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  L'Afrique au sommet du G20 à Los Cabos au Mexique :
Les Chefs d’Etat africains parleront-ils de la technologie pour amorcer le développement de leurs pays ?
 
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L'Afrique au sommet du G20 à Los Cabos au Mexique :

Nombre de messages
:  11
Pages:  1  

  La base de la technologie
Tsoua ( 16/06/2012 13:42 )
À Saint Denis / France

Nous AFRICAINS, avant de parler de la technologie, nous devrions avant tout organiser nos états.Il nous faut une base saine pour une certaine évolution, comme la démocratie, la lutte de la corruption.Ne mettons pas la charrue avant les boeufs, sinon rien ne fera, et notre retard s'amplifiera .Avec une AFRIQUE libre, organisée, ayant à la tête de ces états présidents élus, et non imposés par la france, nous ferions un grand pas en avant, c'est tout simple
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  Voici un vrai débat
Marguerite ( 16/06/2012 15:36 )
À Boulogne-billancourt / France

Monsieur Tsoua

Vous avez en partie raison de mettre en avant le politique par rapport à l'économie et donc à la technologie.
Permettez-moi d'avancer une autre proposition.
Tout le monde sait que les pays africains n'arriveront jamais à un modèle politique acceptable par tous.
Monsieur Pambou a raison de poser le problème de la technique et de la technologie car c'est par ces deux éléments que passe la soumission de l'Afrique vis à vis de l'Occident et de l'Asie.
Vous pouvez avoir une démocratie parfaite (ce qui est impossible) mais si vous ne maîtrisez pas l'économique et la technique, vous n'êtes pas maîtres chez vous.
J'ai souvent critiqué Monsieur Pambou pour ses positions souvent extrêmes vis à vis de l'Afrique, mais je dois reconnaître que c'est un Monsieur intelligent qui a une analyse spécifique et intelligente vis à vis de l'Afrique.
Il n'a pas toujours raison, je suis d'accord avec vous, et il suscite des débats.
Pour ma part, il ne faut pas que les Africains espèrent un modèle démocratique et politique parfait pour commencer à réfléchir sur les priorités de développement pour l'Afrique.
je pense que, connaissant par l'Afrique par mariage, la technique et la technologie sont des éléments importants pour le développement, comme l'Asie le pense en ce moment. Et pourquoi l'Afrique ne suivrait-elle pas ce sentier, alors
que moi française mariée à un Africain, mon pays a toujours fait croire aux Africains que le sdéveloppement passe par la politique et la coopération, ce qui est faux, dans laquelle la France sera toujours gagnante car elle sait que les élites africaines se désintéressent de la technologie et de la technique et préfèrent les grandes idées et la politique qui n'apportent rien aux problèmes de la pauvreté , de l'alimentation et de la santé des africains ?
Les Africains doivent se réveiller et affirmer leur présence
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( 16/06/2012 16:45 )
À Saint-avertin / France

http://www.koaci.com/articles-75692
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( 16/06/2012 17:46 )

Même si je comprends très bien les idées de Mme Marguerite, et l'enjeu de l'article de Mr Pambou, je reste sceptique sur cette façon d'appréhender la question du développement de l'Afrique. récemment aux USA des débats on eu lieu sur les priorités pour sortir l'Afrique du sous-développement et je crois même que le président Obama a prononcé un discours avant hier sur cette question.

Au final, Mr Tsoua pose une question beacoup plus essentielle que celle de Mr Pambou et de Mme Marguerite, à savoir: peut-on développer un pays sans dirigeants dotés d'un leadership?

Autrement dit, même le critère technologique dont il est question dans l'article de Mr Pambou, peut-il se mettre en place en l'absence de dirigeant politique visionnaire?

Mme Marguerite, la démocratie et les institutions politiques ne sont certes pas une fin en soi, mais l'histoire nous enseigne qu' aucun peuple au monde ne peut s'épanouir e l'absence de grand homme politique.

Que serait la France sans l'esprit clairvoyant du général De Gaule qui a choisi de doter son pays de l'arme nucléaire?

Idem pour la Chine de Mao et la L'URSS qui a rattrapé son retard scientifique en moins des siècles?

Le progrès technologique d'un pays dépend entièrement des choix politiques et malheureusement Mme Marguerite, la politique décide du destin scientifique des peuples, et de leur destin tout court, d'où son importance comme l'affirme si bien Mr Tsoua dans sa juste intervention

.
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Marguerite ( 17/06/2012 10:07 )
À Boulogne-billancourt / France

Monsieur je suis d'accord avec vos remarques, mais l'Afrique a du mal à avoir des dirigeants corrects.
Faut-il attendre la fin de l'histoire pour que ceux-ci arrivent, sachant que les Africains eux-mêmes au plan ethnique valident leurs dirigeants en place même s'il y a alternance politique.
Que fait alors ?
Ne faut-il pas exiger des dirigeants corrompus qu'ils s'intéressent à la technique pour le développement ?
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( 17/06/2012 11:41 )

Mme Marguerite,

Ne trouvez-vous pas paradoxal d'attendre d'un dirigeant corrompu d'investir dans la recherche et les sciences techniques?

