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La première comparution de Laurent Gbagbo prévue pour lundi |
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01/12/2011 14:10 )
À Saint-avertin / France
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COTE D'IVOIRE: Le FPI suspend sa participation à tout processus de réconciliation
Par wassimagnon | 30/11/2011 | 21:04:32 CÔTE D'IVOIRE :: POLITIQUE
Laurent Akoun (ph) et ses camarades du FPI ont exprimé ce mercredi soir leur soutien à Laurent Gbagbo
ACTUALITÉ INFO NEWS COTE D'IVOIRE:: ARTICLE DE LA RÉDACTION DE KOACI EN COTE D'IVOIRE ::
© koaci.com - En réaction au transfèrement de Laurent Gbagbo à la Cour pénale internationale, le Front populaire ivoirien, (FPI) a décidé ce mercredi à l’issue d’un Comité central de suspendre sa participation à tout processus de réconciliation.
« En attendant que le secrétariat général en liaison avec les organes exécutifs respectifs de nos alliés du CNRD entreprenne des actions idoines, le FPI sur décision du comité central demande ç tous ses cadres de s’abstenir de toute activité afférant à la réconciliation nationale. Affirme que le transfèrement du Président Laurent Gbagbo signe la rupture du dialogue républicain en cours avec le pouvoir et ses alliés,» a déclaré le secrétaire général du parti Laurent Akoun . Le Fpi ne s’avoue pas vaincu face à la situation que le parti traverse . «Le comité central du FPI demande à tous les militants sympathisants, démocrates Ivoiriens et Africains de se tenir prêts et de rester à l’écoute de la Direction pour les mots d’ordre imminents à venir, » a ajouté Laurent Akoun entouré pour la circonstance par le président intérieur du parti et les autres membres du bureau politique.
Tout en assurant le fondateur du FPI de son soutien et de sa solidarité indéfectible dans l’épreuve qu’il bravera pour le bonheur des Ivoiriens, et des Africains, le comité central dénonce « la collusion du procureur Ocampo avec Alassane Ouattara, sur fond de corruption massive dont les indicateurs sont entre autres la rencontre secrète récente entre les deux hommes à Pris et l’affrètement d’un avion privé par le Président Ouattara pour le transfèrement du président Gbagbo, alors que la CPI dispose de moyens à cet effet .» « Par ailleurs, le comité central condamne ce véritable hold-up politico-judiciaire de transfèrement du président Laurent Gbagbo à la Haye alors que les enquêtes sont en cours, xe qui constitue une violation grave de la présomption d’innocence reconnue à tout être humain. S’insurge contre cet enlèvement politique qui s’apparente plus à une contrainte à l’exil sous le prétexte de mandat d’arrêt international alors que les vrais criminels sont les rebelles et leurs vrais chefs dont les dossiers sont pendants à la CPI depuis 2004,» a conclu enfin le secrétaire général du FPI.
Wassimagnon, KOACI.COM ABIDJAN, copyright © koaci.com
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Jusqu'à Amnesty qui réclame encore |
Charlie (
01/12/2011 16:39 )
À Paris / France
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l'élargissement de l'enquête de la CPI jusqu'aux crimes commis à partir de 2002, donc ceux commis par Ouattara-Soro.
C'est pour vous dire que la CPI en inculpant seulement Gbagbo montre son parti pris et sa soumission aux USA, France et GB.
Une fausse justice en somme |
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REFLEXIONS BASIQUES |
KAK (
01/12/2011 17:14 )
À Paris / France
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C'est inquiétant ce qu on lit sur ce site. Gbagbo l'ange qu on a déféré au tpi comme ça sans raisosn... Soyez un peu raisonné. ce geste ne grandit pas l'afrique mais politiquement, les égosillements des pro gbagbo ne pouvait qu accelerer la sortie du pays de gbagbo. Ils voulaient se la jouer. Et bien voilà. Ils auraient dû aller rencontrer les autorités quand on le leur demandait au lieu de lieu de reclamer sans cesse la liberation de gbagbo. En negociant, justement, ils auraient pu inclure cette demande et pas l ebruiter et faire comme si c est un pre requis. La CI est plus grande que gbagbo il me semble.
Alors vos propos de soumission , corruption... |
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Le KAK moins 40 est de retour |
Charlie (
01/12/2011 19:14 )
À Paris / France
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Cela se voit.
Allez donc dire cela aux milliers de victimes de Duékoué, de San-Pédro, d'Abidjan, ou alors à toutes celles de la région nord, qui depuis 2002 vivent sous la coupe réglée du génocidaire Ouattara.
Que JUSTICE leur soit rendue aussi.
Qu'en faites-vous de ces victimes des rebelles Ouattara-Soro-Dozos ? |
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@ Charlie |
Coolman (
02/12/2011 17:54 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire
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Ces idiots moutons de Wattara veulent reecrire l'histoire recente de la Cote d'Ivoire.
Ils deviennent amnesiques et oublient que ce sont eux qui ont déclenché la guerre en CI et que depuis 2002, ils tuent et égorgent des ivoiriens. Pour quelles raisons ? nous essayons encore aujourd'hui de comprendre.
Ils veulent faire passer en pertes et profits tous leurs crimes commis depuis 2002.
