Retrouvez Grioo.com sur votre mobile: http://m.grioo.com
Grioo.com   Grioo Pour Elle       Village   TV   Musique Forums   Agenda   Blogs  
   Vendredi 2 Mai 2025 RECHERCHER : Sur Grioo.com  Sur Google 
 Accueil  Rubriques  Archives  Forum     Qui sommes-nous ?     

   

AccueilRubriquesArticleRéaction
 
Retour à l'article: Prix nobel de la paix : Ellen Johnson Sirleaf co-lauréate
  Prix nobel de la paix : Ellen Johnson Sirleaf co-lauréate
Elle fait partie des trois co-lauréates du prix Nobel cette année
 
 Publicité 
 
Ecrire une réaction

Prix nobel de la paix : Ellen Johnson Sirleaf co-lauréate

Nombre de messages
:  18
Pages:  1  

  LES FEMMES D'ABORD !!!
( 08/10/2011 11:34 )
À / France

QUAND ON VOIT CE QUE NOS MAMANS AFRICAINES FONT POUR NOUS, ON SE DIT QUE SANS LEUR SECOURS L'AFRIQUE NE SERAIT QUE L'OMBRE D'ELLE-MÊME. MOI JE DOIS MES ETUDES A MA MÈRE QUI PORTAIT DES FARDEAUX SUR SA TÊTE ET SES ÉPAULES POUR ME PAYER LA SCOLARITÉ.
MERCI AUX FEMMES DU MONDE ET D'AFRIQUE. MERCI AU COMITÉ DE PRIX NOBLE: POUR UNE FOIS, VOUS AVEZ ÉTÉ INSPIRES. CELE MWEPU
Ecrire une réaction
  bravo Mesdames!
( 08/10/2011 13:52 )
À Villeneuve-loubet / France

vous avez botté le cul à ces mecs! tout travail ardu est toujours bien recompensé la preuve... trop fière de vous!
Ecrire une réaction
  Du N´IMPORTE QUOI !
MERIKARE ( 08/10/2011 20:21 )
À Berlin / Germany

A bas l´Imprialisme occidental qui se cahe derrière ces pseu-prix de NOBEL. A bas le FEMINISME occidental en Afrique.

http://bc-club.blogspot.com/2006/10/barack-obama-friedens-nobelpreistrager.html
Ecrire une réaction
 
( 08/10/2011 22:53 )
À Rouen / France

vraiment c'est vrai que l'avenir de l'afrique repose sur les femmes ils faut qu'elles s'imposent dans tous les domaines et qu'elles luttent dur contre la mysoginie
Ecrire une réaction
 
Aida ( 09/10/2011 11:26 )
À Englewood / United States

Je proteste:
Après Obama, Ouattara devait être le nouveau prix nobel de la paix.
Ecrire une réaction
 
numéro 7 ( 09/10/2011 18:11 )
À Bezons / France

Aaah ces africaines de France, non contentes pour beaucoup d'entre elles de " courir le fric ", les blancs, les arabes voire les chinois, il faut qu'elle se pensent " meilleures " que leur fréres de race, bonjour la cohésion !!!
Ecrire une réaction
 
( 09/10/2011 21:56 )
À Saint-brieuc / France

oui les africaines valent mieux c'est ce que reconnaissent les hommes noirs eux même qui estiment de façon quasiment hunanimes que les femmes de leur entourage ont joué un rôle prépondérant dans leur vie

les femmes noires sont davantage garante de la pérénnité de la communauté car se métissent moins que les hommes noirs fait incontestable sauf pour les menteurs
les femmes noires n'abandonnent quasiment jamais leur enfants
les filles noires reussissent mieux à l'école et sont moins concernées par des problématiques de violence
les femmes noires sont élévées pour être des battantes car elles doivent lutter seules personne ne peut les aider et personne ne peut leur trouver des excuses comme certains
c'est pour cela que de plus en plus personnes estiment a raison que les femmes vont jouer un rolê prépondérant de leader dans la renaissance pour l'afrique
ce qui s'opposent a cette réalité ce sont les faibles comme numéro 7 l'arquétype de l'homme noir inutile qui ne voit a travers la combattivité de ses soeurs, son propre echec et celui de certains de ses frères

continuez a ne pas vous remettre en cause et a taper sur les femmes noires c'est tous ce que vous savez faire de toutes façon en attendant nous on avance et on n'assoit notre leadership envers et contre tous l'essentiel pour la nouvelle génération de femmes c'est d'elever leur enfants pour être des hommes noirs plus combattifs moins aliénés et respecteux de la femme noire que la génération précédente qui doit être jeté dans les poubelles de l'histoire
Ecrire une réaction
 
