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Morgan Tsvangiraï arrêté par le regime de Mugabe!!!
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WILDCAT
Super Posteur


Inscrit le: 17 Sep 2006
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MessagePosté le: Mar 20 Mar 2007 22:58    Sujet du message: Répondre en citant

Je remarque que le topic devient de plus en plus intéressant et apparement certains intervenants ont les nerfs à vif; à croire qu'il y en a certains ici qui sont parentés à Mugabe. Je dis à ceux-la; j'espère que si un jour votre futur vous amène à de hautes responsabilités sur le continent ou dans vos pays respectifs; je crains que ce continent sombre dans le chaos total. Je vais néanmoins raffraîchir la mémoire aux Mugabelophiles!!!


Un petit rappel concernant le "Camarade Mugabe". Triste mentalité de communiste "diplômé" en violence!!!

http://www.lemonde.fr/web/portfolio/0,12-0@2-3212,31-633424@51-881694,0.html

1) Les racines du Mal

Citation:
Mugabe, le diplômé en violence

• LE MONDE DU 09.03.02.

Président du Zimbabwe depuis la naissance de cet Etat, en 1980, sur les cendres de la Rhodésie, Robert Mugabe a conduit son pays sur la voie du chaos.

Il est un peu plus de minuit, ce 18 avril 1980. Lentement, l'Union Jack glisse le long du mât. Des quatre coins du stade de Salisbury - rebaptisée Harare - monte une immense clameur qui enfle jusqu'au paroxysme. Quarante mille poitrines accompagnent la montée du nouveau drapeau national. Pendant deux longues minutes, l'ovation frise le délire. Puis les vivats s'apaisent et se transforment en chants. Le Zimbabwe vient de naître dans l'allégresse.

Ce jour-là, Julius Nyerere, président de la pauvre Tanzanie voisine, dit à Robert Mugabe: Vous héritez d'un bijou, prenez-en bien soin!" Vingt-deux ans plus tard, le bijou a perdu tout son éclat. Ce pays magnifique a sombré dans l'incurie, la misère et la peur. Il est aux mains d'une clique sans foi ni loi, arrogante et corrompue. L'économie est largement ruinée, l'agriculture dévastée, la famine menace. Sur les 13 millions de Zimbabwéens, 9 millions - soit 7 sur 10 - vivent en-deçà du seuil de pauvreté, 1 sur 2 est au chômage. Un adulte sur 4 est atteint du sida, qui fait 1 200 morts par semaine. Les services publics sont délabrés, la justice asservie, les médias inféodés ou brimés. Les investisseurs ont fui. Enseignants et médecins ont, par centaines, choisi l'exil. Le Zimbabwe est un pays opprimé, déchu, isolé.

Le naufrage de l'ancienne Rhodésie tient, pour l'essentiel, au délire obsidional de son chef. Robert Mugabe est un obsédé du pouvoir. Le pouvoir en soi, et pour soi. Le pouvoir, comme une soif que rien n'étanche, au service d'une ambition jamais assouvie. Robert Mugabe n'a jamais trop posé au démocrate. Mais il a, en vieillissant, oublié toute vergogne. "Je ne veux pas être renversé et je renverserai ceux qui veulent me renverser", déclare-t-il lors d'un banquet en 2000. Lorsqu'il dit "renversé", il faut comprendre "remercié" par l'électeur. Lors d'un meeting, il lance, à l'intention du MDC, le parti de son actuel challenger, Morgan Tsvangirai : "L'opposition ne gouvernera jamais ce pays, ni de mon vivant ni après ma mort. Je jure que mon fantôme viendra vous hanter." Celui qui se dit "marxiste-léniniste-maoïste", ne dédaigne pas d'invoquer, à l'occasion, les "lutins" et les "sorcières", dans la grande tradition animiste africaine.

On le sent prêt, tel un Samson des tropiques, à entraîner son pays dans sa chute, à lui faire payer cher son désamour. Robert Mugabe règne depuis toujours par la force. Un jour de l'an 2000, il va jusqu'à s'en vanter : "Je suis un diplômé en violence." La violence sous toutes ses formes. Violence verbale : il compare ses opposants à des "cobras", "des serpents que nous allons tuer", à des "petites fourmis que nous pouvons écraser". "Qu'il aille en enfer", aime-t-il dire d'un adversaire ou d'un dirigeant étranger trop critique, comme Tony Blair. "Œil pour œil ? Nous demanderons deux yeux pour un œil",déclare-t-il au Parlement, à l'intention de la minorité blanche. Violence physique : de l'agression individuelle au massacre collectif, en passant par la torture, dont il admet l'existence, sans un mot de regret, dès 1982.

Les nervis de son régime recourent à l'intimidation, à l'enlèvement ou au meurtre pur et simple. Ces pratiques criminelles prolongent les outrages faits à la loi et aux institutions : fraudes électorales, fausses accusations, arrestations arbitraires, manipulations en tout genre. En 1990, se sentant en danger, Robert Mugabe augmente d'un quart le nombre des députés, les nouveaux venus étant nommés par lui. Les basses œuvres sont officiellement confiées, pour les rendre légitimes, à des "vétérans" de la guerre d'indépendance. Elles sont le plus souvent le fait d'activistes du parti, de chômeurs rétribués à la journée, ou de simples voyous recrutés dans les "halls à bière" des townships, les banlieues des grandes villes.

Son enfance et sa jeunesse livrent quelques indices sur la personnalité de Robert Gabriel Mugabe, un homme encore mal connu lorsque son parti, la Zanu-PF, remporte haut la main les élections de 1980 et le propulse premier ministre du nouvel Etat. Il naît le 21 février 1924 à la mission de Kutama, à l'ouest de Salisbury. Son père est charpentier, sa mère, très pieuse. Issu de la tribu des Zezuru, sous-groupe ethnique de la grande famille des Shonas à laquelle appartiennent 80 % des Zim-babwéens noirs, il grandit "à l'ombre des Eglises". Selon son plus récent biographe, Martin Meredith (Mugabe, Power and Plunder in Zimbabwe), les missionnaires jésuites qui veillent sur cet enfant doué le disent secret, solitaire, plongé dans les livres, à l'écart des jeux et des sports, habité d'une gravité inhabituelle et d'un goût pour l'autodiscipline d'une intensité presque puritaine.

A l'âge de 10 ans, le petit Robert éprouve sa première blessure intime : son père abandonne, pour une autre femme, sa mère et ses six enfants. Il ne le lui pardonnera jamais. Un diplôme en poche, il enseigne pendant quatre ans puis est admis en 1949 à l'université sud-africaine de Fort-Hare, où se sont formés la plupart des dirigeants nationalistes noirs d'Afrique australe, dont Nelson Mandela. Il découvre les écrits de Gandhi et de Marx, et, de retour dans son pays en 1952, devient, dira-t-il, "complètement hostile au système" rhodésien, colonial et ségrégationniste. Converti au marxisme, il est un jeune homme austère, qui ne fume ni ne boit.

Il enseigne pendant trois ans à Lusaka, capitale de la Rhodésie du Nord, l'actuelle Zambie, puis au Ghana, première colonie d'Afrique ayant accédé à l'indépendance, où il s'éprend d'une collègue, Sally Heyfron, intelligente et vive, qu'il épousera en 1961. "Il n'était pas très romantique, se souviendra-t-elle. Il ne m'a pas emmenée une seule fois au cinéma." Bien plus tard, devenue la première dame du Zimbabwe, aimée et respectée, elle jouera un rôle modérateur auprès du président, apaisant ses colères et le ramenant à la réalité. A sa mort, en 1992, il perdra sa seule amie et sans doute son meilleur conseiller.

Mais avant d'épouser Sally, Robert Mugabe s'est lancé dans le combat politique au côté de son aîné Joshua Nkomo, à qui il s'oppose vite. Assigné à résidence une première fois, il est arrêté en décembre 1963, incarcéré et jugé. Il restera onze ans en prison, et ne cessera d'étudier, passant des examens par correspondance. Pour lui comme pour beaucoup d'autres, la prison sera l'école de la Révolution. C'est là qu'il subit, en 1966, sa deuxième blessure intime, la mort de son fils, âgé de trois ans. Il supplie les autorités rhodésiennes de le laisser partir au Ghana pour se recueillir sur la tombe de son enfant et réconforter sa femme, promettant de revenir dans sa prison. Mais il s'attire un refus sans appel. Cet épisode renforcera son amertume envers le régime de Salisbury, dont le chef, Ian Smith, vient, en 1965, de proclamer unilatéralement l'indépendance, en rompant ses liens avec la Grande-Bretagne. En 1972, la guérilla nationaliste déclenche la lutte armée qui durera sept ans et fera 30 000 morts.

Robert Mugabe n'a jamais digéré le processus de Lancaster House ayant conduit le Zimbabwe à l'indépendance, et dont il savait qu'il accoucherait d'un compromis avec la minorité blanche. Il s'y résigna, la rage au cœur, sous l'insistante pression de ses "parrains" africains, dont le président du Mozambique Samora Machel, qui, dira-t-il plus tard, l'ont privé de " la joie suprême" d'une victoire militaire sur le pouvoir blanc. En outre, son souhait politique le plus cher fut toujours de promouvoir la Zanu-PF au rang de parti unique. Ce désir de revanche et cette volonté d'hégémonie l'ont conduit à un double affrontement : avec la communauté blanche, et avec la minorité noire des Ndebele et des Kalanga, fidèles à la Zapu de Joshua Nkomo.

La lune de miel entre Robert Mugabe et les Zimbabwéens blancs ne dure qu'un an et demi. "Pour un communiste, il a l'air bien", entend-on à l'heure du thé, dans les jolis jardins des quartiers résidentiels. Les ex-Rhodésiens, Ian Smith en tête, célèbrent la sagesse et la modération de ce premier ministre à la voix douce. Les Blancs se rassurent. Mais Robert Mugabe est aussi un adepte du double langage et du double jeu. Il n'oublie ni ne pardonne rien à cet "homme blanc" qu'on l'obligeait, enfant, "à vénérer comme une sorte de Dieu".

Assez vite, il prend naturellement pour cibles les quelque 6 000 fermiers commerciaux, lointains bénéficiaires d'une spoliation coloniale qui déposséda la majorité noire de ses meilleurs sols. Au fil des ans, Robert Mugabe brandit le thème, qu'il sait populaire, de la nécessaire redistribution des terres. Mais il en use surtout comme d'une arme politique pour, selon ses mots, "effrayer le cœur des Blancs" ou pour régler des comptes avec ses opposants noirs. Les premiers rachats de terres, financés par la Grande-Bretagne, enrichissent outrageusement les caciques du régime qui font main basse sur les meilleures fermes. Les expropriations décidées en 1997 et 2000 affectent la quasi-totalité d'un secteur qui employait un tiers de la main-d'œuvre et rapportait 40 % des recettes d'exportation. Naguère grenier de l'Afrique australe, le Zimbabwe est aujourd'hui menacé par la disette.

Ces dernières années, la rhétorique présidentielle anti-Blancs a pris un tour franchement raciste. Robert Mugabe parle des "démons blancs", "nos ennemis véritables". "L'Afrique, insiste-t-il, est pour les Africains." Il traite les Zimbabwéens blancs en boucs émissaires de tous les maux du pays. "Ne provoquez pas leur fuite, sinon vous risquerez la ruine !", lui avait conseillé, à la veille de l'indépendance, Samora Machel, qui savait de quoi il parlait. Les "invasions" de terres, les assassinats de fermiers restés impunis, les occupations d'usines et de bureaux ont accéléré l'exode. La minorité blanche est aujourd'hui cinq fois moins nombreuse - 40 000 personnes - qu'en 1980.

