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Nigeria : l'investiture de Goodluck Jonathan à la une de la presse |
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Ouais genre.... |
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30/05/2011 16:02 )
À Boulogne-billancourt / France
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On sait que c'était pour Ouattara et là encore pour faire comme ci Ouattara n'était pas l'exception préfet de France...
Mais bon, on va voir combien de temps ils vont pouvoir faire ça finacièrement, histoire de bien rigoler...sur ces incapables qui n'ont rien d'autres à fouttre qu'à jeter notre argent par les fenêtres!!!
Aussi bien l'argent des pauvres africains, que des pauvres français, pour des plans médias à la limite du ridicul et qui ne pourraient même pas tromper un singe!!! |
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C'est pour être investit roi des "cons" qu'il à trahi sa race y comprit ses frère noir Koudou Laurent GBAGBO |
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30/05/2011 21:44 )
À Burnhaupt-le-bas / France
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Voici le pays de ce clown de service ou il y a pleins de cadavres dans les rues, personne ne les ramassent.
Voici encore ce pays de dingues en liberté, ou les fous d'allah et du christ, se font sauter la tronche a coup de bombes, sans oubliés ceux qui siphonnes les pipe line en oubliant d'éteindre leur mégot.
c'est encore ces Nigérians, qui ont foutue la chienlit en eburnie, en libérant d'autres fils de putes des prisons, des pays de faux frères qui entourent le pays d'éburnie, tous des lâches. |
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voixclaire (
30/05/2011 22:09 )
À / Anonymous Proxy
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C'est le règne des hommes malhonnêtes en afrique et on espère sincèrement avec ça s'en sortir un jour,quel continent maudit vraiment,des contremaitres et sous prefets a la tête de nos états |
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30/05/2011 22:49 )
À Saint-avertin / France
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CI: Abidjan sous couvre feu à 22 heures
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Par amycocos | 30/05/2011 | 19:46:43 CÔTE D'IVOIRE :: SOCIÉTÉ
21H20gmt ce samedi soir devant un des rares restaurants ouvert de la rue des jardins (ph Amy)
:: Article de la rédaction de Koaci.com en Côte d’Ivoire ::
Les jours passent et la situation ne s’arrange guère en Côte d’Ivoire, l’insécurité y est grande et influence négativement toute dynamique d’un retour à la normal tant attendu.
Plus rien dans la capitale économique à compter de 22 heures, à l’approche de cette heure devenue repère, le si peu de maquis et restaurant ouverts vous pressent de finir pour fermer.
Voici plus d’une semaine que nous parcourons Abidjan le soir, pour constater ou non de la reprise tant annoncée mais pour leur loin d’être gagnée. En effet, la paralysie entamée depuis le début de la crise post électorale est toujours palpable.
Ce samedi soir aux alentours de 21h15gmt, après avoir traversé le boulevard Latrille des deux plateaux de Cocody sur lequel malgré un groupe de jeune trouvé devant la seule discothèque ouverte, nous empruntons au feu du carrefour Duncan l’axe qui ouvre sur la fameuse rue des jardins, bien connue des noctambules et autres « dîneurs ».
Longeant les restaurants fermés, nous nous arrêtons dans un restaurant libanais connu pour servir très tard d’ordinaire. « C’est que pour emporter, on ferme dans 30 minutes », voici le message d’accueil du serveur qui telle une hôtesse vient nous délivrer tout excité, le message.
Avant même de connaître les raisons de notre venue, voire de ce que l’on désirerait commander, alors que d’autres serveurs s’activent à nettoyer et ranger les tables et chaises, que les cuisiniers finissent de préparer leurs derniers sandwich chawarma attendus de près et guettés par une file d'impatients clients près à traverser la vitre de protection qui les sépare de la cuisine, que le tenancier est entrain de faire les comptes, face à notre étonnement l’interlocuteur sera bref mais dissuasif : « on ferme tôt à cause de la situation ». Tentant d’en savoir plus sur son sentiment il nous répondra : « y’a trop d’insécurité, la direction ne veut pas prendre de risque et pour nous autres, passé une certaine heure, il n’y a plus de taxis pour rentrer donc on ferme tôt mais au moins on ouvre, je suppose que vous avez constaté que nous ne sommes pas nombreux ».
