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Yazid Sabeg bientôt à la tête d'Areva ? |
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Et 1 de plus |
Thiam (
19/03/2010 20:35 )
À Paris / France
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Encore un qui va servir de pantin de devanture...
Avec Tidjane Thiam au moins son parachutage au directoire de la SG était acceptable dans le principe
Mais là on est dans l'art....
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election au togo organisé par le CEE |
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20/03/2010 09:22 )
À / France
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Interview de Mathieu CICHOCKI militant anticolonialiste et adversaire irréductible de la Françafrique
Depuis vendredi 12 mars, Mathieu Cichocki, militant anticolonialiste et adversaire irréductible de la Françafrique, est en grève de la faim pour protester contre la participation de la France au trucage des élections au Togo. Nous lui avons demandé de nous expliquer son combat. - [ 3/19/2010 ]
Mathieu Cichocki, à Caen, 12 mars 2010 - photothèque NPA
Que s’est-il passé au Togo ?
Mathieu : Le 4 mars 2010, lors du dépouillement des votes, le régime dictatorial au pouvoir depuis bientôt 50 ans a usé de subterfuges par l’intermédiaire de la CENI (commission électorale nationale) mais dépendante de la dictature. La réception du VSAT, système satellitaire permettant la détection des tricheries, a été stoppé ! A partir de cet instant, les résultats collectés étaient erronés par rapport aux sorties des urnes dans les centres de votes. Le peuple togolais souverain a voté majoritairement pour le candidat du changement, de l’alternance : l’opposant Jean-Pierre FABRE ! Mais, une nouvelle fois, la dictature a volé les élections financées par l’Union Européenne à hauteur de 20 millions d’euros au frais du contribuable que nous sommes ! En pleine crise mondiale, c’est scandaleux ! Ou bien l’UE organise des élections justes et équitables en notre nom ! Ou bien elle s’en dispense, au moins la communauté des hommes saura à quoi s’en tenir… A la dernière élection en 2005, le régime de Faure Gnassingbé a assassiné plus de 1 000 personnes, des blessés et des réfugiés par dizaines de milliers ! Moi-même je pose une question simple : est-ce-que le peuple souverain va voter pour son bourreau ? Ici, en occident, nous avons la chance de pouvoir voter pacifiquement et que l’Etat respecte l’expression populaire, même si, ces derniers temps, l’abstention est importante, voir les élections régionales. Là-bas, les gens votent en grand nombre, bravant le danger, mais le régime de manière redondante assassine sa volonté ! Assez !
Qu’exiges-tu du gouvernement Français, de l’Union européenne ?
Le minimum est d’invalider cette mascarade électorale et de demander le remboursement par la dictature togolaise des 20 millions d’euros financés à perte, pour les utiliser pour des créations d’emplois par exemple. Au-delà, ce qui serait juste, c’est de reconnaitre l’élection de Jean-Pierre Fabre comme nouveau Président du Togo, cette année de la célébration du cinquantenaire de l’Indépendance de ce pays ! Quel symbole !
Tu connais bien l’Afrique pour y avoir vécu, et aussi pour y avoir lutté pour son émancipation. A ton avis, comment ce continent peut-il s’en sortir et comment nous, militants anticapitalistes internationalistes, pouvons-nous l’aider ?
En effet, j’ai vécu plusieurs années en Afrique de l’Ouest, notamment au Togo. Tout d’abord, il faut savoir que dans cette région c’est le seul pays où il n’y a pas eu d’alternance élective, en fait c’est « l’Albanie » de l’Afrique au temps de la chute du mur de Berlin ! Je vais être clair, à tous ceux qui disent ici en Europe : « que les africains rentrent chez eux ! », je leur dirai : « eh bien faites en sorte que nos gouvernements permettent l’émergence de la démocratie pour que s’installe dans ces pays un équilibre qui permette le retour des diasporas qui redonneront un « souffle nouveau » aux pays concernés ». Deuxièmement, que ces nouveaux états libres et démocratiques reprennent le contrôle sur leur patrimoine géologique, si vous voyez ce que je veux dire : je peux alors vous affirmer que les filles et fils du Continent Mère de l’Humanité retourneront enrichir leur pays de leur savoir faire ! Enfin, le sens de l’immigration changera car, les richesses de la terre étant sous l’équateur, ce sera à notre tour de demander des visas pour aller travailler en Afrique !
Sais-tu quel écho a rencontré ton action ?
Elle a permis de mettre un éclairage sur la situation inadmissible de ce pays du Golfe de Guinée, où, sous le mandat usurpé du fils du dictateur qui a repris la relève dans le sang, ce monsieur roule dans une voiture luxueuse de marque « Maybach » au coût d’environ 2 millions d’euros alors que 75 % de la population vit sous le seuil de pauvreté selon les indices de l’ONU !
