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Retour à l'article: Limogeage du Dg de la Rti: la main lourde d'Alassane Ouattara
  Limogeage du Dg de la Rti: la main lourde d'Alassane Ouattara
S'agit-il d'un indicateur de ses méthodes de gouvernance ?
 
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Limogeage du Dg de la Rti: la main lourde d'Alassane Ouattara

Nombre de messages
:  21
Pages:  1  2 > >> 

  L’Ode à la patrie : un texte, un esprit . ces musiques me calme, en attendant qu'ont butte mossi Drame, s'il ne nous reste plus que la guérilla et le sabotage, de tout ce qui est FranSSais, nous le feront pour voir ces chiens et NAZIS, déguerpir de chez n
yuotam ( 03/08/2011 13:24 )
À Colmar / France

1L’Ode à la Patrie est un texte composé de six (6) strophes et d’un refrain.

L’étude de ce texte permet de dégager cinq (5) principales phases :

Strophe 1 : Thème : Conscience patriotique, édification de la Côte d’Ivoire.

Mille nuits d’excellence
Ont bâti mon pays
Mille nuits d’espérance
Ont forgé ma Patrie

Notre beau pays, la Côte d’Ivoire, a été bâti dans la souffrance de son peuple qui l’a forgée comme un orfèvre.

Strophe 2 : Thème : Défense de la Patrie par la détermination, la résistance et la bravoure

A travers le temps
Sous le feu des vents
Et la fureur des tanks
Moi, je marcherai
Pour te magnifier

Commentaire : La résistance individuelle et populaire en dépit de toute menace.

Strophes 3 : Thème : Libération du pays, liberté

L’aurore s’est levée
Le coq a chanté
Le jour est arrivé
Pour ta liberté

Commentaire : Un nouveau jour qui annonce la liberté du peuple se lève sur la Côte d’Ivoire

Strophe 4 : Thème : Conviction et détermination

Au fond de nos cœurs
La foi et l’ardeur
Ce chant de vaillance
Pour bercer nos consciences

Commentaire : Par arracher cette liberté, il faut être courageux et convaincu de la noblesse de la lutte.

Strophe 5 : Thème : Paix, amour, unité.

Si la Paix et l’amour
Sont ta lumière du jour
Si le rêve d’unité
Épouse tes idées

Strophe 6 : Thème : Pardon, réconciliation nationale et reconstruction du pays

Si malgré toutes ces peines
Ton cœur est sans haine
Si pour bâtir demain
Tu sais tendre la main

Commentaire : La restauration de la cohésion nationale et la Paix ne se réaliseront qu’au prix d’énormes
sacrifices après la grave fracture sociale provoquée par la guerre.
C’est, réconciliée avec elle-même, que la population ivoirienne reconstruira le pays.

Refrain :
Thème : Patriotisme, détermination, responsabilité, dignité, unité

Patriote ! Ivoirien !
Ta belle histoire
S’écrira de gloire
Patriote ! Ivoirien !
Ta détermination
Sauvera ta Nation
Patriote ! Ivoirien !
Ta fière Côte d'ivoire
Est dans ton regard
Patriote ! Ivoirien !
Tous haut les cœurs
Ensemble on ira !

Commentaire : Une nouvelle page de l’histoire de la Côte d'ivoire est en train de s’écrire grâce à l’éveil de la
conscience patriotique. Cette histoire doit être belle et glorieuse.
A l’heure de la victoire, nous serons tous heureux et fiers d’avoir assumé nos responsabilités et d’avoir pris
en main le destin de la Côte d’Ivoire. Alors, ensemble, vaillamment, nous pourrons reconstruire notre pays
sur la base de la dignité, de la détermination et de « la vraie fraternité ».

Pour avoir les chants complets, aller voir sur ce lien:

http://jaimelacotedivoire.blogspot.com/2011/07/cote-divoire-chant-patriotique-lode-la.html

Chant
Récital poétique
Chorale
Duo
Marche militaire
Sax
Piano
RNB
Gbégbé
Ambiance



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  LA DOZOCRATIE SOUTENUE PAR LES GRIOOS FRANCAFRICAINS!
( 03/08/2011 14:40 )
À Easton / United States

Audace Institut Afrique-2/8/2011

Alors que les combats au nom de la démocratie ont fait trembler la Côte d’Ivoire ces derniers mois ; alors que cette même démocratie a réuni un parterre impressionnant d’hommes d’Etat à Yamoussoukro autour de multiples personnalités venues du monde entier pour célébrer, le 21 mai dernier, l’investiture d’Alassane Ouattara ; alors que le Président ivoirien est reçu dans divers sommets internationaux et à la Maison Blanche en tant que démocrate modèle, que disent les faits en Côte d’Ivoire ? Où en sont la démocratie et l’Etat de droit tant annoncés et attendus ?