Je ne vous accuse de rien, mais le bon sens cartésien devrait vous faire douter d'une telle attente et je m'en explique:

Franchement si cela était possible, nous n'en serons pas là.

Feu le président Mobutu était parmi les cinq plus riches du Monde, idem pour bon nombre de nos dirigeants de l'époque et s'ils prenaient ne serait-ce qu' 1% de l'argent déposé dans les comptes à l'étranger, ce problème serait réglé: à savoir la mise en place de programme technologique dans les secteurs clefs de nos états.

Le vrai problème de nos dirigeants n'est même pas la corruption, car elle existe presque partout dans le monde et n'a jamais empêché le progrès : le seul problème de nos dirigeants est l'inconscience qui se traduit par le manque d'amour de soi.

Mme Marguerite, nous sommes plusieurs diplômés prêts à aider nos dirigeants, quels qu'ils soient, à faire le minimum pour leur pays, si possible à travailler avec eux au-delà de tout esprit partisan, pour l'amour de l'Afrique, car les hommes passent, et les œuvres restent.

Mais nos dirigeants ne l'entendent pas de cette oreille, ils préfèrent invités des étrangers avec qui nous travaillions et avons eu les mêmes formations et avons le même niveau, car ils ont encore le complexe de l'autre.

Ce sont nos dirigeants qui ne veulent pas travailler avec les diplômés conscients: ils ont leurs motifs et nous devons nous y faire et aider l'Afrique autrement.

Observez bien Mme Marguerite, la plupart de nos équipes de football préfèrent des entraineurs étrangers à des prix défiants toutes concurrence pendant qu'aucun universitaire n'est soutenu dans ses recherches par son pays, et bien des savants africains partent pour l'Europe, l'Amérique ou aujourd'hui la Chine, pour des salaires que nos dirigeants préfèrent investir dans le football.

Je puis vous fournir des cas récents qui vous donneront des larmes aux yeux, de savants africains ayant fait des découvertes décisives et dont aucun pays africains n'a accepté de financer: voir Séverin Kezeu, idem Agbégnégou et si l'espace me le permettait j'aurais pu vous fournir des sources plus larges sur les nouvelles inventions technologiques faites par des chercheurs africains qui ont du se tourner vers l'étranger faute de soutien sur le continent.

Aussi, même au niveau de la politique scientifique continental mise en œuvre depuis 2007, il y a des dysfonctionnements incroyables entre le NEPAD et l'UA et ce sont toutes ses tares qui nous freinent, mais malgré la situation nous nous organisons au fur et à mesure afin de faire entendre notre voie dans certains milieux car l'enjeu n'est pas de se plaindre mais d'agir là où il le faut pour avoir un impact réel sur la réalité.

Certes, le financement de cette politique par les BAD et les partenaires étrangers posent de sérieux problèmes, mais le pire pour le moment, vient de l'inconscience de ceux qui sont chargés de suivre l'application des ces projets là.

Le drame de l'homme noir vient de son manque d'amour de soi, et cela se retrouve à tous les niveaux, et se traduit malheureusement dans la sphère politique par des comportements tels: l'enrichissement puéril de l'élite dirigeante et de leur entourage.

Nous n'avons absolument rien contre le faites de s'enrichir, mais quand cela devient pathologique, où tous veulent être multimilliardaire pour le simple plaisir d'affirmer qu'ils ont des milliards et qu'en réalité ils ne pourront jamais en faire usage, alors là il y a vraiment un problème psycho-pathologique qu'il faut analyser en profondeur si on veut y trouver une solution raisonnable, ceci au-delà du constat des faits.



En guise de solution: il faut apprendre aux africains à s'aimer, à travailler dur même dans l'adversité et la souffrance.

Il faut cultiver les exemples porteurs et leur dire que l'origine de notre souffrance ne vient pas que de la rencontre avec l'occident, mais surtout de notre manque de conscience et d'amour de soi.

Plusieurs autres peuples ont rencontré l'occident, certes pas dans les mêmes conditions que l'Afrique, mais toujours est-t-il qu'ils ont fini par faire avec et s'en sortir après un dur labeur. Le peuple Africain a toujours su se battre, c'est un grand peuple avec de petits dirigeants à sa tête.

