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Pisco (
23/10/2009 11:26 )
À Vitry-sur-seine / France
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Il n'y en pratiquemet en Afrique que les dirigeants viennent insulter les uns et les autres en guise de soumission a l'Occident blanc ! Cet type est un enfoire!
Et le peuple kenyan ? |
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Qui es-tu Raila Odimba |
Bamboutos (
23/10/2009 11:36 )
À New Malden / United Kingdom
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Il se prend pour qui ce monsieur? par ce qu'il vient faire de la leche, il se sent obliger de descendre ses comperes.
Pauvre Afrique! tant qu'on n'unira pas nos forces et esprit on sera toujours vaincu.
Ce monsieur n'est qu'une anflure. |
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23/10/2009 11:52 )
À Strasbourg / France
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Qu'il arrête de faire du zèle ce type. A titre de rappel, il ya eu des émeutes sanglantes dan son propre pays sans que les responsables ( dont lui) ne soient à ce jour inquiétés. |
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De quoi je me mèle, pauvre blaireau, il ya un qui à déjà cassé sa pipe. |
yuotam (
23/10/2009 12:47 )
À Lingolsheim / France
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Comme si les petits blancs allaient, faire le con chez nous.
Il lui ont fait boire de l'alcool frelaté, a base de gaucho pour qu'il perde la boule comme les abeilles, quand elles vont butiner le nectar.
Ce fayot essai de butiner les miettes des petits blancs, pour faire le mariolle, alors il faut descendre notre doyen adoré.
Le président zambien, Levy Mwanawasa, est mort mardi 19 août dans un hôpital parisien. Il était l'un des chefs d'État africains les plus critiques à l'égard de son homologue zimbabwéen Robert Mugabe.
Le président zambien, Levy Mwanawasa, est mort, mardi 19 août, 2008 à l'hôpital militaire de Percy, en région parisienne.
Voilà ce qui arrive a tous nos clowns de service, nos devanciers y veilles, chez dieu le père. |
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Si vous voulez comprendre les dessous des cartes lisez cet article |
Anka (
23/10/2009 12:49 )
À / France
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Si vous voulez comprendres les dessous des cartes lisez cet article :
http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid=6&id=2332&option=com_content&Itemid=11
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@ Anka, merci de l'info, a lire vost nous savions que les petits blancs ont fait un pacte avec SATAN pour entuber le reste du monde. |
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23/10/2009 14:23 )
À Lingolsheim / France
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Via des SMS anonymes à la population.
Dans les zones peuplées par des Luos (l’ethnies d’Odinga), ils disent « Chers Kenyans, les Kikuyus ont volé l’avenir de nos enfants… Nous devons les traiter de la seule manière qu’ils comprennent… la violence ».
Tandis que dans les zones peuplées par des Kikuyus, ils sont rédigés ainsi : « Le sang d’aucun Kikuyu innocent ne sera versé.
Nous les massacrerons jusqu’au cœur de la capitale.
Pour la Justice, établissez une liste de Luos que vous connaissez. Nous vous enverrons les numéros de téléphone où transmettre ces informations ».
En quelques jours, ce pays paisible sombre dans les violences communautaires. Les émeutes font plus de 1 000 morts et 300 000 déplacés.
500 000 emplois sont détruits
La même technique utilisée sur radio mille collines résultat plus d'un million de dépecés a la machette.
Et partout ailleurs sur notre continent, les crimes des petits blancs, avec la complicité de nos collabos devient de plus en plus insuportable.
Après ces mêmes petits blancs viennent déverser des torrents de larmes, sur les victimes via les ONG, remplis de pédophiles, qui profite pour allez assouvir leur penchant de pédophilie.
Ce qui me chagrine quand ils arrivent a enrôler des nègres collabos et traîtres, pour mieux nous entuber sans vaseline, ça c'est vraiment mortel, on ne vois que du feu.
On à trouver la parade, liquider nos traîtres par nos djos, avec l' aide de nos ancêtres, exemple Levy Mwanawasa, les autres vont suivre ou mal finir avec humiliation en prime.