numéro 7 ( 09/10/2011 22:07 )
À Bezons / France

On ne peut pas reconstruire un continent ( soi-disant ) et " manger dans la GAMELLE " du blanc !!!
Ecrire une réaction
 
numéro 7 ( 09/10/2011 22:33 )
À Bezons / France

Avec le matriarcat, L'Afrique est bien parti, que les africains remercient les Occidentaux désireux d'émanciper les femmes du tiers-monde !!!
Ecrire une réaction
  ...
Anka ( 10/10/2011 13:36 )
À / France

ha le Prix Nobel de la PAix...les dessous de ce prix Nobel de la PAix...si on savait..par exemple comment cela s'était passé pour Obama...c'était un retour d'ascenseur... Pour nos soeurs je doute fort qu'il n'ya ait pas des desous de tables et des concessions à faire au détriment de la souverainneneté du continent et du bien-être du peuple :

l« Ce matin, en écoutant les nouvelles, ma fille est entrée et m’a dit : “Papa, tu es Prix Nobel de la paix” » [1]. Telle est la touchante histoire que le président des États-Unis a raconté à des journalistes complaisants pour attester qu’il n’avait jamais souhaité cette distinction et en était le premier surpris. Sans chercher plus loin, ceux-ci ont immédiatement titré leurs journaux sur « l’humilité » de l’homme le plus puissant du monde.

À vrai dire, on ne sait ce qui doit le plus surprendre : l’attribution d’une si prestigieuse distinction à Barack Obama, la mise en scène grotesque qui l’accompagne, ou encore la méthode utilisée pour corrompre le jury et détourner ce prix de sa vocation initiale.

En premier lieu, rappelons que, selon le règlement du Comité Nobel, les candidatures sont présentées par des institutions (des parlements nationaux et des académies politiques) et par des personnalités qualifiées, principalement des magistrats et les anciens récipiendaires. En théorie, une candidature peut-être présentée sans que le candidat en ait été averti. Cependant, lorsque le jury prend sa décision, il établit un lien direct avec l’impétrant de sorte qu’il en soit informé une heure avant la conférence de presse. Pour la première fois de son histoire, le Comité Nobel aurait omis cette courtoisie. C’est, nous assure son porte-parole, qu’il n’osait réveiller le président des États-unis en pleine nuit. Peut-être ignorait-il que des conseillers se relayent à la Maison-Blanche pour recevoir les appels d’urgence et réveiller le président si nécessaire. Au demeurant, le comité Nobel avait au moins informé le journaliste Gerhard Helsok qui avait annoncé la nouvelle la veille sur la chaîne norvégienne TV2.

La gentille saynète de la petite fille annonçant le Prix Nobel à son papa ne suffit pas à dissiper le malaise provoqué par cette distinction. Selon le vœux d’Alfred Nobel, le prix récompense « la personnalité ayant [au cours de l’année précédente] le plus ou le mieux contribué au rapprochement des peuples, à la suppression ou à la réduction des armées permanentes, à la réunion et à la propagation des progrès pour la paix ». Dans l’esprit du fondateur, il s’agissait de soutenir une action militante et non de décerner un brevet de bonnes intentions à un chef d’État. Les lauréats ayant parfois bafoué le droit international postérieurement à la réception de leur prix, le Comité Nobel a décidé, il y a quatre ans, de ne plus récompenser un acte particulier, mais de n’honorer que des personnalités ayant consacré leur vie à la paix. Ainsi, Barack Obama aurait été le plus méritant des militants de la paix en 2008 et n’aurait commis aucune atteinte majeure au droit international en 2009. Sans parler des personnes toujours détenues à Guantanamo et Bagram, ni des Afghans et des Irakiens confrontés à une occupation étrangère, qu’en pensent les Honduriens écrasés par une dictature militaire ou les Pakistanais dont le pays est devenu la nouvelle cible de l’Empire ?

Venons-en au cœur du propos, à ce que la « communication » de la Maison-Blanche et les médias anglo-saxons veulent cacher au public : les liens sordides entre Barack Obama et le Comité Nobel.