Mais les plus nombreuses victimes du despotisme de Robert Mugabe sont noires. Ce sont les morts - au moins 10 000 civils - de ce qui fut, entre 1983 et 1987, la "deuxième guerre civile" du Zimbabwe. La rancœur de Robert Mugabe envers Joshua Nkomo, chef de la Zapu et de la minorité Ndebele, remontait aux années 1960. Le premier reprochait au second sa mollesse et son absence de stratégie. Après avoir vaincu son aîné aux élections de 1980, il l'humilia en le reléguant au fond des gradins officiels, lors de la cérémonie d'indépendance. Puis il imposa à ses partisans une longue guerre sans merci dans la brousse du Metabeleland, en saisissant pour prétexte l'insécurité semée par d'anciens guérilleros devenus "dissidents". La tristement célèbre "cinquième brigade", formée par des instructeurs nord-coréens, multiplia les atrocités : des paysans brûlés vifs, des enfants embrochés sur le dos de leurs mères, des familles contraintes de chanter les chants de la Zanu-PF sur les tombes de leurs proches. Pour éviter la poursuite des massacres, Joshua Nkomo signa l'acte de décès de la Zapu.

Deux événements heureux et presque concomitants ont fait le malheur de Robert Mugabe. La disparition de l'Union soviétique le priva de sa vieille politique de bascule et de chantage entre l'Est et l'Ouest, et l'empêcha d'inscrire dans la loi le régime de parti unique qui existait de facto depuis 1987, mais qui, du coup, n'était plus du tout dans l'air du temps. La libération de Nelson Mandela, en 1990, et son triomphe électoral en 1994 rejetèrent dans l'ombre l'homme qui avait acquis une stature internationale, sur la "ligne de front" face à l'apartheid.

Imagine-t-on deux dirigeants plus différents? L'un est digne, souriant, bien dans sa peau, confiant dans l'avenir, et prêche la réconciliation. L'autre est sévère, revanchard, prisonnier du passé et sème la division. "Ne me dites pas que je dois encore téléphoner au camarade Bob !", s'exclamait un jour Nelson Mandela. L'homme d'Etat sud-africain s'est retiré dans son village, respecté de tous. Seul un camouflet électoral pourrait obliger le "camarade Bob" à l'imiter. Du moins faut-il l'espérer pour le bien du Zimbabwe.

Jean-Pierre Langellier


2) Le sage devin!!!

Citation:
Monday, May 8, 2000 - Web posted at 8:30:01 GMT

Mandela expresses anger at Mugabe

http://www.namibian.com.na/Netstories/2000/May/Africa/007A98DA73.html

CAPE TOWN - Former South African President Nelson Mandela has slammed Zimbabwean President Robert Mugabe, labelling him a tyrant who has held on to power for too long.

Mandela, who launched the global partnership for Children of the United Nation's Children Fund with his wife Graca Machel in Johannesburg on Saturday, said some African leaders had liberated their countries, but had then overstayed their welcome.

"They want to die in power because they have committed crimes. The tyrant of the day can be destroyed by you and I," he said.
He said leaders like Alexander the Great, Julius Caesar, Pompeii, and Adolf Hitler had also been brought down by the ordinary masses.

Asked by reporters whether he was specifically referring to Mugabe, Mandela snapped back: "Everybody here knows who I am talking about".

Mandela, who has been outspoken about Mugabe in the past, is deeply involved in trying to resolve the armed conflict in Burundi.
Mugabe, who is facing his biggest crisis since coming to power more than 20 years ago, has come under enormous criticism.

President Thabo Mbeki has also been slammed for failing to rebuke Mugabe over the crisis of human and political rights in Zimbabwe, which has impacted on South Africa's economic stability.

Mbeki said his government was still working to resolve the land issue in Zimbabwe without using bullying tactics to influence Mugabe.

"We must do this without arrogance, without seeking to impose ourselves on anybody and without the intoxication of the delusion of the exercise of power we neither have nor desire.

"We must do what we have to, with the courage, the tenacity, the humanity and the humility which belong to those who genuinely believe that they are their brother's and their sister's keeper," he said in an address on Thursday night. - Misanet.com-Pana


D'un côté le discernement de l'autre côté; l'aveuglement. A vous de choisir qui est qui!!! Rolling Eyes


Il faut que Mugabe lâche du lest; prépare sa sortie "de manière paisible" par des élections anticipés pour ne pas subir une humiliation de plus à lui, à son pays et au continent tout entier qui ne peut accepter ses caricatures de "leaders" accroché au pouvoir!!!!

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WILDCAT
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MessagePosté le: Mar 20 Mar 2007 23:28    Sujet du message: Répondre en citant

Allez pour faire plaisir à Suwedi, Deathrow et consorts!!!

http://www.youtube.com/watch?v=RqmkuaiQtTI
Crying or Very sad
http://www.youtube.com/watch?v=3NSWtUNHh8Y

Citation:
Bob Marley Lyrics

Zimbabwe Lyrics


Every man gotta right to decide his own destiny,
And in this judgement there is no partiality.
So arm in arms, with arms, we'll fight this little struggle,
'Cause that's the only way we can overcome our little trouble.

Brother, you're right, you're right,
You're right, you're right, you're so right!
We gon' fight (we gon' fight), we'll have to fight (we gon' fight),
We gonna fight (we gon' fight), fight for our rights!

Natty Dread it in-a (Zimbabwe);
Set it up in (Zimbabwe);
Mash it up-a in-a Zimbabwe (Zimbabwe);
Africans a-liberate (Zimbabwe), yeah.

No more internal power struggle;
We come together to overcome the little trouble.
Soon we'll find out who is the real revolutionary,
'Cause I don't want my people to be contrary.

And, brother, you're right, you're right,
You're right, you're right, you're so right!
We'll 'ave to fight (we gon' fight), we gonna fight (we gon' fight)
We'll 'ave to fight (we gon' fight), fighting for our rights!

Mash it up in-a (Zimbabwe);
Natty trash it in-a (Zimbabwe);
Africans a-liberate Zimbabwe (Zimbabwe);
I'n'I a-liberate Zimbabwe.

(Brother, you're right,) you're right,
You're right, you're right, you're so right!
We gon' fight (we gon' fight), we'll 'ave to fight (we gon' fight),
We gonna fight (we gon' fight), fighting for our rights!

To divide and rule could only tear us apart;
In everyman chest, mm - there beats a heart.
So soon we'll find out who is the real revolutionaries;
And I don't want my people to be tricked by mercenaries.

Brother, you're right, you're right,
You're right, you're right, you're so right!
We'll 'ave to fight (we gon' fight), we gonna fight (we gon' fight),
We'll 'ave to fight (we gon' fight), fighting for our rights!

Natty trash it in-a Zimbabwe (Zimbabwe);
Mash it up in-a Zimbabwe (Zimbabwe);
Set it up in-a Zimbabwe (Zimbabwe);
Africans a-liberate Zimbabwe (Zimbabwe);
Africans a-liberate Zimbabwe (Zimbabwe);
Natty dub it in-a Zimbabwe (Zimbabwe).

Set it up in-a Zimbabwe (Zimbabwe);
Africans a-liberate Zimbabwe (Zimbabwe);
Every man got a right to decide his own destiny.


Are we really liberated?
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Suwedi
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MessagePosté le: Mer 21 Mar 2007 10:00    Sujet du message: Répondre en citant

WILDCAT qui cite le Monde une source de desinformation mediatique occidentale comme une garantie extreme au delà de tout soupçon. Eh bien avec toi on peut être convaniqut les occidentaux auront toujours des pantins en stock à installer au pouvoir. Apparement je constate que tu sais lire l'anglais, alors je te serais gré de lire en totalité le rapport etablit par un comminté americain chargé d'enqueter sur l'etat du Zimbabwée pendant les accords de "lancaster House", en esperant que ta comprehension de l'Anglais ne soit à sens Unique.
Certes Mugabé se retira obligatoirement du pouvoir mais avec la garantie que le Zimbabwée ne retombe entre les mains des Blancs tant qu'il y aura une opposition à la solde de ces derniers. Apparement ils veulent repousser les elections presidentielles en 2010 pour s'assurer qu'au depart de Mugabé, le partie en place soit suffisament structurer et fort pour empecher toute eventualité de cette sorte.

Citation:
mais effectivement de différentes sources il me semble comprendre maintenat qu'il ai fait une sacré erreur en virant les blancs (normal) d'un coup sans prévoir de cadres agricoles compétants pour les remplacer


Oui tout à fait, alors pourquoi pas se faire recoloniser ouvertement par les blancs afin de redresser la situation economique de l'Afrique ? Razz
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Deathrow
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Messages: 29

MessagePosté le: Mer 21 Mar 2007 16:01    Sujet du message: Répondre en citant

Tenez:
Citation:
L'ambassadeur américain au Zimbabwe défie les menaces d'expulsion en attaquant Mugabe


L'ambassadeur américain au Zimbabwe Christopher Dell, le 20 mars 2007 à Johanesbourg

JOHANNESBURG (AFP) - mardi 20 mars 2007 - 20h55 - L'ambassadeur des Etats-Unis au Zimbabwe, Christopher Dell, a défié mardi les menaces d'expulsion en lançant une nouvelle attaque contre le président Robert Mugabe qu'il a qualifié de "dictateur despotique".
M. Dell a nié que Washington cherche à renverser le gouvernement zimbabwéen ou finance le Mouvement pour le changement démocratique (MDC, opposition), mais a estimé que Robert Mugabe s'était acculé tout seul.

"Le fait est que cet homme est acculé et il le sait", a-t-il déclaré à l'AFP lors d'une interview à Johannesburg.

"Il gouverne le Zimbabwe depuis 26 ans en combinant répression et paternalisme. L'économie s'effondrant, la capacité de jouer de ces méthodes disparaît. Il n'a rien, plus rien, à voler et à redistribuer", a-t-il ajouté en allusion notamment à la confiscation des terres de quelque 4.000 fermiers blancs redistribuées à des Noirs lors de la réforme agraire.

"Nous avons en fait sous les yeux un régime défaillant qui est en train de vaciller. Chaque fois qu'il est coincé, il tente de radicaliser la situation pour reprendre l'avantage", a estimé l'ambassadeur.

M. Dell avait quitté lundi soir avant la fin une réunion organisée à Harare par le ministre zimbabwéen des Affaires étrangères, Simbarashe Mumbengegwi, qui à la demande de Robert Mugabe a sermonné huit diplomates occidentaux, soulignant que le Zimbabwe "ne tolèrera pas d'ingérence" dans ses affaires intérieures.

Le chef de l'Etat zimbabwéen accuse régulièrement Washington de financer l'opposition et de chercher à renverser son régime, qualifié par la secrétaire d'Etat Condoleezza Rice d'avant-poste de la tyrannie.

"C'est une réaction typique d'un dictateur despotique", a estimé M. Dell.

"Les Etats-Unis n'apportent pas de soutien direct à des partis politiques au Zimbabwe ou ailleurs", a ajouté l'ambassadeur américain, qui était en route pour un rendez-vous à Londres prévu de longue date.

Le président Mugabe avait averti le semaine dernière que les diplomates "devaient se comporter correctement ou nous les expulserons de notre pays", en réponse à l'avalanche de critiques déclenchée par la répression menée contre des dirigeants de l'opposition.

Lors de son escale à Johannesburg, M. Dell a également critiqué la "diplomatie discrète" du gouvernement sud-africain à l'égard du pays voisin, où la crise économique s'aggrave chaque jour avec 1.730% d'inflation et 80% de chômage.