Nous sommes en guerre, et les canards boiteux, n'ont qu'à s'en prendre a leur pattes.
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Oui nous sommes en guerre, c'est un monde de fous |
anka (
23/10/2009 14:54 )
À / France
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La déstabilisation du Kenya
Barack Obama et sa famille, accompagnés d’un attaché de presse (Robert Gibbs) et d’un conseiller politico-militaire (Mark Lippert), arrivent à Nairobi dans un avion spécial affrété par le Congrès. Leur appareil est suivi d’un second avion, celui-ci affrété par l’US Army, et transportant une équipe de spécialistes en guerre psychologique commandée par le général prétendument à la retraite J. Scott Gration.
Le Kenya est alors un plein boom économique. Depuis le début de la présidence de Mwai Kibaki, la croissance est passée de 3,9 à 7,1 % du PIB et la pauvreté a reculé de 56 à 46 %. Ces résultats exceptionnels ont été obtenus en réduisant les liens économiques post-coloniaux avec les Anglo-Saxons et en leur substituant des accords plus équitables avec la Chine. Pour casser, le miracle kenyan, Washington et Londres ont décidé de renverser le président Kibaki et d’imposer un opportuniste dévoué, Raila Odinga [3]. Dans cette perspective, la National Endowment for Democracy a suscité la création d’une nouvelle formation politique, le Mouvement orange, et complote une « révolution colorée » à l’occasion des prochaines élections législatives de décembre 2007. |
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dégageons les traitres |
gremio (
23/10/2009 16:18 )
À Paris / France
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Tant que nos traitres n'auront pas été indexé ou éliminé on en sera tjrs pas de discipline pas de peuple fort mugabé est quand le même le père de l'indépendance c'est grâce a lui que le zimbabwé existe. et se sont même ces meme gens qui avaient fuit leur pays a l'époque qui viennent aujoud'hui faire des leçon de démocratie ou gouverné c'est quand même 1 comble.
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L'idiot |
Akili (
23/10/2009 18:15 )
À Port-au-prince / Haiti
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Chers tous,
Merci pour votre perspicacité. Ce voyou de Raila doit s'occuper de son pays qu'il a mis à sang et à feu pour arriver à la mangeoire. qu'il crève en enfer. |
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arrêtez de raconter n'importe quoi |
L'Observateur (
23/10/2009 23:32 )
À Asnières / France
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Vous parlez apparemment de choses que vous ne comprenez pas et vous nous fatiguer avec vos sempiternels théories du complot.
Déjà, Kibaki n'a nullement gagné les élections : il s'est fait investir à la va-vite quand il a vu qu'il était entrain de perdre.
De deux, Kibaki est corrompu jusqu'à la moëlle. Je vous invite à lire le livre de l'ancien responsable de la lutte contre la corruption au Kenya qui vit en exil depuis qu'il a révélé les dessous du système, avec les sociétés fictives créées par les amis de Kibaki.
Anka est gentil, mais à force de tout voir par le prisme du complot, je me demande pourquoi il ne se jette pas sous un train puisque les occidentaux font tout et décident de tout partout. Le monsieur qu'il cite ne me semble pas être un spécialiste du Kenya. Donc qu'il ne serve pas de référence à tous les frustrés qui prennent la mouche parcequ'on a critiqué Bob Mugage, qui risque de rester dans l'histoire comme un vieux président qui a totalement raté sa sortie. |
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Sur la photo de Raila Odinga, le gars il pleur ou il a merde dans les yeux |
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24/10/2009 00:21 )
À Lingolsheim / France
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@ Observateur observe et arrête de nous prendre pour des guignols.
Avec tous tes experts a la noix de mes noeux, qui se sont vraiment fait des couills en or, sur notre dos.
S'ils avaient reussi a faire quelque chose cele se saurait. |
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Moi en Afrique quand je vois un petit blanc qui me dit qu'il est expert en quelque chose |
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24/10/2009 00:27 )
À Lingolsheim / France
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Je commence par reculer tout doucement, et quand je suis a une distance respectable, je prends mes jambes a mon coup.
