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Gabon : la guerre de succession se poursuit |
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18
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Ali Bongo, tu me parais tres sale comme garcon! |
L'Africain (
11/03/2009 16:12 )
À Richmond / Canada
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Ton visage est tres huileux malgre tout l'argent que ton pere a vole ! |
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11/03/2009 16:41 )
À Gießen / Germany
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je demande hein?vous croyez que le pays là c'est une chefferie ou un royaume?vous croyez que les autres Gabonais sont moins gabonais que vous pour pouvoir diriger aussi ce pays là ?dégager là bande de %%%%%%%%%%% |
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Encore une famille qui va mal finir! |
wildcat (
11/03/2009 17:07 )
À Vitry-sur-seine / France
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N'est-ce pas sur grioo |
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11/03/2009 18:37 )
À Le Bouscat / France
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que des intervenants se réjouissaient de la menace brandie par Bongo face à la France, de faire sortir toutes les sales affaires ?
Aujourd'hui, ils méprisent cette famille, plus attirée par la cupidité et le souci de préserver tous ses avantages pécunières sur ce pays.
Je n'y comprends plus rien.
Expliquez-vous, s'il vous plaît. |
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Digne d'un foutou opera |
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11/03/2009 18:50 )
À Le Bouscat / France
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On voit que les scénaristes d'Hollywood n'ont rien inventé.
Le père, gâteux, malade, despotique et riche, imménsément riche, parti au chevet de sa tendre épouse qui se meurt à l'étranger.
Sa fille, dircab, qui tient absolument à placer son mari à la tête de l'entreprise familiale.
Le fils, prétendant, mais pas si légitime que cela, ne l'entend pas de cette oreille, et est prêt à tout pour remplacer le paternel à la tête de la société.
Désinformations, coups bas à tous les étages sont le lot quotidien de ce soap opera à la gabonaise.
Sans oublier que dans les coulisses, des requins en affaires, très intéressés par cette entreprise très rentable, font également entendre leur petite musique pour le choix du successeur.
Cela fait quand même plus de 40 ans, que ce foutou opera se joue sous les yeux des Gabonais.
Record d'audience et de longévité battus.
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jess (
11/03/2009 19:24 )
À Antony / France
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très drôle !! les chatons se battent pour le lait maternel
tant mieux , on ne pouvait espérer mieux
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BONGO ou malediction des gabonais |
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11/03/2009 20:00 )
À Wittenheim / France
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LE nom de BONGO devrait denir une malediction de 40 ans pour tous les gabonais et l'afrique noir:
que les gabonais banissent donc cette malediction de chez euz |
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Quel jour les blancs seront rassasier a force de bouffer chez nous |
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11/03/2009 20:27 )
À Sélestat / France
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tant que les blancs, auront faim, ils encourageront, des comiques, a ce sentir indispensable, pour l'Afrique |
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oh ! la la |
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11/03/2009 21:31 )
À / France
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le remake Eyadema peut se produire au Gabon . Le intelligencia et beaucoup de citoyens Africains sont trop reduit en pauvreté chronique et ils peuvent se laisser corrompent pour voter son fils comme president très facilement . Il y a deux conditions rayonnants en Afrique politique fracophones ,soit de se laisser corrompe où devenir victime des Militairès . Il faut choisir . La lutte continue contre ces deux conditions . |
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Quel jour les blancs seront rassasier a force de bouffer chez nous (bis) |
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12/03/2009 03:13 )
À Sélestat / France
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Et comme l'appétit, vient en mangeant, on aura les petits blancs et leurs comiques sur le dos pendant encore un bon moment, à moins de se faire violence.