Un peu comme une grande femme, avec un mari inconscient.

Il y a eu l'époque des dirigeants martyrs, Lumuba, Cabral, et le dernier en date, Sankara, il faut à présent chérir leur exemple mais aussi montrer surtout présenter les cas de dirigeants africains qui ont aimé leurs pays et survécus: Sam Nujoma, Qet Masire, Khama, M'Beki, et tous ces autres dirigeants qui se battent de toutes leur force pour sortir des sentiers battus.

La fondation Mohamed Ibrahim a créé un prix d'excellence dans ce sens, afin de développer cette idée, nous pensons à plusieurs autres démarches en cours sur lesquelles nous travaillons avec différents équipes, et nous pensons qu'il faudra encourager ou développer, toutes autres démarches dont le but permet de renforcer la prise de conscience, seule gage d'une Afrique nouvelle et tourner vers le progrès.

Il n'y ni fatalité, ni malédiction, il y a tout simplement des hommes conscients ou inconscients de leur rôle historique et de leur potentiel.

Bien à vous Mme Marguerite.
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  CHEZ LUI
( 17/06/2012 14:06 )
À Saint-avertin / France

[ 6/16/2012 6:05:48 AM ] XINHUANET

Bénin - Societe
Des enfants handicapés dans les rues de Cotonou pour plaider une amélioration de leurs conditions de vie

Quelques 1 500 enfants handicapés du Bénin ont marché vendredi à travers les rues de Cotonou, capitale économique béninoise, pour plaider auprès des autorités politiques du pays une amélioration de leurs conditions de vie.


Partis du Champ de foire de Cotonou pour le Palais des Congrès de la capitale économique béninoise, soit un parcours d'environ deux kilomètres, les manifestants ont rappelé à travers des chants et slogans les droits des personnes handicapées.

"L'enfant handicapé a un potentiel qu'il faut développer" , "Interdire la discrimination fondée sur le handicap dans tous ce qui a trait à l'emploi sous toutes ses formes", "Protéger le droit des personnes handicapées à bénéficier, sur la base de l'égalité avec les autres", ont-ils chanté tout au long de ce parcours.

Dans un message adressé au président béninois, Boni Yayi, le porte-parole des enfants handicapés a plaidé pour une amélioration des conditions de vie des personnes handicapées du Bénin.

"Cher Papa de la Nation, nous sommes victimes de maladresses, de mauvais traitements, de maladies pourtant évitables, qui nous ont naturellement ou accidentellement portés vers des situations difficiles, des situations de handicap, installant la pauvreté qui profite de notre état, en rendant plus difficile un regard d'amour envers nous", a-t-il déclaré.

Pour ce porte-parole des enfants handicapés du Bénin, plus de 41 500 personnes handicapées du pays sont actuellement préoccupées par leur protection.

"A la place de la négligence, de la pitié, nous voulons changer ce regard et bénéficier d'une attention particulière concernant, notre accès à une éducation et une formation de qualité, des subventions spéciales pour soutenir les parents des enfants handicapés et enfin notre prise en charge complète en matière de santé", a-t-il plaidé.

En recevant le message, le ministre béninois de l'Intérieur et de la Sécurité publique, Benoît Dégla, a promis de transmettre ce courrier au chef de l'Etat béninois pour une approche de solution aux doléances soulevées par les enfants handicapés du Bénin.
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  PREMIER PAYS D'ASSASSINAT PRESIDENTIEL EN AFRIQUE
( 17/06/2012 14:17 )
À Saint-avertin / France

http://www.koaci.com/articles-75697
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  Attitude Immoral et degoutant
( 17/06/2012 14:22 )
À Saint-avertin / France

http://www.koaci.com/articles-75700
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  regarder tv
( 17/06/2012 16:06 )
À Saint-avertin / France

vox africa.co.uk
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  Évitons les amalgames mr Pambou.
Alpha Diallo ( 18/06/2012 23:56 )
À Montreal / Canada

Cher Mr Pambou,


C’est avec stupéfaction que j’ai lu la dernière section de votre article. En effet celui-ci contient un biais assez curieux, vu vos solides connaissances en économie et votre profession actuelle : enseignant-chercheur et analyste-consultant en économie/politique du développement.


Vos précédents points de vue sur la monnaie –voir vos articles sur le F CFA- m’avaient déjà laissé assez perplexes et il semblerait qu’un brun de scepticisme vous anime, quant à la capacité des Afro-francophones à se prendre en charge sur le plan monétaire. Je comprends vos inquiétudes, sur lesquelles je ne m’attarderais pas ici, ce d’autant plus qu’elles sont fondées, mais de là à en tirer des conclusions préjudiciables, cela est fort regrettable.


