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Togo: Libération de 10 des 31 présumés complices dans l’affaire Kpatcha Gnassingbé |
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Nous avons des problèmes mentale en politique |
(
17/04/2011 10:50 )
À Saint-avertin / France
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Imaginer , toute une famille qui fait la lois au Togo dépuis 47ans sous la couverture de l'état Français et l'Onu . Le conseiller du president est un Français nommé Debassch . On saute sauvagement sur Mr Gbagbo mais au Togo malgré plus de 500 morts pendant l'élection ,aucune action internationale . Fraude flagrant electorale avec coupure de système informatique de resultats subbitement mise en panne ouvrant la porte a une fausse resultat en faveur de Faure Gnasingbe ,vite la l'état Francais a reconnu les fausse resultats ;.Ou va t-on avec tout ce deblilité politique de la Francophonie Noire ? A t-on pas honte d'ètre si ridicule ? |
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kissi (
17/04/2011 16:05 )
À Bochum / Germany
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Bien dit mon frère. je suis d'accord avec toi. Si la france aime tellement l'Afrique, qu'elle commence par deloger ces vieux Dictateurs par ordre d*'ancienneté avant d'arriver sur Gbagbo.Chers Frères Africains reveillez-vous. |
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piment_tropical (
17/04/2011 18:16 )
À Karlsruhe / Germany
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Rien a rajouter. Tout le monde voit la grossiereté du 2 poids deux mesures. Pour deloger Gbagbo les francais ont mis en place toute une armée pour des résultats dont personne n'est dupe du teleguidage dont ils ont ete l'objet depuis l'Elysée
Mais une chose est d'installer la democratie des chars et des helicopteres, une autre est de diriger la cote d'ivoire.... |
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POPI (
17/04/2011 18:39 )
À Paris / France
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Kpatha est un gros criminel plein de merde. Ce con mourra comme un porc |
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17/04/2011 21:09 )
À Saint-avertin / France
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18 Mon pays va mal | 4/17/2011 1:53:06 PM
Togo: Deux ans après l’arrestation de Kpatcha Gnassingbé:
L'Imbroglio judiciaire demeure – La dernière discussion entre les deux frères
15 avril 2011
L’affaire Kpatcha Gnassingbé a permis à tous les Togolais et à la communauté internationale d’avoir une idée sur la nature ténébreuse de la justice togolaise. Parmi ceux qui se sont négativement illustrés dans ce dossier, se trouve un certain Robert Bakaï, Procureur de la République de son état.
Selon des indiscrétions, il profitait lui aussi des largesses du député de la Kozah. Et ses sorties hasardeuses et tonitruantes n’ont fait que ridiculiser la justice togolaise dans cette affaire. La suite de tout ce cinéma ubuesque a été une série d’obstructions à la manifestation de la vérité. La détermination des avocats de Kpatcha Gnassingbé, notamment Djovi Gally, Zeus Ajavon et autres n’a pas fait avancer le dossier. Même les avocats de Faure Gnassingbé dans ce dossier n’ont existé que le temps d’une sortie médiatique. Finalement le dossier Kpatcha Gnassingbé et coaccusés est perdu dans les méandres poussiéreux de la justice togolaise.
Le rôle confié à Toyi Gnassingbé
Bien qu’il garde jusqu’ici silence dans l’affaire qui oppose son frère jumeau à leur grand frère, Chef de l’Etat, Toyi Gnassingbé a sa petite idée de tout ce qui se passe. Naturellement, il se sent plus proche de son frère jumeau et rumine ses ressentiments en silence.
De sources proches de lui, il se raconte qu’au déclenchement de cette affaire, il aurait eu un certain nombre de contacts avec des Chefs d’Etat africains qui lui ont confié une mission. «Toi il faut servir de trait d’union au sein de la famille», lui auraient dit en instance ses interlocuteurs. Cela justifie-t-il de sa part le silence observé? Peut-être. Mais a-t-il vraiment l’intention de jouer le rôle à lui confié par lesdits Chefs d’Etats? Pas si sûr, vu l’humiliation que le grand-frère fait subir à son jeune frère allant jusqu’à l’incarcérer dans les pires conditions depuis deux ans.