Le Président Ouattara, lors de sa prestation de serment, a juré solennellement de respecter et de défendre fidèlement la Constitution ivoirienne. Le bilan de ses premiers mois d’exercice du pouvoir conduit cependant à s’interroger car les irrégularités juridiques et les manifestations d’un glissement vers l’autocratie ne manquent pas d’éveiller l’attention et l’inquiétude.

En effet, la constitution ne l’autorise nullement à décréter la fin du mandat du Parlement. Cette dissolution de fait de l’Assemblée nationale est même totalement illégale, d’autant que la Constitution ivoirienne instaure une séparation rigide des pouvoirs au sens où l’Exécutif ne peut dissoudre le Législatif et inversement. Toutes les tentatives de justifications de cet acte grave, toutes tergiversations juridiques sont nulles et non avenues. Il s’agit bel et bien d’un viol de la Constitution. Cet évènement préoccupant qui marquait les prémisses de la nature autocratique du pouvoir ne semble pourtant pas avoir ému outre mesure les Ivoiriens ni le reste du monde. Sans Assemblée nationale, le pays est gouverné par des ordonnances totalement illégales et des décrets. Même le budget n’a pas été soumis aux représentants du peuple.

Les dernières nominations au Conseil constitutionnel vont également dans cette logique du non respect des textes fondamentaux car ni la durée des mandats, ni le quota de nominations qui revient au Président de l’Assemblée nationale n’ont été respectés. Le nouveau Président de l’institution a été nommé pour 3 ans alors que les textes prévoient un mandat de 6 ans. La situation est d’autant plus loufoque que le mandat de l’ancien président ayant pourtant investi Alassane Ouattara n’avait pas encore expiré.

D’autres faits méritent d’être soulignés car hautement inquiétants :

- Le gouvernement se permet de procéder à des nominations à des postes administratifs. A l’époque le l’ancien Président Gbagbo, on s’insurgeait, à juste titre, contre le favoritisme dans les concours administratifs, aujourd’hui nous en sommes à des nominations discrétionnaires ;

- Le chef de l’ancienne rébellion a été nommé chef d’état major des armées ce qui, indépendamment de toutes hypothétiques compétences, est moralement indéfendable. Cette récompense semble ostensiblement signer les accointances entre la rébellion et Alassane Ouattara ;

- Le protectionnisme économique s’enracine à travers des marchés de gré à gré protégés et réservés prioritairement à des entreprises françaises. Ce favoritisme constitue un brigandage économique grave qui exclut les Ivoiriens et les autres nations de la compétition. En période de reconstruction chacun devrait avoir une chance de conquérir une part du marché et le jeu de la concurrence permettrait de stimuler la qualité, la baisse des prix et l’esprit d’entreprise ;

- Le financement public repose essentiellement sur l’aide publique internationale ce qui brise la relation entre les dirigeants et les populations, sachant qu’ils sont plus soumis au diktat des prêteurs qu’à la volonté des Ivoiriens. De plus, cette augmentation massive du volume de la dette fragilise grandement les générations futures et l’indépendance de la Côte d’ivoire ;

- Le gel des avoirs des opposants qui se fait de manière totalement anachronique signe la volonté de liquidation de toute opposition ;

- La répression dans le milieu des médias se fait ouvertement. Le siège d’un journal pro-Gbagbo est toujours occupé par des hommes en armes. De nombreux journalistes figurent sur la liste des personnalités sanctionnées ou emprisonnées pour des raisons juridiques demeurant floues. On ne peut assoir la justice sur l’émotion. La liberté de la presse est un principe intangible. Il ne peut y avoir de décisions arbitraires à l’encontre des journalistes. Si leurs écrits sont contestables ou dangereux, il convient de s’appuyer sur des faits précis pour les traduire en justice. Le mélange de genre est inquiétant car il signe cette volonté de gouverner sans limite et sans contestation.

Est-ce pour ce modèle de société que tant d’Ivoiriens sont tombés ces derniers mois ? Tout cela pour ça ? Au-delà, le silence de la communauté internationale et singulièrement de la France et des Etats-Unis d’Amérique semble signer une vérité que tout le monde tait car elle n’est pas politiquement correcte à savoir que les grandes puissances ont intérêt à installer des dictatures tropicales. En effet, elles leur assurent des monopoles protégés dans les secteurs stratégiques de l’économie ainsi que la domination nécessaire à la perpétuation de leur impérialisme, synonyme de recul de l’envahisseur chinois. Quel investisseur étranger voudrait tenter sa chance dans un pays où l’Etat de droit est inexistant si ce n’est en ayant la certitude d’un marché protégé ? C’est ainsi la porte ouverte à une économie de réseau et à la corruption.

