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Retour à l'article: Pourquoi les maliens résistent autant au nouveau code de la famille ?
  Pourquoi les maliens résistent autant au nouveau code de la famille ?
Religion, tradition, économie de la famille, insuffisante ouverture économique du pays expliquent selon Noël Kodia les résistances au nouveau code de la famille
 
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Pourquoi les maliens résistent autant au nouveau code de la famille ?

Nombre de messages
:  20
Pages:  1  

  Ridicule
Charlie ( 13/10/2009 12:56 )
À Le Bouscat / France

Ils ont faim, ils ont soif, ils sont analphabètes, ils sont chômeurs et maladifs mais tout ce qu'ils réclament ce sont des mosquées.
Qu'on leur construise des mosquées et qu'ils nous foutent la paix.
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Bodylove ( 13/10/2009 16:03 )
À Paris / France

J'ajouterai que ces phallocrates dès que leurs intérêts sont touchés, ils savent drainer des foules incultes. où était la société civile (intellectuels, ONG, élus ) pour faire une contre manifestation pour leur montrer qu'on est pas dans un pays islamiques. RIEN. l'afrique ne s'en sortira pas tant les hommes prendront les femmes pour leurs boniches, esclaves et de la maltraitance des enfants
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  vous avez raison bodylove et charlie
hélène ( 13/10/2009 21:01 )
À Fleury-les-aubrais / France

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jess ( 13/10/2009 21:22 )
À Antony / France

c'est une affaire d'éducation, je vous l'assure ayant un ami malien je suis choqué de l'image qu'il a des femmes(ok je ne suis pas un saint ) et à quel point il est très croyant et pourtant......bac+5
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  Code de la famille au Mali!
Maschpro ( 14/10/2009 01:02 )
À Montigny-le-bretonneux / France

Bravo Charlie!
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  Grioo est plateforme d'attaques islamophobes
( 14/10/2009 01:32 )
À Montreal / Canada

Grioo ne cesse de publier des articles islamophobes, qui traitent de l'afrique musulmane. Le plus souvent ces articles sont écrits par des gens d'afrique centrale. Ce monsieur "Noel" Kodia, congolais, traite les imams de gens a l'esprit étroit et préoccupé de leurs propres intérets. Mais pourquoi donc, vous les noirs chrétiens élevés dans des sectes évangéliques d'afrique centrale, ne vous fichez-nous pas la paix, a nous musulmans qui ne vous avons rien demandé ?

Si vous voulez d'un Cameroun ou d'un Congo dirigés par des afros francs maçons qui poussent au libéralisme économique et social, en quoi devrions-nous vous imiter ?

Nous muslmans, ne sommes pas prets a marcher sur les principes de notre religion en échange des biens matériels.

Allah éleve l'Islam et les musulans, dans ce monde et dans l'autre.
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  Toutes ces religions sont de la foutaise
Yoli ( 14/10/2009 05:25 )
À Ottawa / Canada

Toutes ces religions sont de la foutaise..
chretien.. Musulmans.. la langue francaise tous de la foutaise.. du colonialime..

LES NOIRS NE DEVARAIENT MEME PAS SUIVRE TOUTES CES CONNERIES A L,OCCIDENTAL...

De la merdre ..
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  Vaste débat
wildcat ( 14/10/2009 07:46 )
À Villefranche-sur-saône / France

Me Mamadou I. Konaté sur le code de la famille
19/09/2009 11:26:00 Le Sphinx
Taille de la police:
Dans une interview livrée à JournalduMali.com, Me Mamadou Ismaïla Konaté se prononce sur le code des personnes et de la famille et sur la suite à donner à cette importante reforme de société. Nous vous en livrons quelques extraits.

JournalduMali.com : Que pensiez-vous du nouveau code après qu’il ait été voté par l’Assemblée Nationale le 3 Août 2009?
Mamadou Ismaïla KONATE : Comme toutes les personnes de ma génération et de ma formation, je me suis réjoui à l’idée qu’un Code de la famille ait opté pour ce qui est apparu à mes yeux d’homme, de citoyen, de professionnel du droit comme une avancée réelle en termes de droits et d’équilibre des droits.

JournalduMali.com : Avez-vous été étonné par l’ampleur des manifestations de protestation?
Mamadou Ismaïla KONATE : Très franchement je n’avais pas exclu une réaction, mais jamais au point de penser que l’on pouvait remplir d’un coup tout un stade en une seule matinée. Nombre de candidats aux élections les plus importantes dans notre pays ne sont pas arrivés à faire cela, malgré qu’ils se réclament du peuple et disent disposer de militants partout. Il est vrai que l’appel auquel tous les « contestataires » du Code ont répondu, venait de plus loin qu’un appel politique.

