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Retour à l'article: Nkosazana Dlamini Zuma élue présidente de la commission de l'Union Africaine
  Nkosazana Dlamini Zuma élue présidente de la commission de l'Union Africaine
Elle a battu le gabonais Jean Ping ce dimanche à Addis Abeba en Ethiopie
 
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Nkosazana Dlamini Zuma élue présidente de la commission de l'Union Africaine

Nombre de messages
:  14
Pages:  1  

 
( 16/07/2012 01:23 )
À Cergy / France

Qu'il degage le sale ping pong franc-maçon soumis à la France!!!!!!!!!!!
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  85,000,000 DES francophones en Afrique
( 16/07/2012 10:47 )
À Saint-avertin / France

Plupart des guerres en Afrique étaient orchestrent par la Francophonie . Les dictateurs les plus durées au pouvoir en Afrique sont des Francophones . Les peuples les plus pauvres en Afrique sont les Francophones . Les Africains les plus dénis de la démocratie sont les Francophones .Les Africains qui ne dispose pas leur propre devis sont les Francophones.Les pays ou l'Armée colonialistes sont présent sont les pays Francophones . Par statistique il y a 220,000,000 des Francophones dans le Monde .
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  Méfiance quand même
Charlie ( 16/07/2012 13:13 )
À Pantin / France

L'on peut certes se réjouir de l'échec de Jean Ping et de l'arrivée de cette femme à la tête de la commission de l'UA, mais il faut raison garder quand même.
N'oublions pas l'épisode de la CI où Jacob Zuma, dans un premier temps, a donné l'impression de soutenir Gbagbo et de stigmatiser la France de Sarkozy, pour mieux lâcher le premier par la suite.

De toutes les façons, ce sera mieux que ce chien-chien de la France.

Wait and see.
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  POWER
EMA ( 16/07/2012 13:30 )
À Paris / France

Le pouvoir appartient au pouvoir... quoi de plus logique?!
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  "je ne suis pas anglophone, je suis zouloue"
( 16/07/2012 16:36 )
À Amsterdam / Netherlands

Belle démonstration de maturité chère grand sœur. Que cette phrase sonne exquise et très africaine! Seul une vraie femme Africaine peut sortir une expression pareille de sa mémoire. Ces charognards commencent à trembler déjà car vous avez un passé très brillant, une personnalité notable et résistante que chaque jeune africain, instruit ou pas aperçoit comme sa mère.
De plus vous n’êtes pas une demie africaine comme l’autre qui n’est jamais connue une lutte quelconque dans son existence et qui expose, à chaque sortie, sa soumission presque acceptée. Dans trois ans nous y irons avec vous comme la première Africaine vers l’Etat fédéral Africain. Votre victoire n’est pas une coïncidence mais un prélude déjà inscris dans la vallée du Nil. Que nos ancêtres vous accompagnent dans cette mission.
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  L'Afrique digne
( 17/07/2012 01:10 )
À Les Mureaux / France

Ce fut une compétition âpre, dure, quasiment sanglante. Et, au final, la candidate qu'on donnait perdante a emporté le morceau. La Sud-Africaine
est devenue, le 15 juillet, la présidente de la Commission de l’Union africaine (UA), en battant le sortant, le Gabonais Jean Ping, avec 37 voix, soit trois de plus que la majorité requise.

Nous le disons très clairement : cette élection, fruit de la ténacité de la diplomatie du pays de Nelson Mandela, de la solidarité sans faille de l’Afrique australe et du courage d’un nombre grandissant de chefs d’Etat du continent, est une excellente nouvelle. Il s’agit là de la victoire de l’Afrique digne sur l’Afrique soumise et sur les réseaux françafricains qui n’ont cessé d’agiter le spectre d’une Afrique du Sud "dominatrice" et "sûre d’elle", voire impérialiste – argument surprenant de la part de certaines personnalités et pays à l’échine particulièrement souple quand il s’agit de suivre, voire de tenter de précéder, les desiderata de Paris ou de Washington.

Il faut retourner à la genèse de ce combat singulier pour prendre la mesure de l’enjeu de ce triomphe. C’est bel et bien parce que Tshwane (ex-Pretoria) s’est sentie excédée par l’incapacité de l’administration Ping à dire non aux prétentions occidentales en 2011, lors des aventures impériales de Côte d’Ivoire et de Libye, qu’elle a décidé de jeter toutes ses forces dans la bataille pour le mettre hors d’état de nuire, et se donner les moyens d’un leadership dont l’objectif est très clairement de dire la parole singulière et indépendante d’une Afrique qui veut plus que jamais s’affranchir et assumer sa destinée dans le cadre de la mondialisation.

La candidature sud-africaine est née de notre pétrification à tous devant les insensés bombardements sarkoziens sur la résidence du chef de l’Etat de Côte d’Ivoire [Laurent Gbagbo, avril 2011] et de l’image traumatisante de la dépouille déshonorée d’un "guide libyen" vaincu – pas par son peuple mais par l’Otan.