A ceux qui crient que le libéralisme est injuste car il favoriserait la domination des plus forts sur les plus faibles, la situation ivoirienne apporte concrètement un argument bien opposé car d’évidence, les monopoles ne peuvent exister que dans un environnement politique autoritaire dans lequel l’Etat a un pouvoir arbitraire. Cela est bien lointain du libéralisme qui favorise lui un secteur concurrentiel profitable au plus grand nombre et un Etat minimum qui limite son action à ses prérogatives premières : la justice et l’environnement sécuritaire pour tous.

La Côte d’Ivoire s’éloigne de l’Etat de droit et, osons dire, l’Etat de droit y est totalement inexistant actuellement. Le mot démocratie est totalement vidé de son essence sachant qu’une démocratie qui se limite à un simple bulletin dans l’urne ne représente rien et peut même devenir tyrannique si elle n’est enrichie de libertés et de contre-pouvoirs protégeant les populations des abus. Il est donc important de rester vigilant et de ne pas noyer pudiquement l’inacceptable dans une sorte de fatalisme compréhensif. « Nous n’y pouvons rien », « ça va aller ! » Certes ça va aller mais plutôt vers la dictature si le fatalisme anéantit toute volonté de combat pour la liberté. Cette liberté qui, partout ailleurs, permet à la pauvreté de reculer serait-elle interdite aux Ivoiriens ? Libertés individuelles, liberté d’entreprendre, droit de propriété, économie de marché, sont le véritable socle du progrès.

L’histoire nous enseigne que l’autoritarisme conduit toujours à la violence. La Côte d’Ivoire a suffisamment souffert depuis la mort de Félix Houphouët Boigny. Il est temps que les populations prennent conscience qu’un avenir meilleur est possible sur la voie de la liberté et que cet avenir ne pourra être arraché que dans l’effort acharné et déterminé d’une société civile qui se doit de devenir forte au nom des principes même de l’humanité et en la mémoire de tous ceux qui sont tombés au nom de la démocratie dans le pays.

La politique de l’autruche, le fatalisme, la complicité silencieuse, la complaisance malsaine, doivent faire place à une société civile forte qui dénonce les dérives de leurs dirigeants. Peu importe d’ailleurs la couleur politique, la roue tourne inexorablement et ceux qui profitent du pouvoir absolu aujourd’hui seront un jour dans le groupe des opposants. Cependant, si les fondements de la démocratie sont ébranlés et réduits à néant, ils le seront durablement et eux-mêmes en subiront les affres lorsqu’ils ne seront plus dans le clan des protégés. Dire Non, mettre en garde, dénoncer, c’est également aider le pouvoir à canaliser sa puissance. C’est aussi l’aider à résister aux tentatives hégémoniques de forces extérieures. Une société civile forte et active est un argument à disposition de l’Etat pour ne pas se laisser mener n’importe où par des puissances étrangères et singulièrement l’ancien colonisateur d’autant que celui-ci est intervenu activement dans la crise ivoirienne ce qui lui laisse penser que tout est désormais permis pour lui dans le pays.

Selon la Constitution de Côte d’Ivoire, le véritable souverain est l’individu. Le souverain est donc l’Ivoirien et à ce titre le gouvernement a des comptes à lui rendre. L’homme doit prendre conscience de sa place réelle au sein de son propre pays. La société civile doit agir en conséquence de manière responsable et se doit de dénoncer par la plume et la voix tant qu’il est encore temps. Lorsque les armes gronderont, il sera déjà trop tard. A cette heure, il ne restera face au peuple que de fades miroirs dont les reflets crieront : « Et si ! » Et si les abus étaient dénoncés aujourd’hui pour éviter le chaos de demain ?

Gisèle Dutheuil, directrice d’Audace Institut Afrique
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  LA FRANCE EN DEROUTE EN LIBYE
( 03/08/2011 15:00 )
À Easton / United States



C’est le champ du cygne pour le CNT et le retrait probable de l’Otan la queue entre les jambes...

