... Le Phénix, oiseau fabuleux qui renaît toujours de ses cendres, .... Par ses actes, l'homme décide lui-même du domaine où il renaîtra. .... Hélas, c'est toujours l'esprit de la Tour de Babel qui, par ses propres .... Comme le Phénix, cet oiseau mythique, meurt, brûle et renaît de ses cendres, ainsi,

http://www.grioo.com/blogs/malon/index.php/2010/02/12/3111-la-mort-comme-symbole-de-l-immortalite-ou-limmortalite-de-lame-conception-humaine-ou-revelation-biblique

Phénix, cet oiseau mythique, meurt, brûle et renaît de ses cendres, ainsi, ... Mais de ses cendres renaîtra un Nouvel Ordre Mondial merveilleux. et l'afrique brillera de mille Feux.

J ’aurais pu sur ce sujet vous dire seulement cette pensée de Daniel Pons :





Vivre, c’est prendre des risques, mais le seul risque véritable, c’est de porter en soi le profond désir de mourir " au moins ", pour renaître " au plus ". Toutefois, j’ai eu envie de polir davantage ma pierre jusqu'à ce qu’elle vibre à ses limites comme un miroir.










Ici est une forme de vie, ici est un monde qui se veut celui de la liberté et de la lumière. Ici, vous et nous, nous sommes chez Nous. Et c’est par une cérémonie d’initiation que nous sommes devenus F\.M\

Ah ! Naître par l’initiation.





Ah ! Etre initié par une naissance.










On sait que toute initiation comporte une série d’épreuves rituelles qui symbolisent la mort et la résurrection du néophyte. Grâce nous fut faite par la douceur des épreuves. D’autres traditions demandent aux impétrants d’être plus éprouvés ; sont-elles forcément plus opérantes ?





Il s’agit de façon réaliste ou spéculative, par des opérations alchimiques assimilées à des épreuves difficiles, voire à des tortures, il s’agit de la mort et de la résurrection du myste; il s’agit de transmuer, c'est à dire d’obtenir un mode d’être transcendantal. C’est la leçon de toutes les traditions ou de la connaissance de la vie simplement.





Il n’y a aucun espoir de ressusciter à un mode transcendant, sans une mort préalable.





Notre vie fut et sera une succession d’initiations où nous sommes morts à quelque chose, pour devenir autre. Comme les épreuves d’initiation, celle de notre vie témoigne, pour nous seuls, de notre degré d’initiation à la condition humaine.





Ici nous a été proposée une autre Initiation, une autre mort, une autre naissance.





Le passage, par le cabinet de réflexion, inscrit la cérémonie dans la dramaturgie de la matière univers. Selon Paracelse « celui qui veut entrer dans le royaume de Dieu, doit, premièrement, entrer avec son corps dans sa mère et là, mourir »










Ce regressus ad uterum, ce retour aux origines, cette réintégration d’une situation originaire aux confins du chaos primordial, présente aux moins deux significations qui éclairent les significations de la cérémonie d’initiation, significations cosmologiques et initiatiques.





Toute mort rituelle peut être considérée comme une réintégration de la nuit cosmique, du chaos pré-cosmologique et des ténèbres d’où nous sommes revenus, et qui, dans sa dissolution des formes, exprime aussi le stade séminal de l’existence.





Et puis Ordo ab Chao. J\B\s’accomplissent. Toute création, toute apparition des formes, tout accès à un autre niveau plus transcendant peut s’exprimer par une cosmogénèse. Et la lumière fut !





Notre naissance au monde Maç\ répète, réitère, comme chaque initiation par la naissance, le spectacle infini de la re-création cosmique, et nous avons été reçus F\M\ comme une graminée d’étoile pour que nous éclairions notre part d’univers.





Cette expérience, où l’on nous a fait vivre la sacralité de l’univers attesté par les quatre éléments réintégrés en nous, nous accouche, comme conscience que le monde n’est pas seulement vivant, mais ouvert, qu’un objet n’est pas jamais simplement lui-même, mais aussi la réceptacle ou le signe d’une réalité qui le transcende.