"Je pense que le moment est venu de réaliser que la politique de diplomatie discrète n'a pas donné de résultats", a-t-il estimé.

"Cela n'a pas changé l'attitude de Robert Mugabe en aucune façon. Le temps est venu de (...) s'engager plus directement avec le gouvernement zimbabwéen", a-t-il conclu.

Par ailleurs, le département d'Etat américain a indiqué mardi que les Etats-Unis souhaitent que l'Afrique du Sud se joigne aux efforts internationaux en cours pour mettre un terme à la répression violente de l'opposition zimbabwéenne de la part du régime du président Robert Mugabe.

La secrétaire d'Etat américaine, Condoleezza Rice, a téléphone à ce sujet vendredi à son homologue sud-africaine, Nkosazana Dlamini-Zuma, a précisé le porte-parole du ministère américain des Affaires étrangères, Sean McCormack.

"S'il y a une chose que nous attendons du gouvernement sud-africain, c'est qu'il joigne sa voix aux efforts pour mettre un terme aux violences politiques en cours au Zimbabwe", a déclaré M. McCormack au cours d'un point de presse.



Pour une fois encore les occidentaux se montrent très arrogants avec des regimes qu'ils ne leurs plaisent pas.


Jamais un ambassadeur americain fera ces genres de declaration en Egypte, en Sirie, en Corée du nord ...comme quoi les eternels negres sont a civiliser....avant hier ils etaient venu avec l'excuse de Jesus Christ , aujourd'hui ils veulent revenir avec l'excuse d'une pseudo-democratie qu'ils appliquent quand et comment ils veulent
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Linguere
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MessagePosté le: Mer 21 Mar 2007 16:40    Sujet du message: Répondre en citant

...
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Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
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Dernière édition par Linguere le Ven 04 Juil 2008 15:43; édité 1 fois
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M.O.P.
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MessagePosté le: Mer 21 Mar 2007 20:22    Sujet du message: Répondre en citant

Linguere a écrit:

Pourquoi est-ce que si je dois donner une opinion contraire a la votre(anti-Mugabe), c'est le blanc qui m'a certainement soufflee ca a l'oreille?


Parce que ton opinion tu ne te la forges pas a partir du neant, mais bien a partir de l'analyse biaisee que les medias occidentaux te servent.
Ce que vous oubliez c'est que nous sommes des etres humains, qui fonctionnons selon des schemas bien precis, selon que nous subissons telles ou telles influences particulieres, acces vers telles ou telles parties de nos etres.

Les toubabs l'une des bases importante de son "succes", c'est d'avoir compris la puissance qui reside dans la comprehension systematique de tout ce qui touche au fonctionnement de notre monde.

La ou nous favorisons l'improvisation lui voue un culte aux schemas, aux modeles qui ont faits leurs preuves.

C'est pourquoi j'ai propose la video sur lumumba.

Quand ces gens diabolisaient lumumba, pratiquement pour les memes causes (lumumba ayant decide comme mugabe, sans compromis de rendre les africains seuls maitres sur leurs terres africaines).
Leur refrain d'antan etait "le diable communiste aux yeux qui roulent", beaucoup d'africains comme vous sont tombes dans le panneau entonnant le meme refrain, sans s'etre arrete rien qu'un instant pour se demander s'ils comprenaient, saisissaient la porte du message dont ils repetaient les paroles en coeur.

Quel importance ou danger representait un etre "communiste aux yeux roulants" pour l'afrique et l'africain ?

Aujourd'hui vous parlez de democratie et faites une fixation sur mugabe, qui d'ailleurs respecte les regles democratiques etablies, mais ca n'a pas l'air de beaucoup vous interesser.

Quand c'est pas les elections que vous pouvez utiliser comme preuve de son status de dictateur, c'est le temps qu'il aura mis au pouvoir.

Mais qu'a a voir la duree au pouvoir dans une discussion sur la democratie, si cela n'est pas un point fixe ou souleve par la constitution du dit pays ?

Si la constitution americaine fixe le maximum d'eligibilite d'un citoyen a 2 mandats de 4 ans chacun, est ce la meme chose pour la francaise ?

Si la constitution du zimbabwe n'interdit pas de se representer meme apres 26ans, pourquoi l'utiliser comme argument pour prouver que mugabe est un dictateur, ou est la logique ?

Linguere a écrit:

Peut-etre qu'il y a beaucoup de bruit autour de lui parce que des "victimes" sont blanches mais que fais-tu du massacre de milliers de Zimbabweens qui sont de l'ethnie minoritaire?


Quand,ou, comment, combien par quelles autres ethnies, en quoi mugabe en est il responsable ?

Linguere a écrit:

En quoi Mugabe est-il democrate? Parce qu'elu "democratiquement" par le peuple?


Quels sont les criteres pour etre reconnu democrate, bush est il democrate, en quoi l'est il plus que mugabe ?


Linguere a écrit:

Il n'a pas tue comme Idi Amin par exemple mais ses agissements a la tete de l'Etat sont pas "democrates".


Si tu pouvais eclairer cette nebuleuse ...
Ca veut tout dire et rien du tout.
C'est quoi des agissements non "democrates" ?
Et en quoi sont ils, moins democrates que ceux d'un bush ou autres chirac ?

Linguere a écrit:

Wade par exemple qui a ete elu "democratiquement" et qui a toujours conteste les resultats des elections(de Senghor a Diouf, il a appele les populations a manifester) quand il etait dans l'opposition, a menace de prison tout opposant qui oserait defier les resultats du dernier scrutin. Juste avant les elections de Fevrier, durant une marche dans la ville de Dakar, presque tous les chefs de l'oppotion ont ete brutalises et mis en prison par Tonton Wade. Et plein d'autres trucs que je pourrai t'enumerer!


Alors, en quoi cela est il la preuve que mugabe n'est pas democrate ?
Shocked

Et pourquoi ne faites vous pas tout ce tintamare contre wade ?


Linguere a écrit:

Je comprends les inquietudes de Wildcat. Pourquoi ces grands "revolutionnaires" comme Sekou Toure, Mugabe, Wade qui avaient de "bonnes intentions" adoptent des habits de despote apres quelques annees?


Arrow Je vais te mettre la puce a l'oreille:
C'est parce qu'ils le peuvent et qu'ils sont des hommes.

Avoir des inquietudes est une bonne chose, mais vouloir remplacer mugabe de maniere non democratique par un vendu vendale ne peut etre une solution acceptable d'un democrate ?

Tu vois donc que vous tombez dans les meme travers qui selon vous suscitent vos inquietudes.
Et je suis tente de te reprendre la meme question que toi plus haut:

Arrow Pourquoi malgre toutes vos "bonnes intentions" adoptez ou cautionez vous des comportements de despote apres seulement quelques secondes separant vos accusations de vos solutions ?

Linguere a écrit:

Laissons de cote les toubabs pour un moment et essayons d'etre objectifs,


J'espere que t'aura compris depuis mon introduction plus haut, que ce n'est qu'un leurre ?
L'objectivite est quelque chose de subjectif, c'est selon ton formatage.

Etre toubab c'est pas une question de peau, mais de culture.
Donc dire laissons les toubabs de cote, alors que j'echange eventuellement avec un toubab (toi), n'a pas de sens.

Linguere a écrit:

il y a probleme et il faut le dire! Pourquoi ce grand africaniste comme Nkrumah a-t-il fini en dictateur en se declarant President a vie?


Parce qu'il avait une culture de panafricaniste, mais pas une culture de democrate peut etre.
Plutot une culture monarchique comme tres repandu au ghana de l'epoque.

Tu vois, donc que tu essayes de juger quelqu'un (Nkrumah) mais n'a appris a l'apprehender que de maniere folklorique, bref comme un toubab le fait avec l'africain en general qu'il considere comme etant un blanc pas fini.

Linguere a écrit:

Pourquoi Sekou Toure qui faisait les grands discours pour l'emancipation de l'Afrique a fini par installer la peur chez les Guineens qu'il etait cense proteger?


Parce que bien que saisissant l'importance de l'emancipation du toubab, il n'en etait pas moins un simple humain, qui aura cede face aux intrigues, entoure comme il l'etait en afrique par des traitres, travaillant pour le colon.

Linguere a écrit:

Il a dit "Non" au colon, mais a-t-il laisse la chance aux Guineens de dire "Non" face a ses derives?


Dire non au colon n'aura pas fait de lui un "saint" il sera reste un homme.

Linguere a écrit:

Ils avaient une "vision", ce qui les a faits entrer dans la verite de l'histoire, j'accepte! Meme si Jacques Foccart a rendu Sekou Toure parano, cela n'excuse en rien ses caprices qu'il a portes sur son peuple! L'histoire c'est des faits, alors jugeons l'action de ces Messieurs dans sa globalite pour mieux en tirer des lecons afin de ne pas commettre les memes erreurs.
Il ne faut assimiler une critique objective au non-amour!
Bien a vous,


tirer les bonnes lecons est plus important.

Parce que tirer le type de lecons qui aura porte mobutu a la tete du zaire, n'aidera pas l'afrique, mais en fera une RDC a l'echelle continentale dans 40 ans.

Je vais reprendre ce que je dis depuis le debut, la solution pour nos pays, c'est pas les hommes en tant qu'individus, parce qu'ils sont corruptibles comme tout homme.
Mas la solution reside dans la stabilite de nos institutions.

C'est pas un homme qui apportera la democratie dans nos pays comme tes exemples le montre clairement avec wade par exemple, mais des structures appropriees.

Si Bush ne se comporte pas tout le temps comme un dictateur aux USA, c'est pas parce qu'il est democrate innee, mais parce que le systeme l'en empeche la plupart du temps.
La preuve la ou le garde-fou du systeme n'existe pas, ou ne fonctionne pas correctement, comme c'est le cas a l'echelle mondial, on voit bien qu'il se comporte comme un vrai dictateur.

En france quand le systeme est defaillant, chirac plonge dans les memes malversations qu'un simple dictateur dans n'importe quelle republique bananiere.

Bref, faire l'effort de bien comprendre les choses.

Vous vous jouez a ceux qui favorisent l'echange d'arguments comme chez les democrates, pourtant vous ne comprenez meme pas ce sur quoi vous vous etalez, vous mimez les democrates mais pour le bien de l'afrique il faut en etre. C'est pas une insulte.

Beaucoup qui sont actuellement contre mugabe, ce qu'ils ressortent tres souvent comme argument, c'est "mugabe donne une mauvaise image de l'afrique, alors c'est un dictateur", un nonsense.
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Katana
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MessagePosté le: Mer 21 Mar 2007 21:35    Sujet du message: Répondre en citant

M.O.P. a écrit:
Sinon pour vous raffraichir la memoire, l'Assassinats de Patrice Lumumba, en esperant que cette video vous edifie

http://www.dailymotion.com/video/xfywf_assassinats-patrice-lumumba


Édifiant, effectivement.

C'est incroyable comme l'histoire se répète et leurs méthodes demeurent...

Le rôle de nations unies... http://www.voltairenet.org/article146143.html

Rien de nouveau sous le soleil donc...
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WILDCAT
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MessagePosté le: Mer 21 Mar 2007 21:46    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
[quote="Suwedi"]WILDCAT qui cite le Monde une source de desinformation mediatique occidentale comme une garantie extreme au delà de tout soupçon. Eh bien avec toi on peut être convaniqut les occidentaux auront toujours des pantins en stock à installer au pouvoir.