Sa va mal finir tout ça, on commence en avoir marre de tous ces bouffons venir d'ailleurs nous spolier, grâce a des energumènes de chez nous. |
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13/03/2009 02:51 )
À / Senegal
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vous aussi arété un px avec ce pauvre ptit pays ki a souffere prés de 40 sous un régime qui ne saissera jamais de nous prendre pour des idiots nous aussi on a le droit a la parole pensez vous ke au gabon il puisse avoir des gens ki souffre ki nont pas d'emplois les enfants ki ne sont pas bien éduqué parcke les gens ki éduquent snt mal payé ou les gens ki soigne travaillent dans des movaises cnditions de grace la fille bongo laissez un px ce pauvre pays ki a deja trop souffert en plus les blancs aussi ont leur mot a dir tchouoo mon pauvre pays le gabon!!!! |
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13/03/2009 02:59 )
À / Senegal
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je demande est ce que cé parcke vs vs mettez les battons dans les roues que papa ferra son choix laissé un px le vien trankil il atrop de probléme avec mamn ki est malade les français ki emmerdent il se rend conte que pendant 40ans ses amis les plus proches l'on toujours trompé en le volent et en menttant bongo est fatigué certes mais il n'ai pas fou il sait ce qu'il fait méme si sa tarde a venir |
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13/03/2009 03:05 )
À / Senegal
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attend ali toi aussi tu ne respect plus tes ainés pascaline s'est ta grade soeur et tu devais etre content d'etre dans cette famille bocoup d'enfants n'ont pas eu la méme chance que toi dc arrétte un px avec le pouvoir que tu ne mérite pas méme si cé pas ta souer mais d'autres gabonais peuvent etre a cette place!! |
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A VIS A TOUS PETITION EN LIGNE |
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14/03/2009 20:23 )
À Nanterre / France
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Mugabe continuera de saisir les terres des blancs
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Filed Under: Afrique
Le président zimbabwéen Robert Mugabe a annoncé samedi que les confiscations de terres appartenant à des agriculteurs blancs se poursuivraient et que la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) n’avait pas à se mêler de cette affaire.
Il a aussi promis que le gouvernement d’union qu’il a formé avec à sa tête son rival Morgan Tsvangirai, maintiendrait son objectif de prendre une participation majoritaire dans certaines entreprises implantées au Zimbabwe.
Mugabe continuera la réforme agraire
“Dans les domaines des mines, de l’agriculture et dans les industries de transformation, une identification méthodologique et systématique des domaines dans lesquels l’Etat et les entrepreneurs indigènes peuvent participer est en cours“, a dit le chef de l’Etat.
“On ne reviendra pas sur les réformes agraires. Les exploitations ne seront pas rendues aux anciens exploitants. Ce travail se poursuivra, mais les fermes doivent être utilisées convenablement“.
“Certains fermiers ont saisi le tribunal de la SADC en Namibie, mais c’est insensé, totalement insensé, personne ne suivra cela“, a martelé Mugabe devant des partisans réunis pour fêter son 85e anniversaire.
“Nous avons des tribunaux ici dans ce pays qui peuvent se prononcer sur les droits. Nos dossiers fonciers ne relèvent pas du tribunal de la SADC“.
Le tribunal de la SADC s’est prononcé l’an dernier en faveur d’un groupe de fermiers blancs dont le gouvernement Mugabe avait décidé de saisir les exploitations.
Un nouveau scrutin
La loi de nationalisation, signée par Mugabe quelques jours avant les élections législatives de mars 2008, a pour objectif de transférer à des Noirs une participation
Aminata D. Traoré, Jean Ziegler, …
Plus de 3000 morts et près de 70 000 malades du choléra au Zimbabwe, avec des risques de propagation de l’épidémie aux pays voisins, n’ont donc pas suffi à mettre un terme aux sanctions économiques que la Grande-Bretagne et ses alliés infligent à ce pays depuis la fin de la décennie 90. C’est ainsi que le Conseil de l’Europe, à l’issue de sa session du 26 janvier 2009, a décidé de “proroger d’une année la position commune concernant les mesures restrictives à l’encontre du Zimbabwe”. D’une extrême gravité, une telle décision ne peut qu’exacerber une situation déjà caractérisée par un taux de chômage (94%) et d’inflation qui sont les plus élevés au monde, la pénurie alimentaire dont souffrent près de 7 millions de personnes, la déscolarisation des enfants ainsi que la fuite des bras et des cerveaux dont de nombreux enseignants et membres du personnel soignant.