Cette expérience n’est qu’un commencement, une initiation sur notre propre chemin, vers ce que l’on nomme le Destin et qui est notre être en devenir.





Chaque initiation parle à l’impétrant, et lui parle de lui et de sa propre histoire, dans un langage symbolique, qui n’appartient qu’à lui de décoder.





Le souffle nocturne de sa vie la plus lointaine, ensevelie, indicible, se pose sur lui dans ce plongeon cosmique.





Il n’y a pas un sens fixé ; la vérité du rituel n’est révélée que par l’interprétation, où chacun a le pouvoir de faire exister du sens, de décider des sens. Ce que je ressens et comprends n’engage que moi. Par ce que je suis, je multiplie le monde dans sa métamorphose qui reste cependant, dans son unité holistique complexe.





« Une herméneutique créatrice dévoile des significations qu’on ne saisissait pas avant, ou les met en relief, avec une telle vigueur, qu’après avoir assimilé cette nouvelle interprétation, la conscience n’est plus la même » nous écrit Mircéa Eliade.





Il s’agit donc de faire une expérience avec cette recréation. On peut opposer à ce niveau les expressions : avoir une expérience et faire une expérience.





Avoir renvoie à la possession, au connaître, à l’installation dans la satisfaction, à la confiance que procure l’acquis. Avoir l’expérience d’un rituel de passage serait poser et imposer des significations une fois pour toutes.





Faire l’expérience signifie ne pas savoir à l’avance le résultat de la recherche. Rien ne doit correspondre à notre attente. Pour cela, on ne doit rien dévoiler des cérémonies de type initiatique. Faire une expérience, c’est s’inscrire dans l’ouverture, dans l’au-delà de l’attendu, dans le commencement sans cesse renouvelé.





Comme l’écrit Jankélévitch dans son livre " Quelque part dans l’inachevé " : La prétention de toucher un jour à la vérité est une utopie dogmatique, ce qui importe, c’est d’aller jusqu’au bout de ce qu’on peut faire, d’atteindre à une cohérence sans faille, de faire effleurer les questions les plus cachées, les plus informulables pour en faire un monde lisse.





Ainsi à chaque initiation l’œuvre de la genèse reprend son cours. La création n’est pas faite une fois pour toutes. Chaque naissance l’accomplit ; et c’est dans la lumière que se célèbre l’accomplissement. On peut donc dire que l’enfantement par la porte basse répète l’acte exemplaire de la naissance de l’humanité conçue comme une émersion de la plus profonde caverne chtonienne.





La cérémonie d’initiation Maç\, qui après avoir fait réintégrer à l’impétrant l’état premier, l’état germinal de la matière du cabinet de réflexion et l’amène à sa résurrection, à sa re-naissance, cette cérémonie correspond sans doute à la création cosmique. Et cette phase de la cérémonie me paraît être tout particulièrement placée sous le signe du féminin parce que maternelle.










La survivance des cultes des vierges noires nous en apporte l’écho. Tout est en place avec elles pour la renaissance du pèlerin, après qu’il soit descendu dans la crypte sacrée où on les gardait.





Ces vierges noires ont nom Cybèle, Isis, Lilith, la Déméter noire de Phygalie en Arcadie, Kali, Marie l’égyptienne ou Sarah la noire ; toutes vierges qui doivent enfanter et qui disent leur appartenance aux forces de la nuit, à une science secrète liée aux profondeurs de la terre et des origines.





Comme dans le livre des morts égyptiens, il faut opérer la traversée toute entière de pilier en pilier, de porte en porte, pour pouvoir espérer la remontée. Mais seul le principe féminin, la mère , la déesse, la Terre parce qu’elle intègre à la fois le pouvoir de donner la vie et le pouvoir de donner la mort peut accompagner la néophyte dans cette trajectoire.