JournalduMali.com : Votre position sur le code a-t-elle évoluée depuis ?
Mamadou Ismaïla KONATE : La position de tout le monde devrait plus ou moins évoluer après ce qui s’est passé. C’est vrai qu’il y a toujours des téméraires, mais Il ne faut pas tomber dans ce travers qui amène beaucoup de gens à se dire « modernes » face à d’autres qu’ils peuvent malencontreusement juger « moins modernes », ou « arriérés ». Ma position sur cette question a donc évolué pour plusieurs raisons :

La première tient à la diversité et à la spécificité « des communautés ethniques » non suffisamment prises en compte dans les dispositions de ce Code. La seconde est en rapport avec le rôle social et la mission d’un certain nombre d’« autorités », de « notabilités » qui ne sont pas toujours « valorisées » dans nos lois «modernes ». La troisième, et pas forcément la dernière, tient au fait que des composantes essentielles de la nation malienne se sont exprimées dans un cri « presque » de détresse et de douleur. Une autre raison est qu’il faut évoluer, en tout état de cause, et je suis en parfait accord avec mon confrère Mountaga TALL, député de son état qui nous invite à moins de paresse intellectuelle…

Je n’ai pas de scrupule à reconnaitre que j’ai évolué sur des points se rapportant au Code.

JournalduMali.com : Que pensez-vous de la gestion gouvernementale de cette affaire avant le renvoi?
Mamadou Ismaïla KONATE : Le gouvernement malien s’est trouvé exactement comme son homologue français au moment du passage en force de la Loi dite « Devaquet ». Il s’agit d’un projet de loi qui a tenté de reformer les universités françaises en fin 1986. Très contesté, il a entraîné un mouvement étudiant et lycéen, notamment marqué par la mort de Malick OUSSEKINE, et le projet de loi a fini par être retiré.

Le Président ATT s’en est sans doute instruit. Il a, dans son adresse à la Nation, soutenu lui-même que tout avait été fait pour que le consensus soit à la base de l’adoption de ce texte. Il faut rappeler qu’il s’agit d’un texte qui est d’origine gouvernementale. Il n’y a pas de raison de douter de la parole de la première autorité nationale, ce d’autant plus qu’il a été le tout premier à se réjouir publiquement du vote de la loi par le Parlement.

Cependant, force est de constater qu’au regard de l’évolution de l’actualité du Code de la famille, il y a comme quelques ratés dans le « déroulé ». En définitive, la leçon à tirer est que dans notre pays comme dans beaucoup d’autres de la sous région, nous nous sommes souvent contentés de « plaquer » les institutions républicaines, pour simplement répondre à la « mode démocratique ». En mettant en place ces institutions, nous les avons assez souvent perverties dans leur fonctionnement et rapports entre elles et avec d’autres. Il faut désormais « oxygéner » les institutions et « libérer » le système politique et démocratique dans notre pays. Les lois doivent être votées après des débats francs, ouverts et instructifs au cours desquels les élus de la nation s’expriment. Il n’y a aucun besoin de donner des « instructions politiques » et des « directives », qui font perdre de vue aux représentants du peuple qu’ils sont d’abord là pour le peuple et pour son bonheur, et non uniquement pour un gouvernement.

JournalduMali.com : L’Assemblée Nationale a-t-elle joué son rôle ?
Mamadou Ismaïla KONATE : L’Assemblée Nationale a pleinement joué son rôle dans le vote de la loi au moins. A-t-elle joué un autre rôle que celui là, je ne saurais le dire. Va-t-elle encore jouer son rôle dans ce second exercice qui lui est demandé par le Président de la République, à savoir, relire la loi, est bien malin qui saura le prédire.


JournalduMali.com : Quels sont d’après vous les articles qui font le plus polémique et quelles solutions préconisez-vous?
Mamadou Ismaïla KONATE : Le plus curieux dans cette affaire, c’est que tout le monde avance tout et son contraire à la fois. De sorte qu’il devient plus difficile de faire la part des choses entre les points contesté et ceux qui sont contestables. Au-delà, il est facile de constater les articles controversés se rapportent le plus souvent à des aspects philosophiques, des références culturelles, sociologiques et religieuses. Dans tous les cas, il est possible de concilier les points de vue si tous les acteurs sont animés du souci de doter notre pays d’un véritable cadre juridique applicable à la famille et à nos relations humaines, sociales, matrimoniales, patrimoniales…

La question de la place et du rôle de la jeune fille d’une part et de femme-épouse d’autre part, est centrale. Il est impensable de confiner la femme d’aujourd’hui dans un rôle qui ne tienne pas compte de son environnement, de sa culture, de sa sociologie et de beaucoup d’autres facteurs. La femme de 2009 n’est pas celle de 1989 à n’en pas douter. Son aspiration profonde à plus de liberté, plus d’équité et plus de justice sont d’autant plus légitime qu’aucune religion du livre ne dit « non » à une telle quête. De ce point de vue, les dispositions du code ne doivent pas être discutées sur la base d’une référence unique, de fondements figés et immuables, mais les réponses à y apporter doivent se fonder sur des bases multiples, qui doivent venir de nous même, de notre culture et de nos religions.