En rentrant sur le plateau, c’est deux barrages de Frci que nous rencontrerons, rappelant l’époque Gbagbo si ce n’est que la maîtrise de la langue française fait défaut. Au deuxième barrage, à notre grande surprise, alors qu’un élément armé contrôle le véhicule, un deuxième vient à notre hauteur, apparemment curieux et à notre grande surprise nous interpelle avec une question qui en dira long : « T’es quelle race ? ». Face à notre désarroi, nous protestons quant à la teneur et aux sous entendus de la question, le ton monte et un « gradé » qui a suivi la scène vient alors à notre niveau. Alors que l’élément curieux insiste pour nous faire sortir, nous interpellons le « gradé » qui fait office de chef du barrage avec ses billets de 1 000 FCFA qui sortent de sa poche, tel un butin de racket ponctué à la file de taxi et autres véhicules stationnés, et nous lui faisons part des propos du jeune soldat. Ces derniers se mettent alors à discuter en Djoula et la encore le ton monte. Le chef, béret rouge sur la tête, après avoir recadré l’élément curieux, nous fait alors signe de partir.
Avant de finir notre périple du samedi soir, pensant en avoir fini, deux soldats Frci nous arrêtent avant l’entrée du plateau. Ces derniers nous demandent de l’argent pour soi-disant leur « carburant ». Habitué à cette nouvelle pratique, nous tentons de leur expliquer que nous sommes moisis après avoir laissé tout notre argent sur les précédents barrages. Par chance, ils nous laisseront repartir, d’autres en situation similaire, se voient arracher leurs véhicules devant eux, impuissants.
Nous comprenons mieux désormais le pourquoi de la demande express à la France de Ouattara pour la gestion par l’armée française de la sécurité intérieure du pays. Sans nul doute à cette heure, la seule garanti plausible pour un retour à la confiance générale. Reste désormais à savoir comment se passera le redéploiement des forces de l’ordre et l’encasernement de ceux qui terrorisent l’esprit et le quotidien des Ivoiriens.
Ouattara a promis que tout sera réglé à son retour en Côte d’Ivoire prévu pour ces prochains jours, en attendant, la situation reste peu rassurante.
Amy, Koaci.com Abidjan
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02/06/2011 20:54 )
À Saint-avertin / France
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Les hôpitaux publics du Togo paralysés par une grève du personnel
[6/1/2011] | Mo5-togo.com
Fin aujourd’hui de la grève de 72 heures lancée par le Syndicat national des praticiens hospitaliers du Togo (SYNPHOT). Les centres hospitaliers publics togolais ont été paralysés depuis trois jours par cette grève du personnel soignant. Dans la journée du lundi, les responsables syndicaux, pour donner une chance à la négociation, ont montré leur bonne volonté en rencontrant les autorités. Ainsi, ils ont rencontré le ministre de la santé Komla Mally et son collègue du travail et de l’emploi Nicoué Octave Broohm. Mais faute de propositions concrètes des autorités à leurs doléances, le SYNPHOT a enclenché le mouvement qui est largement suivi dans les hôpitaux de Lomé ainsi que ceux de l’intérieur du pays.
Compte tenu des engagements pris par le gouvernement et qui sont demeurés sans suite, cette fois-ci le SYNPHOT n’a plus voulu se faire tourner en bourrique par les autorités qui font des promesses rien que pour désamorcer des mouvements sociaux. Une fois ces mouvements passés, les autorités ne tiennent pas leurs promesses. Plusieurs accords ont été conclus entre les deux partenaires notamment en 2008 et en 2010, ce dernier a été paraphé par le Premier ministre mais n’a jamais été appliqué.
Au cours de ce mouvement de débrayage, seul le service minimum est garanti. Les patients admis dans les hôpitaux publics sont dirigés vers les structures privées. Les réanimations et les urgences restent cependant fonctionnelles avec les manques chroniques que l’on sait.
La principale revendication des praticiens hospitaliers togolais est le statut particulier du personnel. Une condition qui leur permettrait de mieux servir les patients, disent-ils.
Le personnel hospitalier togolais est en queue de peloton des médecins les mal payés dans la sous région ouest africaine, en compagnie de la Guinée Bissau. Les conditions difficiles dans lesquelles vivent les praticiens hospitaliers n’encouragent pas les étudiants en médecine togolais formés au frais du contribuable togolais à l’étranger à regagner le pays. Ils rechignent à revenir au pays servir la nation, préférant rester à l’étranger, surtout lorsqu’ils n’ont pas les moyens pour ouvrir une clinique privée. Il y a plus de médecins togolais à l’étranger qu’au Togo.
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