Thank you once again brother Suwedi!!! Je remarque une fois de plus que tu te focalises comme Moi sur l'article du Monde qui fustige Mugabe!! Peux-tu me donner des points positifs sur les mesures économiques et sociales depuis 1980!!! Non pas pour le "colon" mais pour le peuple de Zimbabwe!!!

Je note aussi que tu as ommis peut-être par inadvertence de ta part, car je doute d'une mauvaise foi passagère Rolling Eyes de l'article du Namibian datant de 2000 où un certain [b]Mandela
fustigeait le régime Mugabe!!! Mais bon il est vrai qu'après tout Mandela est l'archétype même du dirigeant africain, desposte à la solde du Colon, asservissant son peuple qui est la honte pour tous les africains du monde entier Twisted Evil


Qu'est ce que je vois après, ton clône Deathrow qui nous balance un article de Jeune Afrique qui est et cela est bien connu le magazine le plus "objectif" qui ne noue en aucun cas des liens avec les gouvernements africains surtout lorsque ces derniers font la promotion de leur "bonne gouvernance" en nous deversant des articles avec photo à l'appui de projets mégalomanes!!! Twisted Evil La position américaine ne devrait pas vous étonner,cela a toujours été comme cela. Jeune Afrique fait preuve de "Posture" envers leur lecteurs!!!!

..... et la cerise sur le gâteau: MR SAMBA94 qui vient défendre "l'illustre" Mr NON ( surtout non à son peuple)

Citation:
Pour le reste je reste persuadé qu'il y a un complot pour ruiner un pays qui à su arracher son indépendance comme il y a eu de l'obstruction contre Sékou Touré au point de le rendre fou de rage et parano.


Samba , tes propos sont particulièrement inquiétant, j'en ai froid dans le dos. Ironie du "mauvais sort" tu utilises le terme "complot" comme le chef "suprême de la révolution". On sait que ces "complots" ont envoyé des milliers de victimes au camp Boiro (comme le premier secrétaire de L'OUA Alpha telli Diallo) et d'autres citoyens prêts à dévelloper et éduquer leur propre population. je crains comme Sekou Touré que tu souffres de paranoïa et refuse de voir les faits en face!!!!

Heureusement que parmi nous des intervenants comme Linguère essaie d'éveiller vos consciences bloqués dans le refus de voir la réalité en face et de se poser la question pourquoi une fois de plus un dirigeant de la trampe de Mugabe et consorts s'accroche au pouvoir, pensant que leur pays est un héritage de droit divin!!!! bref en voyant vos interventions. J'aurais peut-être du appeler le Topic "Où s'arrêtera Mugabe, deathrow, Suwedi et Samba?

Pour conclusion comme dis M.O.P:

Citation:
Dire non au colon n'aura pas fait de lui un "saint" il sera reste un homme

en rajoutant, homme qui s'est comporté en enfant gâté en prenant le peuple comme jouet!!!!

M.O.P, je respecte beaucoup des interventions sur de nombreux topic; mais là je ne peux malheureusement pas te suivre. Please do not MOP your mind away!!!!
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Suwedi
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MessagePosté le: Mer 21 Mar 2007 22:11    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
J'ai lu ton loooooooooooong "compte-rendu" en anglais(oui Suwedi, je commprends la langue de Shakespeare), du debut a la fin, mais desolee, je ne m'excuserai pas! Je maintiens ce que j'ai dit! Il n'y a rien dans ce texte qui me convainc que des erreurs n'ont pas ete commises par le gouvernement de Mugabe.


Ecoute je ne te connais pas mais là serieux il faut arreter de mentir, si tu avais lu le rapport americain avec un minimun d'attention, Impossible de rester aussi Inflexible sur tes apprioris du depart. Donc soit tu as ego demesuré qui navigue à sens unique sans aucune chance de se remettre en question (il paraitrait que vous vivons qu'une fois, quel gachis !) ou soit tu ne sais pas lire l'english. Shocked


Citation:
Et fais-moi une grande faveur stp:dans l'avenir, pour mieux faire passer ta propagande, garde-toi de me faire dire des choses que j'ai jamais ecrites ici. C'est pas Linguere qui considere le noir comme un tare et c'est pas elle aussi qui ait dit que le noir n'est pas "developpe mentalement pour cultiver sa terre". Tu peux toujours relire mes interventions pour mieux cerner ce que j'ai dit.
Et aussi, gardons-nous de personnaliser le debat!


Lorsque tu as dis que les blancs savaient mieux s'occuper des terres agricoles que les Noirs, ça laissait supposer quoi peut-être ? C'est l'arguement préferé du Blanc pour expliquer la crise actuelle qui sevit au Zimbabwée, donc tu m'escuseras de t'avoir confondu avec eux avec toute les suppositions racistes que cela laisse paraitre. Lorsqu'on repete les mêmes arguments qui font office d'insulte, il faut aussi en supporter les erreurs et faire ses escuses. les Zimbabwéens qui controlaient plus de 70% de l'agriculture du Maïs, repondent à l'argument-Insulte que tu as repris par ignorance ou par feneantise d'esprit qu'ils n'exisent pas un seul Zimbabwéen qui sache cultiver sa Terre.



Citation:
Mugabe a quand meme fait la prison pour avoir lutte contre la presence des blancs dans son pays. Arrive a la tete du pouvoir, pourquoi n'a-t-il pas continue la lutte? Pourquoi cette "reforme" de maniere si brusque et chaotique? Qu'a-t-il fait pendant toutes ces annees? C'est pas hier qu'il est arrive au pouvoir quand meme!


Ah Bon !? Shocked

Etant sûr qu'un certain chapitre du rapport n'a pas du tout retenu ton attention pour des obscures raisons, je te le remet en ligne, ne me remercie pas c'est un plaisir. Razz

Citation:
The Lancaster House Agreement provided that there would be land redistribution but only on a “willing buyer, willing seller” basis. The negotiations were deadlocked for 12 days and nearly collapsed because of the land issue. It was only rescued after the British government agreed that they would compensate farmers for the land with some additional funding from the U.S., then under the Carter administration. Andrew Young, the U.S. Ambassador to the Lancaster negotiations, was instrumental in breaking the deadlock. The signatories also agreed that the terms of the Lancaster Agreement would not be amended for at least 10 years. Thus, from 1980 to 1990, the Zimbabwean government honored Lancaster and land reform was extremely slow. As it turned out, when commercial farmers were faced with the option of compensation versus keeping their land, they almost always chose to keep their land. After having won political independence, Zimbabwe’s economic independence was thus compromised by a nation of “unwilling sellers.”

The situation worsened in 1997 when the Labor Party under Tony Blair took office. Britain refused to honor the previous financial commitments that the Conservative Party had made on the land issue under Margaret Thatcher and John Major. Prime Minister Blair essentially reneged on the Lancaster Agreement and refused to provide compensation for displaced commercial farmers claiming Britain did not have the money. Furthermore, after several requests for renewed funding by the Zimbabwean government, a letter was sent by Claire Short, Britain’s Minister of International Development, stating that the current Labor administration of Britain did not acknowledge any colonial responsibilities of the former Conservative Party.

As economic tensions grew over the gross inequalities in land ownership (4,000 white farmers owned three-quarters of the arable land in a country of 13 million), the landless peasants and war-veterans grew increasingly frustrated and outraged. Veterans of the liberation war were especially angry since reclamation of the land was one of the primary reasons for the armed struggle. Tensions finally spilled over in 1998 when groups of landless peasants and war-veterans began occupying the huge farms owned by commercial farmers as a statement of political protest. Initially, the government attempted to halt the farm occupations and urged protestors to wait for proper funding to finance a land reform program. Finally, faced with no other alternatives due to the endless stonewalling of Britain and an increasingly agitated populous, the government decided to act. As Minister Chinamasa stated, “Nothing is more powerful than an idea whose time has come.”

In 1999, the Zimbabwean Government launched an agrarian revolution and implemented the Fast Track Land Program in order to finally reclaim the land and redistribute it equitably among the landless people of Zimbabwe. The government policy underlying this program was “one person, one farm,” whereby any commercial farmer who had more than one farm, which was often the case, had to choose one that they could keep while relinquishing the remaining land for resettlement. The government then offered to pay commercial farmers compensation for the infrastructure on the land acquired, such as buildings and irrigation systems, but not for the land itself. In addition, the government amended the country’s Constitution to state that commercial farmers would be compensated for the land once Britain made the funds available. It can be argued that the Fast Track Land program actually averted serious bloodshed. Since the program was implemented, the farm occupations and accompanying violence also stopped. Minister Muchena used an interesting analogy when she stated, “The land reform program was a revolution not a tea party; even at a tea party sometimes the tea spills and the linens are soiled. I actually feel we should be commended as a government for containing what could have been a bloodbath in the style of the Russian or French revolution.”



Citation:
Si les British ont "sabote" leurs plans en ne respectant pas leur engagement financier, et que l'argent manquait pour financer les projets, comment se fait-il que Mugabe ait pu envoyer un contingent a Laurent-Desire Kabila pour lui preter main forte, sans l'accord du parlement? Ca a coute de l'argent au Zimbabwe, et cet argent aurait pu etre utilise pour aider les "communal farmers" a s'appoprier du materiel agricole par exemple.


C'est un exemple de "Si" comme un autre mais pas trés elaboré, les Forces Militaires font dans l'agriculture maintenant ? même avec toutes les raisons de la Terre je n'ai jamais vue ça de toute mon existence et je ne vois pas pourquoi le Zimbabwée derogerait à la régle, Elle a une armée qui ne fait pas dans la figuration pour alimenter des "Si". Razz

Citation:
L'autre excuse(dans le rapport) qu'il y avait une periode de "drought" au debut des annees 00 ne tient pas! Le pays a connu dans le passe des periodes pires que celle-la et ca n'a pas provoque le collapse economique que le pays connait aujourd'hui. Des systemes d'irrigation existaient avec des bassins d'eau, ce qui pouvait combler le manque de pluie. Quelles sont les mesures qui ont ete prises pour maintenir ce systeme en place? Rien! Et le resultat on le connait. Google Earth est l'ami de tout le monde!



Pire que cette là ? avec le même cas de configuration géo-politique dû à un embargo economique feroce entretenu par les Britaniques et les Etats-Unis, je ne pense pas.
Linguerre, une autre séance de relecture ne nous refera pas de mal ! Wink

Citation:
Economy

While Zimbabwe is primarily an agricultural-based economy, it has a significant industrial base contributing to about 25% of its Gross Domestic Product, which is significant in Africa as most countries there rely more than 90% on agriculture.

However, while we saw numerous factories in Harare’s industrial area – and there are others spread across the country – this sector has been adversely impacted by fuel shortage and lack of other imported inputs, which require convertible currency such as U.S. dollars. The foreign currency shortage has caused significant economic contraction and in the most recent budget the government announced that the economy is projected to shrink by more than 10%. Zimbabwe had alleviated some of its oil shortage by negotiating a preferential purchase agreement – in exchange for agricultural land – with the Libyan government. However, it has been reported that this arrangement may have recently been scrapped. A local Zimbabwe newspaper, The Mirror, reports that the British government sent a high-level delegation to urge Libya to abandon the deal. If these reports are accurate, it now seems that the British government has launched a vicious and personalized campaign to bring down the Zimbabwe government. As a result of the fuel and foreign exchange shortage, we expect inflation to accelerate, leading to more suffering of ordinary Zimbabweans.

Moreover, Zimbabwe has not had access to funding from the World Bank and the International Monetary Fund for six years now, government officials pointed out. Very few African countries would have survived such a freeze on short-term and development capital access.