En 2006, l’European Command (c’est-à-dire le commandement régional des troupes US dont l’autorité couvrait alors à la fois l’Europe et l’essentiel de l’Afrique) sollicita le sénateur d’origine kenyane Barack Obama pour participer à une opération secrète inter-agences (CIA-NED-USAID-NSA). Il s’agissait d’utiliser son statut de parlementaire pour mener une tournée en Afrique qui permettrait à la fois d’y défendre les intérêts des groupes pharmaceutiques (face aux productions hors brevets) et de repousser l’influence chinoise au Kenya et au Soudan [2]. Seul l’épisode kenyan nous intéresse ici.

La déstabilisation du Kenya

Barack Obama et sa famille, accompagnés d’un attaché de presse (Robert Gibbs) et d’un conseiller politico-militaire (Mark Lippert), arrivent à Nairobi dans un avion spécial affrété par le Congrès. Leur appareil est suivi d’un second avion, celui-ci affrété par l’US Army, et transportant une équipe de spécialistes en guerre psychologique commandée par le général prétendument à la retraite J. Scott Gration. ?Le Kenya est alors un plein boom économique. Depuis le début de la présidence de Mwai Kibaki, la croissance est passée de 3,9 à 7,1 % du PIB et la pauvreté a reculé de 56 à 46 %. Ces résultats exceptionnels ont été obtenus en réduisant les liens économiques post-coloniaux avec les Anglo-Saxons et en leur substituant des accords plus équitables avec la Chine. Pour casser, le miracle kenyan, Washington et Londres ont décidé de renverser le président Kibaki et d’imposer un opportuniste dévoué, Raila Odinga [3]. Dans cette perspective, la National Endowment for Democracy a suscité la création d’une nouvelle formation politique, le Mouvement orange, et complote une « révolution colorée » à l’occasion des prochaines élections législatives de décembre 2007.

Le sénateur Obama est accueilli comme un enfant du pays et son voyage est hyper-médiatisé. Il s’ingère dans la vie politique locale et participe aux meetings de Raila Odinga. Il appelle à une « révolution démocratique », tandis que son « accompagnateur », le général Gration, remet à Odinga 1 million de dollars en liquide. Ces interventions déstabilisent le pays et suscitent les protestations officielles de Nairobi auprès de Washington. ?À l’issue de cette tournée, Obama et le général Gration vont au rapport chez le général James Jones (alors patron de l’European Command et suprême commandeur de l’OTAN) à Stuttgart, avant de retourner aux États-unis.

L’opération continue. Madeleine Albright, en qualité de présidente du NDI (la branche de la National Endowmement for Democracy [4] spécialisée dans le traitement des partis de gauche) fait le voyage de Nairobi où elle supervise l’organisation du Mouvement orange. Puis John McCain, en qualité de président de l’IRI (la branche de la National Endowmement for Democracy spécialisée dans le traitement des partis de droite) vient compléter la coalition d’opposition en traitant de petites formations de droite [5]. ?Lors des élections législatives de décembre 2007, un sondage financé par l’USAID annonce la victoire d’Odinga. Le jour du vote, John McCain déclare que le président Kibaki a truqué le scrutin en faveur de son parti et qu’en réalité, c’est l’opposition conduite par Odinga qui a gagné. La NSA, de concert avec des opérateurs locaux de téléphonie, adresse des SMS anonymes à la population. Dans les zones peuplées par des Luos (l’ethnies d’Odinga), ils disent « Chers Kenyans, les Kikuyus ont volé l’avenir de nos enfants… Nous devons les traiter de la seule manière qu’ils comprennent… la violence ». Tandis que dans les zones peuplées par des Kikuyus, ils sont rédigés ainsi : « Le sang d’aucun Kikuyu innocent ne sera versé. Nous les massacrerons jusqu’au cœur de la capitale. Pour la Justice, établissez une liste de Luos que vous connaissez. Nous vous enverrons les numéros de téléphone où transmettre ces informations ». En quelques jours, ce pays paisible sombre dans les violences communautaires. Les émeutes font plus de 1 000 morts et 300 000 déplacés. 500 000 emplois sont détruits. ?Madeleine Albright est de retour. Elle propose sa médiation entre le président Kibaki et l’opposition qui tente de le renverser. Avec finesse, elle s’écarte et place sur le devant de la scène l’Oslo Center for Peace and Human Rights. Le directoire de cette ONG respectée est nouvellement présidé par l’ex-Premier ministre de Norvège, Thorbjørn Jagland. Rompant avec la tradition d’impartialité du Centre, il dépêche deux médiateurs sur place, dont tous les frais sont pris en charge par le NDI de Madeleine Albright (c’est-à-dire in fine sur le budget du département d’État des États-Unis) : un autre ancien Premier ministre norvégien, Kjell Magne Bondevik, et l’ancien secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan (le Ghanéen est très présent dans les États scandinaves depuis qu’il a épousé la petite nièce de Raoul Wallenberg). ?Obligé pour rétablir la paix civile d’accepter le compromis qu’on lui impose, le président Kibaki accepte de créer un poste de Premier ministre et de le confier à Raila Odinga. Celui-ci entreprend immédiatement de réduire les échanges avec la Chine.

