Retrouvez Grioo.com sur votre mobile: http://m.grioo.com
Grioo.com   Grioo Pour Elle       Village   TV   Musique Forums   Agenda   Blogs  
   Samedi 21 Juin 2025 RECHERCHER : Sur Grioo.com  Sur Google 
 Accueil  Rubriques  Archives  Forum     Qui sommes-nous ?     

   

AccueilRubriquesArticleRéaction
 
Retour à l'article: Longévité au Pouvoir en Afrique : voyage au Royaume de la Démocratie
  Longévité au Pouvoir en Afrique : voyage au Royaume de la Démocratie
Pourquoi l'Afrique ne fera plus exception aux principes démocratiques
 
 Publicité 
 
Ecrire une réaction

Longévité au Pouvoir en Afrique : voyage au Royaume de la Démocratie

Nombre de messages
:  4
Pages:  1  

 
( 16/06/2011 20:45 )
À Crawley / United Kingdom

Le premier paragraphe a lui seul contient tellement d'afirmations gratuites qu'il est impossible de lire la suite.......
Ecrire une réaction
 
( 16/06/2011 21:11 )
À Saint-avertin / France

AfriqueAfrique du SudAlgérieAngolaBéninBotswanaBurkina FasoBurundiCamerounCap-VertCentrafriqueComoresCongoCongo (RDC)Côte d'IvoireDjiboutiEgypteErythréeEthiopieGabonGambieGhanaGuinéeGuinée BissauGuinée EquatoKenyaLesothoLibériaLibyeMadagascarMalawiMaliMarocMauritanieMozambiqueNamibieNigerNigeriaOugandaRwandaSao ToméSénégalSierra LeoneSomalieSoudanSwazilandTanzanieTchadTogoTunisieZambieZimbabwe ThemeTOUTPolitiqueSciencesEconomieCultureSportTribuneSociétéTecnologies



TOGO: Arrestations et lacrymo à la cité universitaire à la veille de la manifestation de l'opposition


Commenter

Partager
Imprimer



Se Connecter :





Par Aghu | 15/06/2011 | 21:26:14 TOGO :: SOCIÉTÉ


:: Article de la rédaction de Koaci.com au Togo::

Crise Universitaire/ Le président du MEET arrêté, les étudiants exigent sa libération

La tension vient de monter d’un cran à l’Université de Lomé. Aujourd’hui, les affrontements entre forces de sécurité et étudiants ont donné lieu à des scènes d’une rare violence. On dénombre, plusieurs blessés et des arrestations dont celui du président du MEET, Adou Seibou, leader du mouvement de contestation. Visiblement, la réouverture du campus n’a pas levé toutes les zones d’ombre

On est bien loin des sourires affichés par les autorités gouvernementales et universitaires à l’issue de leur rencontre avec les représentants des associations estudiantines le 06 mai dernier. En effet, pour elles, le procès verbal signé conjointement avec ces derniers tenait lieu d’accord et devrait donc sonné le glas de tous mouvements de revendications. Mais du côté des étudiants et notamment du Mouvement pour l’Epanouissement de l’Etudiant Togolais (MEET), on ne l’entendait pas de cette oreille « Un procès verbal ne peut en aucun cas tenir lieu d’accord. En déclarant cela, le Gouvernement fait une fois de plus preuve de mauvaise foi. Nos revendications sont loin d’être satisfaites et nous allons maintenir la pression en invitant nos camarades à rester mobiliser » nous avait alors confié le président du MEET au lendemain de la rencontre.

Le campus rouvert, mais les étudiants ne cèdent pas

La réouverture du campus le 09 juin n’aura rien changé à leur position. De fait, ce jour-là, sur l’appel de son mouvement, les étudiants refusèrent d’intégrer leurs salles de classe et autres amphithéâtres en signe de protestation. Invitant ainsi les responsables de l’Université à reprendre le dialogue. Ces derniers n’auront pour autre réaction que de dépêcher sur les lieux un détachement de la Police Nationale qui installé à bord de pick-up sillonnent le campus à longueur de journée. Ce qui n’a portant pas dissuader les étudiants de reconduire leur mouvement de grève sur le mardi 14 juin.

