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19/06/2009 16:55 )
À Austin / United States
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J'savais meme pas qu'il y avait une opposition en Bananie. |
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Bananie c'est ton pays pas mon Gabon!!!!! |
imab19 (
19/06/2009 17:11 )
À Ifs / France
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Je ne comprendrai jamais les gens qu'il adore faire étalage de leur ignorance!!!! L'opposition Gabonaise a toujours existé!!!! |
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Quand le chat était là, les souris ne faisaient trop la fine bouche |
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19/06/2009 18:41 )
À Strasbourg / France
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tellement ils avaient peur de faire assassiner par l'armée Française gardien des intêrets d'ELF ainsi que ceux de la Françafric.
Même moi, je ne savais pas qu' il y avait une opposition, a force de manger tous dans même marmitte, on ne sait plus qui est qui.
C'est vraiment un triste bled |
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19/06/2009 22:22 )
À Gießen / Germany
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hahaha.faites moi rire!je croyais que le Gabon etait une monarchie!ou tout au plus qu'il y avait le parti-unique dans cette bananeraie! euh je suis surpris d'entendre les termes luxurieux tel que OPPOSITION |
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bodylove (
19/06/2009 23:39 )
À Courbevoie / France
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En afrique souvent opposants et dirigeants sont fabriqués dans la même moule, ils ont les mêmes tares |
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Les noirs sont tellement bêtes |
Amadou (
20/06/2009 12:52 )
À Suresnes / France
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C'est pour ça qu'ils n'arrivent jamais à rien. Lisez "The Bell curve", les théories de Bruce Lahn et vous comprendrez. |
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@ 12h09 |
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20/06/2009 13:34 )
À Benfeld / France
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C'est pour cela qu'on appel la France république bétteravière
Entre république bananière et bétteravière.
C'est une affaire de celui qui se sucre. |
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Mother fucker |
Mouyabi (
21/06/2009 09:08 )
À Anglet / France
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l'Afrique a les dirigeants qu'elle mérite
Mouyabi |
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Bay kou bliye, pote mak sonje |
Mary (
22/06/2009 02:09 )
À Blénod-lès-pont-à-mousson / France
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"Bongo, bon gars du Gabon ?
Par EYOUM NGANGUÈ journaliste camerounais, fondateur de l’association des journalistes africains en exil.
Le président du Gabon est mort. Autour de ce décès, on assiste à une indulgence quasi obscène des médias occidentaux (à quelques exceptions dont Libération NDLR) et un chapelet d’indécentes éloges de la part de la classe politique français (en dehors du propos très critique d’Eva Joly sur le bilan des années Bongo), de ses amis, proches ou lointains, sans aucun égard pour le peuple gabonais qu’il a martyrisé quarante-deux ans. Si l’on cite un à un les attributs que ses thuriféraires lui accolent au lendemain de sa mort, on peut légitimement se demander de qui l’on se moque.
«Le sage». Cet autocrate a manqué de sagesse lorsqu’il s’est agi de gérer la manne pétrolière de son pays. Dans les années 60, le Gabon était membre de l’Opep mais si on le compare à Dubaï, c’est un vaste bidonville où le peuple croupit dans la misère et regarde les 10 000 à 15 000 profiteurs du régime (acheté par le génie corrupteur de cet autocrate) se gaver de l’argent du pétrole et du bois et regardant de loin l’étalage des propriétés privées de la famille Bongo, au Gabon, au Maroc et en Europe.
«Le doyen». Pour sa longévité aux affaires. Dans ce cas, Fidel Castro serait encore plus «doyen» que lui. Par ailleurs, aurait-on qualifié Georges Pompidou (devenu président français en 1969, soit deux ans après l’accession à la présidence gabonaise d’Omar Bongo) de doyen s’il s’était accroché au pouvoir jusqu’en 2009 ? Imagine-t-on un seul instant Helmut Schmidt, Margaret Thatcher ou un autre chef de gouvernement européen ainsi s’éterniser au pouvoir ? Les aurait-on qualifiés de doyen ? Seul le regard condescendant que les hommes politiques européens portent sur l’Afrique permet de justifier qu’un autocrate comme Bongo quitte la scène sous un tel cortège de louanges.
«L’ami de la France» était l’ennemi de son propre pays qu’il a maintenu dans la pauvreté, au point de ne pouvoir y construire un hôpital décent (sa femme étant décédée le 14 mars dans un hôpital marocain et lui-même dans un établissement hospitalier espagnol deux mois plus tard). Combien de Gabonais qui vivent dans les matitis (favelas de Libreville) peuvent se payer des soins à l’étranger ?
«Le facilitateur de la paix dans de nombreux conflits en Afrique». Encore une flibusterie, quand on sait que Bongo et son régime ont soutenu les sécessionnistes du Biafra au début des années 60 (bilan, entre un et trois millions de morts) ou les attaques de Bob Denard contre le régime de Mathieu Kérékou au Bénin quelques années plus tard. Bongo a aussi permis la déstabilisation de plusieurs autres régimes africains. Il a géré de main de maître la transmission monarchique entre Eyadema et son fils Faure Gnassingbé au Togo. Dans son pays, il a muselé la presse, détruit des stations de radio au bulldozer, éliminé physiquement des opposants.
Aujourd’hui, on veut nous présenter Bongo comme un héros. On minimise désormais le fait qu’il a pillé son pays, que sa défunte femme possédait 50 comptes à l’étranger, on appelle à une transition en douceur pour que se perpétuent les souffrances du peuple gabonais. Tout se passe comme si, même la mort ne pouvait pas arrêter le système Bongo.
Pourtant, sa disparition physique devrait constituer une vraie bouffée d’oxygène pour les centaines de milliers de Gabonais qui n’ont jamais pu bénéficier de la nature généreuse de leur pauvre petit pays riche pris en otage par Bongo et ses amis. Ces milliers de personnes à qui on impose la paix des pauvres.
Non, au Gabon, Bongo n’était pas un bon gars.
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L'hypocrisie occidentale |
Mandrive (
22/06/2009 08:43 )
À Pantin / France
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Les mêmes qui aujourd'hui soutiennent l'opposition iranienne à Ahmadinejad, sont ceux qui tissent des couronnes de laurier à Bongo. Comme si dans un cas il fallait absolument se défaire d'un géneur et de l'autre permettre à un membre de la famille Bongo de conserver le pouvoir, pour mieux servir les intérêts de l'Occident. |
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PAMBOU avait raison |
(
23/06/2009 15:50 )
À / France
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j'espere que vous n'avaez pas la memoire tres courte . Pambou dans deux analyses sur la situation du gabon avait fait les constats auxquels l'oppositoin arrive à faire en ce moment sur la difficulte d' organiser des éléctions libres et transparente s compte tenu des delais,du fichier electoral , et de l'allegeance de l'opposition vis à vis des moeuers de la francafrique..Les faits lui donnent raison car tous aveugle par votre abse'nce coutumiere d' analyse aviez agresse verbalement pambou au lieu drépondre au fond et de facon argumentée commencez prar enlever la grosse poutre qui vous barre les yeux et vous rends mechants inutilement et demunis intellectuellement avant der repondre
l'afrique gagnera en efficacite et en reactivite constructive
laurence ois je precisern que je suis africaine pour vous eviter de delirer sur les femmes noires qui vont ailleurs chez d'autres mecs
au lieu de répondre à pambou sur le fond concernant le gabon vous vou setes mis à delirersur les femmes noires et leurs comportements
pauvres MECS
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