L’unique tort du peuple zimbabwéen, ainsi privé de travail, de revenu, d’eau potable, de soins de santé et de nourriture – condamné, en somme, à une véritable descente aux enfers - est d’être dirigé par Robert Mugabe dont l’éviction a été exigée pendant de longues semaines de campagne de déstabilisation et de diabolisation. L’ancienne puissance coloniale, les adversaires politiques du Président zimbabwéen ainsi que des ONG et les médias dominants l’accusent d’avoir ruiné son pays, de violer les droits de ses concitoyens et de se maintenir au pouvoir par la répression des opposants et la fraude électorale. A défaut de sa démission, le partage du pouvoir avec son principal rival, Morgan Tsvangirai, vient d’être conclu après quatre mois de négociations au cours desquelles le Président du Mouvement pour le Changement Démocratique (MDC) exigeait, en plus du poste de Premier ministre, le contrôle de postes ministériels stratégiques.
Il est heureux que la réunion du 30 janvier 2009 des pays membres de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) ait débouché sur ce dénouement pacifique qui vient de se traduire par la constitution d’un gouvernement d’union nationale avec Morgan Tsvangirai comme Premier ministre. Espérons que le Président Robert Mugabé et la Zanu-PF seront à hauteur d’attente pour que cette crise soit un triste souvenir !
Mais, ce pas important n’est que l’amorce d’un processus de normalisation qui, pour mettre fin au martyre du peuple zimbabwéen, exige la levée immédiate et sans autres conditions des sanctions économiques qui ont largement contribué à plonger l’ancienne Rhodésie du Sud dans une situation aussi calamiteuse. Cette lecture du drame zimbabwéen sous l’angle des mesures punitives qui affament, appauvrissent et tuent des innocents n’exonère en rien le Président zimbabwéen et son parti pour les erreurs qu’ils ont pu commettre. Il s’agit de donner une chance à la paix en mettant en lumière des faits déterminants mais délibérément occultés.
Il faut remonter aux Accords de Lancaster House qui, en 1979, ont mis fin à quatorze années de lutte féroce pour la libération de l’ancienne Rhodésie du Sud des griffes du raciste Ian Smith. Ils ont été signés dans un contexte où quelques 6000 fermiers blancs possédaient plus de 15,5 millions d’hectares sur les terres les plus fertiles du pays. Pendant ce temps près de 4,5 millions de Noirs subsistaient péniblement sur les “terres communales” souvent arides où les colons les avaient confinés un siècle durant. Le consentement entre l’acheteur et le vendeur est l’un des principaux aspects du dispositif qui devait changer cette situation. Dix ans plus tard, elle n’avait pas évolué de manière palpable parce que les fermiers blancs avaient renchéri les prix et ne cédaient que les terres les moins fertiles.
En 1997, le gouvernement de Tony Blair signifia à Harare qu’il ne pouvait plus contribuer financièrement au transfert des terres aux Noirs, comme convenu, en dédommageant des fermiers britanniques qui devaient être expropriés. Le Président zimbabwéen a alors décidé de confisquer, sans compensation, les terres de ces derniers qui ont dès lors promis de faire sa perte. Les sanctions économiques constituent la machine de guerre financière, économique, sociale et politique qui a été déployée en guise de punition par la Grande Bretagne et ses alliés plus particulièrement les USA. Jugeons-en :
- En décembre 2001, le Congrès des Etats-Unis d’Amérique a voté le « Zimbabwe Democracy and Economic Recovery Act » ou loi sur la relance économique et la démocratie au Zimbabwe. Elle comporte entre autres l’opposition des Etats-Unis d’Amérique à tout prêt au Zimbabwe et à l’annulation de sa dette auprès des institutions internationales de financement. Cette loi a largement contribué à plonger le Zimbabwe dans la récession économique et dans une inflation de plus en plus vertigineuse.