Au commencement, comme à la fin, la Mère est là pour nous bercer, nous prendre dans ses bras, nous aider à réussir tous les passages, à franchir les seuils, ceux du naître et ceux du mourir; ceux de la mort et de la mort de la mort.





On ne peut manquer de faire un parallèle avec la méthode alchimique.





En cherchant la materia prima (racine maternelle) l’alchimiste poursuit la réduction des substances à l’état pré-cosmologique La cathédrale de Paris, nous dit Fulcanelli, ainsi que la plupart des basiliques métropolitaines sont placées sous l’invocation de la benoîte vierge Marie ou Vierge Mère. En France, le populaire appelle ces églises des Notre-Dame.





En Sicile elles portent un nom plus expressif encore, celui de Matrices. Ce sont bien des temples dédiés à la mère (mater), à la matrone dans le sens primitif, qui par corruption devient la Madone (ma donna), Ma Dame et par extension Notre-Dame. La virgo paritura, la vierge qui enfantera, dont on trouve des monuments antérieurs au christianisme, c’est la terre avant sa fécondation, avant que le principe mâle ne vienne l’animer. C’est la mère des dieux dans l’attente de l’esprit.





Alors la cérémonie d'initiation par une naissance répond à la question d’où je viens, où je vais et peut-être qui je suis. Une place de l’homme dans l’univers, que l’on appelle une philosophie, me semble être proposée par la philosophie Maç\ de son initiation.





Je la rattacherai à ce que l’on appelle la science-sagesse-sacrée avec trois propositions fondamentales exprimées dans les ternaires.





· Un principe omniprésent éternel, illimité, inconcevable et immuable, innombrable, que Blavatsky appellerait l’Etre-té ou la Vie-une.





Je dirai que c’est avant même le Aleph auquel le Beth du béreshit nous renvoie, au Ayin , au Rien.





· Une fois sorti de cet absolu, la dualité survient dans le contraste de l’esprit et de la matière qui demeurent, sous deux aspects différenciés, la même chose, le Un. L’esprit est la première manifestation de la matière et la matière est la première manifestation de l’esprit La substance cosmique, l’espace, l’aether grec est aussi appelé la Mère avant son activité cosmique, et le Père-Mère au premier stade de son réveil, dont le mode de mise en mouvement peut-être le Logos, le Verbe.





· L’univers manifesté, qui en est issu ensuite, est donc pénétré par cette dualité. Il en est le fils consubstantiel ; C’est le Fils de la vierge-mère fécondée par l’esprit. Et l’on peut dire : de l’esprit ou Idéation cosmique ou Père, viendrait notre conscience. De la substance cosmique ou Mère viendraient les véhicules dans lesquels cette conscience est individualisée ; tandis que l’énergie du Un dans ses différentes manifestations serait le mystérieux lien d’unité entre l’esprit et la matière, le principe animateur qui donne la vie.





C’est ce que j’ai compris de ce que disent les stances de Dzyan, le plus vieil écrit sacré d’après lequel furent compilés d’autres écrits sacrés plus connus des profanes.





C’est ce que semble dire également Einstein dans « espace, temps, gravitation »





Il écrit : Masse et énergie ne sont qu’une seule chose ou du moins ne sont que deux aspects d’une même chose.





La cérémonie de passage se donne à vivre comme la conception et la naissance spirituelle ou plutôt comme la renaissance de l’individu et sa régénération.





Le profane courbé à l’entrée du temple sanctuaire, prêt à traverser la matrice de la nature-mère, ou prêt à redevenir l’être spirituel primordial devient ainsi l’homme pré-natal.





Cette ployance foétale, c’est une chute de l’esprit dans la matière dirait le sémite, c’est au contraire son retour à sa source primordiale dans laquelle il s’immerge dirait l’aryen. Dans les deux cas il s’agit toujours du UN manifesté en Matière et esprit mais de façon ascendante ou descendante.