Autre question importante, la succession et la part susceptible d’être attribuée aux héritiers ne devrait pas avoir une importance véritable en raison du sexe, de la filiation. Le plus important aux yeux des maliens que nous sommes étant que les héritiers soient issus du même père. Dès lors que ce dernier a exprimé une volonté claire, cette volonté devra demeurer et s’exécuter. Cet argument est soutenu par le fait qu’il existe un air de tolérance naturelle des religions, aussi bien chrétienne que musulmane, qui n’expriment aucune opinion contraire.

Pour ce qui concerne le formalisme nécessaire en matière de célébration d’union maritale, les dispositions du code de la famille n’interdisent point les mariages religieux. Il ne viendrait d’ailleurs à l’idée de personne de nier l’évidence de l’importance de ce rôle. C’est d’ailleurs sur ce point précis que les pouvoirs publics ne doivent plus hésiter à s’avancer pour fixer un véritable « cadre juridique » de l’intervention des « ministres du culte » en matière d’état civil. Dans notre pays, aucun baptême ou mariage ne peut être célébré, aucun mort ne peut être inhumé, sans la présence et l’intervention d’un « ministre du culte ». Il ne viendrait là encore à l’idée de personne de confier de telles missions au premier venu que l’on rencontrera dans la rue par exemple. Cela veut dire que ces « actes » ont un sens et que les personnes qui les accomplissent ont une « importance sociale ».

Dès lors, pourquoi ne pas imaginer de créer un statut particulier d’« officiers d’état civil religieux » ou d’ «agents d’état civil religieux ». Ces « autorités » seront nommées tous les ans, renouvelable dans des localités définies, par arrêté du ministre de l’intérieur, sur la base de critères tels que l’intégrité morale, le niveau de savoir et de connaissances cultuels, la notoriété publique, l’exercice effectif d’un ministère du culte…

Le rôle et la mission de ces « officiers » ou « agents » de l’état civil consisteraient selon leur culte, à prononcer les baptêmes, célébrer les mariages, inhumer les morts …
Et ils feraient les déclarations auprès des autorités en charge de la tenue des registres ouverts pour ce faire pour y être mentionnées.

JournalduMali.com : Le fait de créer des officiers d’Etat civil religieux ne va-t-il pas à l’encontre de la laïcité de l’Etat ?
Mamadou Ismaïla KONATE : Aucunement, bien au contraire. Il s’agit vraiment là de prendre en compte une réalité de notre culture et de nos pays. Jusque là, c’est le principal reproche qui nous est fait de tout faire venir d’ailleurs, en termes d’idées. Je pense pour une fois que l’on peu oser se jeter à l’eau pour travailler sur des concepts nouveaux. La création de statuts particuliers d’officiers d’état civil religieux permet également de prendre convenablement en charge la mission de service public de déclaration des naissances, des décès et des mariages. Ces statistiques dans notre pays ont besoin d’être considérablement améliorés. Et puis, la mission de service public comme celui proposé s’exécutera sous un double contrôle administratif et judiciaire. Les personnes conservent encore leur liberté d’aller ou de ne pas aller par-devant les « ministres du culte » pour assurer un ministère.

JournalduMali.com : Les modifications qui vont être apportées ne constituent-elles pas un recul pour le droit des femmes ?
Mamadou Ismaïla KONATE : Les femmes le diront mieux que quiconque. Mais entre avancer doucement mais sûrement et ne rien à avoir, il n’y a pas beaucoup de femmes qui ne suivraient pas sur ce qui est avancé là. Et puis les femmes ne sont jamais pour l’affrontement et les contradictions qui ne se terminent pas vite.

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Un africaniste ( 14/10/2009 08:34 )
À Chambourcy / France

Maintenant ils vont aussi nous imposer l'homosexualité pour faire comme les blancs, vous allez voir
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lam toro ( 14/10/2009 11:39 )
À Nantes / France

un fois de plus le raccourci vers les imans et les mariages dans un but de reproduction de main d'oeuvre me parait fortement entaché d'islamophobie
De plus la question finale :
Ne risque-t-elle pas de briser des équilibres d’institutions familiales qui, même si elles peuvent paraître archaïques et discriminatoires pour la femme, sont en réalité adéquates pour un certain niveau de développement ?