Petits cadeaux entre amis

Si l’opération kenyane s’arrête là, la vie des protagonistes continue. Thorbjørn Jagland négocie un accord entre la national Endowment for Democracy et l’Oslo Center, qui est formalisé en septembre 2008. Une fondation jointe est créée à Minneapolis qui permet à la CIA de subventionner indirectement l’ONG norvégienne. Celle-ci intervient pour le compte de Washington au Maroc et surtout en Somalie [6]. ?Obama est élu président des États-Unis. Odinga proclame plusieurs jours de fête nationale au Kenya pour célébrer le résultat de l’élection aux États-Unis. Le général Jones devient conseiller de sécurité nationale. Il prend Mark Lippert comme chef de cabinet et le général Gration comme adjoint. ?Durant la transition présidentielle aux USA, le président de l’Oslo Center, Thorbjørn Jagland, est élu président du Comité Nobel, malgré le risque que représente pour l’institution un politicien aussi retors [7]. La candidature de Barack Obama au Prix Nobel de la paix est déposée au plus tard le 31 janvier 2009 (date limite réglementaire [8]), soit douze jours après sa prise de fonction à la Maison-Blanche. De vifs débats animent le Comité qui ne parvient toujours pas à s’accorder sur un nom début septembre, comme le prévoir le calendrier habituel [9]. Le 29 septembre, Thorbjørn Jagland est élu secrétaire général du Conseil de l’Europe à la suite d’un accord en sous-main entre Washington et Moscou [10]. Ce bon procédé en appelait un autre en échange. Bien que la qualité de membre du Comité Nobel soit incompatible avec une fonction politique exécutive majeure, Jagland ne démissionne pas. Il argue du fait que la lettre du règlement interdit le cumul avec une fonction ministérielle et ne dit rien du Conseil de l’Europe. Il rentre donc à Oslo le 2 octobre. Le jour-même, le Comité désigne le président Obama, Prix de la paix 2009.

Dans son communiqué officiel, le Comité déclare sans rire : « Il est très rare qu’une personne, à l’instar d’Obama, ait réussi à captiver l’attention de tous et leur donner l’espoir d’un monde meilleur. Sa diplomatie est basée sur le concept que ceux qui dirigent le monde doivent le faire sur un socle de valeurs et de comportements partagés par la majorité des habitants de la planète. Pendant 108 ans, le comité du prix Nobel a cherché à stimuler ce type de politique internationale et ces démarches dont Obama est le principal porte-parole » [11].

De son côté, l’heureux lauréat a déclaré : « Je prends la décision du comité Nobel avec surprise et une profonde humilité (…) J’accepterai cette récompense comme un appel à l’action, un appel lancé à tous les pays pour qu’ils se dressent face aux défis communs du XXIe siècle ». Ainsi donc, cet homme « humble » estime incarner « tous les pays ». Voilà qui n’augure rien de pacifique.