We are convinced that increased agricultural production, with the newly acquired lands by new farmers, will in the long run lead to economic growth in Zimbabwe. As the Justice Minister Chinamasa pointed out, previously 13 million Zimbabweans were dependent on 4,000 white farmers; now the more than 300,000 families are working on their new lands.



Leur conclusions est sans appel ! Exclamation

Citation:
We found that Zimbabwe, whose economy also depends on exports for foreign exchange earnings, has a serious shortage of convertible currency through a combination of diminished production of export crops such as tobacco – the government has made the hard choice of settling the simmering land issue and this has affected some export crop productions – as well as a decline in imports of Zimbabwe’s products from industrial countries due to the sanctions. This has resulted in a high demand for foreign currency and resulted in a parallel market where foreign exchange fetches as much as 20 times more than the official rate.

We found that the food shortage could worsen if sanctions continue and if the normal rain pattern does not resume; however, as already noted, the food crises affects the entire Southern Africa region and Zimbabwe certainly should not be singled out or scapegoated for its land reform policy.

We see no moral or strategic justification for sanctions considering that Western countries refused to impose comprehensive sanctions against Ian Smith’s racist regime – and thus prolonged apartheid in Zimbabwe – or against the South African government during apartheid. Sanctions kill, and affect the poor people the most. In the words of Albert Mugari, a high school student we met in the low-income district of Mbare, in Harare: “We are not in favor of sanctions. The ordinary people suffer the most. The higher classes don’t suffer. They have passports and can get out of the country.


Citation:
Ce gouvernement a commis des erreurs, il faut etre d'une mauvaise foi aigue pour ne pas le reconnaitre. On ne peut pas continuer a toujours crier "white conspiracy" pour dedouaner les notres!! Ca peut pas etre!
Si t'as honte d'etre noir en lisant mes propos, ca n'engage que toi, mais je le repete, ces fermiers blancs participaient activement a la bonne marche de l'economie meme si la "terre" ne leur appartenait pas.
Qu'on nous parle de modele A1 ou B, cela importe peu si apres un an c'est un Chief of Army de Mugabe, qui n'a aucune intention de cultiver sa "terre", qui se retrouve avec, pour y passer paisiblement ses weekends!(ton rapport n'en parle pas)


Etre convainqut n'a jamais été une preuve d'argumentation, ce rapport lui est solide et a été eprouvé par l'experience du Terrain au coeur même de la problematique par des Whites Americains qui comme nous ne savons tous ne sont pas des amis Tendre de Mugabé. Alors aprés avoir soit disant lu ce rapport, tu doutes apparement d'un White conspiracy à l'encontre du Pouvoir Zimbabwée en place qui contribue largement à alimenter le marasme economique d'un Pays qui vivaient de ces Exportations, c'est que tout simplement la discution est close.

Finalite du rapport concernant l'impact de l'embargo sur l'economie du Pays :

Citation:
We see no moral or strategic justification for sanctions considering that Western countries refused to impose comprehensive sanctions against Ian Smith’s racist regime – and thus prolonged apartheid in Zimbabwe – or against the South African government during apartheid. Sanctions kill, and affect the poor people the most. In the words of Albert Mugari, a high school student we met in the low-income district of Mbare, in Harare: “We are not in favor of sanctions. The ordinary people suffer the most. The higher classes don’t suffer. They have passports and can get out of the country.”



Citation:
Et je m'excuse si je ne peux repondre a tous les points souleves dans ton texte. C'est assez kilometrique!



C'etait ça l'astuce ! Laughing


AFFAIRE CLASSE pour ma part !
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Linguere
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MessagePosté le: Jeu 22 Mar 2007 15:56    Sujet du message: Répondre en citant

...
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Carpe Diem


Dernière édition par Linguere le Ven 04 Juil 2008 15:44; édité 1 fois
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WILDCAT
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MessagePosté le: Jeu 22 Mar 2007 20:55    Sujet du message: Répondre en citant

Voilà un malgré ce que l'on pense a gardé une ligne droite!!!


Citation:
Mgr Tutu dénonce l`attitude des dirigeants africains face à Mugabe

http://www.angolapress-angop.ao/noticia-f.asp?ID=517635

Port-Louis, 18/03 - L`évêque anglican sud-africain, Mgr Desmond Tutu, a estimé à Port-Louis que les dirigeants africains devraient avoir honte de la répression policière contre des leaders de l`opposition zimbabwéenne, dénonçant leur attitude face au régime du président Robert Mugabe.

"Certains d`entre eux ont parlé de souveraineté (du Zimbabwe). Nous soutenons le contraire. Des choses scandaleuses se produisent dans ce pays", a déclaré Mgr Tutu qui achève ce samedi une visite à Maurice.

"Il (le président Mugabe) était un leader dont j`étais fier. J`ai l`impression de vivre un cauchemar et j`attends qu`on me réveille pour me dire que ce n`est pas ce même Mugabe qui a été à la tête du mouvement de libération de son pays et qui avait soutenu des mouvements de libération d`autres pays", a-t-il ajouté.

Il a exprimé sa solidarité au peuple zimbabwéen, appelant l`Afrique du Sud à réagir en faveur des Zimbabwéens "qui souffrent plus qu`ils ne l`ont jamais été".

Durant son séjour, Mgr Tutu a été reçu par le Premier ministre, Navin Ramgoolam, avec qui il a discuté du projet de Maurice d`instituer une Commission justice et Vérité.

Il a visité samedi matin la Montagne du Morne, dans le sud-ouest de l`île, et y a déposé une gerbe de fleurs en hommage aux anciens esclaves mauriciens.

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MessagePosté le: Jeu 22 Mar 2007 21:02    Sujet du message: Répondre en citant

Information, désinformation?

Conclusion: lutte de clan au détriment du peuple pour garder les privilèges!!!!


Citation:
Collapse of a regime


Leader
Tuesday March 13, 2007
The Guardian

http://www.guardian.co.uk/commentisfree/story/0,,2032518,00.html

Predicting the end of Robert Mugabe's regime in Zimbabwe has always been a risky business. The end has been nigh for at least seven years, but Mr Mugabe has outfoxed friend and foe alike. But the reaction of riot police on Sunday to a small prayer meeting organised in Harare by opposition, church and civic groups was predictable. One protester was shot dead and dozens of opposition activists were beaten, some say tortured, in custody. Among them was Morgan Tsvangirai, the leader of the Movement for Democratic Change, who was yesterday reported to have been taken to hospital with head wounds.

It is clear that the crisis engulfing the country is accelerating. But this has more to do with raging inflation than an opposition which is itself badly divided. Once one of the richest countries in Africa, Zimbabwe holds the record for having the world's fastest-shrinking peace-time economy, according to the International Crisis Group (ICG), whose report provides a sensible plan for transition. The economy has diminished by 40% since 1998, unemployment has swollen by 80%, and inflation is expected to reach over 4,000% by the end of the year.

There are reports of disaffection in the junior ranks of the police and army, who complain about being paid less than the hired hands dispatched to beat up opposition groups. There are problems for Mr Mugabe too within Zanu-PF, where his plan to extend his mandate, which was due to expire in 2008 to 2010, met unprecedented resistance at December's annual conference. On Sunday Mr Mugabe was quoted as saying that he would go back to his original plan and contest the election in 2008 "if the party says so".

It may not. There are three factions inside Zanu-PF: a loyalist group still prepared to back the 83-year-old president and two groups under the leadership of a presidential aspirant, Emmerson Mnangagwa, and a retired general, Solomon Mujuru, who is the husband of Vice-President Joyce Mujuru. They both want Mr Mugabe to stand down next year, so that their party can maintain political control. Rolling Eyes Idea Exclamation

It is not written in stone that Zimbabwe's sufferings are destined to continue, once Mr Mugabe is told that enough is enough. Here the analogy with the last days of Mobutu's reign in Zaire, made this month by the ICG, is not strictly accurate. Zimbabwe's infrastructure, though in a state of total collapse, still exists. So do its housing and farms. It has a potentially large source of foreign currency from expat Zimbabweans, and a post-Mugabe regime could benefit from a windfall of foreign aid. But he has to go first, and the sooner the better.

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MessagePosté le: Jeu 22 Mar 2007 21:25    Sujet du message: Répondre en citant

Un site intéressant pour Suwedi et consorts!!!!

http://www.zimbabwesituation.com/mar22c_2007.html

Je choisis cet article : Twisted Evil PAS PAR HASARD!!!! car je constate le silence du grand voisin et de la dérive de son parti!!!

Citation:
Shielding Mugabe and other signs of ANC atrophy
Business Day

22 March 2007

Rhoda Kadalie

--------------------------------------------------------------------------------

JUST when you think the African National Congress (ANC) cannot get worse, it
sinks to new depths of depravity.

Two seemingly dispa-

rate, yet connected headlines in Tuesday's Business Day signal the signs of
the times: Echo of Burma as SA blocks UN on Mugabe, and, Red faces over
Russia's $2bn deal with ANC arm.

One concerns SA's consistent failure to condemn Zimbabwe for its flagrant
abuses of human rights, so soon after the Burma debacle at the United
Nations (UN) Security Council. Support for Robert Mugabe has more to do with
SA's solidarity with a former liberation leader than its so-called
noninterference stance on sovereignty. No matter how dictatorial its rule,
Zanu (PF) knows it can rely on SA for support because its identity as a
former liberation movement seals its survival regardless of the atrocities
it perpetrates against its own people. Mad Mad Mad Shocked

Equally, its support for communist China on Burma is in line with a foreign
policy that has consistently supported pariah states such as Libya and Iran
against countries that value human rights, good governance and democracy. It
finds it so easy to condemn Israel on the grounds of human rights and
self-determination, invoking similarities with the apartheid state, but when
it comes to Zimbabwe and Burma, its forked-tongue agenda becomes
nauseatingly transparent.

And that brings me to the second related concern: the ANC's cozying up to
Russia by using diplomatic relations to secure deals that will benefit and
secure its future as a political party. With their and our oligarchs in hot
pursuit of an alleged $2bn investment in a mineral fertiliser plant that
will benefit the ruling party via Chancellor House, alleged to be a funding
front for the organisation, it seems that with the ANC these days, anything
goes.

Just as the ANC depended on financial support from international donors,
including pariah states, to fund its liberation movement, so it continues
today to depend on funding for its political campaigns without any regard
for how dubious the sources. Too lazy and inept to generate funding from its
dwindling membership base, it nurtures relations with dictators who can be
relied upon in a time of need.

With more than 10-million people not voting in the last election, and a
succession battle threatening to destabilise the once-almighty juggernaut,
securing millions from whomever it takes has become central to the ANC's
plan to rule indefinitely.

That brings me to a related issue - the ANC's growing inability to drive the
very institutions designed by them since 1994 to promote skills training,
social development, poverty eradication, equality and human rights.
Currently under review by Parliament, a premature prognosis of most of the
chapter 9 institutions and other statutory bodies is that they should either
be radically transformed or abolished.

In similar vein, the sector education and training authorities (Setas) have
become a great source of annoyance to employers asked to pay a monthly levy
from their meager resources to the labour department to promote skills
development. It is unacceptable, as has been reported in the media, that 22
out 23 Setas have invested our money, R3,8bn of it, in various types of
accounts, when they should be educating and training people for jobs. If, as
Democratic Alliance spokesman, Mark Lowe said, "the Setas have degenerated
into patronage-dispensing amateur investment vehicles rather than the
drivers of a skills revolution", Parliament or the public protector should
review them as a matter of urgency.

Skills development is not the preserve of government. For that we have
technikons, colleges and universities. It therefore comes as no surprise to
read constant reports of how the Setas have sunk into mediocrity and
corruption. Labour Minister Membathisi Mdladlana has acknowledged that
certain individual Setas are dysfunctional but will not take responsibility
for the fact that the system overall has failed.