La période estivale est un calvaire pour les sans-abris, mais aussi pour le Gouvernement français qui a honteusement misé sur un tocard en Libye. Saif el-Islam a nargué les soldats de l’apocalypse. Les 258 millions d’euros que Sarkozy vient d’octroyer aux renégats de Benghazi, ces islamistes assumés et traîtres à leur Nation sans contrepartie, ne serviront pas pour la guerre (paie des salaires des soldats de pacotille ou les achats d’armes). Cet argent a été donné simplement pour l’achat des consciences. Fichtre.

Depuis la mort violente du général Younès, la donne a changé sur place à Benghazi. On assiste désormais quotidiennement à des escarmouches entre les insurgés. Il y a d’abord le soulèvement de la tribu de Warfallah dont nous parlions ce matin. Ensuite, la révolte du clan Younès de la tribu surpuissante des Obeidi qui a juré de se venger de sa mort. Ce conflit interne au CNT a déjà causé la mort de pas moins de 300 personnes, sans oublier les enlèvements. A l’heure où nous bouclons ce billet, des combats sont toujours signalés à Benghazi entre les factions des galopins de Benghazi.

Ironie du sort, les victimes collatérales des heurts de Benghazi sont les Français et les Anglais. La tribu Obeidi, l’une des plus puissantes de Libye, a capturé 15 instructeurs étrangers (Français, Anglais, Qataris). Il faut donc payer des rançons pour espérer leur libération et les autorités françaises ont institué une omerta médiatique sur ces faits, de peur de courroucer l’opinion publique face à ce qui s’avère aujourd’hui comme un échec cuisant en Libye.

Ce qui est reproché aujourd’hui au CNT par ses propres membres et... l’Otan, c’est d’avoir permis son phagocytage par les islamistes d’Al Qaïda. Quand le vieux leader clamait haut et fort que ce groupuscule terroriste était derrière les fous de Benghazi, personne ne l’a cru. D’ailleurs, les responsables savaient mais, ils ont préféré s’allier à la pire racaille parce qu’il espéraient en tirer un avantage rapide. Hélas, rien ne se passe comme convenu ou espéré.

Plus de 2000 chefs de tribus ont refait allégeance à Mouammar Kadhafi, d’où la sortie triomphale de son fils Saif El-Islam hier. Il est venu remercié les Libyens, plus que jamais derrière son père. Pire, ces chefs de tribus demandent à leur tour l’arrêt immédiat des bombardements meurtriers de l’Otan qui ne peuvent plus que se concentrer sur les populations civiles ou les dépôts de nourritures. Le souhait étant que la population se soulève. Or, les autorités libyennes au courant de ce plan diabolique, ont vite réagi, pour mettre à l’abri des denrées alimentaires.

Les évènements récents à Benghazi ont démontré le degré avancé de putréfaction du nid de vipère caché derrière le CNT. Sans être devin, la dissolution, que dis-je, la dislocation du CNT arrive à la vitesse grand V. Sans jouer les Nostradamus du dimanche à l’image du duo de choc amateur Sarkozy-Cameron qui avaient misé sur une « guerre éclair » en Libye, le CNT ne survivra pas à la mort du général Younès.

La question aujourd’hui est de savoir, après l’ultimatum du clan Obeidi reçu par l’Otan d’arrêter ses bombardements sur le sol libyen, si ceux-ci vont s’exécuter. Toujours est-il que Moustapha Abdeljalil, le pseudo chef du CNT, a été rabroué par les révoltés de son camp. Personne à Benghazi n’écoute plus cet apprenti sorcier. Maintenant, songe-t-il finalement à un exil quelque part à Londres ou Paris ? C’est clair, Mouammar Kadhafi est entrain de gagner sa lutte contre la coalition impérialiste des bras cassés occidentaux...

Allain Jules

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  On vous avait dit...
olmèque ( 03/08/2011 17:44 )
À Montreal / Canada

" S'agit-il d'un indicateur de ses méthodes de gouvernance ?" . Les débats ont fait rage un peu partout sur le net en parlant de ça. Et voilà que maintenant, des voix s'élèvent comme surprise... WE TOLD YOU!!
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  sa le loupe
aka ( 03/08/2011 19:57 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire

il as se qu il merite c est un lache
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  ( 03/08/2011 15:00 ) À Easton / United States
( 04/08/2011 02:08 )
À Villejuif / France

Partage les sources mon frère!

http://allainjules.com/2011/08/03/libye-le-cnt-ne-controlerait-plus-benghazi/

http://allainjules.com/2011/08/03/libye-depart-de-lotan-exige-mais-bhl-perore/

http://allainjules.com/2011/08/03/libye-misrata-debacle-des-rebelles/



est-ce que quelqu'un a d'autres sources? c'est bizarre le black out total et soudain sur ce dossier
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  brou aka pascal
Mankoun N'zué ( 04/08/2011 02:14 )
À Paris / France