Des interrogations fusaient de partout au lendemain de l’attaque du domicile de Kpatcha Gnassingbé. Personne n’arrivait à comprendre ce qui allait coûter la vie à celui-là que la ville de Kara et toute la Kozah considéraient comme «le messie». Pour justifier cet acte ignoble qualifié aujourd’hui de criminel, puisque deux ans après, les auteurs n’arrivent pas à convaincre l’opinion de l’existence d’une réelle tentative d’atteinte à la sûreté de l’Etat, un arsenal d’armes a été présenté à la gendarmerie nationale le 17 avril 2009. C’était le Chef d’Escadron Amana Kodjo qui s’était essayé à cet exercice qui ressemblait plutôt à une mise en scène aux yeux de tous.
Heureusement, le peuple togolais n’a pas été le seul à être agacé par cette « plaisanterie » amère. Surpris, courroucé et indigné par cette «tentative d’atteinte à la sûreté de la vérité» dont sont coupables les autorités togolaises et leurs complices, un officier supérieur des Forces Armées Togolaises (FAT) était monté au créneau pour dépouiller ce qu’on voulait cacher à l’opinion nationale et internationale.
12 avril 2009-12 avril 2011; il y a deux ans le domicile de Kpatcha Gnassingbé était attaqué
«Kpatcha Gnassingbé toujours redouté par l’entourage de Faure», tel était le titre à la Une d’un confrère togolais dans sa livraison du 6 avril 2009. Six jours avant le déclenchement de cette affaire, le confrère révélait que «Kpatcha Gnassingbé est toujours dans l’œil du cyclone». Quelques jours auparavant, des sms anonymes ont été envoyés sur des portables de certains journalistes pour les avertir d’un coup que prépareraient les proches de Faure contre Kpatcha. Moins d’une semaine après, c’est le déclenchement de ce qu’on nomme désormais dans la presse togolaise «Kpatchagate»… Voici deux ans que le député et co-accusés croupissent en secret à l’ANR pour une affaire de coup d’Etat.
Les bisbilles entre les fils Gnassingbé (Faure-Kpatcha) ont pris un tour dramatique dans la nuit du 12 au 13 avril 2009. Alors que les paisibles populations de Kégué et particulièrement les chrétiens célébraient la résurrection de Jésus Christ, le domicile de Kpatcha Gnassingbé, frère cadet de Faure, ancien ministre de la Défense et député à l’Assemblée Nationale est pris d’assaut à l’arme lourde par des éléments de la FIR (Force d’Intervention Rapide), avec à sa tête le Colonel Félix Kadanga, gendre de la famille Gnassingbé. Quelques heures plus tôt, Faure Gnassingbé venait d’annuler in extremis un voyage officiel en Chine.
L’attaque du domicile de Kpatcha a duré une demi-heure et ce n’est que le lendemain que les journalistes qui se sont précipités sur les lieux ont pu constater les dégâts. Des murs éventrés, des chambres à coucher complètement détruites, des véhicules endommagés, bref toute la maison portait les traces d’une violence sans précédent. Le maître des lieux Kpatcha Gnassingbé est miraculeusement sorti de cette attaque. Il s’est d’ailleurs permis le luxe d’accorder une interview à nos confrères de RFI. Quelques heures plus tard, on apprend de source officielle que l’attaque du domicile du «gros» est consécutive à une opération d’interpellation qui aurait mal tourné. Si tel était le cas, pourquoi avoir alors eu recours à une unité d’élite avec des armes lourdes pour interpeller un citoyen? C’était le début même des manœuvres du pouvoir qui vont se poursuivre à coup de mensonge après l’arrestation de Kpatcha Gnassingbé le 15 avril 2009 aux portes de l’Ambassade des USA. Combien de personnes ont perdu la vie suite à l’assaut du domicile de l’ex ministre de la Défense? Difficile de le savoir; puisque, officiellement, rien n’a été dit à propos. Mais selon des témoins, il y a eu au moins une dizaine de morts.