Most recently, the transport Seta was discovered to have invested R246m of
its funds in the Fidentia group, which was placed under curatorship last
month and its CEO detained. The mining qualifications Seta at the start of
2002 allocated R26,5m of its funds to establish a bursary scheme for
university and technikon students. By this month, only 135 students had
benefited. The police, private services and correctional services Seta has
been investigated by the Scorpions for financial mismanagement, and has had
"significant control deficiencies" in awarding tenders and fired its
previous CEO for unprofessional behaviour.

In the secondary agriculture Seta the auditor-general reported in 2003 that
he had detected a trail of irregularities, including the awarding of a R1,3m
contract to a company in which the then CEO held shares. Also, contracts
were awarded to other companies in which board members had direct interests.
The construction education Seta was found by the auditor-general to be
"technically bankrupt" in 2005-2006 and investigations are taking place into
the probable payment of monies for "ghost learners" and for payments for
full courses that were taught in an abbreviated form.

The first CEO and chief financial officer of the forest industries Seta were
tried and jailed for 20 years for corruption and fraud amounting to more
than R3m, even though it is claimed the money was subsequently recovered.

The manufacturing, engineering and related services Seta was found by the
auditor-general to have violated procurement procedures, employment
procedures and corporate governance structures, with irregularities
involving up to R5m of its expenditure.

Employers should consider a class action against the labour department to
terminate the payment of levies to training authorities, which are supposed
to train and help others but instead are racked by incompetence, mediocrity
and corruption.

Kadalie is a human rights activist based in Cape Town.

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MessagePosté le: Ven 23 Mar 2007 06:35    Sujet du message: Répondre en citant

Vous savez, moi j'ai suivi les dernieres elections parlementaire de proche. J'ai adopte l'attitude sceptique autant face au Zanu-pf qu'au MDC. Ce qui m'interesse c'est la verite. Et jusqu'ici je ne vois rien dans ce qu'avance le MDC qui prouvent que les elections n'etaient pas juste et libre. Il faut des preuves. Je suis toujours pret a changer d'opinions. Voici ce qu'a dit le porte parole du gouvernement Sud Africain sur les derniers evenements:

Citation:

Cape Town - Le conflict serieux qui s'est leve au Zimbabwe est apparu parceque la perception du MDC est que les recentes elections au Zimbabwe n'etaient pas libre et juste, a dit le porte-parole du gouvernement Sud Africain, Themba Maseko, ce mardi.

"Je pense qu'il est maintenant de notoriete publique qu'il y a eu des elections au Zimbabwe... a la fin de ces elections, le MDC etait d'avis que les elections n'etaient pas libre et juste.

"En se basant sur l'avis du MDC, nous avons une situation au Zimbabwe ou il y a un serieux conflict qui apparait base sur la premisse prise par le MDC que les elections n'etaient pas libre et juste."

C'est cependant la position du gouvernement Sud Africain que les recentes elections on ete libre et juste, a-t-il note.

Cette reponse etait une replique a la question d'un journaliste - dans un briefing mediatique apres le rencontre du cabinet au Cape Town - sur quelle etait selon l'analyse du gouvernement sur quel etait le probleme clef au pays voisin du Zimbabwe.
[....]

http://www.news24.com/News24/South_Africa/Politics/0,9294,2-7-12_2086589,00.html


Les Sud Africains sont au courant sur ce qui s'est passe lors des dernieres elections, car ils ont envoyes des observateurs. C'est vrai qu'en Afrique il y a des elections truquees, mais c'est aussi vrai que souvent lorsqu'un parti politique perd les elections ils denoncent des fraudes automatiquement, sans preuves, (pour justifier sa defaite face a son electorat). D'ailleurs avez-vous remarquer que les parti qui perdent les elections en Afrique ne change souvent pas de chefs, meme apres plusieurs defaite electorale (en occident apres une defaites electorales, sinon deux, c'est pratiquement automatique). La seule maniere de departager la verite est de receuillir les preuves.

Je pense qu'il est important de comprendre que le fardeau de la preuve pour prouver que les elections sont truquees retombe au parti accusateur. C'est aussi vrai pour le MDC que pour d'autre parti en Afrique. Autant pour les opposant a Bongo ou a Compaore. Parce que d'apres tout, meme si on sait que Compaore et Bongo sont des franceafricain et qu'ils representent un frein au developppement de leur pays respectifs qui dit que les gens n'ont pas votes pour eux quand meme? (Ca fait longtemps que je veux parler de ca, je vais y revenir dans un autre message). Si tu es un parti politique et que tu penses qu'il y aura de la fraude, tu dois tout faire pour noter et repertorier les preuves. Les transmettres aux observateurs, a la commission electorale et aux medias (pour qu'on puisse les connaitres), ensuite aux tribunaux dans le cas echeant. (d'ailleur aux Zimbabwe il y a une bonne separation entre la polique et la justice). Il faut un dosssier precis, solide. Comme vous savez dans chaque elections qui se respectent, lors de la journee de votes, il y a des agents de scutin (pour chaque parti, s'ils le veulent) dans chaque bureau de votes. Aux Zimbabwe, lors de la derniere elections legislative, ces agents de scrutins du MDC ont signe toutes les enveloppes de comptage et ont declarer le resultat final refletant les intentions de votes. Les seules arguments sensible du MDC vient du climat pre-electorale (comme l'acces inegales aux medias), mais au bout du compte les gens ont vote pour qui ils voulaient dans la boite de scrutin. C'est au MDC de prouver que les dernieres elections ont ete truques et qu'ils ne refletent pas les intentions de votes des electeurs. Sinon, il est facile pour un parti perdant (ou un chef de parti perdant) aux elections de declarer l'election truquees pour cacher sa propre defaites aux yeux de ces supporteurs (et commanditaires financiers, qui viennent de l'exterieur pour le MDC).

La verite est que le Zanu-pf est tres populaire dans le milieu rurale, la ou se trouve la majorite de la population du Zimbabwe. Dans le milieu urbain, plus susceptible a l'inflation, aux manques de commodites importes (comme le petrole), ont votes en plus grand nombre pour le MDC (et autres partis) et ceci aussi se refletent dans le resultat final. Meme, Moyo , en tant qu'independant et qui a trahis son ancien parti du Zanu-pf avec des critiques virulantes contre celui-ci et contre Mugabe, a gagne ses elections dans son comptes. S'il n'y a pas de preuves c'est effectivement trop subjectifs...
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MessagePosté le: Mar 27 Mar 2007 21:04    Sujet du message: Répondre en citant

Rolling Eyes We wait and see!!!

Citation:
Sommet extraordinaire de l'Afrique australe pour inciter Mugabe au dialogue
ZIMBABWE - 27 mars 2007 - AFP
Les pays de la Communauté de développement d'Afrique australe (SADC), critiqués pour leur attitude prudente face à la crise au Zimbabwe, devaient se réunir mercredi à Dar es-Salaam afin d'adopter une position commune sur le régime du président Robert Mugabe.

Ce sommet extraordinaire de deux jours des dirigeants des 14 pays membres de la SADC se tient sous la présidence du chef de l'Etat tanzanien, Jakaya Kikwete, membre de la troïka chargée des problèmes de sécurité et de défense dans la région.


Alors que les Occidentaux ont sévèrement condamné Mugabe pour la violente répression menée contre l'opposition lors d'un rassemblement interdit le 11 mars, les pays de la SADC se sont montrés très réservés, bien qu'ils aient le plus à perdre de l'effondrement de ce pays voisin.

Outre la crise politique, le Zimbabwe s'enfonce depuis plus de six ans dans une récession économique sans précédent, avec une inflation record (1.730% en février), plus de 80% de chômage et des pénuries de produits de première nécessité, de carburant et de devises étrangères.

Le sommet, qui remplace une réunion des ministres des Affaires étrangères de la troïka, reflète le sérieux avec lequel les pays de la région considèrent la crise zimbabwéenne.

Mugabe, qui s'insurge régulièrement contre toute "ingérence" extérieure, devrait mettre à profit ce sommet pour justifier la répression menée contre le Mouvement pour le changement démocratique (MDC) et présenter une nouvelle fois l'opposition comme une menace pour la sécurité de l'Etat.

Son porte-parole, George Charamba, a déclaré que le président zimbabwéen "rendrait compte à ses collègues de la situation dans le pays face à la violence du MDC, que ses soutiens occidentaux veulent utiliser pour traduire (le Zimbabwe) devant le Conseil de sécurité de l'ONU", selon le quotidien d'Etat The Herald.

Selon un responsable du ministère tanzanien des Affaires étrangères, les chefs d'Etat devraient presser Mugabe d'ouvrir des discussions avec le MDC, dont le président Morgan Tsvangirai avait été frappé après son arrestation le 11 mars.

"Rien n'est impossible. Je pense que (les dirigeants de la SADC) ont le pouvoir de convaincre", a déclaré ce responsable à l'AFP. "Mugabe peut accepter, même si ce n'est pas forcément lui qui conduirait des pourparlers".

L'Afrique du Sud, qui a critiqué la "diplomatie du mégaphone" menée selon elle par les puissances occidentales, pousse elle aussi à un dialogue entre les deux camps, estimant que seuls "les principaux protagonistes politiques" peuvent parvenir à une solution durable.

Certains pays membres de la SADC s'interrogent sur l'efficacité d'une diplomatie discrète mais entendent que toute initiative demeure la prérogative de la communauté régionale.

Le président zambien Levy Mwanawasa a récemment comparé le Zimbabwe au Titanic, tout en affirmant qu'il n'appartenait pas aux pays extérieurs à la région d'intervenir: "Je veux dire (...) catégoriquement que le gouvernement zambien exclut l'implication directe ou indirecte de tout Etat qui ne soit pas membre de la SADC".

Une opinion qui trouve écho à l'intérieur du Zimbabwe. "Les seuls qui aient une quelconque légitimité à parler du Zimbabwe sont les Africains", estimait récemment Arthur Mutambara, dirigeant d'une fraction dissidente du MDC.

L'opposition au Zimbabwe commettrait toutefois une erreur en comptant sur les puissances régionales pour pousser Mugabe à abandonner le pouvoir, estime Azaveeli Rwaitama, chercheur en sciences politiques de d'Université de Dar es Salaam.

"C'est au MDC et au peuple du Zimbabwe de faire cela", a-t-il dit à l'AFP


Citation:
Le président zambien Levy Mwanawasa a récemment comparé le Zimbabwe au Titanic, tout en affirmant qu'il n'appartenait pas aux pays extérieurs à la région d'intervenir: "Je veux dire (...) catégoriquement que le gouvernement zambien exclut l'implication directe ou indirecte de tout Etat qui ne soit pas membre de la SADC".


Ah bon!!! double jeu? Posture face à l'occident ou plutôt indifférence réelle face au peuple "frère" zimbabwéen?


Citation:
Une opinion qui trouve écho à l'intérieur du Zimbabwe. "Les seuls qui aient une quelconque légitimité à parler du Zimbabwe sont les Africains", estimait récemment Arthur Mutambara, dirigeant d'une fraction dissidente du MDC.


Very interesting Laughing On règle nos problèmes entre nous "frères africains". Rolling Eyes Confused Shocked Une fraction dissidente (une parmi tant d'autres Rolling Eyes ?) au sein du MDC. Question: Morgan n'en fait pas assez pour défendre le peuple ou doit-il collaborer avec Mugabe?
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MessagePosté le: Ven 30 Mar 2007 10:00    Sujet du message: Répondre en citant

Adulé par CNN, choyé par France 24 et que dire de la BBC !!! Tsvangiraï
l'un des trop rares opposants politiques à être porté à bout de bras par la presse occidentatle. Du jamais vu !! Même Mandela n'a pas fait mieux et ça lui à couté 27 ans de prison.