TRES TRES BIEN FAIT le suivant sera VENANCE KONAN

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( 04/08/2011 03:15 )
À Chilly-mazarin / France

Les rédacteurs de Grioo vont payer aussi pour avoir rendu service à un génocidaire massacreur d'Ivoiriens depuis 10 ans.
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( 04/08/2011 03:24 )
À Chilly-mazarin / France

Cela fait 10 ans, non, 20 ans que les Ivoiriens et quelques Africains savent qui est vraiment alassane ouattara le drama et tous les signaux prouvait que ce monsieur est un criminel mythomane depuis 10 ans, mais personne ne voulait les écouter. On voulait mettre "la démocratie" chez eux à leur place soi disant...Ca fait longtemps que ce ado on le connait et je suis sûr que son diplôme en économie machin chose là c'est de la foutaise
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  Mon opinion
( 04/08/2011 11:58 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire

c'est une face de dictature limoger un directeur innocent pour une faute qui devrait etre sanctionné depuis le haut.Mr ouattara ne doit pas oublier que cette façon de diriger ne marche plus avec le peuple.alors,on attend les ministres et les proches du président qui doivent etre eux aussi sanctionés car c'est du haut que le président devrait commencer avant d'en arriver au DG de la RTI.ou on le remet à sa place.
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  Je ne comprends toujour rien.
BROU Gossé ( 04/08/2011 13:49 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire

La raison du limogeage du DG de la RTI telle que évoquée par le ministre de tutelle ne tient pas. Pourquoi le ministre qui lui même est en charge de la communication n'a pu informé le DG de la RTI du changement de l'heure d'arrivée du président? Pourquoi n'a-t-il pas été sanctionné lui aussi?
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  La françAfrique
Tsoua ( 04/08/2011 14:16 )
À / France

Sans être un oiseau de mauvaise augure, la françAfrique c'est la dictature, la pensée unique, mode de gestion de la france dans la zone francophone.La france pour le pillage de cette zone , n'accepte pas la démocratie, et pour information à tous les frères, la révolution de jasmin n'arrivera pas jusqu'à nous, ce pays hautin, siffisant fera tout pour que leurs sot disant interêts ne sont pas menacés. Donc nous devrions doublé d'efforts pour liberer nos pays, et il est plus que temps à l'heure de la mondialisation, sinon nous vivrons encore une recolonisation
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  La démocratie selon un assassin!
Mahamat ( 04/08/2011 19:32 )
À Juvisy-sur-orge / France

Brou Gossé, mon frère d'Abidjan, ta question est pertinente et, au fond, explique clairement qu'il s'agit d'un limogeage qui n'a rien à voir avec ce qui a été dit.

Brou aka est un journaliste intrépide et compétent, tt le contraire de la girouette Venance Konan. L'afrique a et aura besoin de ce genre de journalistes au-dessus de tout camp, et qui veulent relayer l'information proprement.

Malheureusement, il y'a aujourd'hui plus de mendiants que de véritables journalistes

Quant à Ouattara, il tombera, comme un fruit mûr. Ce n'est pas un homme d'état, comme d'ailleurs le sont la plupart qui sont arrivés au pouvoir en marchant sur les morts.Malheureusemnt, il est bien connu que l'on ne fait pas carrière sur les morts ; C'est un mort en sursis. Il a tellement versé le sang de ses frères et soeurs que ses jours et ceux de son arriviste et vendu Soro sont comptés.

Bonne chance à Brou aka qui pourra rebondir ailleurs, même s"il cherchait avant tout à servir sa patrie.
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( 04/08/2011 19:58 )
À / Anonymous Proxy

faites pas semblant de vous interroger sur le bonhomme,vous savez tres bien ce qu'il y a derriere le masque de democratie,arretons donc cette hypocrisie vous etes devenus blancs ou quoi?
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  GESTION DOZOCRATIQUE DES AMIS DE LA REDACTION DE GRIOO
( 04/08/2011 21:08 )
À Easton / United States

Malgré les discours officiels, la nouvelle donne politique n’a toujours pas abouti à l’unicité des caisses. Au contraire, les ex-Forces nouvelles ont élargi leur système de prédation à la région du Moyen-Cavally. Les paysans de l’ouest du pays qui ont cru voir la fin de leur calvaire qu’ils enduraient depuis le déclenchement de la crise armée en 2002, avec l’arrivé du nouveau pouvoir, commencent à le regretter amèrement. Ils ont vite fait de déchanter tant l’espoir a fait place à la désillusion.