L’assemblée générale qu’ils devaient tenir aux environs de 08 heures, n’aura duré que quelques minutes. Un détachement de gendarmes vint y mettre fin en dispersant les étudiants à coups de gaz lacrymogènes. S’ensuit une course-poursuite à travers le campus. Le président du MEET fut vivement pris à partie et s’en sortira avec une blessure à la jambe due à un une grenade lacrymogènes tirée à bout portant. Ce qui ne l’empêcha pas de conduire un groupe d’étudiants au niveau de l’Ambassade des Etats-Unis pour un sit-in. Un rassemblement aussitôt dispersé par les forces de sécurité. Outre le président, Adou Seibou, on dénombre d’autres blessés dont un à la poitrine qui de l’avis des étudiants, seraient due à une balle blanche. S’en était fini pour cette journée.

Les forces de sécurité plus violentes que jamais

Ne cédant pas de toute évidence à l’intimidation, aujourd’hui donc, les étudiants ralliaient de nouveau le campus pour faire entendre leurs voix. Mais les forces de sécurité les attendaient de pieds fermes. Après s’être rassemblés au niveau de la Faculté de Droit (FDD) à l’appel du MEET, les étudiants prenaient la direction de l’Amphi 600 pour y tenir une AG quand les policiers entraient en scène. Sans aucune sommation, ils tiraient des gaz lacrymogènes dans la foule provoquant un mouvement de panique et la débandade dans le camp des étudiants. Ces derniers replièrent et se retrouvaient au niveau de la FDD. Ils reprenaient à peine leurs esprits quand ils furent chargés par deux pick-up filant à vive allure appuyés par des tirs nourris de gaz lacrymogènes. Les deux engins encerclèrent alors le président du MEET, Adou Seibou. Celui-ci fut roué de coups de matraques et de bottes avant d’être jeté dans un pick-up pour une destination inconnue.

La LTDH aux côtés des étudiants

Cette arrestation loin de les décourager, suscita un mouvement de colère des étudiants. Ils répliquaient alors avec des jets de pierre. Les gendarmes n’en demandaient pas tant. Ce fut alors un déluge de gaz lacrymogènes qui au lieu d’être tirés en l’air, visaient directement les étudiants. Les coups de matraque et de bottes parachevaient le travail. Les blessés à la tête et aux jambes dus aux tirs à bout portant des gaz lacrymogènes se comptent par dizaine. C’est tout ce beau monde qui prit la direction de la Ligue Togolaise des Droits de l’Homme pour faire cas de la répression des forces de sécurité et exiger la libération du président du MEET. Après avoir reçu des membres du bureau du Meet dont le 1er vice-président, Ouro-Agoro Ilyassou et la secrétaire général, Mamah Ramanatou Me Raphaël Kpandzé-Adzaré, président de la LTDH fit alors une déclaration à l’endroit de leurs camarades regroupés devant le siège de la Ligue. Il leur dit avoir pu rencontrer le président du MEET et un autre de leur camarade, un certain Moukaïla Ouro, tous deux gardés à la gendarmerie Nationale. Ces derniers présentaient des hématomes prouvant qu’ils ont été tabassés. Une situation qu’il déplore et dont il aurait fait cas au Ministre de la Sécurité , Gnama Latta. Celui aurait promis veillé à ce que les droits des interpellés soient respectés. Néanmoins, une délégation composée des membres de la LTDH et du bureau du MEET est allé à la Gendarmerie Nationale leur rendre visite.

Un groupe d’étudiants pas tout à fait rassuré et faisant fi des recommandations du président de la LTDH leur demandant de rentrer chez eux a prit la direction de la GN. « Il faut qu’ils (les autorités gouvernementales) sachent qu’ils (les interpellés) ne sont pas seuls et que nous sommes avec eux. On doit leur montrer que nous sommes déterminés » disait l’un d’eux pour encourager ses camarades. Enfin un qui a compris les sens d’une lutte revendicatrice.

Aghu, Koaci.com Lomé


Ecrire une réaction
  Non Mr Lado votre affirmation ne correpond pas au faut historique.
Alpha Diallo ( 16/06/2011 21:25 )
À Montreal / Canada


Pour des raisons indépendantes de ma volonté, je ne puis détailler ma pensée sur ce site.

Mais, l'histoire des royaumes Ashanti, Yoruba, Fon, et celle de bien d'autres royaumes africains, contredisent votre hypothése de départ, selon laquelle le concept de démocratie n'existerait pas dans certaines cultures africaines.

D'ailleurs, même en Europe, il faut remonter à la grèce antique, chez Platon et Aristote, pour avoir les premières définitions de cette catégorie.

Toutefois, au niveau politique, hormis l'Angleterre avec la révolution d'Olivier Cromwel, il n'y avait pas de régime démocratique en Europe avant le XIX ème siècle.

Partout en Europe, on n'avait plutôt des royaumes féodaux.

Il a fallu attendre le la seconde moitié du XIX ème siécle, pour que la réalité démocratique prenne naissance, et encore... ... ...