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20/03/2010 09:30 )
À / France
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Paris félicite avec réserve le président togolais Gnassingbé pour sa réélection
Si la qualité d'une élection africaine se mesure à la nature et à la rapidité des congratulations adressées de l'étranger, le président du Togo, Faure Gnassingbé, a quelques questions à se poser. Peu après la présidentielle du 4 mars, le fils du dictateur Gnassingbé Eyadéma avait reçu les félicitations de ses homologues ivoirien, Laurent Gbagbo, et tunisien, Zine El-Abidine Ben Ali, qui ne passent pas pour des parangons de démocratie. - [ 3/19/2010 ]
Nicolas Sarkozy, lui, a attendu la "proclamation définitive", jeudi 18 mars, de la réélection de Faure Gnassingbé avec 60,88 % des voix, pour lui adresser ses "félicitations" et ses "voeux de succès", tout en soulignant "l'ampleur des efforts qui restent à accomplir en faveur (...) de l'enracinement de la démocratie dans toutes ses dimensions". Le contraste est net avec l'empressement avec lequel la France avait salué, en 2005, la calamiteuse première élection de M. Gnassingbé qui s'était soldée par 500 morts. A l'époque, le satisfecit du ministre français des affaires étrangères Michel Barnier, évoquant un "succès", avait contribué à enflammer la rue. Nicolas Sarkozy, lui, au nom de l'UMP, avait dénoncé une "mascarade".
Cette fois-ci, le processus électoral n'a causé aucune victime. "C'est la seule avancée", résume l'opposant François Boko. Les partisans de Jean-Pierre Fabre, principal challenger du président sortant, crédité officiellement de 33,93 % des voix, assurent que M. Fabre est le véritable vainqueur. Ils dénoncent un "énième hold-up électoral", mais ne parviennent pas à mobiliser dans la rue une population surtout occupée à survivre et qui reste terrorisée par le souvenir de la répression de 2005.
"En réalité, nous venons de vivre une élection transparente, ouverte, telle que le Togo n'en a jamais connu, même si des imperfections ont été notées, réplique au Monde, le premier ministre togolais, Gilbert Houngbo, de passage à Paris jeudi 18 mars. Les deux candidats sont séparés par 550 000 voix et l'opposition le sait. Elle prétend avoir gagné, mais elle est incapable de fournir la moindre preuve."
La saisie par des gendarmes, de milliers de procès-verbaux (PV) du vote et d'ordinateurs, mardi 9 mars, dans des locaux appartenant à l'archevêché de Lomé et loués par l'opposition pour y installer son centre de saisie informatique, renforce les doutes sur la sincérité du scrutin. Ce jour-là, les forces de l'ordre auraient attendu le départ des observateurs de l'Union européenne, pour faire irruption dans les lieux où les militants de l'Union des forces de changement (UFC) de M. Fabre compilaient les PV, précisément avec l'intention de dénoncer des fraudes. Les gendarmes ont interrompu ces opérations. "Incapables de démontrer la fraude, ils étaient en train de fabriquer de faux PV au scanner pour intervertir les résultats", assure le premier ministre.
L'opposant François Boko, qui connaît bien les moeurs électorales togolaises pour avoir été ministre de l'intérieur du général Eyadéma, a une tout autre explication. "Le vote avait été tellement falsifié en amont par l'introduction d'électeurs fictifs ou d'achats de voix, que les procès-verbaux attribuaient jusqu'à 90 % des voix au président sortant dans certaines régions. C'était si embarrassant que les autorités ont voulu empêcher la divulgation de ces résultats".
Dénoncée par les observateurs de l'UE, la non-transmission des résultats par le système satellitaire sécurisé financé par Bruxelles, s'expliquerait, selon M. Boko, par le même souci. "A quoi cela sert-il que les Européens financent cette élection pour 9 millions d'euros s'ils n'exigent pas la transparence ?", s'interroge M. Boko. "Si l'UE n'avait pas financé, elle se serait privée d'un droit de regard, répond un haut diplomate européen. L'élection aurait été pire encore."
Philippe Bernard
(Lemonde.fr)
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20/03/2010 09:31 )
À / France
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Paris félicite avec réserve le président togolais Gnassingbé pour sa réélection
Si la qualité d'une élection africaine se mesure à la nature et à la rapidité des congratulations adressées de l'étranger, le président du Togo, Faure Gnassingbé, a quelques questions à se poser. Peu après la présidentielle du 4 mars, le fils du dictateur Gnassingbé Eyadéma avait reçu les félicitations de ses homologues ivoirien, Laurent Gbagbo, et tunisien, Zine El-Abidine Ben Ali, qui ne passent pas pour des parangons de démocratie. - [ 3/19/2010 ]
Nicolas Sarkozy, lui, a attendu la "proclamation définitive", jeudi 18 mars, de la réélection de Faure Gnassingbé avec 60,88 % des voix, pour lui adresser ses "félicitations" et ses "voeux de succès", tout en soulignant "l'ampleur des efforts qui restent à accomplir en faveur (...) de l'enracinement de la démocratie dans toutes ses dimensions". Le contraste est net avec l'empressement avec lequel la France avait salué, en 2005, la calamiteuse première élection de M. Gnassingbé qui s'était soldée par 500 morts. A l'époque, le satisfecit du ministre français des affaires étrangères Michel Barnier, évoquant un "succès", avait contribué à enflammer la rue. Nicolas Sarkozy, lui, au nom de l'UMP, avait dénoncé une "mascarade".