En effet, une économie de guerre a été installée dans les zones centre, nord et ouest (Cno) depuis 2002. Alors que l’on espérait maintenant avec l’installation du nouveau pouvoir la réunification du pays et de son économie, certains continuent d’entretenir des «caisses noires». Outre l’Etat, l’une des principales victimes sont les pauvres paysans profondément éprouvés par la crise post-électorale qui en paient le prix fort.

A Guiglo, Bloléquin et Toulepleu pour ne citer que ces localités du Moyen-Cavally, c’est le même constat. Les populations sont rançonnées sous peine d’être arrêtées, accusées d’avoir combattu et bastonnées. A titre d’illustration, à Bloléquin, Zéaglo, Guiglo, ou encore à Péhé, etc., il existe des «quittances» de 5000 francs CFA obligatoires, délivrées par les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci). Elles valent pour une durée de 3
mois pour tout propriétaire de moto. En sus, une somme de 1000 ou 500 francs est exigée à chaque passage sur les barrages, dont le nombre s’est accru sur les pistes de campagne, contrairement aux discours des nouvelles autorités et de la hiérarchie militaire qui appellent à la libre circulation des biens et des personnes.

Au bas mot 1 à 2 milliards de francs CFA de « gains » sur le cacao

Au niveau du binôme café-cacao, une taxe est perçue sur les chargements et le transport vers la ville et à partir de la ville. Tout véhicule entrant ou sortant d’une ville de l’ouest avec un chargement de cacao doit s’acquitter dans un premier temps d’une somme de 3000 francs et dans un second temps payer aux hommes en armes 5 francs par kilogramme du contenu de sa cargaison. Donc si l’on fait un petit calcul, un chargement de 30 tonnes revient à payer la rondelette somme de 150 000 francs. Quand l’on sait également que la région du Moyen-Cavally produit entre 20 000 et 300 000 tonnes, la rapine (butin) serait au bas mot entre 1 et 2 milliards de francs que brassent ces «pilleurs» en période de traite de cacao d’une durée ferme de 3 mois.

Enorme manque à gagner pour l’état

Pire, le cacao mis en pépinière qui doit être transporté dans les forêts pour la création ou le renouvellement de plantations est soumis à «impôts» par les Frci. C’est entre 5000 et 10 000 francs à débourser pour franchir chaque barrage «sauvage» installés par ces derniers. C’est un énorme manque à gagner non seulement pour l’Etat, mais aussi et surtout pour les paysans. Qui seront sans toute forme de procès «grugés» par les acheteurs et les pisteurs pour combler à leur tour ce déficit. Mais au-delà, ce comportement qui doit être combattu énergiquement pourrait décourager les planteurs et réduire la production de cacao, pilier de l’économie ivoirienne. Cette situation engendre d’autres conséquences comme le retour timide des opérateurs économiques et aussi des populations qui se sentent traquées et intimidées comme l’indique le dernier rapport d’Amnesty International.

C’est pourquoi, il serait urgent que l’Etat central se penche sérieusement sur cette économie «parallèle» de guerre pour assainir cette zone de l’ouest qu’on pourrait comparer au Far West américain d’antan où régnait le désordre absolu. Et applique sur le terrain le discours de «rigueur» du gouvernement. A moins que le pouvoir n’érige le fait de dire une chose et de faire le contraire en méthode de gouvernement .
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( 04/08/2011 21:10 )
À Easton / United States

NB:Il s'agit d'un article du Nouveau Courrier
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( 04/08/2011 22:22 )
À Saint-avertin / France


SENEGAL: Les délestages reviennent, en plein Ramadan


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Par Malickou Ndiaye | 04/08/2011 | 12:55:01 SéNéGAL :: SOCIéTé


ACTUALITÉ INFO NEWS SENEGAL:: ARTICLE DE LA RÉDACTION DE KOACI EN SENEGAL ::RAMADAN 2011::

Pas d’électricité l’essentiel de la journée. Une énergie qui ne revient que quelques heures par jour. La capitale est frappée par ces délestages mais aussi l’intérieur du pays. Des quartiers ne voient pas le courant pendant des jours. Et c’est le silence total des autorités qui n’arrivent pas à donner les explications claires. Attention à ces désagréments,car les populations peuvent sortir à tout moment : l’on se rappelle de la journée du 27 juillet dernier ,où le fils du président de la République faisait appel à l’armée française.