En réalité, c'est au cours de la seconde moitié du XX ème siècle, que le fait démocratique a été définitivement adopté par tous les peuples d'Europe, ceci à des rythmes différents, car le Portugal de Salazar et l'Espagne de Franco, ont été les derniers en Europpe occidentale à y arriver.

Et dans certains de ces pays, les femmes n'ont eu des droits égaux aux homme, il y a peine quarante ans, donc il n'y pas si longtemps.

Voir les analyses de Luc Ferry et de bien d'autres spécialistes francais, à ce sujet.

En Afrique, le problème des systémes politiques se posent de facons différentes, et vous faites bien de le signaler dans votre article, car l'Afrique centrale, reste une exception dans l'exception.

De toutes les facons, les enjeux sont ailleurs, i.e. au-delà des régimes politiques que les africains adopteront dans les années à venir... .... ...


Aussi, je vous invite à consulter les travaux d'un frère politologue camerounais, Mr Mathias Owona N'guini, il pourra vous donner des détails plus précis que moi, au niveau historique.

Puisque vous avez laissé votre email, pas de problème, vous aurez une réponse adéquate et générale à votre article.

Ecrire une réaction
  L'homme africain n'est pas assez entré dans l'histoire
Nicolas Ier, Sarközy de Nagy-Bocsa ( 18/06/2011 14:17 )
À Villiers-le-bel / France

Amis Africains,

De toute façon, nous Européens savons que bous n'êtes qu'une race vile et servile. C'est pourquoi il est du devoir d'une grande nation comme la France de s'occuper de vos ressources naturelles. En attendant que vous preniez l'exemple de l'Asie et du Moyen-Orient pour mettre en place une civilisation digne de ce nom, je vous ordonne de promouvoir l'identité naZionale franSSaise. Car elle est un appel à la raison et à la conscience universelle.

Comme au Cameroun, au Tchad, au Congo, en Gambie, au Sénégal, au Togo, en Centre-Afrique, au Burkina Faso, au Guinée, au Niger, à Madagascar, au Gabon, en Erythrée, au Djibouti, au Biaffra, en Mauritanie, au Rwanda, au Burundi, nous souhaitons, en Côte d'Ivoire, préserver les intérêts supérieurs de la patrie des droits de l'homme blanc. Voilà pourquoi cette promotion sans retenu à l'endroit de nos serviteurs les plus zélés comme ces dictateurs françafricains, francs-maçons ( à l'instar d'idriss débile!) , est primordiale. En effet ces derniers sont de la trempe des roitelets nègres qui sacrifièrent les ancêtres des noirs Américains et des Antillais aux négriers Arabes et Européens. Le travail de ces laquais doit aboutir à une coopération plus étroite entre l'Empire Français et ses satellites africains au détriment de l'Empire du milieu. Afin d'assurer à la nation française des débouchés économiques et un accès privilégié aux matières premières.

Suivez donc l'auguste vérité de cet ali bongro aliénée en vous accouplant à des cochonnes, comme l'émotif leopold senghor, ce zombie d'abdou wade, alassane "oie à rat" et sa oie blanche, la ramatoutou qu'on a tenue en laisse à l'Elysée. Afin de pondre des bâtards sans race, sans racine ni identité. Lorsque vous serez suffisamment entrés dans l'histoire venez donc me voir pour que nous ne parlions plus d'homme à vous mais enfin d'homme à hommes. Surtout évitez les kamo-nubiens comme Sankara, Lumumba, Biko et consort...

La supériorité de la race blanche que je représente est évidemment éclatante et il ne tient qu'à vous que l'humiliation des nègres ne soit pas plus cuisante. Pourquoi restez-vous bêtement dans cet ordre immuable où la nature commande tout? Indéniablement vous représentez ce fameux chainon manquant entre les premiers primates hominidés et la splendeur de l'humanité, l'homme moderne de type Européen. D'ailleurs, vous avez le nez si écrasé et d'affreux cheveux crépus qu'il serait presque impossible de vous plaindre. Courage amis Africains mon beau pays, la France, est de votre côté. Sortez donc davantage de la pré-histoire et de votre répétition pour vous enfin inventer un destin! Je vais vous faire entrer tout droit dans la glorieuse histoire de France et de Navarre.

Nicolas Ier, Sarközy de Nagy-Bocsa,

Président de la Monarchie Républicaine betteravière française
Ecrire une réaction

Nombre de messages
:  4
Pages:  1  
 
 
Le site des femmes noires et métissées | Grioo Village | English version