Source : Voltairenet

[1] « Déclaration de Barack Obama à l’annonce du prix Nobel de la paix 2009 » , Réseau Voltaire, 9 octobre 2009.
[2] Sur le détail de cette opération, voir Le Rapport Obama, par Thierry Meyssan, à paraître.
[3] Raila Odinga est le fils de Jaramogi Oginga Odinga, qui eut pour principal conseiller politique le père de Barack Obama.
[4] « La NED, nébuleuse de l’ingérence « démocratique » », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 22 janvier 2004.
[5] Jadis les États-Unis avaient créé un parti à eux au kenya, dirigé par Tom Mboya. Il s’agissait à l’époque de lutter contre l’influence russe et —déjà— chinoise.
[6] L’Oslo Center a également participé à la déstabilisation de l’Iran, lors de l’élection présidentielle, en acheminant des fonds vers l’ancien président Khatami.
[7] Vice-président de l’Internationale socialiste, Thorbjørn Jagland est un fervent partisan de l’OTAN et de l’entrée de la Norvège dans l’Union européenne. Il fréquente les élites mondialistes et a participé aux travaux du Council on Foreign Relations, de la Commission trilatérale et du Groupe de Bilderberg. Son bilan politique a été entaché par plusieurs scandales de corruption touchant ses proches, notamment son ami et ministre du Plan Terje Rød Larsen (l’actuel coordinateur de l’ONU pour les négociations au Proche-Orient).
[8] 205 candidatures ont été déposées. Mais, conformément au règlement seules 199 ont été jugées recevables. Ce chiffre ayant été atteint, le Comité Nobel n’avait pas la possibilité d’ajouter des noms supplémentaires au cours de ses délibérations.
[9] Le prix devait être décerné le 9 octobre. Pour des raisons d’organisation, le lauréat aurait dû être déterminé au plus tard au 15 septembre.
[10] Bien que les États-Unis ne soient pas membres du Conseil de l’Europe, ils y ont une grande influence. Moscou ne tenait pas à Jagland, mais voulait faire barrage au Polonais Wlodzimierz Cimoszewicz.
[11] « Communiqué du Comité Nobel norvégien sur le prix de la Paix 2009 », Réseau Voltaire, 9 octobre 2009.
Ecrire une réaction
  @ Saint-brieuc / France
numéro 7 ( 10/10/2011 17:10 )
À Bezons / France

Faux combat !!! Aux USA, si je me souviens bien il y avait eus cette expérience des femmes noires présentatrices de TV dans les années 70, leur soudaine ascencion sociale, les avaient fait "s'éloigner " de leur communauté d'origine, chercher des partenaires blancs " plus proches " de leur attentes sociales,ect.............. On sait aux Etats-Unis, que le fait de trop renforcer le statut social et économique des femmes noires par rapport aux hommes noirs, posera des problémes car à peu prés à tout les coups elles se penseront " meilleures " que les hommes noirs, hors le probléme des femmes noires, c'est que la société blanche leur fait croire qu'elles sont " mieux " que les hommes noirs tout en les discriminant plus que les hommes noirs !!! Je n'ai par exemple, jamais entendu de filles blanches dire " nous sommes meilleures à l'école et moins violentes que les hommes blancs ", " qu'elles n'abandonnent jamais leur enfants ", c'est la femme noire, qui amplifie la division et le mépris dans la communauté en se pensant " meilleur ". Quand aux relations interraciales, les femmes noires sont des MENTEUSES notoires, un certain nombre, et jouent sournoisement, complaisemment le " jeu de l'homme blanc " qui à des relations avec la femme noire mais ne se marie pas forcément avec par exemple, donc crédibilité ZERO de ce niveau la, surtout qu'avec le net on sait tout !!!
Ecrire une réaction
  correction
numéro 7 ( 10/10/2011 17:23 )
À Bezons / France

Quand aux relations interraciales, les femmes noires sont des MENTEUSES notoires pour un certain nombre.................................................
Ecrire une réaction
  @ Saint-brieuc / France
numéro 7 ( 10/10/2011 17:39 )
À Bezons / France

Quand tu regardes la proportion de mariages interraciaux blancs-noirs en GB, 48 pour cent hommes noirs - femmes blanches et 30 pour cent femmes noires hommes blancs ( en hausse ! ), on voit bien qu'en terme de proportion, les femmes noires GB sont " juste derriéres " les hommes noirs da.ns la "course au métissage" ( source Home Office ) et que si le racisme, la pression sociale, les "relations cachées " ,ect....... ne "bloquaient " pas encore les hommes blancs, eh bien.............. , Surtout qu'aux USA, les hommes noirs se mariant avec des femmes blanches se situe dans les 15,6 pour cent environ, contre 6,7 pour cent environ pour les femmes noires se mariant avec des hommes blancs ( en hausse ! ), les noirs US, étant la communauté non-blanche la plus exogagme, car hispanniques et asiatiques US, par exemple se marient hommes comme femmes à moins de 10 pour cent avec les hommes blancs et les femmes blanches !!! ( source US Census Bureau ).
Ecrire une réaction
  @ Saint-brieuc / France
numéro 7 ( 10/10/2011 20:52 )
À Bezons / France