Ce qui s’est passé à Kara
Dès la nuit du 12 avril 2009 dans laquelle un commando du régiment de la Force d’intervention rapide (FIR) a pilonné la maison du député de la Kozah, l’information a atteint Kara. La ville s’est levée très tôt dans la grande confusion. Mais ceux qui étaient proches de celui que d’aucuns désignent comme l’ «Icône de Kara» tentent de comprendre, sinon qu’ils ont compris. Pour eux, c’est la déclaration de guerre du camp adverse, celui de l’autre Gnassingbé, Faure. Dans la ville, l’idée de bras de fer traverse l’esprit de quelques jeunes. Mais ces derniers hésitent. Surtout après l’arrestation le 15 avril du député et l’intervention télévisée de Faure Gnassingbé le 17 avril qui a dénoncé «un coup d’Etat» raté, les proches de Kpatcha se ravisent.
Entre-temps, le mercredi 15 avril, des éléments de la Gendarmerie de Kara perquisitionnent, sans mandat de la justice, les domiciles du député à Kara ville comme à Pya. A Kara, un incident a failli se produire. Les éléments de la gendarmerie se heurtent à une résistance des bérets-rouges qui gardaient le domicile. Ces derniers opposent aux premiers qu’ils n’ont reçu aucune instruction de leurs supérieurs. Face à l’insistance des gendarmes, la tension monte. D’où la nécessité de passer quelques coups de fil à Lomé où se trouvait le commandant du Camp Landja de Kara, le Colonnel Lémou. Depuis la capitale où il est convoqué dans le cadre de l’affaire de tentative de coup d’Etat, il donne l’ordre à ses éléments de laisser la gendarmerie faire la perquisition.
Après les fouilles des deux domiciles du «Gros», les gendarmes sortent presque bredouilles. Ils ne trouvent qu’au total un pistolet automatique et deux fusils de chasse. C’est connu de tous que Kpatcha Gnassingbé affectionne particulièrement la chasse.
Le 18 avril, trois jeunes réputés proches de Kpatcha dans la ville sont convoqués à la gendarmerie. Ils s’y rendent volontairement et seront gardés pour quelques jours. Trois jours plus tard, ils seront déférés à la prison civile de Kara pour «incitation à la révolte». Il leur est reproché d’avoir pensé manifester dans la ville en soutien au député. Ces trois responsables de l’association Action-Avenir-Kara (2AK) parrainée par le député passeront un an à la prison civile de Kara avant d’être relâchés à la suite d’une bataille juridique.
Ces trois jeunes, Jean Awadé, Gaétan Kapitan et Blandé Toyi, ne seront pas les seuls à être arrêtés à Kara. Dans la foulée, on appréhende également le Sergent-Chef Tchangaï, le Caporal-Chef (à la retraite) Kagnaya et une dame. On accuse ces trois personnes d’avoir couvert Esso Gnassingbé, contribué à le «cacher», même si aucun mandat n’était officiellement lancé contre lui. Ce dernier, après la fusillade du 12 avril à la maison de son frère Kpatcha à Lomé, trouve le moyen de se retirer de la capitale pour se réfugier à Pya. Le frère du Chef de l’Etat est finalement arrêté et transporté expressément à Lomé pendant que ceux qu’on accuse de l’avoir protégé ont été écroués à Kara. Les militaires feront un an à la maison de détention de Kara et la civile ne sera relâchée qu’un mois plus tard.
A part Esso Gnassingbé (civil), le capitaine Bagoubadi Gnassingbé était aussi arrêté à Kara mais, dans son camp, au Centre d’Entraînement et d’Instruction de Kara (CENI). Comme le premier, lui aussi est convoyé à Lomé pour rejoindre les autres co-accusés en détention à Lomé.
