.
Comme l’a concédé Faure Gnassingbé lui-même, les richesses du pays sont aux mains d’une minorité qui les pille, au grand dam de l’écrasante majorité qui croule sous le poids d’une misère effroyable, aux conséquences indicibles pour eux et leur postérité. Mais il se limitera à ce constat amer d’inégalités sociales criardes, d’inégalités dans la redistribution des biens du pays entier. Et ce sera une symphonie inachevée. Tous ceux qui, logiquement à la suite du discours de condamnation de Faure Gnassingbé, s’attendaient à voir ce dernier faire la holà et siffler la fin de l’impunité de fait dont jouissent les membres de son pré-carré, sont restés sur leur soif. Faure Gnassingbé n’a pas levé son petit doigt pour rappeler les siens à la raison. L’orthodoxie financière peine à se traduire en mesure concrète. Les fonds du pays servent à financer les activités propagandistes des associations fantoches de soutien à Faure Gnassingbé, et même des milices roulant pour le pouvoir.
D’un autre côté, la mafia qui a pris en otage le pays, excelle dans la corruption, la concussion, le népotisme, le clientélisme et autres crimes économiques. Comme le dirait l’autre, tout pour ceux-ci et rien pour les autres. Faure Gnassingbé et son entourage baignent dans les délices de Capoue tandis que d’autres peinent à s’offrir les trois repas par jour. Certains satisfont leur lubie jusqu’à climatiser leur garage. Comme quoi, il existe deux types de Togolais : les Togolais à part entière, ceux qui usent et abusent des ressources du pays en toute impunité et sans la moindre notion de redevabilité. C’est la classe de ceux qui se réveillent tard et amassent tout, avant la tombée de la nuit et même là où ils n’ont pas semé. En dehors d’eux, il y a les Togolais entièrement à part, ceux qui triment mais n’ont rien, à cause de la gloutonnerie des premiers. En dépit des nombreuses promesses de Faure Gnassingbé, douze ans après son accession au pouvoir, ses concitoyens ne vivent pas mieux. Il n’a pas réussi à faire mieux que son défunt père qui, décédé après trente-huit ans de règne sans partage au Togo, a laissé un pays dans un état de paupérisation sans précédent. Pas étonnant donc que sur 142 pays étudiés, le Togo s’octroie une place parmi les plus misérables.
Magnanus FREEMAN
Source : | Liberte hebdo
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