Le spectaculaire affaiblissement de Ping ces derniers mois est un signe des temps. L’Afrique peut changer. L’Afrique peut oser. "Quand les temps sont durs vient le temps des durs." Dans ces temps qui tanguent, où les Etats du continent sont menacés d’implosion par l’impérialisme occidental et l’esprit de conquête des islamistes, dans ces temps où Muammar Kadhafi, le mécène fantasque, est mort assassiné par les ennemis de l’Afrique, il faut une personnalité forte et compétente, soutenue par un pays puissant, pour relever nos têtes. Nkosazana Dlamini-Zuma est cette personnalité. L’Afrique du Sud est ce pays. L’Afrique du Sud est un pays industrialisé, une figure forte du groupe des pays émergents qui montent sur la scène internationale, les fameux Brics – Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud – et que le continent ne peut plus ignorer dans un contexte d’affaiblissement inexorable d’un Occident par ailleurs de plus en plus belliqueux.

Dlamini-Zuma est à la fois une femme politique compétente et une militante crédible de la cause africaine. Son pedigree parle pour elle. Actuelle ministre de l’Intérieur, elle a remis de l’ordre dans un département particulièrement mal géré, selon de nombreux observateurs. Elle est louée pour sa rigueur et sa capacité à s’entourer de collaborateurs de qualité. Quand elle était ministre des Affaires étrangères sous Thabo Mbeki, elle a été le principal artisan de la "diplomatie tranquille" en direction d’un Zimbabwe que les Occidentaux étaient prêts à déstabiliser pour faire payer à Robert Mugabe sa politique de redistribution des terres. Courageux ! C’est elle qui a cogéré le dossier ivoirien à partir de novembre 2004 et remis sur pied le processus de paix là où la France officielle, alors incarnée par Jacques Chirac, avait juré la perte de Laurent Gbagbo.

Nkosazana Dlamini-Zuma est également créditée d’un franc-parler rafraîchissant dans le morne cénacle de la diplomatie continentale. Elle refuse par exemple l’opposition permanente et stérile entre francophones et anglophones. Verbatim : "On applique des programmes convenus par tous, donc on ne consulte pas les anglophones et les francophones. On prend ce qui est décidé collectivement et on l'applique sans crainte. Je ne suis pas anglophone, je suis zoulou."

Mais la tâche de Dlamini-Zuma sera difficile, et les chausse-trapes nombreuses. Il faut à tout prix éviter que l’UA subisse le sort de la Ligue arabe, totalement neutralisée, au point que le Moyen-Orient est devenu l’arrière-cour de l’Otan sans que personne ou presque ne s’en offusque. Dlamini-Zuma hérite de plusieurs dossiers particulièrement complexes. Le Mali d’abord. La république démocratique du Congo, ensuite. Qui délivrera ce pays-trésor des "nouveaux prédateurs" qui s’appuient sur le voisin rwandais pour se livrer à leur pillage continu ? Comment prévenir un conflit au Togo en choisissant de faire avancer la cause de la démocratie ? Comment éviter une nouvelle guerre en Côte d’Ivoire en utilisant les leviers de la diplomatie préventive ? Quelles recettes utiliser en Somalie, inquiétant no man’s land ? Comment conjurer le spectre d’une nouvelle "guerre de pauvres" entre les deux Soudans ?

Pour réussir, la nouvelle présidente de la Commission aura besoin du soutien continu des Etats à qui elle doit son élection, des Etats qui se rallieront à son panache, mais également des leaders d’opinion continentaux auxquels il faudra expliquer les grands enjeux sans langue de bois. Pour qu’enfin le combat pour l’unité africaine devienne une cause populaire.

Théo Kouamouo. www.lenouveaucourrier.info
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  Kouamouo théo dagnrin !blablabla
( 17/07/2012 02:48 )
À Mandres-les-roses / France

Occupe toi de ta grosse brousse de bantoue et surtout libère ta foret de biya le dictateur
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  Belle article Kouamouo
( 17/07/2012 14:05 )
À Paris / France

C'est ça qu'on attend des vrais journalistes... il n'en existe plus qu'en Afrique!!!
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pdg ( 17/07/2012 18:08 )
À Aubel / Belgium

Il faut plus de femmes aux commandes sur ce continent.
Encore ....
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( 17/07/2012 19:14 )
À Chessington / United Kingdom

Au fait a quoi sert ce poste...????
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( 17/07/2012 23:18 )
À Gießen / Germany

On attend d' elle qu' elle commence par rendre cette institution financièrement indépendante du colonisateur. Car il est difficile de mordre la main qui nous nourrit.
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( 18/07/2012 13:42 )
À Saint-avertin / France

http://www.koaci.com/articles-76312
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( 18/07/2012 13:48 )
À Saint-avertin / France

http://www.koaci.com/articles-76322
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( 20/07/2012 13:27 )
À Djelfa / Algeria

BONNE OPINION ET & BELLE FORMULE

L’Afrique peut changer. L’Afrique peut oser. "Quand les temps sont durs vient le temps des durs."
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