Comme si je venais de voir le diable en personne. |
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@pseudo observateur |
gremio (
24/10/2009 02:35 )
À Paris / France
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Écoute les analystes politiques il en pleut tous les jours sur le continent et on en voit le résultat c'est a dire catastrophique voir nul zéro tous ces grands intellectuels africains formés en occident.
Qui franchement ne servent a rien a part bien sur servir les intérêts de leurs maitres blancs.
Cela prouve que les écoles a l'occidental sont en faite des endroits qui fabrique des robots au service de l'occident et seulement de l'occident.
Quelle honte des traitres a leur nation j'espère qu'un jour ces gens seront humiliés en public pour haute trahison. |
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Manifestons notre soutien même ici à Paris |
Un africain en colère (
24/10/2009 14:12 )
À Maisons-alfort / France
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Mugabé est le dernier rampart pour protéger son pays et conserver les terres reconquises à juste titre.
Nous devons soutenir Mugabé avec nos moyens et protester contre l'embargo qui a ruiné ce pays |
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Pour M. l'Observateur |
anka (
24/10/2009 21:38 )
À Montreuil / France
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Monsieur l'Observateur, vous devez mériter votre pseudo;
si vous avez observé, ce qui signifie lu, correctement, dans un 1er temps je n'ai donné qu'un lien vers un article d'un site, dont le nom est "L'info décodé.
Ensuite j'ai posté une partie de l'article;
je n'ai rien fais d'autre ni donné mon avis;
A la lecture de l'article qui me semble valable; je n'apas analysé cela comme un complot.
Pour moi tout cela fait partie lamentable de ce monde, en l'occurence le pouuvoir des uns sur les autres. dans le cas du Kenya les états unis sont mêmés pour des raisons politique, d'hégémonie.
M. l'Observateur , avez vous observé que le titre de l'article était :
" Le dessous du prix Nobel de la paix 2009 "
Apparemment M.l'observateur, vous ne savez pas lire;
Calmez vos ardeurs, lisez l'article; lisez le titre qui est :
Le dessous du prix Nobel de la paix 2009
comprenez pourquoi l'auteur prend le cas du Kenya;
Je vous suggère de lire au moins 2 fois l'article, allez soyez honnête; je ne vous demande pas de croire à ce qui est écrit, mais au moins de comprendre les tenats et les aboutissants; il ne n'agit nullement de la théorie du complot;
Relisez le titre , please, et relisez l''article si vous l'avez fait
Cordialement
Anka |
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Qui est Raila Odinga?? |
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25/10/2009 10:52 )
À Münster / Germany
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En 2006, l’European Command (c’est-à-dire le commandement régional des troupes US dont l’autorité couvrait alors à la fois l’Europe et l’essentiel de l’Afrique) sollicita le sénateur d’origine kenyane Barack Obama pour participer à une opération secrète inter-agences (CIA-NED-USAID-NSA). Il s’agissait d’utiliser son statut de parlementaire pour mener une tournée en Afrique qui permettrait à la fois d’y défendre les intérêts des groupes pharmaceutiques (face aux productions hors brevets) et de repousser l’influence chinoise au Kenya et au Soudan [2]. Seul l’épisode kenyan nous intéresse ici.
La déstabilisation du Kenya
Barack Obama et sa famille, accompagnés d’un attaché de presse (Robert Gibbs) et d’un conseiller politico-militaire (Mark Lippert), arrivent à Nairobi dans un avion spécial affrété par le Congrès. Leur appareil est suivi d’un second avion, celui-ci affrété par l’US Army, et transportant une équipe de spécialistes en guerre psychologique commandée par le général prétendument à la retraite J. Scott Gration.
Le Kenya est alors un plein boom économique. Depuis le début de la présidence de Mwai Kibaki, la croissance est passée de 3,9 à 7,1 % du PIB et la pauvreté a reculé de 56 à 46 %. Ces résultats exceptionnels ont été obtenus en réduisant les liens économiques post-coloniaux avec les Anglo-Saxons et en leur substituant des accords plus équitables avec la Chine. Pour casser, le miracle kenyan, Washington et Londres ont décidé de renverser le président Kibaki et d’imposer un opportuniste dévoué, Raila Odinga [3]. Dans cette perspective, la National Endowment for Democracy a suscité la création d’une nouvelle formation politique, le Mouvement orange, et complote une « révolution colorée » à l’occasion des prochaines élections législatives de décembre 2007.