Votre opinion me dérange car elle est assez négative par rapport à la société malienne que vous quantifier à une société archaique voir principalement traditionnaliste et très loin du développement.

Vous n'avez pas poser le pied au mali depuis très longtemps monsieur.

Lors de tout changement dans un société cela amène des levers de bouclier mais il est assez facile de faire porter le chapeau à l'analphabétisme (ceci n'empèche pas le cerveau de fonctionner et de se batir une opinion soit dit en passant).
Votre article a pourtant du sens mais vous avez un point de vue principalement d'occidental.

Je ne suis pas contre les points de vue critique mais cela ne doit pas être blessant mais plus contructive.

Réponse d'un iman a l'esprit étroit et préoccupé par ses propres intérets. mdrrrrrrrrr

La prochaine fois lorsque vous lancer ce genre d'affirmation apporté des preuves concretes sur la généralisation d'iman malien avec l'esprit étroit.

Pour en finir , au 5 premiers intervenants, votre esprit est il plus ouvert que ces fameux imans ?


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( 14/10/2009 12:25 )
À Bazoches-sur-le-betz / France

A charlie bodylove et consors
avez- vous déjà été en Afrique ou vous contentez vous de vomir toute la merde que vos télévisions et presse n'ont de cesse de vous montrer pour vous rassurer dans votre ego??
Y-a-t-il besoin d'aller en Afrique pour voir des gens maladifs et crevant de faim regardez dans nos metros et autours des supermarchés ceux qui cherchent a bouffer dans leurs poubelles, les rangs des resto du coeur ne cessent de grossir . Y-a-t il besoin d'aller jusqu'en Afrique pour voir des immondices s'amonceler (cf l'italie)

Donc arreter de nous donner des leçons et regarder vous! vous rejoignez doucement mais surement nos douces "républiques bananières" avec vos présidents, députes ministres corrompus (cf. entres bien d'autres choses le fils Nicolas Sarkozy promu).
Non finalement vous avez dépassé le stade de petit raciste à celui de de Pathétique ignard.
Et si les histoires africaines vous fatiguent tant pourquoi vous donner tant de mal, aller sur nos sites et à les lires et laisser des post débile??? Personne ne vous demande une votation que je sache, lol.
Un de vos imminent psy (de comptoirs) ne manquerez d'analyser ceci comme une fuite face à vos propres problèmes et votre impuissante à les régler donc vous vous "occupez de ceux des autres" en leur donnant des leçons mais vous savez, vous ne trompez que vous, car même au Mali (comme d'autre pays d'Afrique) pays analphabète, maladif paresseux comme vous aimez à vous l'imaginer vous n'êtes plus crédibles, et je vous le dis en connaissance de cause.

Voila j'en ai fini avec vous je ne sais que ca ne changera rien car on ne peut pas transformer de la merde en or. mais ca m'a fait du bien.
Bravo a Grioo pour laisser s'exprimer sur un site afro des negrophobes.De mieux en mieux , comme si ces gens manquaient de lieux d'expression sans en plus les laisser nous insulter sur nos sites !!!
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laure ( 14/10/2009 15:02 )
À Choisy-le-roi / France

c'est bien dommage que le mali cherche a annulé le mariage coutumier , ils ne voit pas dans quelle schizophrenie vivent les autres africains ???
chez nous les kamers (tjrs nous) la dote et la ceremonie qui va avec ne représente soi disant rien ::mon oeil, toute africaine sait que c'est en verité le vrai mariage et la vraie union
pourquoi estce qu'on adapte jamais nos facons de vivre avec le monde actuel , il suffirait au contraire de mettre la ceremonie coutumiere comme étant LE MARIAGE et de supprimer la mairie comme lieu de noce
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  Les fausses Religions
Liroy ( 14/10/2009 15:44 )
À Paris / France

CATHOLIQUE, EVANGELISTE, ISLAM voilà une grande part des problème du monde.
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( 14/10/2009 20:10 )
À Brunoy / France

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  Oust
Oceane ( 15/10/2009 09:41 )
À Colombes / France

islam, christianisme, judaïsme, hors d'Afrique !
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  oust
lam toro ( 15/10/2009 14:45 )
À Nantes / France

Océane

HORS DE GRIOO MDRRRRRRRRRR

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Bodylove ( 16/10/2009 11:47 )
À Paris / France

@ MME OU Mr du ( 14/10/2009 12:25 à Juziers / France )


je suis ouest africain , de parents musulmans depuis des générations.
Donc arrêtez cette posture anti-occidentale qui vous empêche de poser un regard critique sur notre continent. Je le redis une fois encore que la femme et l’enfant sont mal traités dans toute l' Afrique subsaharienne.