Il faut dire que, plusieurs mois avant son arrestation, Kpatcha avait initié plein d’activités d’ordre humanitaire. Il fait créer par exemple une association dénommée «Action-Avenir-Kara» (2AK). Depuis son retrait ou sa démission de ses fonctions de ministre de la Défense après celles de Directeur de la Sazof, Kpatcha Gnassinbgé s’est visiblement employé à se faire connaître autrement. Il investit beaucoup dans l’humanitaire à travers l’association. Dons de matériels médicaux par-ci, d’infrastructures socioéconomiques de base par-là. Les réalisations de l’homme commençaient par susciter de la sympathie, même si elle est naissante et que beaucoup restaient encore très prudents vis-à-vis de lui. L’affection à son endroit devenant croissante, due en partie aussi à la victimisation de la personne, commençait à déranger. La suite est connue.
La dernière discussion entre Faure et Kpatcha avant la fusillade
Malgré la guerre presque ouverte entre les deux frères Gnassingbé, ces derniers avaient semblé conserver une certaine courtoisie l’un envers l’autre. En tout cas, tantôt ils se montraient frères, tantôt ennemis. C’était le cas le matin du fameux 12 avril, jour de l’agression du domicile de Kpatcha par l’armée. Selon des membres de la «famille présidentielle», le grand frère aurait appelé son jeune frère ce matin-là. Au téléphone, les discussions sont conviviales. Faure demande à Kpatcha comment se porte sa petite famille. «Bien», lui répond ce dernier. Le premier déplore même qu’il y a longtemps qu’il n’a plus vu les enfants du second. Ce dernier lui indique que de leur retour de congés, lui et ses enfants viendront lui rendre visite. Les deux se mettent d’accord.
Par ailleurs, Faure demande à Kpatcha à quel niveau se trouve le dossier de création de la radio (ndlr, Ewaou FM à Kara). «Tout est prêt et on n’attend que l’autorisation de la HAAC pour lancer la radio», répond le président d’honneur de l’association Action-Avenir-Kara. Le Chef de l’Etat promet son intervention auprès des responsables de la HAAC pour une délivrance rapide de l’autorisation.
Et pourtant, pendant tout ce temps, à en croire les propos tenus plus tard par le Procureur de la République Robert Bakaï, Kpatcha et ses proches étaient sous surveillance. Faure cherchait-il à prendre le pouls de son frère, avant de «l’achever» le soir? Aurait-il eu le temps de passer ce coup de fil si relaxe si réellement il y avait tentative de coup d’Etat contre lui? Autant de questions qui restent sans réponses jusqu’à ce jour.
Le silence ahurissant de l’Onu, l’UE et des USA
Dans la nuit du 12 à 13 avril 2009, le domicile de Kpatcha Gnassingbé, député à l’Assemblée nationale a été pris d’assaut par des hommes en treillis lourdement armés. La maison du député de la Kozah essuya des tirs de rafales. Kpatcha Gnassingbé alla, 72 heures plus tard, demander asile à l’Ambassade des Etats unis d’Amérique près du Togo, mais il sera livré aux autorités politiques.
En effet, Kpatcha Gnassingbé est accusé de tentative d’atteinte à la sûreté de l’Etat. L’ex ministre de la Défense est détenu jusqu’aujourd’hui en secret à l’Agence Nationale de Renseignement (ANR) en violation des lois. Au sein de la classe politique et de la société civile, on déplore l’acharnement de Faure contre son frère cadet. Lui qui promettait laisser la justice faire son travail, au non de la distribution des pouvoirs de Montesquieu et leur indépendance. Il faut que triomphe la force de la loi, disait-il avec plein de conviction et d’enthousiasme. Mais ce n’était que du bluff.
En ce jour du 2è anniversaire de cet événement, c’est le silence total de la part des représentations diplomatiques accréditées au Togo, et surtout leur refus de commenter cette affaire. Pour la circonstance, toutes nos tentatives pour joindre les responsables du Système des Nations unies, de l’Union européenne et de l’Ambassade des Etats unis d’Amérique à propos de la suite à donner à cette affaire, se sont révélées toutes vaines. Certains analystes voient dans ce refus de parler des représentations diplomatiques, leur embarras et, au-delà, leur duplicité.