Les coupures ont repris de plus bel au Sénégal : le soir,c’est le retour des bougies en pleine rupture des jeûnes.La situation est devenue dramatique depuis quelques jours : les sénégalais n’arrivent pas à avoir les explications nécessaires. « On est dans le désarroi. Le soir, nous coupons dans le noir,sans compter la chaleur. Il est difficile de jeûner toute une journée sans avoir le courant ;ça fait mal au cœur. Je pense que les autorités veulent pousser les populations à sortir dans la rue » nous confie une jeune fille que nous avons trouvé dans la cour de sa maison à la cité Djily Mbaye,non loin du domicile du célèbre lutteur sénégalais mohamed ndao tyson.

Dans tous ses états,la jeune fille déplore le silence des autorités,particulièrement le fils du président de la République ; elle en veut à karim. Parce qu’il est « incompétent » dit-il.

« Dormir dans les maisons est impossible, il fait trop chaud. Alors on sort dehors et on attend. Les gens causent jusqu’à 3-4h du matin et vont dormir quand le courant revient » martèle un jeune. Lui,il est aux parcelles assainies : ses populations sont privées de courant depuis 72 heures.

A la suite,nous nous sommes rendus à la Medina,un autre quartier populaire de Dakar ;ce quartier est plongé dans le noir depuis 24 heures. Les maisons sont étroites et les gens ont du mal à dormir dans la rue. C’est pourquoi,elle ne souhaitent pas la pluie dans la nuit.Puisque, depuis 24 heures, les populations dorment dans la rue.

Les habitants de la Médina sont très remontés contre les autorités ; ils menacent de se faire entendre dans les prochaines heures,si le courant n’est pas revenu. Il ne s’agit pas seulement de ces quartiers qui sont privés de courant :c’est presque tout le Sénégal.Quand,nous nous sommes rendus à l’agence Vincent à Dakar,le personnel n’a pas voulu se prononcer. On nous renvoie de gauche à droite, même le service de communication n’était pas en mesure de nous fournir des informations.

C’est une dame caissière qui s’est approchée à nous pour dire qu’il s’agit d’une panne. Avant d’ajouter : « ce n’est pas seulement Dakar qui n’a pas le courant ;c’est tout le Sénégal » a-t-elle laissé entendre.
En tout cas, l'’économie est frappée de plein fouet par ces délestages. Le manque de courant empêche la plupart des artisans d’exercer et du coup de gagner de quoi subvenir aux dépenses quotidiennes ;sans compter les gérants de cyber ou tailleurs.

Même dans les rédactions des journaux,ceux qui n’ont pas le groupe vivent la galère :pour dire que la situation est grave au Sénégal: donc,les journalistes ont du mal à travailler.

Certains services publics sont également déstabilisés. En période de délestage, les postiers doivent ainsi essuyer la colère des Sénégalais qui viennent retirer l’argent envoyé par un proche et doivent attendre le retour du courant pour que les ordinateurs puissent fonctionner.

Malickou Ndiaye,KOACI DAKAR



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  47ans de meme famille au pouvoir
( 05/08/2011 12:39 )
À Saint-avertin / France



Togo: Un appui de 3,3 milliards FCfa de la France au Togo
[8/4/2011] | XINHUA




Le gouvernement togolais a obtenu de la France un appui financier de près de 3,3 milliards de FCfa dont la convention a été signée jeudi dans la capitale togolaise, a appris l'agence Xinhua de source officielle.







L'intervention financière servira dans les travaux d'assainissement avec recherche d'une nouvelle décharge finale pour la capitale togolaise et aussi dans le renforcement des capacités de gestion financière au niveau de la Commune de Lomé.

Depuis bientôt un an, le gouvernement togolais a ouvert plusieurs chantiers de réhabilitation des infrastructures routières et aussi d'assainissement dans la capitale togolaise.

Ils sont inscrits dans un vaste programme de modernisation qui a obtenu l'appui des partenaires financiers et techniques.

