extrait:
Pour commencer, il faut déjà savoir comment les cas de sida sont diagnostiqués en Afrique (voyez par exemple et entre autres cet article http://www.sidasante.com/journal/scheff3.htm ).
En effet, les méthodes de détection des cas de sida en Afrique sont absolument différentes de ce qui a cours dans les pays occidentaux, et reposent essentiellement sur deux méthodes, qui expliquent à elles seules (mais il y a aussi d'autres facteurs) que les statistiques de sida en Afrique soient complètement bidon !
1) LA DEFINITION DE BANGUI
Il faut en effet savoir qu'en Afrique, les cas de sida ne sont que très rarement détectés à l'aide des tests Elisa et Western Blot, ceux-ci étant entre autres jugés trop chers pour les finances des Etats africains.
Par conséquent, les cas de sida en Afrique sont détectés à l'aide de la Définition de Bangui, datant de 1985.
Les cas de sida sont détectés à partir de symptômes cliniques ..... qui ont la particularité d'être très fréquents en Afrique !
L'orthodoxie du sida considère qu'il y a un sida africain lorsque le malade présente simultanément et au moins deux symptômes majeurs et un symptôme mineur.
Symptômes majeurs
- Une perte de poids de plus de 10%:
- Une fièvre persistante ou récurrente pendant un mois au moins;
- Une diarrhée chronique pendant un mois au moins.
Symptômes mineurs
- Toux durant au moins un mois;
- Herpès cutané;
- Démangeaisons généralisées;
- Candidose;
- Affection des ganglions lymphatiques.
Si un africain a le malheur de présenter en même temps deux de ces symptômes majeurs et un de ces symptômes mineurs simultanément, et bien, il a le sida ! (remarque : si un africain souffre d'un sarcome de Kaposi ou d'une méningite à cryptocoques, l'orthodoxie du sida ne tient pas compte de ces symptômes, et il est immédiatement diagnostiqué comme souffrant du sida, sans même faire de "tests" de détection "virale").
On constate tout de suite l'absence patente de critères scientifiques à ces symptômes, ceux-ci n'étant rien d'autre que les symptômes de nombreuses maladies endémiques en Afrique, résultant tout simplement de la pauvreté et/ou manque d'hygiène et de la manultrition en général : tuberculose, malaria, lèpre, etc...
En d'autres termes, un africain souffre au départ d'un début de tuberculose ou de malaria : selon l'orthodoxie du sida, il souffre effectivement de la tuberculose ou de malaria.
En revanche, si ce même africain est ultérieurement à un stade plus avancé de ces maladies et qu'il a le malheur de réunir certains des symptomes précités, et bien, l'orthodoxie du sida affirme qu'il souffre du sida car soi-disant contaminé par le VIH ! Mais en pratique, il souffre toujours de la tuberculose ou de la malaria mais à un stade plus avancé de la maladie ! Rien à voir avec le VIH !
Certes, si on fait parfois un test Elisa à certains de ces cas de sida africain, ce test peut effectivement parfois réagir positivement. Mais les maladies en question (tuberculose, malaria, etc...) ainsi que la malnutrition en général expliquent à elles seules la survenance d'anticorps élevés (non spécifiques au pseudo VIH, rappelons le) que les tests dits "HIV" détectent.
Bref, par ce biais-là, on a fait croire à ces "sidéens" africains et au monde en général qu'il y a une épidémie de sida en Afrique, au surplus hétérosexuellement transmissible ! En réalité, il n'en est rien. Il y a surtout une épidémie de pauvreté en Afrique, qui permet de perpétuer ces maladies chroniques en Afrique. Et on ne doit pas en douter, les gouvernements africains étant invités à destiner leurs maigres ressources financières, non à lutter contre la pauvreté, la manultrition et le manque d'hygiène, mais bien à acquérir ces si "bénéfiques" drogues antivirales, les cas de "sida" africain, au sens de la définition de Bangui, ne pourront qu'augmenter et donner ainsi l'impression que l'épidémie de sida n'est plus "contrôlée" du tout en Afrique !
Notons que c'est entre autres "grâce" à la définition de Bangui que l'orthodoxie du sida a pu prétendre que le sida africain touche aussi bien les femmes que les hommes, contrairement au sida des pays occidentaux.