- En 2002, l’administration Bush a également mis en place un programme dénommé « Gouvernance et démocratie » doté de 6 millions de dollars destinés à soutenir les opposants (MDC, syndicats, groupes religieux, ONG, médias « indépendants », etc.).
- Au plus fort de la campagne de redistribution des terres, les Etats-Unis s’opposèrent à l’aide du Programme Alimentaire Mondial (PAM) aux Zimbabwéens.
- En 2004, l’administration Bush s’opposa également à l’appui du Fonds Mondial contre le Sida aux malades du Zimbabwe.
- A partir de 2002, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne poussèrent l’Union européenne à prendre des sanctions contre le Zimbabwe, en violation de l’article 98 de l’Accord de Cotonou signé en 2000 entre l’Union européenne et les pays ACP (Afrique, Caraïbe et Pacifique).
- Tous les fonds consentis par différents pays occidentaux à l’éducation, à la santé et à l’assainissement furent suspendus.
Il suffit d’ajouter à ces sanctions les conséquences classiques et désastreuses des programmes d’ajustement (PAS) du Fonds Monétaire International (FMI) et de la Banque mondiale (libéralisation, privatisations, bas salaires, détérioration des conditions de vie…) et le cycle plus rapproché des sécheresses pour réaliser les causes profondes de l’enlisement du Zimbabwe. Les autres pays africains n’échappent au même sort que parce qu’ils vivent sous perfusion, alimentés par les financements extérieurs dont ce pays est privé.
Les sanctions infligées au Zimbabwe sont d’autant plus injustifiables qu’elles émanent d’Etats et d’institutions non transparents et non démocratiques dans leurs pratiques en Afrique si nous considérons les règles du commerce mondial, les termes des accords de partenariat économique (APE) ou de réadmission des migrants africains. Ils sont illégitimes parce que non représentatifs des peuples africains dont ils bafouent les droits économiques mais savent instrumentaliser dans la défense de leurs propres intérêts.
Antidémocratiques et meurtrières, les sanctions économiques relèvent par ailleurs de la corruption politique et financière dans la mesure où en sanctionnant les dirigeants qu’ils jugent indésirables, les grandes puissances dissuadent ceux d’entre eux qui seraient tentés de s’écarter de ce que qu’elles considèrent comme le droit chemin.
Galvaudés, instrumentalisés et décrédibilisés, sont la démocratie, les droits de l’homme et la bonne gouvernance, à partir du moment où les puissants qui prétendent en être les garants, les bafouent quand ils ne les transforment pas en redoutables instruments de pression, de domination et de chantage au financement.
Aussi, est-il grand temps de privilégier dans le débat sur le présent et l’avenir de l’Etat postcolonial en Afrique, la question centrale mais souvent occultée du contrôle des richesses et de l’initiative du changement dont la réforme agraire. En plus de la personnalisation à outrance du débat politique, le pays de Robert Mugabé est, sur ce plan aussi, un cas d’école à méditer à l’heure de la ruée des multinationales de tous horizons vers les terres fertiles du continent et du grand bradage au nom de la croissance et du marché-roi.
Alors que le diagnostic de la situation est biaisé et les sanctions économiques meurtrières pour les populations des voix incitent le nouveau Président américain, Barack Obama, à les poursuivre, à son tour. Son « Yes we can », faut-il le rappeler exige un changement radical de regard, de discours et de pratiques en matière de politique américaine en Afrique. Il est de la plus grande importance qu’il joue sur le continent noir comme au Proche-Orient la carte de l’écoute et de la main tendue au lieu de la poursuite de sanctions qui d’une manière ou d’une autre ne sont que violence contre des peuples démunis, désemparés et désinformés.
