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Paris va lever le gel des avoirs libyens en France |
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numéro 7 (
16/12/2011 13:24 )
À Paris / France
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Le " plan " occidental, marche " comme sur des roulettes " à ce que je vois. |
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Encore ce cancre et pd, génocidaire, et le massacre de la population NOIRE DE LYBIE |
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16/12/2011 14:17 )
À Strasbourg / France
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Ces criminelles FranSSais, pour du pétrole ils perdent , leur dignité et montrent leurs CULS au monde entier, bande de bâtards. |
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(
16/12/2011 20:05 )
À Saint-avertin / France
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TOGO: Les forces de sécurité font usage de balles en caoutchouc
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Par Aghu | 15/12/2011 | 19:32:11 TOGO :: POLITIQUE
Un blessé par balle en caoutchouc (photo d’archives)
::ACTUALITÉ INFO NEWS TOGO::
© koaci.com - Le drame dans l’approche des autorités togolaises, c’est qu’elles privilégient la solution de répression pour étouffer les revendications. Face à la montée des mouvements estudiantins et scolaires, les forces de sécurité utilisent à nouveau, les balles en caoutchouc.
La découverte avait émue plus d’un. Pour réprimer les manifestations de contestations des résultats de l’élection présidentielle de 2010, les forces de sécurité recouraient à l’usage de balles en caoutchouc, blessant grièvement les manifestants. L’un des cas qui a énormément défrayé la chronique est celui du chargé des affaires électorales à l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC). M Djondo a été atteint au dos alors qu’il était dans la cours du leader de l’ANC, Jean-Pierre Fabre.
Notre confrère Tony Sodji a également été visé et atteint pendant qu’il filmait une scène de violence d’éléments de la gendarmerie nationale, sur un conducteur de taxi-moto, en marge d’une manifestation de contestation du Front Républicain pour l’Alternance et le Changement (FRAC).
Le jeudi 15 décembre, de jeunes élèves ont apporté à la rédaction de koaci.com à Lomé, des douilles pour étayer les allégations d’utilisation de balles en caoutchouc par les forces de sécurité pour réprimer les manifestations. Déjà dans la matinée du lundi 06 décembre 2011, un explosif lancé par les forces de sécurité a déchiqueté la main d’un étudiant sur le campus universitaire. On se demande si l’objectif des forces de sécurité, est de blesser les manifestants ou de maintenir l’ordre public.
La tension est toujours vive dans le pays. Si le mouvement se généralise aux villes dans la région septentrionale au point de toucher Pya, d’autres villes au sud comme Vogan sont également entrées dans la dynamique qui embrase de plus en plus Lomé avec les établissements privés, obligés par les scolaires de suivre les mouvements.
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