Cette fois-ci, le processus électoral n'a causé aucune victime. "C'est la seule avancée", résume l'opposant François Boko. Les partisans de Jean-Pierre Fabre, principal challenger du président sortant, crédité officiellement de 33,93 % des voix, assurent que M. Fabre est le véritable vainqueur. Ils dénoncent un "énième hold-up électoral", mais ne parviennent pas à mobiliser dans la rue une population surtout occupée à survivre et qui reste terrorisée par le souvenir de la répression de 2005.
"En réalité, nous venons de vivre une élection transparente, ouverte, telle que le Togo n'en a jamais connu, même si des imperfections ont été notées, réplique au Monde, le premier ministre togolais, Gilbert Houngbo, de passage à Paris jeudi 18 mars. Les deux candidats sont séparés par 550 000 voix et l'opposition le sait. Elle prétend avoir gagné, mais elle est incapable de fournir la moindre preuve."
La saisie par des gendarmes, de milliers de procès-verbaux (PV) du vote et d'ordinateurs, mardi 9 mars, dans des locaux appartenant à l'archevêché de Lomé et loués par l'opposition pour y installer son centre de saisie informatique, renforce les doutes sur la sincérité du scrutin. Ce jour-là, les forces de l'ordre auraient attendu le départ des observateurs de l'Union européenne, pour faire irruption dans les lieux où les militants de l'Union des forces de changement (UFC) de M. Fabre compilaient les PV, précisément avec l'intention de dénoncer des fraudes. Les gendarmes ont interrompu ces opérations. "Incapables de démontrer la fraude, ils étaient en train de fabriquer de faux PV au scanner pour intervertir les résultats", assure le premier ministre.
L'opposant François Boko, qui connaît bien les moeurs électorales togolaises pour avoir été ministre de l'intérieur du général Eyadéma, a une tout autre explication. "Le vote avait été tellement falsifié en amont par l'introduction d'électeurs fictifs ou d'achats de voix, que les procès-verbaux attribuaient jusqu'à 90 % des voix au président sortant dans certaines régions. C'était si embarrassant que les autorités ont voulu empêcher la divulgation de ces résultats".
Dénoncée par les observateurs de l'UE, la non-transmission des résultats par le système satellitaire sécurisé financé par Bruxelles, s'expliquerait, selon M. Boko, par le même souci. "A quoi cela sert-il que les Européens financent cette élection pour 9 millions d'euros s'ils n'exigent pas la transparence ?", s'interroge M. Boko. "Si l'UE n'avait pas financé, elle se serait privée d'un droit de regard, répond un haut diplomate européen. L'élection aurait été pire encore."
Philippe Bernard
(Lemonde.fr)
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C'est consacré à Areva avec ce pantin sarkozyste |
(
20/03/2010 19:31 )
À Pantin / France
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Cela n'a rien à voir avec l'élection du Togo.
C'est lassant à la fin, de trouver des commentaires sur des sujets qui n'ont rien à y faire.
Quel rapport entre Faure gnassingbé et ce Yazid, vous pouvez me le dire ? |
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apophis (
21/03/2010 01:29 )
À Montigny-lès-cormeilles / France
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c'est vrai tout ça t'as parfaitement raison |
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Incroyable! |
JIL (
22/03/2010 00:21 )
À Lystrup / Denmark
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En effet ci-haut, à part Thiam qui a posté opportunément, on se demande pourquoi ces posteurs anonymes veulent saboter le débat sur ce sujet de l'article consacré à Areva.
Se sont-ils trompé de sujet??, car sur le TOGO, il y a un autre article en page, où ils n'ont pas posté.
Ce n'est pas la 1ère fois qu'on voit des anonymes petits malins vouloir saboter un sujet. Dommage. |
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Samba (
22/03/2010 13:36 )
À Groß-umstadt / Germany
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Trop fort les africains de franSSe...Mais laissez donc le peuple gaulois voter le fn ou les nazi si ils veulent...Ou meme un hongrois juif ou des ndimbu. N'avez-vous donc pas de pays sur cette terre? Pas de culture? Pas d'identite? Pas de racines? Pas d'histoire? Donc si vous vviviez en Chine vous seriez chinois, au Japon des Japonnais, en Irak des Irakiens, en Suede des Suedois? En Italie des Italiens?...Mais arretez donc de faire rire le monde entier avec votre deracinement et votre amour pour le coq gaulois. Noir franSSais de papiers...French negros deracines...Vive la RDC, Le Grand Kongo!!!... Bonka kitoko...Oyo ezali match ya pamba. Tika ba mindele. Europe eza bonka na bango. Ezali bonka ya bato muindo te. Na kufa na tcheko kwa jinsi kila mara na soma wa pumbafu ya communaute noire namna wana pondekana na francofolie..Aya kabambi sana...Ina kua sasa tu wao habana inchi na asili...Mungu basi anisemee. Lakini, wale watu ni niama tu.
Wakongomani fingula masho wakati ungali na maisha yako katika migono... |
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