Eh oui, beaucoup de femmes noires sont les " COMPLICES " du blanc, ou du moins revent de l'etre , des hommes noirs le savent ou en toujours eus le soupçon, car cela remonte à l'esclavage et le sujet réccurent était TABOU, mais aujourdhui plus personne n'est dupe, les femmes noires, pour beaucoup se servent de l'homme noir comme alibi, et revent d'ascencion sociale, mais comme l'homme noir est souvent pauvre....................... que les blancs les " ramassent " ces femmes de toutes façons ne nous serviraient à rien, ne feraient que geindrent et se lamenter, " pourriraient nos journées ", et imposeraient leur " tyrannie de l'argent ".
Ecrire une réaction
  correction
numéro 7 ( 10/10/2011 20:53 )
À Bezons / France

des hommes noirs le savent ou en ont toujours eus.....................................
Ecrire une réaction
  correction
numéro 7 ( 10/10/2011 22:19 )
À Bezons / France

Marre des femmes noires qui " pétent plus haut que leur cul ", se " prennent pour des battantes " , se " croient importantes " et pensent que les hommes noirs sont tellement cons que certains ne voient pas leur manége avec les blancs !!!
Ecrire une réaction
  Congratulation!
SNS ( 11/10/2011 01:33 )
À Mableton / United States

Congratulation to these woman who have showed the world that peace will only comes from woman.
Congratulation again Ladies very good job!! vive la femme!!!!!
Ecrire une réaction
  La femme africaine n'est pas assez entrée dans l'histoire
Carla Bruni-Sarközy de Nagy-Bocsa ( 15/10/2011 13:40 )
À Garges-lès-gonesse / France

Amies Africaines,

De toute façon, nous Européennes savons que bous n'êtes qu'une race vile et servile. C'est pourquoi il est du devoir d'une grande nation comme la France de s'occuper de vos ressources naturelles. En attendant que vous preniez l'exemple de l'Asie et du Moyen-Orient pour mettre en place une civilisation digne de ce nom, je vous ordonne de promouvoir l'identité naZionale franSSaise. Car elle est un appel à la raison et à la conscience universelle.

Comme au Cameroun, au Tchad, au Congo, en Gambie, au Sénégal, au Togo, en Centre-Afrique, au Burkina Faso, au Guinée, au Niger, à Madagascar, au Gabon, en Erythrée, au Djibouti, au Biaffra, en Mauritanie, au Rwanda, au Burundi, nous souhaitons, en Côte d'Ivoire, préserver les intérêts supérieurs de la patrie des droits de l'homme blanc. Voilà pourquoi cette promotion sans retenu à l'endroit de nos serviteurs les plus zélés comme ces dictateurs françafricains, francs-maçons ( à l'instar d'idriss débile!) , est primordiale. En effet ces derniers sont de la trempe des roitelets nègres qui sacrifièrent les ancêtres des noirs Américains et des Antillais aux négriers Arabes et Européens. Le travail de ces laquais doit aboutir à une coopération plus étroite entre l'Empire Français et ses satellites africains au détriment de l'Empire du milieu. Afin d'assurer à la nation française des débouchés économiques et un accès privilégié aux matières premières.

Suivez donc l'auguste vérité de ce togolois kofi miamiam aliéné en vous accouplant à des cochons, comme l'émotif leopold senghor, ce zombie d'abdou wade, alassane "oie à rat" et sa oie blanche, la ramatoutou qu'on a tenue en laisse à l'Elysée. Afin de pondre des bâtards sans race, sans racine ni identité. Lorsque vous serez suffisamment entrés dans l'histoire venez donc me voir pour que nous ne parlions plus de fmme à vous mais enfin de femme à femmes. Surtout évitez les kamo-nubiennes comme Makeba, Mandela, Nzinga et consort...

La supériorité de la race blanche que je représente est évidemment éclatante et il ne tient qu'à vous que l'humiliation des nègres ne soit pas plus cuisante. Pourquoi restez-vous bêtement dans cet ordre immuable où la nature commande tout? Indéniablement vous représentez ce fameux chainon manquant entre les premiers primates hominidés et la splendeur de l'humanité, la femme moderne de type Européen. D'ailleurs, vous avez le nez si écrasé et d'affreux cheveux crépus qu'il serait presque impossible de vous plaindre. Courage amis Africains mon beau pays, la France, est de votre côté. Sortez donc davantage de la pré-histoire et de votre répétition pour enfin vous inventer un destin! Je vais vous faire entrer tout droit dans la glorieuse histoire de France et de Navarre.

Carla Bruni-Sarközy de Nagy-Bocsa,

Première Dame de la Monarchie Républicaine betteravière française
Ecrire une réaction

Nombre de messages
:  18
Pages:  1  
 
 
Le site des femmes noires et métissées | Grioo Village | English version