Tsanvigaraï sur son lit d'hôpital, Tsanvigaraï et sa nouvelle coupe de cheuveux,Tsanvigaraï bléssé au visage, Tsanvigaraï dans son jardin, Tsanvigaraï affrontant pacifiquement la police.

Lors de la visite du président du Ghana à Londres, dans la salle de
meeting plus de 4 persones se lèvent l'une après l'autre scandant
"Mugabé est en train de tuer le Zimbabwé". Incroyable les services
d'ordre n'ont rien vu venir.

Mes fesses j'etais à cannes pour faire la même chose, le service d'ordre etait là.

Quel âge à BONGO ?? quel âge Wade ?? quel âge à Bya ?? combien d'années de pouvoir ??

Ok Mugabé peut quitter le pouvoir, mais si c'est pour le remplacer par cet imbécile qui demande plus de sanctions alors que le pays est déja à genoux.

Le petit gros de tsvangiraï fait du marketing, ça côute pas cher de corrompre un africain, les traitres ne manquent en la matière(surtout parmis les activistes des droits de l'homme voir les post précédent) .
Ce type s'est déja vendu à ses maîtres, c'est mon avis. Confused

Razz J'ai bien rigolé quand j'ai vu la décision prise pas les chefs d'états africains de la sous région en faveur de Mugabé, pour la lévée des sanctions contre le Zimbabwé. Vous auriez vu la tête de ce journaliste de CNN (Jeff Koniagué celui qui à couvert la fameuse affaire des ôtages asiatiques au Nigéria), une tête de macreau !!! Ce type doit changer de métier c'est une vrai machine à désinformer, il vous torture l'information comme c'est pas permis mais bon c'est pas nouveau sur CNN FRANCE24 LA BBC ...
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"Un jour j'ai entendu ces noirs prendre la parole, ils m'ont transmis leur vécu, j'ai compris leurs aspirations et j'ai cessé d'être l'ombre de moi même"

Qu'est ce qu'un camerounais sinon un africain, qu'est ce que le cameroun
sinon un ensemble de frontières inutiles. Vive l'intégration continentale, les USA "united state of Africa" et tous nos enfants, pères et mères des caraïbes.


Dernière édition par Concept le Dim 01 Avr 2007 15:25; édité 4 fois
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MessagePosté le: Sam 31 Mar 2007 15:02    Sujet du message: Répondre en citant

Les effets ou méfaits de la super glue!!!! The guy will never stop!!!


Citation:
Zimbabwe: Mugabe candidat de son parti aux prochaines présidentielles


2007-03-31 14:54:58


HARARE, 30 mars (XINHUA) -- Le président zimbabwéen Robert Mugabe a été désigné vendredi par son parti, l'Union nationale africaine du Zimbabwe-Front patriotique (Zanu-PF), comme candidat à la prochaine élection présidentielle.



Le comité central de la Zanu-PF a aussi voté pour la tenue des élections présidentielle, législative et municipale l'année prochaine, a rapporté l'agence de presse officielle New Ziana.

"L'harmonisation" de ces élections devra être examiné par le Parlement et des amendements à la Constitution seront nécessaires, a déclaré le porte-parole de la Zanu-PF, Nathan Shamuyarira.

L'élection présidentielle est prévue en 2008 alors que celle du Parlement devait avoir lieu 2010. Selon New Ziana, la tenue des trois élections dans la même année permettrait de réduire leurs coûts énormes.

Le comité central de la Zanu-PF a par ailleurs voté pour augmenter le nombre sièges de 150 à 210 pour la Chambre basse et de 66 à 84 pour la Chambre haute à partir de l'année prochaine.

Le ministre de la Justice et des Affaires parlementaires, Patrick Chinamasa, a fait savoir que la Constitution serait amendée pour réduire le mandat présidentiel de six à cinq ans et tenir les élections municipales tous les quatre ans, au lieu de cinq ans.

Pourtant, les élections municipales seront tenues plus tôt que celles présidentielles et législatives, a-t-il précisé.



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MessagePosté le: Sam 31 Mar 2007 16:42    Sujet du message: Répondre en citant

WILDCAT a écrit:
Les effets ou méfaits de la super glue!!!! The guy will never stop!!!


Les Zimbabweens ont juste a pas votes pour lui. Il n'est pas oblige de partir, mais pas du tout. Encore moins quand l'opposition principale est des vendus.

Ce que je trouve surprenant, c'est que des gens demandes ce que Mugabe a fait. Le gars a tout fait ce que le destin lui a destine a faire. Mais, je suis d'accord qu'il devra prepare sa succession (s'il ne l'a pas fait), cela sans etre obliger de partir si les Zimbabweens vote pour lui.

Mugabe est un des grands Africains. Qu'est-ce qu'il a fait? Certain ose demander. Tout d'abord, il s'est battu contre le regime de type apartheid de l'ancien Zimbabwe. Il a du passer 11 ans de sa vie en prison pour son combat. Il est revenu, et continuer son combat, pour *gagner* une guerre de guerilla contre ce regime inhumain.

Apres avoir gagne, et pris le pouvoir. Il a tout miser sur l'education. Le Zimbabwe est le pays Africain ayant le meilleur taux d'alphabetisation de l'Afrique. Ce taux voisinant les 90%. Seulement pour cela, il merite le plus grand respect. La reforme agraire pour retablir la justice ou les Zimbabween etait flanque dans des reserve ou le sol est pauvre. Etait reclamer par son peuple, pendant que les britanniques reniaient leur engagement. Le pays fait face au meme probleme de secheresse que les pays avoisinant qui ont eux-aussi une baisse de production agricole. Meme dans les annees 90, il y a eu des annnes de baisse de production agricole ou le Zimbabwe a du importe de la nourriture du a la secheresse, evidemment cela avant toute reforme agraire.

Quand on pense a la politique Africaine. On se demande souvent ce que nous nous ferions si nous etions president Africain. Quand tu tiens compte des capacites financieres limites, et des besoins etendues de ton pays en matiere d'investissement. Et je suis sur que beaucoup d'entre vous ferais ce que Mugabe a fait. Investir dans les l'Education. Il ne la pas juste penser, il l'a fait et reussit. Il a fait batir des ecoles partout dans le pays. Il a meme ouvert des ecoles techniques a la grandeur du pays, y compris des les zones rurales. Il a aussi fait du Zimbabwe un des meilleur systeme de sante en Afrique (c'est temps ci il a un probleme de la fuite de cerveau de ces medecins, dont la competance est tres apprecier chez les britanniques). Il a surement fait tout ce qu'on ferait nous meme en tant que president, meme si les pays occidentaux lui reproche sa reforme agraire ou il n'a pas exactement obeit aux lois du libre marche. On reproche la meme chose a Chavez au Venezuela. Ils ont meme soutenu un coup d'Etat la-bas de la meme maniere que Tsvangirai est soutenu actuellement. Ca serait vraiment bien si le Zimbabwe avait lui aussi une des plus grande reserve de petrole.

Concept a écrit:

Razz J'ai bien rigolé quand j'ai vu la décision prise pas les chefs d'états africains de la sous région en faveur de Mugabé, pour la lévée des sanctions contre le Zimbabwé.


Smile

Ils ont meme ajoute a l'injure en en affirmant leur solidarite avec le governement du Zimbabwe: "Le sommet extraordinaire rappelle que des elections presidentielle juste et libre ont ete tenu en 2002 au Zimbabwe. Le sommet extraordinaire reaffirme sa solidarite avec le gouvernement et le peuple du Zimbabwe." J'avoue que ca m'a un peu surpris, les governements Africains se soutiennent parfois entre eux, mais rarement malgre la pression des gouvernments occidentaux.
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MessagePosté le: Sam 31 Mar 2007 22:06    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
[quote="Nomade"]
WILDCAT a écrit:
Les effets ou méfaits de la super glue!!!! The guy will never stop!!!


Les Zimbabweens ont juste a pas votes pour lui. Il n'est pas oblige de partir, mais pas du tout. Encore moins quand l'opposition principale est des vendus.


Surprenant ou inquiétant Confused Shocked ? Conclusion , c'est la faute des peuples africains si ils ont des leaders qui gardent le pouvoir pendant plusieurs années en changeant à chaque échéance présidentielle en concoctant une constitution sur mesure afin de rendre les mandats présidentiels sans limite. Conclusion chaque peuple mérite son chef donc je propose qu'on ne se plaignent plus ou critiquent nos dirigeants!!! La réunion des pays de la SADC font preuve de double jeu avec Mugabe et ce qui risque d'arriver lorrsque Mugabe s'enfoncera encore plus dans entêtement; ce sera ses "frères africains" qui seront les 1er à le lâcher. Si il meurt au pouvoir tant mieux pour lui; sinon cela risque d'être une fin humiliante pour lui.


Citation:
enfin quelqu'un qui défend Mr Mugabé sur ce site. Quelqu'un aurait-il des précisions sur l'embargo: qu'est qui était sous embargo qu'est ce que les anglais ont bloqué et comment?

Vive Mugabé!!!!!!!!!!


Samba étant donné que tu sois un fan de Sékou Touré je te l'accorde tu restes dans ta triste logique!!!
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MessagePosté le: Sam 31 Mar 2007 22:52    Sujet du message: Répondre en citant

C'est le contraire, je salue la clairvoyance des Zimbabweens de ne pas votes pour un parti de vendu qui hypothequerais l'avenir des Zimbabweens pour des annees. Toi, tu parles selon ce que tu a lu dans CNN, RFI, AFP, et jeuneafrique. Mais, eux voit de leur yeux que le gouvernement fait des investissements pour eux tel que barrage, distribution de terres, projet d'irrigation, micro-economie etc. Meme si cela met de la pression sur la monnaie. Ils connaissent Mugabe et tout ce qu'il a fait pour eux, et vote selon leur visions des choses.
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MessagePosté le: Lun 02 Avr 2007 01:46    Sujet du message: Répondre en citant

samba94 a écrit:


J'espère qu eMr Mugabé à prévu sa succession mais il n'a pas besoin d'une opposion. Comment peut s'opposer à cet homme intègre qui à tant fait pour son pays et son peuple: indépendance, éducation, santé, confiscation des terres aux colons. C'est une insanité de s'opposer, c'est dire non à tout ce qu'il a fait de bien.


J'aime bien Mugabe, mais je ne suis pas d'accord. Le Zimbabwe a besoin d'une bonne opposition, mais pas d'une opposition commandite et qui travaille pour les US et UK. Le MDC est l'opposition principale au Zimbabwe, mais cette position a ete obtenue grace au soutient financier de l'US/UK et des colons fermiers. Leur programme ne reconforte que leur percee liberaliste. J'espere qu'au Zimbabwe, il y ait une autre opposition avec un peu de perspective ayant vraiment a coeur le sort des Zimbabweens.
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MessagePosté le: Mer 23 Mai 2007 22:50    Sujet du message: Répondre en citant

WILDCAT a écrit:
Voilà encore un dictateur qui ne retient pas les leçons du passé!!! L'escalade de ces actions anti-démocratiques auront raison de lui. L'Afrique du Sud: "pays ami" va commencer à lâcher son voisin encombrant. Les US et la GB à mon avis vont essayer d'influencer l'Afrique du Sud pour faire partir Mugabe dans des conditions dignes, si il ne veut pas le même sort que Mobutu. Quand on trahi son peuple on le paie tôt ou tard!!!!


