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La Chine et le Cameroun vont renforcer leur coopération |
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Libérez nous de la France ! |
(
22/07/2011 21:10 )
À Lüdenscheid / Germany
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Si seulement cette nouvelle politique pouvait nous débarasser de la France ! |
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chine, france, pourquoi |
Didier_Daan (
23/07/2011 13:43 )
À / Cameroon
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alors qu´il y a des camerounais sur place qui peuvent faire quelque chose. Arrêtons d´être extravertis un moment, svp!
Entre temps au cameroun, on est fièrs d´être con:
Cameroun - Scandale : Bepc et Baccalauréat délibérés à 6 de moyenne
http://www.cameroun24.net/?pg=actu&ppg=1&pp=1&id=2649
je suis franchement impressionné que grioo ne parle pas de cette situation de l´enseignement hyper gravissime de ce pays (dont certains de ce site sont originaires, s´ils s´en rappellent encore). Mais á la place, on nous entertain avec les foxxy brown, marley et sa nouvelle gonzesse, etc. |
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24/07/2011 14:06 )
À Saint-avertin / France
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CAMEROUN: Un partisan de Paul Biya s'en prend à des hauts responsables français et américains
Par mh | 23/07/2011 | 16:14:46 CAMEROUN :: POLITIQUE
Henri de Raincourt (ph) et Paul Biya
: ACTUALITÉ INFO NEWS CAMEROUN:: ARTICLE DE LA RÉDACTION DE KOACI AU CAMEROUN:: ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE CAMEROUN 2011::
Depuis quelques temps, le Rassemblement démocratique du peuple camerounais( Rdpc), parti au pouvoir, développe un discours virulent à l’encontre de certains pays occidentaux.
Principalement la France et les Etats-Unis. C’est que, plusieurs militants de ce parti croient savoir que l’occident manœuvre pour obtenir une alternance au Cameroun. Mardi dernier, invité sur le plateau de l’émission « Cartes sur table », Samuel Wo’o Nko’o, militant du Rdpc s’en est vertement pris à Henri de Raincourt et Eric Silla respectivement ministre en charge de la Coopération de la France et conseiller du sous-secrétaire d’Etat en charge des Affaires africaines. A la question du journaliste Thierry Ngongang qui souhaitait savoir s’il pensait qu’il y a des « menaces extérieures » contre le président Paul Biya et le parti au pouvoir, Samuel Wo’o Nko’o s’en est violemment pris à ces hauts responsables. Il a notamment indiqué que le Cameroun n’a rien à faire des déclarations « d’un obscur ministre ». Sans dire s’il parlait nommément de de Johnny Carson, sous-secrétaire d’Etat en charge des Affaires africaines ou de son conseiller Eric Silla, il n’a cessé de les taxer de « sous-ministre inconnu ». Râlant à la limite, il a indiqué que « n’importe qui peut être ministre » tout en soulignant que ces responsables « n’ont pas de légitimité chez eux ». Vitupérant sur le plateau avec énergie, il a fait savoir qu’on n’a pas à comparer un « sous-ministre » à un chef d’Etat, pour parler de Paukl Biya. Il a enfin tenu à rappeler que le Cameroun n’avait pas de « leçons à recevoir » de ces personnalités « qui ne sont pas élues ».
Les raisons d’une colère
Ces personnalités ont récemment fait des déclarations qui mettent la pression sur le pouvoir de Yaoundé. Henri de Raincourt a confié au quotidien camerounais « Le Jour » que le France souhaite que la prochaine élection présidentielle se déroule « dans la transparence la plus totale ». « La France aura la même position que celle qu’elle a adoptée depuis déjà longtemps, lorsqu’il s’agit d’élections, et en particulier au cours de l’année 2011 où je crois il n’y a pas moins de 13 élections présidentielles dans des pays africains. Donc, la France, de la manière la plus solennelle qui soit, affirme, et personne ne peut prouver le contraire, qu’elle n’a pas de candidat ». Ce qui a le don d’énerver un régime qui a souvent bénéficié du soutien de la France pour se maintenir au pouvoir. Pour sa part, l’ambassadeur américain Eric Silla a répondu sur RFI à la question « Au Cameroun, il n’y a pas d’alternance depuis 29 ans et le président sortant va se représenter pour un mandat de 7 ans. Est-ce que ça vous préoccupe ? » En disant : « Oui, il faut que tout chef d’Etat africain pense à sa succession, à son héritage. Ce n’est pas à nous dire si un tel président doit quitter le pouvoir ou non mais, nous encourageons nos partenaires à penser à la stabilité ».
Des pressions qui mettent le pouvoir de Yaoundé aux abois. Les partisans de Paul Biya n’hésitent plus à recourir à une rhétorique nationaliste pour s’attirer les amours d’un public largement anti-français. « C’est une erreur, analyse un observateur à Yaoundé. Au contraire, si les Camerounais en veulent à la France, c’est parce qu’elle a souvent soutenu Paul Biya contre vents et marées. Tempêter contre la France aujourd’hui en espérant s’attirer l’amour des populations est donc un mauvais calcul » dit-il.
Mh, KOACI YAOUNDÉ
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