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Le sénateur Barack Obama faisant campagne pour son « cousin » Raila Odinga.
Le sénateur Obama est accueilli comme un enfant du pays et son voyage est hyper-médiatisé. Il s’ingère dans la vie politique locale et participe aux meetings de Raila Odinga. Il appelle à une « révolution démocratique », tandis que son « accompagnateur », le général Gration, remet à Odinga 1 million de dollars en liquide. Ces interventions déstabilisent le pays et suscitent les protestations officielles de Nairobi auprès de Washington.
À l’issue de cette tournée, Obama et le général Gration vont au rapport chez le général James Jones (alors patron de l’European Command et suprême commandeur de l’OTAN) à Stuttgart, avant de retourner aux États-unis.
L’opération continue. Madeleine Albright, en qualité de présidente du NDI (la branche de la National Endowmement for Democracy [4] spécialisée dans le traitement des partis de gauche) fait le voyage de Nairobi où elle supervise l’organisation du Mouvement orange. Puis John McCain, en qualité de président de l’IRI (la branche de la National Endowmement for Democracy spécialisée dans le traitement des partis de droite) vient compléter la coalition d’opposition en traitant de petites formations de droite [5].
Lors des élections législatives de décembre 2007, un sondage financé par l’USAID annonce la victoire d’Odinga. Le jour du vote, John McCain déclare que le président Kibaki a truqué le scrutin en faveur de son parti et qu’en réalité, c’est l’opposition conduite par Odinga qui a gagné. La NSA, de concert avec des opérateurs locaux de téléphonie, adresse des SMS anonymes à la population. Dans les zones peuplées par des Luos (l’ethnies d’Odinga), ils disent « Chers Kenyans, les Kikuyus ont volé l’avenir de nos enfants… Nous devons les traiter de la seule manière qu’ils comprennent… la violence ». Tandis que dans les zones peuplées par des Kikuyus, ils sont rédigés ainsi : « Le sang d’aucun Kikuyu innocent ne sera versé. Nous les massacrerons jusqu’au cœur de la capitale. Pour la Justice, établissez une liste de Luos que vous connaissez. Nous vous enverrons les numéros de téléphone où transmettre ces informations ». En quelques jours, ce pays paisible sombre dans les violences communautaires. Les émeutes font plus de 1 000 morts et 300 000 déplacés. 500 000 emplois sont détruits.
Madeleine Albright est de retour. Elle propose sa médiation entre le président Kibaki et l’opposition qui tente de le renverser. Avec finesse, elle s’écarte et place sur le devant de la scène l’Oslo Center for Peace and Human Rights. Le directoire de cette ONG respectée est nouvellement présidé par l’ex-Premier ministre de Norvège, Thorbjørn Jagland. Rompant avec la tradition d’impartialité du Centre, il dépêche deux médiateurs sur place, dont tous les frais sont pris en charge par le NDI de Madeleine Albright (c’est-à-dire in fine sur le budget du département d’État des États-Unis) : un autre ancien Premier ministre norvégien, Kjell Magne Bondevik, et l’ancien secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan (le Ghanéen est très présent dans les États scandinaves depuis qu’il a épousé la petite nièce de Raoul Wallenberg).
Obligé pour rétablir la paix civile d’accepter le compromis qu’on lui impose, le président Kibaki accepte de créer un poste de Premier ministre et de le confier à Raila Odinga. Celui-ci entreprend immédiatement de réduire les échanges avec la Chine.
Petits cadeaux entre amis
Si l’opération kenyane s’arrête là, la vie des protagonistes continue. Thorbjørn Jagland négocie un accord entre la national Endowment for Democracy et l’Oslo Center, qui est formalisé en septembre 2008. Une fondation jointe est créée à Minneapolis qui permet à la CIA de subventionner indirectement l’ONG norvégienne. Celle-ci intervient pour le compte de Washington au Maroc et surtout en Somalie [6].