Beaucoup de choses vont sortir dans ce procès. |
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03/12/2011 05:32 )
À Villecresnes / France
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C'est n'importe quoi si on juge Gbago, on doit également le faire pour Ouattara et sa clique et c'est franchement scandaleux qu'il soit jugé au pays bas.
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@charlie |
KAK (
05/12/2011 01:47 )
À / France
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Charlie,
je suis ok avec toi. Un chef est supposement responsable de ses elements si je puis m exprimer ainsi. Par consequent, si gbagbo y va , ouattara doit suivre. JE suis personnellement contre ce transferement. Y a deja eu une guerre , qui a été nourriepar des propos acerbes, surtout de la part du camp gbagbo, y a qu a venir sur ce site pour voir jusqu ou les types allaient.... Bref, la cpi n est pas un lieu où on va demander a gbagbo de reciter son cours d histoire de la ci depuis 2000. Il est soi disant inculpé de certains crimes et ils vont se focaliser sur cela.. Le but n est pas de refaire les elections comme certains en rêvent.Il va lui etre demandé s il a ordonné aux forces armées d intervenir etc....
J aime bien ceux qui comme ble goude , disent que ça fait une tribune a gbagbo pour s exprimer. L exil ne lui reussit pas celui là. Il a pété une durite.Si c ets une tribune, et bien qu il demande à la cpi de venir le chercher là où il est. Franchement.. Lui il est plus responsable que gbagbo de tout ... A chauffer la tête de milliers de jeunes...Et à la fin il prend la fuite. Meprisable. |
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togo |
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05/12/2011 22:53 )
À Saint-avertin / France
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Les populations d’Agoè dans les rues pour exiger la délocalisation du champ de tir
[12/5/2011] | liberte-togo.com
La Fédération ANC Golfe nord a organisé une marche à Agoè pour protester contre la destruction unilatérale du cimétière, la présence du champ de tir des FAT, la pollution des nappes d’eaux par les eaux usées de la Brasserie du Bénin.
Agoè Sogbossito est à l’instar d’Agoè Nyivé une localité qui regroupe presque toutes les ethnies du Togo et en choisissant cette zone de la banlieue nord de Lomé, les organisateurs de la marche de protestation sont certains que le contenu du message qui sera délivré, atteindra tous les coins et recoins, et toutes les composantes ethniques de la banlieue. Ils étaient quelque 2500 manifestants à s’ébranler devant le supermarché Leader Price d’Agoè pour la Mosquée Khalid Bin Walid à Agoè Sogbossito où s’est tenu un meeting.
Prenant le premier la parole, le Président fédéral ANC du Golfe Nord, Sévérin Adra, a dépeint le zèle avec lequel l’administration sécuritaire du pays a mis en branle une dizaine de véhicules remplis de corps habillés pour encadrer cette modeste manifestation et la présence dans les murs du parti orange, du ministre de la Sécurité le colonel Gnama Latta pour la même raison. Il s’est demandé si toutes ces mesures de sécurité existaient avant qu’on ne tue allègrement une quinzaine de filles dont les corps sont jetés aux abords du champ de tir.
Parlant toujours au nom des populations d’Agoè, il a demandé entre autres, que le champ de tir soit délocalisé afin de préserver la quiétude des habitants, qu’un nouveau cimetière où reposeront les âmes des défunts, soit aménagé sans délai pour la banlieue, que la brasserie du Bénin fasse une dizaine de forages dans la zone où elle déverse ses eaux usées et ses rejets mélangés d’acide, car le fleuve Adjou qui pourvoit les riverains en eau de boisson, de lessive et pour toute autre activité nécessitant l’usage d’eau, a été souillé des rejets de la brasserie. Toujours selon le président fédéral, des êtres qui n’ont d’égard ni pour les vivants, ni pour les morts ne peuvent qu’être qualifiés de « voyous ». « Comment un cimetière construit par les ancêtres peut-il être qualifié de réserve par l’administration actuelle ? », s’est -il interrogé.
L’honorable Ahlin Bruce, Secrétaire national aux affaires politiques et député à l’Assemblée Nationale, est, lui, revenu sur l’arbitraire qui a sous-tendu leur mis à l’écart de l’hémicycle et les démarches qu’ils ont entreprises et continuent d’entreprendre quant à leur retour pour exercer le mandat à eux confié par le peuple. Il a ensuite expliqué l’ardent désir des membres du bureau national de l’Anc de venir éveiller la conscience des habitants de Sogbossito afin que si dans les jours à venir, on venait solliciter leur vote pour des élections futures, qu’ils scrutent attentivement le visage pour déterminer si ceux-ci sont des « voyous ou des voleurs », car ils vont bientôt commencer à écumer les quartiers, à la recherche de voix. Il a terminé en rendant hommage aux chefs traditionnels qui ont marqué de leur présence cette marche en bravant toute forme de menace qui pourrait peser sur leur personne ou leur trône. Il a précisé à l’attention des manifestants que ce n’est pas l’autorité administrative qui installe ou choisit la chefferie mais plutôt la population, et l’autorité ne fait que constater les choix des populations et donc à ce sujet, les chefs traditionnels présents ne devraient craindre aucune forme de menace sur leur trône.
La manifestation a pris fin sur des sons patriotiques surtout ceux du chanteur reggae Rasly : « Essou néné, egnon néné », (littéralement : ça suffit comme ça, ça va comme ça) ; en référence à ... Suivez les regards.
Godson K.
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