En d’autres termes l’initiation Maç\, en nous refaisant produire la cosmogénèse, l’anthropogenèse, nous demande de faire de nous-mêmes, une matière humaine, une copie microcosmique, un reflet de la matrice céleste, en un mot un espace femelle dans lequel l’esprit mâle fécondera le germe du fils, celui de l’univers visible parce que lui-même lumière.





C’est ce que l’on peut appeler une mixité universelle.





C’est Beth attendant sa fécondation par Iod qui se fera dans le vase de l’œuvre au noir déversant du cabinet de réflexion le myste comme de l’or naissant.





C’est cela que me raconte entre autre la première partie de la cérémonie d’initiation. Ici s’accomplit ce dont je ne sais pas où est le début, mais c’est l’initiation par la naissance.










Et puis vient la naissance par l’initiation





et c’est un autre commencement.










Pour accéder à lui-même l’homme doit se retirer de soi.





Nous sommes le produit d’une préfabrication institutionnelle, une subjectivité préfabriquée dans son environnement et ses acquis socio-économico-psyco-culturel, je dirai aussi moraux. Ici se pose le problème : comment échapper à cette situation, car si l’homme n’est que de l’être impersonnel de l’institution et s’il est impossible de faire advenir son propre monde, la question, je dirai la quête de l’être, n’a plus d’importance puisqu’ainsi pensé, l’homme serait né avant la naissance et la naissance serait un non-sens.




  • Etre ou ne pas être, naître est la question




Naître permet d’accéder à une parole nouvelle libérée de ceux qui pensent posséder une maîtrise sur leur parole et la parole des autres, naître en tant qu’individu différencié, naître comme œuvre à faire.





C’est cette idée qu’exprime Rabbi Zouzia, peu avant sa mort ; « Dans l’autre monde, On ne me demandera pas, pourquoi n’as-tu pas été Moïse ? On me demandera, pourquoi n’as-tu pas été Zouzya ? »





Chaque homme est une lettre ou une partie d’une lettre.

Le livre tout entier est écrit lorsqu’il ne manque aucune lettre. Chaque homme a l’obligation d’écrire sa lettre, de s’écrire, c'est à dire de se créer en renouvelant le sens, son sens.





Le cabinet de réflexion, de réflectivité en tant que miroir, est le face à face qui nous demande de commencer à rechercher notre identité enfouie.





Alors le F\M\ sera un éclat existentiel, une brisure, séparé mais aussi une brillance. L’initié Maç\ est ce lieu de lumière qui se retire et rayonne à la fois ; qui existe au sens étymologique (ex sistere) dans cette capacité à sortir de soi, de se dépasser et de d’inscrire dans un mouvement de création. C’est là où l’homme se trouve qu’il doit faire briller la vie cachée de l’absolu.





Rappelons-nous !

Il n’est d’accès à aucune vérité qui ne comporte un renoncement. Le sacrifice verticalise l’être humain. Le supplément maçonnique ou alchimique ou initiatique ne sera donné qu’en échange d’une offrande sacrificielle. Sacrifier ne signifie-t-il pas faire du sacré ? Sans sacrifice, pas de passage vers la transcendance, pas d’initiation ni d’affrontement avec la mort, pas d’accès à la phase suivante. Cette phase qui suit correspondrait sur le plan spirituel à une résurrection et elle se traduit par l’appropriation de certains états de conscience normalement inaccessibles à la condition profane.





Chaque initialisation réactualise, réinitialise une nouvelle loge, dans le ordo ab chao et cette sacralité là, nous l’appelons notre loge-mère, lieu où est ordonné le monde, lieu où se crée le sens qui va structurer la cité fraternelle. Ce sens assurera la cohésion en situant le néophyte dans un cercle magique, dans une hiérarchie non contestée, car elle est aussi une filiation symbolique.





Après le dépouillement, après la saison automnale du cabinet de réflexion, de nos esprits d’où tombent les pensées mortes, renaîtront de vivaces intentions d’ajouter de la valeur humaine. Dans ce lieu de rencontre du COS et du CHIASME ? L’aventure se termine, une autre commence. Une ère a pris fin, une autre s’inaugure dont les acteurs ont accédé, par l’épreuve à la connaissance réservée au voyageur rescapé.