Je doute vraiment de votre objectivité sur ce sujet précis : est-ce vraiment la difficulté de la problématique monétaire qui guide votre réflexion ou d’autres enjeux subtils ?


Le danger de votre raisonnement sur la monnaie et la maîtrise technologique porte sur les amalgames entre : condition nécessaire et condition suffisante ou entre cause et effet.


Néanmoins, je dois admettre que sur les prémisses nous sommes totalement en accord avec vous, cher Mr Pambou : à savoir l’importance de la science, plus précisément de la technologie, comme base de l’épanouissement d’un état.


Cette thèse est admise depuis plus de quatre siècles par les pionniers de l’aventure scientifique moderne : Francis Bacon et René Descartes.
Aussi, dans le premier ouvrage qu'il a consacré à l'Organisation, en 1946, Julian Huxley, premier directeur général de l'UNESCO, reconnaissait en ces termes les perspectives que la science et la technologie ouvraient pour le développement : « l’application des connaissances scientifiques fournit le principal moyen d'améliorer les conditions de vie de l'homme. » Tandis que des notions comme celles de « progrès » et de « développement » se succédaient pendant les décennies qui ont suivi, l'Organisation gardait la conviction que la science était une force majeure dans le processus de développement.


Dans la même perspective, les deux plus grands scientifiques africains du XX ème sièlce, les regrettés Moumouni Dioffo et Cheick Anta Diop, n’ont cessé de plaider pour la thèse selon laquelle, sans la science et la maîtrise technologique, nul développement n’est possible pour l’Afrique.


Donc sur ce point, nous sommes en parfait accord avec vos prémisses.


En revanche, lorsque vous affirmez, je vous cite : ‘’Posséder une monnaie n’a jamais donné les connaissances scientifiques et techniques pour utiliser cette monnaie dans des actions productives. La remarque vaut pour les pays africains qui pensent que la maitrise d’une monnaie propre suffit pour se développer sans la technique ‘,’ nous sommes vraiment étonnés !


Cher Mr Pambou, il est universellement admis que la recherche scientifique et l’innovation sont avant tout dépendants des sources financement -voir les différents travaux en sociologie des sciences- d’ailleurs toute entreprise sérieuse accorde une place de choix au pôle R&D, dont dépend entièrement son devenir.


Autrement dit, le progrès technologique dépend totalement du financement et par ricochet de l’économie et donc de la monnaie. Je suis conscient des limites du cadre de votre analyse, vu que vos publications sur ce site à grand public qu’est Grioo ne vous permettent, peut-être pas, de développer le fond de votre pensée, toutefois même dans les revues de vulgarisation il faut éviter d’entretenir de tels amalgames nocifs pour la réflexion sur les enjeux prioritaires en Afrique.


Pour ne pas alourdir mon explication je ne vais pas détailler mon propos, je vous citerais quelques extraits d’un discours de Kwamé N’Krumah sur cette problématique :
« Par quel autre moyen pourrons-nous conserver nos propres capitaux pour notre propre développement économique ? Par quel autre moyen pourrons-nous créer un marché intérieur consacré aux services de nos propres industries ? Si nous appartenons à des zones économiques différentes, comment pourrons-nous abattre les barrières qui s’opposent au mouvement de devises et des échanges entre Etats africains et comment ceux qui sont économiquement plus forts parmi nous seront-ils en mesure d’aider les Etats les plus faibles et les moins développés ? »


Puis N’krumah rajoute :


« Il est important de se rappeler qu’un financement et un développement indépendant sont irréalisables sans une monnaie indépendante. Un système monétaire qui est soutenu par les ressources d’un Etat étranger est ipso facto subordonné aux arrangements commerciaux et financiers de ce pays étranger. »


Avant de conclure :


« Aucun Etat africain indépendant n’a aujourd’hui par lui-même la possibilité de suivre une voie indépendante de développement économique, et plusieurs d’entre nous qui s’y sont efforcés ont été presque ruinés ou ont dû se laisser ramener au bercail de leurs anciens maîtres coloniaux. Cette situation ne changera pas tant que nous n’aurons pas une politique unifiée opérant sur le plan continental. Une première démarche vers une économie cohérente devrait consister en la création d’une zone monétaire unifiée, débutant par un accord sur la parité de nos monnaies. »


Ainsi, de notre point de vue, si le développement technologique est bel et bien au cœur du progrès économique, il ne peut se réaliser sans un financement solide or qui dit financement solide suppose une autonomie monétaire et donc une indépendance de la politique monétaire. Si le fait d’avoir la maîtrise de sa politique monétaire n’est pas une fin en soi, l’absence de cette condition est fatale pour toute nation désireuse de maitriser son destin.


Bien à vous Mr Pambou.
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