Cet embarras se justifie par le fait que l’Ambassade des USA a livré l’inculpé contre la promesse des autorités de Lomé de le juger pour situer les faits. Mais deux ans après l’engagement de Faure de soumettre son frère cadet à une justice juste et équitable, rien n’est fait dans ce sens. L’honorable Kpatcha continue de croupir en prison où toute visite, même de sa famille et de ses avocats lui est refusée catégoriquement, en violation des droits de l’Homme.
Dans les jours qui ont suivi l’éclatement de cette affaire, Saïd Djinnit, le représentant sous-régional du Secrétaire national de l’Onu, a rendu visite au Chef de l’Etat, Faure Gnassingbé pour s’assurer des conditions carcérales des détenus et exigé des gouvernants togolais de veiller à ce que leurs droits soient reconnus et respectés. Mais deux ans après, plus aucune réaction, du moins officielle de la part du Système des Nations unies, de l’Ue, de l’Ambassade des Usa. Le silence de ces représentations diplomatiques inquiète plus d’un, surtout que ce sont les droits de l’Homme qui sont violés dans ce dossier.
L’affaire Kpatcha est la preuve que le Togo, nonobstant, les discours, est loin d’un Etat de droit. Et on ne peut que déplorer l’attitude de la communauté internationale qui est censée promouvoir le respect des droits de l’Homme dans les pays.
Kpatcha Gnassingbé abandonné par le RPT, ses amis et ses profiteurs
Lorsqu’il était encore libre de ses mouvements, Kpatcha Gnassingbé voyait défiler à son domicile des amis, des courtisans, des officiers supérieurs, bref des profiteurs de toute catégorie. Accusé de tentative d’atteinte à la sureté de l’Etat, il fut arrêté et incarcéré dans les locaux de la tristement célèbre ANR sans que son immunité parlementaire ne soit levée. Et cette situation de violation flagrante de la constitution continue sans qu’aucun membre du RPT, y compris les députés dont il aurait favorisé l’élection à coup de billets de banque et de bourrage des urnes, ne lève le petit doigt pour protester. Mais pourtant les députés de l’opposition ont en ce temps exigé que l’article 53 de la constitution soit respecté. Le pouvoir, lui, dans sa duplicité, fait la sourde oreille et parle de flagrant délit.
Du fond de son trou, le sieur Kpatcha Gnassingbé est bien seul aujourd’hui. Les officiers supérieurs, les directeurs de sociétés, les barons du RPT qui faisaient la ronde chez lui, lançant « Mandja » par-ci, «Soussô» par-là, ont disparu de la circulation comme par enchantement, si ce n’est qu’ils ont rejoint le camp de Faure Gnassingbé. A Kara où Kpatcha Gnassingbé s’adonnait à coup de renfort médiatique à des œuvres humanitaires notamment, dons aux hôpitaux, scolarité gratuite pour les élèves, lancement de radio privée, personne n’a bronché suite à son arrestation et à son incarcération dans les conditions inhumaines jusqu’à ce jour. Même les journalistes qui s’accrochaient à l’icône de la Kozah comme des chauves-souris se sont envolés pour d’autres arbres fruitiers.
Aujourd’hui tous ces gens, y compris les officiers évoquent à peine le nom Kpatcha. Et s’ils le font, c’est à voix basse. Faure Gnassingbé a compris depuis qu’au sein du RPT et même de l’armée, Kpatcha n’avait pas vraiment des partisans, mais juste des profiteurs dont la plupart sont des couards. Il a alors tiré dans le tas et chacun craignant pour sa vie, est rentré dans sa coquille.
Faure Gnassingbé entre cynisme et rumeur de libération
Au moment où Kpatcha Gnassingbé et coaccusés passent leur deuxième année de prison, certains à l’ANR, une zone de non droit, et d’autres à la gendarmerie après un stage musclé au camp RIT, des rumeurs d’une probable libération de l’icône de la Kozah circulent. Volonté réelle de mettre un terme à ce dossier ou juste un ballon d’essai pour flouer les parents des victimes qui n’en finissent de collecter les promesses sans suite de Faure Gnassingbé?