L’homme en quête de sagesse est un homme qui marche,

qui est voyageur, vers le pays promis, vers la terre édénique, vers son Amérique, vers ses sources ou vers lui-même.





Entre le départ et l’arrivée, entre l’initialisation et l’accomplissement, le désert, l’océan, le chemin, des solitudes, des épreuves et le voyageur exilé se transforme en pèlerin, et l’errance devient traversée du monde, de soi, de miroirs, et qui menée à bien, ouvre à l’itinérant l’accès à son identité, à sa rédemption .





Par elle accompli, il peut alors se déclarer fils de... dieu, de la veuve, de la putréfaction de l’Univers, fils de ... Les rituels nous exposent à cette dramaturgie du devenir.





« lekh lekha » dit D. à Avram, ce qui signifie va vers toi. C’est pour cela que nous construisons ensemble l’arbre de la connaissance dont chacun est appelé à en devenir un fruit.





Devenir F\M\par une naissance, c’est inscrire l’action Maç\dans la liberté, en soulignant que l’être Maç\s’oppose au geste de répétition, que l’homme Maç \ est un nouveau commencement, un initiateur. C’est un être pour-la-naissance.





Le F\M\est vertueux de toutes ses naissances à venir.





Le rituel d’initiation par la naissance nous permet de dire que la F.M. envisage le monde, non pas dans ce qu’il est, mais dans ce qu’il a à être. Avec André Néher, nous disons " la perfection de l’homme est sa perfectibilité ".





Par l’avènement de sa mise au monde, le F\M\ porte en lui la promesse d’un avoir à être. Cela est un des fondements d’une éthique pour un F\M\





C’est pourquoi chaque initiation est un don qui est fait aux F\M\ qui y participent; don de la vie à ses origines; don de l’espérance qui l’accompagne comme fécondation du monde.





Philosophiquement parlant confirme Mircéa Eliade, l’initiation équivaut à une mutation ontologique du régime existentiel. Les 3 étapes que le récipiendaire aura vécues dans le rituel de passage, « séparation, initiation, résurrection » correspondent dans la bible à la chute, l’exil et la rédemption. La réussite aux épreuves va redéfinir l’impétrant comme F\M\, un homme ou une femme dont les nouveaux rôles et la nouvelle identité justifieront qu’il ose proclamer une existence rénovée, non plus celle que lui imposaient les filiations charnelles et les hasards destinaux, mais celle de la libre déclaration de son origine et l’aveu de sa filiation découverte par lui seul qui le rend F\ou S\de l’humanité depuis les origines.





Voilà tout nous fut donné le jour de notre initiation. Il nous reste à répéter, pour nous-mêmes l’apprentissage de notre naissance, de notre vie, de notre mort.





· Mort et renaissance avec la descente au cœur de la terre, la caverne, la nuit obscure des gestations, la terre fécondée, l’eau purificatrice et fertilisatrice, la matrice aveugle et la grotte protectrice, la source, les profondeurs d’où surgit l’être revivifié par le bandeau enlevé





· et puis l’ascension, le dépassement, l’élargissement, la montée vers l’au-delà avec tout ce qui exprime l’élan invincible et toujours recommencé vers l’inaccessible, avec l’Amour qui promeut la vie.





· et encore, les mouvements d’ordre transversal, les voyages, les migrations, les passages, la poursuite méthodique de l’exploration du réel et de l’imaginaire, la marche du connu vers l’inconnu, en un mot, la quête, condition de l’errance féconde.





· et surtout, ce qui a trait au dépouillement, à l’abandon progressif, au renoncement de ce qu’il faut quitter pour laisser place à ce qui compensera la perte de tout le reste.

























La F \M\nous a accueillis pour permettre à l’esprit de sortir de la confusion.

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