Il s’agit plus concrètement d’en finir avec la thèse de l’axe du Bien et du Mal de George W. Bush qui a valu au monde l’agression et l’occupation de l’Irak de Saddam Hussein, les attaques barbares et répétées d’Israël contre le peuple palestinien, illustrées par le dernier déluge de feu sur la bande de Gaza. En Afrique, elle passe d’une certaine manière par le Zimbabwe. La mise en lumière des enjeux mondiaux économiques, sociaux, financiers et environnementaux de telle sorte que les Zimbabwéens et les Africains, d’une manière générale, s’engagent dans le jeu démocratique sur des bases autres que l’alternance pour l’alternance et la course aux postes stratégiques est le véritable défi qui devrait interpeller les dirigeants africains, les institutions sous régionales, l’UA et les véritables alliés du continent.
Nous rappelons qu’il est périlleux pour l’Afrique de suivre les conseils des maîtres du monde aujourd’hui embourbés dans une profonde crise, signe de l’échec de leur idéal de société que la moralisation de la sphère financière ne suffit pas à crédibiliser. Quant à la légitimité du pouvoir politique en Afrique, il convient de souligner qu’au-delà des élections qui sont nécessaires, elle réside aussi et surtout dans la volonté et la capacité des dirigeants élus à négocier et à gérer les richesses du continent dans le sens des intérêts de ceux et celles qui les ont mandatés.
Aussi, l’accalmie qui vient d’être obtenue par la SADC doit-elle être érigée en paix véritable pour les Zimbabwéens et pour l’Afrique tout entière en opportunité de jeter un autre éclairage sur les crises, son image habituellement malmenée ayant été considérablement ternie par l’hypocrisie et les mensonges qui prévalent dans l’analyse de la situation de ce pays.
Les intellectuels et les autres acteurs de la société civile critique ainsi que les politiques africains et non africains qui estiment que le continent noir n’est pas une planète à part mais bel et bien le berceau de l’Humanité et partie prenante du capitalisme fou et destructeur doivent contribuer à en déceler et à en démonter les rouages.
Pour donner une chance à une paix véritable et durable au Zimbabwe, nous joignons nos voix à celles des Zimbabwéens qui n’ont que trop souffert, de la SADC et de l’UA et rappelons à la Grande Bretagne, aux USA et à l’UE le coût social et humain exorbitant des mesures punitives infligées à ce pays.
- Nous déclarons que l’eau potable, la nourriture et les médicaments doivent cesser d’être des armes de guerre
- Nous demandons la levée immédiate du blocus qui prive des millions de Zimbabwéens de ces biens indispensables à une existence humaine digne de ce nom.
- Nous considérons qu’il est profondément injuste et irresponsable de suspendre des vies humaines à un accord de partage du pouvoir politique au sommet.
Oui, nous le pouvons ! Il suffit de ne plus confondre les intérêts britanniques, américains et européens avec les droits des peuples zimbabwéen et africains à la terre, la nourriture, l’eau potable, la santé, l’éducation, l’emploi et le revenu.
NOUS SOMMES TOUS ZIMBABWEENS !
Bamako, le 11 février 2009.