Après la sortie tonitruante des femmes des détenus devant les locaux de l’ANR, des indiscrétions ont fait état de ce que Faure Gnassingbé aurait proposé une libération à son frère, mais à condition qu’il accepte partir en exil. Ce dernier aurait refusé cette offre empoisonnée. En réalité, l’affaire Kpatcha Gnassingbé est une épine dans la gorge de Faure qui peine à s’en débarrasser. Quant aux familles des détenus, elles ne pensent pas rester les bras croisés. Elles comptent célébrer cette deuxième année de détention de leurs proches par des messes et des prières avec l’espoir de voir leurs maris et frères en liberté dans les jours à venir.
Liste des détenus
1. Adjinon Kossi Lambert
2. Cdt Amah Olivier Poko,
3. Atcholi Kao Monzolouwè
4. Cdt Atti Abi,
5. Baouma Mandabouwè
6. Dontema Kokou Tchaa
7. Capitaine Gnassingbé Bagoubadi
8. Gnassingbé Essolizam
9. Gnassingbé Essozimna
10. Gnassingbé Kpatcha
11. Kamouki Menveidom
12. Karoue P. Pyabalou
13. Kassiki
14. Kebera Kossi
15. Lare Bitié, sergent
16. Nayo Eyademè
17. Padaro Palabamzémani
18. Papali Abalo
19. Sassou Jean Efoé
20. Seidou-Ougbakiti, adjudant chef
21. Sergent Agnan Mazabalo
22. Sizing Essodozou
23. Tchara Atam Mèdè-Atcholo
24. Tcheou Jaurès
25. Tchinguilou Sondou
26. Toukesala Assétina, Adjudant-chef major
27. Towbeli Kouma
28. Konzoh Baronam
Pierre Claver K., Ferdi
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Bon sens, |
Observateurs (
20/04/2011 20:07 )
À Montreal / Canada
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Cher Mr ou Mme de Sanary-sur-mer / France.
Avec l'histoire dramatique du Togo, premier pays à avoir assassiné un chef d'état Africian en fonction, dont le seul crime était d'avoir dit non au pacte cxolonial, comme son collègue Fulbert Youlou du Congo Brazzaville, qui lui aussi fut renversée immédiatement, le peuple du Togo a été privé définitivement du droit à disposer de son destin, car dès 1967, feu le général Éyadéma, décidait de récupérer son dû, qu'il avait laissé pour quelques tepms `à Grutniztky.
Alors, voilà ce qui préoccupe tout Africain sérieux sur le sort du peuple Togolais, comme celui du Congo Kinshasa et du Gabon, et non les rivalités entre deux frères issus de la même fatrie et ayant les mêmes objectifs.
Comme son ainé Ernest, décédé il y a peu, Kpatcha est encore plus sanguinaire que Faure, alors, vouloir kle défendre est simplement absurde.
Dans tous les cas, Faurem, Kpatcha, ce sont les ennemis de la liberté de l'Afrique, alors parlez d'autres sujets plus sérieux sur le Togo, sur les chances de réussite d'un projet de l'opposition togolaise, affaiblaie par le ralliement insensé de Gilchrist Olympio.
À défaut de cela, confirmez, à toute l'Afrique, que le Togo est devenu le troisième royaumede l'Afrique moderne après le Maroc et le Swaziland, comme cela on comprendra mieux la réalité politique de votre pays.
Mais la famille Éyadéma, personne n'a envie d'en parler en Afrique car ce nom est synonyme de tristesse pour bon nombre de togolais, et pour tout le continent Africain.
Bien à vous. |
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kimbo (
25/04/2011 19:44 )
À Loos / France
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j'adore la posture de Kaptcha , c'est une vrai masse musculaire ! Schwarzie n'a qu'à bien se tenir !!! |
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