2) LA METHODE SENTINELLE
La deuxième méthode utilisée en Afrique pour évaluer les cas de sida consiste à faire passer un test HIV aux femmes enceintes fréquentant les hôpitaux, et puis à extrapoler les résultats ainsi obtenus par des méthodes mathématiques acrobatiques à l'ensemble de la population africaine, hommes et enfants compris !
Or le fait d'être enceinte est en soi une source de "fausse" séropositivité, à tel point d'ailleurs que dans les pays occidentaux, il est généralement déconseillé de faire passer de tels tests aux femmes enceintes. Mais pour l'Afrique, ce serait en revanche une très bonne méthode !
Quand en plus on sait que pour les tests dits de "confirmation", soit les tests Western Blot, il suffit que deux des dix bandes réagissent positivement (alors que pour les pays occidentaux, c'est tantôt trois bandes, tantôt quatre bandes ![sinon, à part ça, les tests de détection "virale" sont très fiables ! lol Il suffit que vous changiez de frontière pour ne plus être considéré comme porteur d'un virus dangereux et sexuellement transmissible]), on aura définitivement compris que les statistiques des cas africains de sida relèvent de la pire forme de mensonge qui soit !
Et c'est - entre autres - "grâce" à ces deux méthodes de détection que les africains se croient "contaminés" par un virus mortel sexuellement transmissible, alors qu'ils ont pour seul tort de souffrir de manultrition, source de nombreuses maladies remplissant les symptômes de la définition de Bangui et expliquant déjà à elles seules que les test HIV (du moins, les rares fois où elles sont faites) puissent se révéler positives !
Ah on veut bien qu'il y ait des erreurs de dépistage, mais est-ce que cela signifie qu'il y aura quelques millions de retirés sur les 25 millions de sidéens déclarés? _________________ youngsoldier's back
La définition du SIDA de Bangui est clinique et seulement clinique, le diagnostic d'infection à VIH devont être confirmée obligatoirement par une sérologie VIH, le plus souvent un ELISA, au stade de SIDA un ELISA seul est suffisant pour affirmer le diagnostic, mais au stade de pré-sida non
Il semble qu'il y eu des études pour évaluer la définition OMS/BANGUI du SIDA en Afrique, et que cette définition manque affreusement de spécificité en voici un lien
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retrieve&db=pubmed&dopt=Abstract&list_uids=1335410&query_hl=1&itool=pubmed_docsum
l'utilisation de cette définition pourrait être à l'origine d'une majoration du nombre de cas de SIDA en Afrique, mais la marge d'erreur n'est pas aussi importante que ça l'Afrique resterait malgré tout et de loin le continent le plus touché
Citation:
Or le fait d'être enceinte est en soi une source de "fausse" séropositivité, à tel point d'ailleurs que dans les pays occidentaux
C'est faux car la sérologie VIH est recommandée aux femmes enceintes dans les pays occidentaux
Citation:
c'est - entre autres - "grâce" à ces deux méthodes de détection que les africains se croient "contaminés" par un virus mortel sexuellement transmissible, alors qu'ils ont pour seul tort de souffrir de manultrition, source de nombreuses maladies remplissant les symptômes de la définition de Bangui et expliquant déjà à elles seules que les test HIV (du moins, les rares fois où elles sont faites) puissent se révéler positives !
La encore c'est faux, les seuls fois ou une sérologie vih ELISA peut être faussement positive c'est en cas de contamination accidentelle du sérum du patient par le sérum d'un autre patient, par contre avec les anciens tests ELISA encore utilisés en Afrique on peut avoir de faux négatifs
Les dernières nouvelles du recensement en Afrique du Sud jettent encore plus la population dans la confusion et créent la suspicion envers les instances internationales qui semblent avoir intérêt à ce que les pays d'Afrique soient considérés comme "condamnés" par le Sida.
Les estimations faites par le bureau américain de recensement (et donc par l'Onusida), donnenet pour 2007 une population estimée de 44 000 000
On y remarque qu'il y a baisse de 20% de la prévalence du VIH dans le monde, par rapport à l'an dernier, que la prévalence en Afrtique est en train de diminuer, que la mortalité en Afrique est passée de 2000000 en 2005 à 1600000 en 2007, que les nouveaux infectés étaient 2700000 en 2005 et 1700000 en 2007.
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