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( 05/08/2011 18:35 )
À Saint-avertin / France



Horreur à Abidjan, un bus plein tombe dans la lagune


Par amycocos | 05/08/2011 | 11:47:14
CôTE D'IVOIRE :: SOCIéTé
Vue du bus à sa remontée pont Félix Houphouet Boigny et du dispositif de secours à Abidjan ce vendredi à 14h08gmt (ph LD)

ACTUALITÉ INFO NEWS COTE D'IVOIRE:: ARTICLE DE LA RÉDACTION DE KOACI EN COTE D'IVOIRE ::

On ne peut décrire la scène d’horreur ce vendredi matin sur le pont Félix Houphouet Boigny à Abidjan. Un bus de la Société des Transport Abidjanais (SOTRA) rempli de passager est tombé dans la lagune dans le sens Plateau-Treichville aux alentours de 6h gmt. En effet, ce dernier qui, selon les témoignages recueillis sur place par l"équipe de Koaci, roulait à vive allure sur le pont a, voulant éviter une voiture, "glissé" et traversé la rambarde de sécurité pour tomber dans les eaux de la lagune que travers le pont. Le bus est passé sur la voiture, l'écrasant avec sa conductrice, morte sur le coup avant de, par effet de rampe avec la voiture, se soulever pour traverser le pont et tomber dans la lagune. Le bus avant de tomber est resté durant quelques minutes en équilibre sur la rambarde avant de plonger dans la lagune, ce temps aura permis à certains chanceux d'avoir le temps de sortir du bus.

Qui du chauffeur du bus ou de la conductrice est à l'origine du drame? Aucune réponse à cette heure, seules indications, la vitesse observée du bus par les témoins.

"J'ai vu le bus arriver à toute allure dans mon rétroviseur et d'un coup il s'est déporté et je l'ai vu tomber net dans la lagune" nous livre, sous le choc, la conductrice d'un véhicule qui devançait le bus au moment de l'accident. Un peu plus loin dans l'autre sens, à bord de son véhicule, un autre témoin attestera aussi de la vitesse observée du bus "La vitesse à laquelle ça c'est passé est incroyable, d'un coup, Hop, il s'est comme envolé pour finir par dessus le pont, imaginez vous la vitesse à laquelle il devait aller".

Selon notre constat sur place, après une série de survol d'hélicoptères, l'Onu, la Force licorne et les sapeurs pompiers ivoiriens; arrivés sont arrivés peu après l’accident et tentent de sortir de l'eau les passagers du bus engloutis dans les eaux de la lagune. Le délais entre l'accident et l'arrivée progressive de ces derniers s'annoncera sans nul doute fatale pour les passagers prisonniers des eaux.

Pour l'heure nous comptons 5 survivants dont le premier qui, sachant nager, a réussi à briser la vitre et remonter rapidement à la surface tout en replongeant pour tenter de sauver d'autres passagers. Ses efforts permettront de sauver 2 femmes que ce dernier remontra à la surface, épuisé malgré son envie de replonger et continuer seul et ce devant une foule de badauds inactifs postés sur le pont, ses compatriotes en pleine noyade. Trois autres ont réussi à sortir du bus avant son basculement vers la lagune.

Les secouristes plongent actuellement pour tenter de sortir les corps des désormais prisonniers des eaux de la lagune ébriée. "C'est terrible en plus plonger dans la lagune est difficile, les eaux sont troubles donc manque de visibilité et la profondeur à laquelle le bus est tombé contenu du poids de ce dernier rend encore plus difficile notre travail" indique lui aussi quelque peu sous le choc un militaire français de la force licorne à ses côtés un pompier ivoirien ajoutera " Ils sont tous mort à cette heure, que peut on faire d'autre à part repêcher les corps sans nous même risquer notre vie, c'est terrible".

Notons, même si à cette heure aucune estimation du nombre de passagers qui remplissaient le bus est connue voire rendue publique, qu'à ces heures non de pointe matinale (6h du matin), les bus de la Sotra sont généralement assez remplis par des travailleurs, des élèves, des dockers du port et l'axe dégagé permettant de rouler à vive allure.

Nul doute, au regard du temps que nous avons passé sur le pont à attendre la remontée des corps par les secours que le bilan mortuaire sera très lourd et ce n'est pas les regards désespérés observés chez la plupart des sauveteurs qui rassureront les familles des victimes.

Notons par ailleurs selon nos informations que la vitesse autorisée sur le pont FHB est limitée à 50 km/h pour les bus.

La Côte d'Ivoire est ce vendredi en ces jours de préparatifs de fête nationale, peut être, en attendant de connaitre les véritables raisons, même si le chauffeur risque de faire aussi parti des victimes, une fois de plus endeuillée par l'irresponsabilité ambiante des conducteurs du pays que nous n'avons de cesse de condamner sur Koaci.

Amy, KOACI ABIDJAN
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Mankoun N'zué ( 05/08/2011 22:21 )
À Paris / France

@ Mahamat ( 04/08/2011 19:32 )
À Juvisy-sur-orge / France

allassane ouattara n'a pas versé le sang de ses frères et soeurs bourkinabé il a versé et il continue à verser le sang des Ivoiriens


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