Obama est élu président des États-Unis. Odinga proclame plusieurs jours de fête nationale au Kenya pour célébrer le résultat de l’élection aux États-Unis. Le général Jones devient conseiller de sécurité nationale. Il prend Mark Lippert comme chef de cabinet et le général Gration comme adjoint.
Durant la transition présidentielle aux USA, le président de l’Oslo Center, Thorbjørn Jagland, est élu président du Comité Nobel, malgré le risque que représente pour l’institution un politicien aussi retors [7]. La candidature de Barack Obama au Prix Nobel de la paix est déposée au plus tard le 31 janvier 2009 (date limite réglementaire [8]), soit douze jours après sa prise de fonction à la Maison-Blanche. De vifs débats animent le Comité qui ne parvient toujours pas à s’accorder sur un nom début septembre, comme le prévoir le calendrier habituel [9]. Le 29 septembre, Thorbjørn Jagland est élu secrétaire général du Conseil de l’Europe à la suite d’un accord en sous-main entre Washington et Moscou [10]. Ce bon procédé en appelait un autre en échange. Bien que la qualité de membre du Comité Nobel soit incompatible avec une fonction politique exécutive majeure, Jagland ne démissionne pas. Il argue du fait que la lettre du règlement interdit le cumul avec une fonction ministérielle et ne dit rien du Conseil de l’Europe. Il rentre donc à Oslo le 2 octobre. Le jour-même, le Comité désigne le président Obama, Prix de la paix 2009.
Dans son communiqué officiel, le Comité déclare sans rire : « Il est très rare qu’une personne, à l’instar d’Obama, ait réussi à captiver l’attention de tous et leur donner l’espoir d’un monde meilleur. Sa diplomatie est basée sur le concept que ceux qui dirigent le monde doivent le faire sur un socle de valeurs et de comportements partagés par la majorité des habitants de la planète. Pendant 108 ans, le comité du prix Nobel a cherché à stimuler ce type de politique internationale et ces démarches dont Obama est le principal porte-parole » [11].
De son côté, l’heureux lauréat a déclaré : « Je prends la décision du comité Nobel avec surprise et une profonde humilité (…) J’accepterai cette récompense comme un appel à l’action, un appel lancé à tous les pays pour qu’ils se dressent face aux défis communs du XXIe siècle ». Ainsi donc, cet homme « humble » estime incarner « tous les pays ». Voilà qui n’augure rien de pacifique.
Thierry Meyssan |
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25/10/2009 10:55 )
À Münster / Germany
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j´ai envoyé l´article de Thierry Meyssan qui précede. la source est voltairenet.org.
cordialement |
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Pisco (
25/10/2009 13:46 )
À Vitry-sur-seine / France
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Mugabe était le nègre préfère des blanco occidentaux tant qu'il laissait les blancs faire du blé avec les terres de son peuple.
Des qu'il a dit stop, il est devenu un nègre a tuer!!!
Mais il reste digne et fier et refuse de se soumettre!!!
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Pisco (
25/10/2009 15:34 )
À Vitry-sur-seine / France
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Au fait, j'ai oublie d'ajouter qu'il a même été fait honoris causis de l'université de Glasgow, a l'époque ou les blancs dominaient l'économie du pays.
Et maintenant qu'il souhaite que les Zimbabweens soient rois chez eux!
L'occidant blanc lui est tombe dessus!!! |
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25/10/2009 18:29 )
À Laurel / United States
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c'est marrant ,le seul qui a le droit de critiker les presidents africains soit disant dictateur c'est le messie OBAMA LE METIS ,meme les negres racistes de ce forum l'idolatrent meme ceux qui sont contre les unions mixtes .kan obama qui a la solde de la suprematie blanche vote pour sanctionner le zimbabwe la tout le monde est content .les negres ne comprendront jamais rien .Tous vos pseudos heros comme mandela vous sont donnes par les blancs ! |
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