Signataires : Aminata D. Traoré (Essayiste, Mali) – Jean Ziegler (Sociologue, Suisse) – Boris Boubacar Diop (Ecrivain, Sénégal) - Mireille Frantz Fanon (Fondation Frantz Fanon) – Diadié Y. Dagnoko (Enseignant, Mali) -Demba Moussa Dembélé (Economiste, Sénégal) – Assetou Founé Samaké (Biologiste, Mali) - Bruno Rebelle - Souleymane Koly (Artiste chorégraphe, Côte d’Ivoire)– Hamidou Magassa (Ecrivain, Mali) – Christian Koné (Journaliste, Burkina-Faso) – Ismaël Diabaté (Artiste-peintre, Mali) – Bibi Diawara (Démographe, Mali) – Lucette et Christian Morillon (LA BRASSAUDERIE 17120 EPARGNES France) – Mamadou Goïta (Socio-économiste, Mali) – Sarah Jane Mellor (Traductrice France/Angleterre) – Moussa Bolly (Journaliste, Mali) – Valerie Ngo Biem (Cameroun) – Jean Michel Naud (Enseignant, France) – Clariste Soh Moube(Cameroun) – Moustapha Diaté (Economiste, Sénégal) – Aziz Coulibaly (Comptable, Côte-d’Ivoire) –Aboubakary Gollock (Eonomiste, Canada) –Amadou Gollock (Consultant, Mali)
Si vous souhaitez prendre part à cette campagne, veuillez le signer en nous communiquant votre nom, profession et adresse à djenneart@afribone.net.ml
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Ahhh les Bongo |
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15/03/2009 19:05 )
À / Cameroon
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Suppots d'une puissance etrangère, et fiers de l'ètre !!! |
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15/04/2009 20:43 )
À / Norway
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le gabon notre afrique |
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04/05/2009 16:16 )
À Libreville / Gabon
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Le gabon est un autre cas, un modèl avec ses peripaties, riches en sous sol (pétrole, bois uranium, manganèse...), depuis 1990, le peuple gabonais s'est décidé de renvoyer du bord de mer le père et ses enfants. Plusieurs pays nous ont donné tort, aujourd'hui, ces mêmes pays demandent le départ de cette famille parce que leurs intérêts sont menacés suite à l'arrivée des puissances émergentes. Notre pays est libre, nous vivons les réalités.Qui n'a pas pillé le gabon ? même les étudiants gabonais en étranger qui nous font plus du bruit, soutenus par la bourse d'étude plus l'argent des parents après étude, après avoir eu un emploi à l'etranger et même après s'être marié sans rien apporter au pays, nous disons, nous n'avons rien à apprendre de personne et surtout, je ne cache pas mes mots, des gabonais que le ou les diff gouvernements ont soutenus. Nous allons montrer une autre démocratie, Ali, nous le connaissons, Pascaline très bien par son calme, mais nous disons pas de gabonais fabriqués par des puissances étrangeres. Le Gabon ne sera pas un champ d'expérimentation pour des cas que les puissances ont échoués. Nous rappelons aux puissances et surtout aux puissances premiers partenaires de notre pays que nous fûmes, nous sommes et nous serons toujours un très bon élève. Merci. Depuis Port-Gentil Gabon
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Bandes nazes! Ali est un leurre! |
MAMA ONDONG (
09/05/2009 09:25 )
À Épinay-sur-seine / France
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Avec tous mes respects, veuillez m'excuser de vous appellez ainsi, mais vous êtes tous une bande de nazes.
Ali Bongo est juste un leurre, c'est Pascaline qui possède les co... pour succéder à son père.
Bongo l'a toujours dit: Ma fille c'est mon totem. Je peux vous dire que ce n'est pas une boutade, c'est la pure vérité! Demandez à tous les marabouts africains ils vous le diront! C'est Pascaline qui règne mystiquement au Gabon depuis des lustre. Elle a son père sous sa protection. Voilà les raisons de la longetivité du pouvoir d'Omar Bongo. Autrement dit, si Ali veut devenir Président, il faut qu'il passe par Pascaline. Vous suivez?
Pascaline par ses ancêtres maternels descend d'une lignée des rois qui ont régné en Afrique depuis l'époque des pharaons: Son père le sait. et tous les initiés africains le savent.
Et la démocratie dans tous ça?
Et la souffrance du peuple gabonais?
Cette dame quand elle sera au commande, changera la donne au gabon. Elle mettra sur pieds les conditions apaisées, sans guerre pour redonner le pouvoir au peuple. Avec Ali, c'est la dictature annoncée! |
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