Il faut être aveugle et sourd pour le contester.

Pour revenir au sujet, en quoi un nouveau code de la famille qui améliore sensiblement les droits des femmes met-il en rogne ces gens là?.




Où est le mal :

Le fait qu’en matière d’héritage d’aligner la part successorale de la femme à celle de l’homme au lieu et place du droit musulman qui s’appliquait jusque là au Mali c'est-à-dire la fille recevait la moitié de la part du garçon

Le fait que la femme n’a plus le devoir d’obéissance à son époux mais remplacé par le devoir de respect

Le fait que le mariage civil prévaut sur le mariage religieux

Le fait qu'un enfant né hors du mariage, peut désormais bénéficier de sa part d'héritage, au même titre que l'enfant légitime.

Le fait qu’on ne parle plus de répudiation mais de divorce

Le fait de remplacer notamment l'expression "puissance paternelle" par "autorité parentale" et de relever l'âge du mariage à 18 ans quand on connaît des conséquences des mariages précoces.

Apparemment, les associations musulmanes ont pu ressembler 50 000 personnes parmi elles des enfants de 10 à 15 ans et beaucoup de femmes lourdement habillées en noir (ça vous rappelle rien) vociférant des chants religieux interrompus par un animateur scandant régulièrement "respectez Dieu", le public répondant "Dieu est grand", "non à ce code qui divise les Maliens", "la femme reste femme et l’homme reste homme" ou encore "la civilisation occidentale est un péché".

Ce qui est sûr c’est que les gouvernements sont en train de jouer avec le feu dans les pays dits à majorité musulmane en Afrique de l’ouest. Au senegal avec l’arrivée de Wade, les conféries interfèrent de plus en plus dans la vie politique, des milices religieuses bastonnent des journalistes et saccagent des bureaux de presse, au Nigeria avec ses nègres-talibans au nord, en guinée des chefs religieux achetés ou corrompus par les politiques, au mali des associations musulmanes qui arrivent à drainer autant de monde et qui reçoivent des financements des wahabites, Libye, egypte.

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( 19/10/2009 17:40 )
À Châtillon-sur-marne / France

Mr Bodylove c'est encore pire venant d'un "compatriote" car au post neo-colonialiste et raciste de Charlie vous écrivez bien : "j'ajouterai...." je confirme et signe c'est affligeant de voir les compatriotes s'auto-flageller devant le maitre qui laisse des posts negrophobes.
De plus vous feriez mieux de relire ce que j'ai écris mais apparemment vous ne savez pas lire je n'ai jamais écrit que tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes chez nous ni fait l'apologie de ce qui s'y passe et oui l'Europe et la France ferait mieux d'arrêter de nous donner des leçons et Mr Bodylove pas besoin d'aller en Afrique pour voir des enfants maltraités.
Alors pour vous c'est une posture anti-colonialiste j'assume, je n'ai pas besoin du blanc pour savoir ce qui mal ou bien comme lui n'a pas besoin de nous.
Honnêtement je préfère être dans ma posture que dans la votre. Ne dit-on pas qu'on n'ai jamais mieux trahis que par les siens, vous en êtes un parfait exemple, grand bien vous fasse si vous pensez que soutenir un post negrophobe fera avancer l'Afrique.
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Oceane ( 21/10/2009 20:49 )
À Colombes / France

D'autres nous ont déjà imposé la prison ambulante nommée burqa sans que tu contestes un tel mépris de la femme, pourquoi les Européens ne nous imposeraient-ils pas l'homosexualité ? Plus on est fou plus on rit et de toutes les façons, nous sommes la poubelle dans laquelle tout le monde vient déverser ses immondices et trouve ses défenseurs.

Lam Toro, que défends-tu au juste : l'islam ou les coutumes machistes qui discriminent ta grand-mère, tes tantes, tes soeurs, tes filles et tes amies ? A moins que ce ne soit cet outil de domination qu'est l'islam ?
Au nom de tes ancêtres esclavagisés et castrés depuis 652 par les Arabes, tu dois renier leur dieu et leur prophète. Bref, tu te dois d'abandonner l'islam.
N'est-ce pas là une idée lumineuse ?
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Maurice Leblanc ( 09/11/2009 21:09 )
À Paris / France

"la civilisation occidentale est un péché".
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