"Quand on a trahi son peuple on le paie tôt ou tard"... Dommage que l'auteur de ces lignes compte, en définitive, sur des défenseurs du peuple africain aussi légitimes que ... les gouvernements US et UK... Rolling Eyes

Enfin bref. Bon, m'étant récemment fait taper sur les doigts pour cause d'ignorance de l'histoire du Zimbabwe, j'ai rattrapé autant que faire se peut mon retard, et ai tenté de savoir qui était ce malheureux opposant si horriblement maltraité par le gros méchant loup de Robert Mugabé.

Toujours sympathique de se poser en victime, en tant qu'opposant... On évite, du coup, de se poser la question de la légitimité dudit opposant face au peuple de son pays, et, surtout, de qui soutient son action en sous-main. Il se trouve qu'il est assez facile de détecter, derrière les opposants aux régimes honnis par les pays occidentaux, la patte des Etats-Uniens, à travers leurs agences NED et surtout USAID. Ce fut le cas en Ukraine (la si jolie Révolution Orange...), au Vénézuela (putch manqué contre Chavez en avril 2002), en Haïti (renversement d'Aristide) et ailleurs.
http://www.voltairenet.org/article14559.html
Citation:
Au même titre que la Fondation nationale pour la démocratie (NED), les États-Unis utilisent leur service de coopération et d’assistance humanitaire, l’USAID, comme couverture pour leurs actions secrètes d’infiltration et de déstabilisation.
(...)
Le terrorisme de l’administration Bush a inclus l’invasion de l’Irak, le coup d’État en Haïti et la tentative de coup d’État au Venezuela, ainsi que le harcèlement constant de Cuba, dont la déstabilisation est l’un des principaux objectifs de son gouvernement, qui peut compter pour cela sur le soutien des exilés cubains d’extrême droite.

Le gouvernement Bush s’active à la création de groupes de soutien artificiels qui, financés par des fonds étasuniens, se chargent de déstabiliser les gouvernements qu’il cherche à renverser, et justifie de telles agressions par une rhétorique dans laquelle abondent les invocations à Dieu, à l’ « amour », à la « compassion » et à la « défense de la démocratie ».

La Fondation nationale pour la démocratie (NED) et l’Agence étasunienne pour le développement international (USAID) sont autant d’instruments destinés à financer les ONG de droite qui espèrent installer dans leurs pays respectifs des gouvernements fidèles aux intérêts étasuniens.


Il m'a donc suffi de peu pour trouver le lien entre le pauvre opposant martyre zimbabwéen et... ceux qui tirent les ficelles.

http://www.cpa.org.au/garchve07/1313zimb.html

Citation:
The real question is whether one thinks that Morgan Tsvangirai and the Movement for Democratic Change (MDC) is merely trying to freely express their views or are proxies for imperialist governments bent on establishing (restoring in Britain’s case) hegemony over Zimbabwe.

What is the MDC?

Last year Morgan Tsvangirai, leader of an opposing MDC faction, and eight of his colleagues, were thrown out of Zambia after attending a meeting arranged by the US ambassador to Zimbabwe, Christopher Dell, with representatives of Freedom House, a US ruling class organisation that promotes regime change in countries that are not considered sufficiently committed to free markets, free trade and free enterprise.

Funded by the billionaire speculator George Soros, USAID, the US State Department and the US Congress’s National Endowment for Democracy (whose mission has been summed up as doing overtly what the CIA used to do covertly), Freedom House champions the rights of journalists, union leaders and democracy activists to organise openly to bring down governments whose economic policies are against the profit-making interests of US bankers, investors and corporations.

The MDC policies are clearly in line with its backers: the MDC favours economic "liberalisation", privatisation and a return to the buyer/seller land-redistribution regimen — a status quo policy that would limit the state’s ability to redistribute land to only tracts purchased from white farmers who are willing to sell.

There’s no question that Mugabe’s government is in a precarious position. The economy is in a shambles, due in part to drought, to the disruption caused by land reform, and to sanctions.

White farmers

White farmers want Mugabe gone (to slow land redistribution, or to stop it altogether), London and Washington want him gone (to ensure neo-liberal "reforms" are implemented), and it is likely that some members of his own party also want him to step down.

On top of acting to sabotage Zimbabwe economically through sanctions, the UK, US and Australia — amongst others — have been funnelling financial, diplomatic and organisational assistance to groups and individuals who are committed to bringing about regime change in Zimbabwe. This includes Tsvangirai and the MDC factions, among others.

The timing of last week’s MDC rally was suspicious (it coincided with the opening of the latest session of the UN Human Rights Council.) Its depiction as a prayer meeting is flagrantly disingenuous. Those of an unprejudiced mind will recognise it for what it was: a political rally, held in already volatile conditions, whose outcome would either be insurrection or a crackdown that could be used to call for tougher sanctions, even intervention.

The Mugabe government faced two options: capitulate (and surrender any chance of maintaining what independence Zimbabwe has managed to secure at considerable cost) or fight back.

Some people might deplore the methods used, but considering the actions and objectives of the opposition — and what is at stake — the crackdown could be seen as both measured and necessary.


Autre site extrêmement documenté sur la question : http://gowans.wordpress.com/

Donc, si je comprends bien, nous devons soutenir l' ***opposant démocratique*** Tsvangirai, sans nous soucier de ses desseins ultimes, quel est son programme pour le Zimbabwe, et qui tire les ficelles...

Défendre la ***démocratie*** à tout prix... Euh... c'est aussi permis de réfléchir, en démocratie ? Il est plus qu'évident que les Britanniques, mais également l'ensemble des pays dits ***Occidentaux*** ont intérêt à ce que le régime de Mugabé se plante, particulièrement sur le point de la réforme agraire. Car qu'a été la colonisation ? Un HOLD-UP AGRAIRE. Que signifierait le succès de la réforme agraire lancée par Mugabé, comme celle lancée par Chavez (dans des conditions très différentes) au Vénézuéla ? Que c'est la marche à suivre, ni plus ni moins. C'est donc le monde entier qui a l'oeil sur les expériences menées par ces 2 dirigeants, et c'est logique.

Être lucides face aux enjeux géopolitiques mondiaux ne nosu exonère pas pour autant d'une salutaire vigilance face aux dérives possibles du régime de Mugabé (et de Chavez aussi, comme M.O.P. n'a cessé de le répéter, ce ne sont que des hommes), mais s'étonner des difficultés rencontrées dans la réforme agraire, et souhaiter que celà se soit passé comme dans le monde des Bisounours (des ex-colons de l'époque Rhodésienne consentants et coopératifs pendant une hypothétique période de transition façon "Peace & Love", le soutien de la ***communauté*** internationale, un effet d'apprentissage fulgurant de la part des nouveaux exploitants agricoles) relève, au mieux d'une profonde naïveté, au pire d'une mauvaise foi caractérisée.
_________________
"Le colonialisme et ses dérivés ne constituent pas à vrai dire les ennemis actuels de l'Afrique. À brève échéance ce continent sera libéré. Pour ma part plus je pénètre les cultures et les cercles politiques plus la certitude s'impose à moi que LE PLUS GRAND DANGER QUI MENACE L'AFRIQUE EST L'ABSENCE D'IDÉOLOGIE."
Cette Afrique à venir, Journal de bord de mission en Afrique occidentale, été 1960, Frantz Fanon, Pour la Révolution Africaine
2011, annee Frantz Fanon
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MAHDOU
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MessagePosté le: Dim 18 Mai 2008 23:27    Sujet du message: Répondre en citant

merci nomade pour ton analyse Malheureusement les africains se refusent a faire des analyses ils se contentent d'avaler paresseusement ce que les autres disent surtout quand ca vient des europeens occidentaux dits developpés. La radio RFI est un poison pour les africains (et cela est valables pour la voix de l'amerique, bbc etc) elles n'ont qu'un but: faire penser aux africains comme eux ils veulent. Il n'y a que les africains pour les prendre au serieux et les ecouter, ces radios. mais cela est possible parce que les africains l'ont voulu et ils l'ont voulu parce qu'ils avaient peur de leur peuple. mugabe aime son peuple. swangirai n'est qu'un egoiste. Ce qui se joue au Zimbabwe dessine l'avenir de l'Afrique: soit la classe des dirigeants dignes et patriotes qui desssineront l'avenir de l'afrique, soit c'est la clique de pourris egoistes qui vont nous rendre encore esclaves pour des decennies. Pour l'instant les modifications de constitutions montrent que l'afrique noire est encore mal partie Les dictateurs c'est eux qui changent la constitution comme ca les arrangent et RFI et autres ne disenr ou plutot se moqquent ironiquement sans rien dire. L'afrique est peut etre mal repartie car la vraie richesse c'est son peuple et les peuples ont commencé a comprendre et surtout a se prendre en charge. Le temps sera long mais y parviendra. Mais reflechissez un peu avant de dire ca et ca parce que les medias europeens l'ont dit. swangirai sait qui lui dit de faire et ca et ca Ce n''est pas aujourd'hui qu'il se reveille pour voir que Mugabe est dictateur. OU etait-il avec ceux qui le soutiennent quand les racistes blancs avaient instauré le racisme anti noir comme systeme de gouvernement ssur des gens qui etaient chez eux mais n'avaient pas le droit de cultiver leur propre terre parce les blancs leur ont retiré ca et ils etaient obligés de travailler en esclave pour essayer de survivre. Je reproche une chose a Mugabe: n'avoir pas fait cette reforme il y au moins 20 ans de cela cela l'oblige a etre encore d'etre encore timide aujourdh'ui. Il y en qui bavardent aujourd'hui sans rien savoir de ce que les zimbabweens ont vecu dans leur histoire. Les occidentaux vont-ils au fond des choses Est ce qu'ils disent vraiment la moitié des raisons qui les poussent? Poutine les a cHassés alors ils se Retournent por piller l'afrique et nous croient qu'ils viennent nous aider. OUVREZ LES YEUX LES OREILLES LA TETE SURTOUT
mahdou






Nomade a écrit:
Le probleme avec un article comme celui-ci de RFI (radio qui repond du gouvernement francais d'ailleur) et de l'attitude generale de l'occident envers le gouvernement Mugabe est que le Zanu-pf a gagne ces elections. Peu importe l'opinion (influence par les medias occidentaux) que l'on a du gouvernement du Zanu pf, il n'y a jamais eu aucune preuves que les dernieres elections ont ete truquees. Les elections se sont deroules dans le calme et etaient bien organises. Tous les observateurs present sur place ont declarer l'election libre et juste. Notons que les pays comme le royaume uni et les etats unis n'y etaient pas invites (avec justesse d'ailleur, c'est comme invites les etats unis comme observateurs des elections du venezuela, ce n'est pas des observateurs partial). Meme l'Afrique du Sud (plutot proche des americains, quoique sans etre des marionettes) ont declarer l'election libre et juste.

On peut etre contre cette interdiction de manisfeste sans permis emit par le gouvernement, mais ce que le MDC a fait est de la pure provocation avec comme seul but de faire les manchettes et de creer de l'instabilite. D'apres le gouvernement, les manifestations n'etaient pas paisible et c'est pour cela que les forces de l'ordre ont du intervenir. D'ailleurs le fait que Tsvangiraï soit supporter si ardemment par les gouvernement occidentaux met la puce a l'oreille, on peut aussi noter ces politique liberalistes dans son programme electorale. En fait, l'attitude des gouvernement occidentaux face aux Zimbabwe me rappelle l'attitude des etats unis face aux Venezuela, on accuse on accuse, mais au bout de la ligne c'est le peuple qui decide.
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